« Guys are always the assholes ... and girls the holy » ✿ Orion & Candice

Avais-je vraiment voulu savoir la vérité ? Avais-je non seulement besoin de savoir la vérité. Les paroles dites par Candice au début de cette conversation qui jusqu’à maintenant est très constructive me restaient maintenant gravé en mémoire. Je n’arrivais tout simplement pas à croire que nous avions des sentiments l’un envers l’autre sans réellement le savoir. Quoi que toutes cette histoire qui au début avait été lancé en lien avec Alice, me fit réaliser bien des choses. Je ne l’aimais pas et ce n’était vraiment pas des blagues. C’était difficile pour moi de m’avouer que j’avais un certain sentiment d’appartenance envers Candice. Ce sentiment était bien présent dans ma vie, mais devant tout ce qui se passait réellement devant moi, j’étais complètement impuissant. Comme maintenant à vrai dire. J’étais impuissant devant Candice … Surtout en ne m’attendant pas à ce qu’elle me dévoile la flamme qu’elle avait pour moi. Avais-je un doute ? De mon côté j’en avais plus qu’une attirance, mais de la voir en compagnie de d’autre garçons me faisait toujours un petit pincement au cœur. J’ignorais jusqu’à aujourd’hui ce que cela pouvait bien signifier. J’ignorais à quel point mon cœur c’était reconstituer depuis la dernière fois. Enfin pas depuis Alice, mais depuis mon autre histoire de cœur. Cela avait été destructeur pour moi de voir la seule fille à qui j’avais vraiment donné mon cœur, la voir en compagnie, voir en couple d’un autre garçon qui à la base était supposé être l’un de mes amis et son ex. J’avais été trahi par deux personnes en même temps et depuis ce temps j’avais toujours eu bien du mal à faire confiance à qui que ce soit. Ce n’était pas pour un rien non plus que j’avais tenté par milles chemin de Dire à Alice que je ne l’aimais pas d’amour mais plutôt d’amitié. Je l’avais mis en garde, mais faut croire que le message ne sait pas rendu à destination. Était-ce l’orgueil d’Alice qui faisait en sorte qu’elle faisait comme si elle était ma copine. Ce que je veux dire était-ce son orgueil qui avait pris le coup lorsque je lui avais annoncé que je la voyais comme pas petite sœur ? Ne voulait-elle justement pas s’avouer le fait qu’elle était seule et non en couple avec moi ? Après tout elle pouvait avoir n’importe quel garçon. C’était une bombe et pour le moment, mise à part la relation qui au début était légèrement sérieuse, elle n’était qu’une proie de plus sur mon tableau de chasse … Quoi qu’en une autre métaphore, je pouvais la comparer à une proie simplement blessé et laissé à elle-même. En me retrouvant ici devant Candice à lui avouer certains sentiments, je savais que si cela venait aux oreilles d’Alice, cela la blesserait. Du coup elle ne pouvait plus me faire confiance, quoi qu’elle n’ait jamais pu me faire confiance, et de l’autre côté, elle ne pouvait plus non plus faire confiance à Candice. Vous voyez le genre. Le petit ami et la meilleure amie qui se retrouvent ensemble… Je voyais mon histoire d’y a quelques années défilé devant moi. Je me retrouvais à nouveau dans cette situation fâcheuse, sauf que là c’était moi le méchant, même si depuis le début je l’avais été.Je fus pris de panique lorsque mon corps se décolla de celui de la rouquine. Je n’arrivais pas à y croire. Je venais de l’embrasser sans qu’elle-même ne m’en empêche. Ce fut sur le coup de l’émotion quoi ! Mon corps n’avait même pas été tenté de s’arrêter. Ce champ magnétique qui nous séparait était encore et bien plus fort que je le croyais. On aurait dit que les fils commençaient à connecté. Que ce niveau d’électricité qui m’habitait augmentait. Mon cœur devenait gros. Étais-je amoureux ? Je l’ignorais, mais c’était comme si mon cœur allait exploser en milles feux d’Artifice. J’étais heureux, nerveux et paniqué à la fois. J’étais heureux de me retrouvé ici devant Candice, de l’avoir embrassé. J’étais nerveux de sa réaction, mais j’étais paniquer de savoir si quelqu’un nous avais aperçu, puis Alice vint à mes pensées. J’avais embrassé sa meilleure amie. C’était tout ; a fait contre mes principes, mais je passai par dessus parce que j’avais totalement envie de recommencer. Sauf que pour l’instant je m’arrêtai net devant Candice puis l’écouta parler. Une vague de transpiration fit le tour entier de mon corps. Je n’en pouvais plus d’être si heureux et mal à la fois. Je n’arrivais pas à sortir aucun mot sans bégayer… Enfin pour ce que j’avais réussis à dire avec ce petit « Je… Je… Je suis D…. D… Désolé… » , Candice avait compris le message. Cependant je fus surpris qu’elle me demande de ne pas m’excuser. Elle me raconta toutes sortes de chose qui d’ailleurs me fit sourire. Elle savait qu’elle me plaisait ? Étais-je maintenant rendu comme un livre ouvert ? Comment avait-elle bien pu se rendre compte qu’elle me plaisait bien plus qu’Alice. J’espérais simplement qu’elle me raconte pas un truc du genre j’ai des pouvoir psychique, je lis dans les pensées. J’étais foutu, alors là j’en étais presque mort, avec tout ses rêves et mes pensées insensé, ouf autant pas y pensé. Puis revenons à nos moutons. Moi qui croyait être subtiles, elle avait tout deviné en quelques minutes, enfin cela s’étalais depuis des jours, voir même des mois. Moi qui t’entais de faire comme si je n’étais que l’ombre de moi-même. Je la regardais de loin, je me risquais à la regarder du coin de l’œil en cours. Puis sur le terrain de sport, elle était si jolie dans son maillot. Et merde Orion ! RÉVEILLE-TOI ! Quelques-unes de ses paroles me firent revenir sur terre. Une fissure se fit sur mon cœur, savoir qu’elle avait fréquenté, enfin si l’on peut dire cela comme ça, plusieurs mecs et plusieurs femmes, me fit quelques choses. On aurait dis que j’étais trahi, mais trahi de quoi ? Je l’ignorais. Je me rapprochai d’elle allant déposer ma main sur sa bouche. Je ne voulais pas me rendre à l’évidence qu’elle avait autant de proie si non plus sur son tableau de chasse que moi. Puis elle continua de parler poussant ma main. Ce qui en sorti à nouveau de sa bouche me surpris aussi. Comment cela se pouvait-il qu’Alice s’en rendre compte ? Enfin elle ne pouvait pas s’être rendu compte qu’entre moi et Candice il y avait quelques étincelles … Je n’étais même au courant moi-même alors s’en était presque impossible. Candice avait l’air mal à l’aise de me raconter tous ses trucs. Je savais que pour elle rien n’étais facile. Je savais que c’était difficile pour elle de m’avouer ses sentiments pour moi en rapport avec Alice. C’était fou comme mes pensées pour le moment pouvaient passer de Candice à aller à Alice. Je m’en voulais d’être en compagnie de Candice vu qu’Alice faisait partie de ma vie, mais de l’autre côté je me sentais si bien. Fallait mettre un terme à tous ses petits soucis en tout qu’à je n’allais pas jongler entre deux filles… Puis rien ne me disait que Candice m’aimait réellement… Sauf que le sujet pour moi avait été réglé. Ma relation avec Alice allait prendre fin qu’elle l’accepte ou non. Bien sûre c’était parce qu’il y avait Candice dans le décor, mais si elle n’était pas au courant de notre rencontre aujourd’hui, tout irait bien… Puis même si elle l’était, elle ne savait pas ce qui s’était réellement dit… J’étais comment dire, sans mot devant Candice, je ne savais pas comment réglé tout sa. Je ne savais pas comment Alice réagirait si elle venait à savoir, mais je savais que quoi qu’il arriverait, j’allais être le méchant. J’étais déjà le méchant et le connard de service. Alice avait pleuré sur son sort tout la nuit, mais elle n’était pas obliger à moi. Je ne lui devais rien et elle ne me devait rien. Surtout en sachant que notre relation n’avait jamais été officialisée. Comme je ne cesse de dire, je l’aimais tout simplement comme ma petite sœur et rien de plus. Alors me tenant toujours devant Candice sans mot, cette vague d’émotion me traversa à nouveau. Puis je n’avais rien à redire sur ce qu’elle m’Avait raconté. Je comprenais qu’elle voulait garder la confiance d’Alice, mais moi je me foutais un peu de tout cela. Parce que j’allais rester le connard qui avait brisé le cœur d’Alice, alors me tenant toujours devant Candice, j’attrapa son visage entre mes mains puis alla à nouveau déposer un baiser sur ses lèvres. J’aimais les problèmes et le danger c’était certain. Bref n’ayant toujours rien à redire, ayant aussi laissé mes mains sur son visage, je la regardai droit dans les yeux et dit finalement : « Je crois que je vais y aller… » Je n’avais pas envie de m’en aller loin de là. Les cours m’avaient déjà passé cent pieds par-dessus la tête, mais je respectais Candice. Je ne voulais pas qu’elle perde la confiance d’Alice tout simplement parce que j’Avais fait le con la veille et encore aujourd’hui. Elle ne m’appartenait nullement, mais du coup ce qui était en train de ce bâtir je ne voulais guerre perde cela. « Si non j'ai peur que les choses ne s’aggravent... » Je me connaissais que trop bien et je savais jusqu'où cela pouvait bien dégénérer. Alors si les choses avaient à en venir plus loin que là... Il n'en tenait qu'à elle. Je respectais ses choix, je la respectais et pour moi ne pas faire plus de dégâts qu'il y en avait déjà était une forme de respect.