for the papz' ► autzo

OK, je m'étais présenté à sa mère, OK j'habitais chez elle, OK on s'appelle tout le temps pour bien faire le couple inséparable. Mais là, c'est plus OK... Me voilà la suivre dans les boutiques. Non mais là c'était trop. C'est en entrant dans le magasin d'habits que j'explosai de rire. Autumn se retourna vers moi, me lançant un regard noir. " Pardon, c'est juste que c'est pas crédible. " Chuchotais-je en voyant l'une des vendeuses passer à côté de moi. Autumn haussa les épaules, me prenant la main elle me traîna dans les rayons, je lançai quelques petits regards discret aux vitrines, d'où on remarque parfaitement bien les paparazzis enfermé dans leurs voitures devant le magasin, pouvant pleinement nous prendre en photos en plein dépourvus. On devait faire très attention à la tête qu'on fessait et rester proche. Il suffisait qu'on ne se tiennent pas la main pour que les paparazzis en face un scandale... C'était bien pour elle que je fessais ça, pour ne pas qu'elle ait de problème. Autumn prenait tout son temps à regarder chaque habit, j'enfuis mes mains dans mes poches en soupirant. La vendeuse arriva vers nous demanda à Autumn si elle voulait des renseignements. J'arquais les sourcils, ouais, je ne suis jamais rentré dans un magasin comme ça, alors que quelqu'un nous demande si on veut des renseignements sur des vêtements... Pour moi c'est quand même assez bizarre. Autumn secoua la tête en signe de négation, je regardai la vendeuse assez jeune en souriant." Vous avez des toilettes ? " Demandais-je elle se mit à rire mais, Autumn me tira ailleurs par le bras, m'empêchant d'écouter la réponse de la dame. " Hé ! Mais elle allait me montrée les toilettes ! " Rouspétais-je en me retournant pour voir la vendeuse s'en allait à d'autres occupations.

D'accord, j'exagère un peu. J'exagère tout court. Même si les boutiques pour moi -et pour la plupart des filles- est quelque chose de vitale et d'inspensable- pour les hommes c'est un véritable calvaire. Ce fut le cas pour Enzo, il est mignon, adorable, patient et surtout, il supporte ma chiantise, chose assez rare chez les mecs, mais ceci, avant qu'il ne découvre ce qui l'attendait aujourd'hui. En entrant a la première boutique, il poussait un rire et je mettais retouné brusquement lui jetant un regard noir. Oui, parfois je réagis assez mal mais ça passe très vite. J'haussais les épaules et lui pris la main, l'entrainant dans les rayons, il restait près de moi et je l'entendis soupirer alors que j'étais en train de chercher. Je relève aussitôt mon regard vers lui, regard beaucoup moins noir, voir très normal. " ça t'agace ?" Lui demandais-je avant de secouer négativement la tête à la vendeuse pour ses renseignements, je n'en avais pas besoin. Le gentilhomme en ma compagnie prit un malin plaisir a s'apprêter à la drague, je le regardais longuement avant de le tirer par le bras. Jalouse comme j'étais je ne supportais pas ce comportement, ni qu'il drague ni qu'il se fait draguer. Même si nous ne somme qu'un faux couple et qu'on ne sort pas vraiment ensemble, je tiens à lui énormément et il compte pour moi. Oui, il ne voulait que savoir où se trouvaient les toilettes mais... Qui sait ce qu'ils peuvent y faire, quand elle l'accompagne ce n'est jamais sûr. Je  l'avais ramené prés des cabines d'essayages d'hommes et lui balança les vêtements que j'avais choisis pendant qu'il essayait de faire la cour à la demoiselle. " Tu parles ! Il ne manquait plus que tu te jettes sur elle pour l'embrasser." je lâchais un souffle, agacée qu'il puisse faire ça alors que j'étais juste à côté et sachant que j'allais mal réagir. Ça ne m'étonne pas venant de lui. " Enfoiré." Avais-je murmuré tout bas, il a de la chance que je n'ai que dit ça et je ne m'étais pas empressée à comettre un crime puisque, logiquement, faire ça, devant moi, c'est comme vouloir se jeter dans la lave d'un volcan... Je me sentais déjà coupable d'avoir dit ça, je le regarde longuement avant de lâcher en soupirant. "Enfin... Tu sais que j'aime pas qu'on t'approche alors voilà. Non, le miracle n'allait point se produire et ne se produira certainement jamais, Autumn n'a jamais et ne pourra jamais s'excuser. Trop de fierté, trop parfaite pour faire une gaffe et s'en excuser. Les seuls betises que j'ai déjà comise n'ont pas mérité que je m'excuse pour y être pardonner. Angelique que j'étais. Lui qui avait toujours les vêtements à la main croyait certainement que c'était pour me les porter, je lui souris et me rapprochais de lui pour passer mes bras autour de son cou histoire d'avoir l'air irrésistible. Je l'avais fait aussi au moment où la vendeuse s'approchait de nous, ainsi, elle croirait sûrement qu'on allait s'embrasser et donc respectera notre intimité et changera aussi vite de direction. Ça a marché. Je continuais de lui sourire, gardant mon regard dans le sien, inclinant ma tête sur le côté pour avoir l'air d'un ange. Il ne peut me refuser quelque chose maintenant. "Tu voudrais bien s'il te plait essayer tout ça, love ?" J'utilisais souvent ce petit surnom, si on peut appeler ça comme ça, quand je suis dans mon état bisounours ou pour avoir ce que je veux, de lui. Puis, ça ne me dérangeait pas trop de l'appeler comme ça de temps à autres même si les petits surnoms mielleux n'étaient pas vraiment mon genre. "Tu vas avoir l'air tellement sexy dedans et tu pourras... Draguer la vendeuse." Ca, c'était pour qu'il ne me dise pas non. Que je sois sûre qu'il accepte, même si le "draguer la vendeuse" avait du mal à sortir et je m'étais détesté à la seconde où je l'avais dit, mais que voulez-vous ? Quand je veux quelque chose, il faut que je l'obtienne. 

A peine entré dans le magasin que j'agissais déjà comme un gamin, mon soupire fit interroger Autumn. " Non, pas le moins du monde... " Lui souriais-je avant que la vendeuse arrive, je ne pût me retenir de demandé un renseignement assez con. Autumn me tira vite ailleurs, putain elle avait vite compris que je "draguer", même si pour un dragueur comme moi, y'a tout de même meilleure approche. Je me plaignis avec une part d'humour, je ne voulais en aucun cas allez au toilette, je voulais juste parlé à la vendeuse et aussi tester Autumn, celle-ci me donna des vêtements dont je ne regarda même pas. Puis elle rouspète, exagérant mon flirt. " Oh, je suis pas si fou ! J'allais quand même pas l'embrasser ! Par respect pour toi, et surtout pour les papz. Elle serais capable de le répéter et de tout casser. " Je leva les yeux aux ciel, j'aime juste draguer sérieux, pas baiser tout ce qui bouge... Il me sembla qu'elle marmonna quelques chose mais je n'entendis strictement rien. Je regarda les paparazzis, leurs fessant un petit coucou avant qu'Autumn ne me regarde, je souris de ce qu'elle osa me dire. C'est chou sérieusement, des fois je suis perdu entre notre relation en vraie et notre jeux de faux couple, j'ai l'impression d'en prendre trop partie. Il faut à tout pris que je face gaffe avec ça, sa risquera de mal se terminé, et je vais surement pas aimer. " Désolé, je peux pas m'en empêcher, mais je vais me retenir alors, juste pour l'actualité. Non je déconne, aussi pour toi bien sûre. " J'avais pas sût vraiment gérer mon comportement, c'est tellement bizarre pour moi d'être en couple, je l'oublie trop vite qu'il faut être fidèle et oser se priver de choses. Je remarqua enfin qu'elle m'avait emmener vers des cabines d'essayage, ce qui ressemble fortement à des cabines de vote qu'il y a à la Mairie et tout ce genre pour des élections... Une fois de plus je sentis Autumn prendre par du faux-couple, elle passa ses mains autour de mon cou, me laissant frissonner sous son contact, c'est lorsque j'allais lui demandé ce qu'elle fessais que je remarqua la vendeuse arrivé vers nous, puis repartir directement. OK, j'ai compris. Je souris à la vendeuse pour à porter mon regard à Autumn et sa bouille d'ange. Elle pencha sa tête et je ne pouvais résister, elle aime trop jouer avec mes sentiments pour me faire marcher. C'est alors maintenant que je compris aussi, que les vêtements dans mes bras était pour moi. Je me mordis la lèvre inférieur en lançant un petit regard furtif aux paparazzis devant le magasin qui prenait quelques photos. Vu notre rapprochement, ils devaient être tout contents de prendre des photos de nous en pleins contact. Autumn utilisa mon petit surnom pour me donner plus envie d’allée essayer les habits. Elle en rajouta encore plus alors, et je souriais d'envie. " D'accord mademoiselle, vous avez gagner, j'y vais de ce pas essayer tout ça." Déclarais-je en lui regardant les habits, voyant qu'il y avait vraiment de tout. J'allais m’élançai dans une des cabines, mais avant je lui lâcha un petit baiser vite fait. " Plus un bisous pour les pages de couverture de magazines. " Lui chuchotais-je en rigolant avant qu'elle me lâche et que je parte m'isoler dans une cabine. Je n'attendis pas plus longtemps pour commencer à essayer les quelques hauts qu'elle m'avait donner. Me sentant trop seul, j'ouvris le rideau et souris à Autumn juste devant moi. " Viens, j'aime pas être enfermé. " Dis-je en lançant un petit regard à la vendeuse pas trop loin, c'était surtout pour ne pas qu'elle reste seule une seconde de plus en compagnie de la vendeuse, car la connaissant elle risquait de vite faire un meurtre.

Enzo commençait aussitôt à dire qu'il n'était pas aussi fou pour l'embrasser. Je lâchais un souffle nerveux. "Parce que tu serais capable d'embrasser cette chose ambulante toi ?! Excusez-moi, je deviens vraiment méchante quand on me pousse à bout. La jalousie ne me réussit vraiment pas. Mais c'est plus fort que moi, je ne peux changer, je suis comme ça et jen'y peux absolument rien. Il avait souri quand je lui avais dit que j'avais horreur qu'on l'approche, surement parce qu'il avait trouvé ça mignon. Il me promit qu'il saura se retenir de ne pas draguer toutes les vendeuses qu'on croise, entre nous, je ne le crois pas une seule seconde. Il tient ses paroles, peut-être. Mais tenir cette promesse est pour lui un acte sur-humain dont il ne peut s'en passer, on va dire que pour lui, draguer c'est vital. " Enfin.. Je déteste partager, un point c'est tout. Je n'aime pas partager ce qui m'appartient et, Enzo est loin de m'appartenir, enfin... On n'est pas véritablement en couple mais je m'y suis attachée et je déteste qu'on l'approche de trop près ou qu'il approche une fille de trop près. Quand j'eus la brillante idée de passer mes bras autour de son cou, il frissonnait et je n'avais pas vraiment compris pourquoi. J'avais froncé légèrement mes sourcils. Qu'est-ce qu'il y a ? T'as froid ? Je peux vraiment être attentionnée et choue parfois comme je peux être possessive et sadique. Chose difficile à supporter, des sauts d'humeur qui dérangent souvent mon où mes interlocuteurs. Enzo est plus ou moins l'exception puisqu'il arrive parfaitement à me supporter, je ne sais comment il fait, mais il y arrive. Et c'est aussi pourquoi j'essayais de me contrôler, pour lui, être moins lunatique même si ça me parait quelque chose de totalement impossible. Il se mordit la lèvre quand j'avais fait sortir le grand jeu pour qu'il accepte et son acte me faisait légèrement sourire. Chanceux, va ! J'affichais un sourire de satisfaction, ce sourire que vous faites quand vous battez quelqu'un ou quand vous gagnez une bataille dés qu'il m'annonçait qu'il avait accepté. Je m'étais très vite rattrapé pour qu'il ne se fasse pas de faux espoirs, maintenant, impossible qu'il refuse puisqu'il s'appretait à entrer dans une des cabines loin des regards des papparazzis après m'avoir volé un baiser. Je le regardais longuement et le suivis. " Non en fait, tu vas pas draguer la vendeuse." Je Lui fis un magnifique sourire de "tu t'attendais pas à ça." Je restais devant la cabine, attendant qu'il sorte pour savoir si ça lui allait ou pas. La vendeuse vint m'anoncer que je devais m'eloigner des cabines puisque c'est celle des hommes, j'avais tourné brusquement ma tête en sa direction pour la regarder, ou plutôt la fusiller du regrd. Je ne bougerais pas d'ici. Je croisais alors mes bras et lui fis un des sourire les plus hypocrites qui soient. Je suis avec mon petit ami. Au fait, comment vous le trouvez ? pauvre petit être, elle ne savait quoi répondre. Elle m'annoncait finalement qu'il était très beau et canon. Que crois-tu petite ? J'ai du goût, je m'appelle Autumn Lawford voyons. Je souris avant d'ajouter, voulant vraiment la coincer. Il est à votre goût alors ? elle jette un regard en souriant, avant de m'informer qu'elle se le ferait bien. J'arquais les sourcils, choquée par sa déclaration. Je lâche un rire et passa ma main dans mes cheveux nerveusement avant de m'approcher de la cabine. Enzo ouvrit le rideaux m'invitant à le rejoindre. Je n'aurais jamais refusé mais... Je ne pouvais rester ici plus longtemps, question de vie ou de mort. Mais... Je n'allais quand même pas refuser et entrais aussitôt en refermant le rideaux. Tu t'es habitué à me voler des baisers toi... je tournais la tête en croisant les bras pour ne pas avoir à croiser son regard. Elle est sérieuse en plus l'autre... Tu l'apprche une nouvelle fois je te castre. Dis-je en le regardant, je n'étais pas vraiment en train de parler mais en train de râler. Oui, parce qu'en plus d'être chiante, lunatique et jalouse, je suis une râleuse, une bien grande râleuse. Imagine si t'étais vraiment mon petit ami et qu'elle me sort ça... Putain... Je m'arrêtais aussitôt pour le regarder se changer parce que oui, je n'étais entré dans la cabine que pour râler mais bien pour le plaisir des yeux face à ce "spectacle", si on peux appeller ça comme ça. Je le regardais longuement avant de lui tendre son haut. [color=#dd3d49]Laisse tomber les autres, j'aime pas cette boutique.[color] Non, en fait, je n'aimais pas la vendeuse de la boutique, rien de plus. Dés qu'il ait finit de s'habiller, je lui pris la main et l'entrainais une nouvelle fois derrière moi pour sortir de cette boutique avant que je commette un meurtre. Une fois dehors, je regardais la rue, cherchant une boutique. Viens. Je voulais entrer dans la boutique qui était en face et il fallait traverser la route, je ne vous raconte pas la catastrophe, je traverse sans même regarder a droite et a gauche, il faut que les conducteurs s'arrêtent et non pas moi, j'entrainais toujours derrière moi Enzo qui devait sûrement être perdu vu la façon dont je traverse les routes. Je m'arrêtais une fraction de seconde devant le magasin pour lui laisser le temps de réaliser qu'il est toujours en vie et j'entrai. Je le regardais en souriant. " Dis-moi, tu serais capable de me trouver une tenue ? Demandais-je d'un regard suppliant, ayant envie de voir ce qu'il pouvait bien me choisir.

Je remarqua qu'Autumn péter littéralement un plomb, juste pour une vendeuse à qui j'avais demandé s'il y avait des toilettes... J'ai jamais connu une fille aussi jalouse, mais je dois être vraiment bizarre, puisque cette jalousie me plait beaucoup, je trouve ça très mignon, non mais sérieusement. Même si je devrais fortement me retenir de trop la rendre jalouse, je trouve ça très attirant. " Hé ! Calme toi, j'ai jamais dit ça ! " Je ne pouvais m'empêcher de rire, elle y allait vraiment fort, la vendeuse n'était quand même pas si horrible que ça ! Mais en y réfléchissant, elle était vraiment bas comparé à Autumn... Je souris lorsqu'elle essayé de se rattraper sur le fait que je drague ou qu'on me drague. " Ouais ouais, je comprend. " C'était vraie, car j'ai beau draguer par habitude et par envie, au final si Autumn se fait draguer, je pense que je n'aimerais pas... J'oublie souvent ce dicton que ma mère me rabâcher lorsque je me battais : "ne fait pas aux autres, ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse." J'affichai une petite moue en ce souvenir là, j'étais complétement entrain de désobéir à ça, ma mère serais pas fière... Le fait qu'Autumn passe ses mains autour de mon cou me fit frissonner et ça l'inquiéta directement. " Non, j'ai pas froid, même si ce magasin ne doit pas connaitre la clime. " Répondis-je en souriant à l'attention de la vendeuse. Je remarqua qu'Autumn avait un peu changer de comportement, c'est ça d'être lunatique. Je la comprenais bien, l'étant aussi, enfin je l'étais tout de même moins, mais quoiqu'elle dise j’encaisse et essaye de passer au dessus de son défaut, car si je prenais tout mal, Autumn en était pas sortie. Bref, je me sentis bien lorsqu'Autumn afficha un sourire ayant réussis à aller me faire essayé les habits qu'elle avait choisis. Je suis pas si difficile moi, il faut juste savoir s'y prendre, et Autumn savait très bien s'y prendre, d'un côté j'ai beaucoup de mal à lui résister. Vous avez vu sa bouille ?! Impossible, même Hulk pleurerais en voyant son petit sourire de déesse. Je lui vola un petit baiser pour les paparazzis mais surtout par envie, avant de partir tout joyeux dans une cabine. J'entendis Autumn démentir le fait que j'aurais pu draguer la vendeuse. Je m'y attendais bien, mais je jouer le jeu en fessant la moue la plus triste du monde avant de rire. " Je m'en fou, il n'y à que toi que je veux plaire ! " Lançai-je assez fort pour les caméras de surveillance et surtout pour bien rire. Puis je referma le rideau derrière moi avec la plus grande force d'un enfant de huit ans. J'essayai les quelques habits sagement, je l'entendis parler mais je ne comprenais pas tout, je ne pense pas qu'elle sois schizophrène. Oh mon dieu, elle doit parler avec la vendeuse. Je ris l'imaginant surement prête à se crêper le chignon avec. J’hésitai quelques seconde puis décida de l'a faire venir dans la cabine, comme ça je la surveillerais et elle ne finira pas par commettre un meurtre. Bien entendu elle entra directement, ne réfléchissant pas plus longtemps, je souris en essayant un autre tee shirt sans gêne devant elle. Automatiquement elle me parla du petit bisous que je lui avait fait plus tôt. " Oui désolé, j'ai pas sût me retenir. Ça t'a déranger ? " Demandais-je en la regardant dans les yeux. Puis elle me parla de la vendeuse, je pouffa. " Je t'entendais lui parler, qu'est ce que vous avez dit ? " Demandais-je curieux, la connaissant Autumn à dû mettre les point sur les i. Elle rouspéta à nouveau, mais je ne comprenais toujours pas ce qu'elle avait dû lui dire pour la souler autant. " Oui mais justement, je ne suis pas vraiment ton petit ami... " Je sortis ça pensant juste à la rassurer et la faire se calmer, mais bizarrement cette phrase me fit mal et me rappela que tout était faux dans notre "couple", j'avais décidément pas vraiment pris partie du rôle, et je ne me rendais même toujours pas compte. Je grimaça, me retournant pour ne plus lui faire face. Je la vis dans le miroir me regarder, je souris avant qu'elle ne me tende mon tee shirt. Je le remis alors tendis qu'elle me disais qu'elle n'aimait pas cette boutique. " Moi c'est la vendeuse que j'aime pas. " Dis-je en souriant, sachant qu'elle aurait préféré dire ça. En disant ça je voulais lui montré que j'étais quand même de son côté, et que mes dragues était juste du pur fun, car même les filles les moins gâtés par dame nature, je m'en fessais un malin plaisir à les draguer, sans plus quoi... Je voulais qu'Autumn se rende compte qu'au fond j'étais quand même un mec bien avec elle. A peine mon tee shirt remis qu'Autumn me pris la main, on sortit comme des voleurs de la boutique, filant tout droit sans même adressé un regard à la vendeuse, et tant mieux. Dès qu'on franchit la porte les paparazzis se jetèrent sur nous, mais Autumn était bien plus que déterminée à passer, elle me trainer carrément sur la route, je n'avais même pas le temps de voir ou je mettais les pieds, je crois même avoir fait tomber trois paparazzis, mais au pire eux on s'en fou. Elle s'arrêta enfin et je pût ouvrir les yeux, les ayant fermé par peur. Je soupira de joie qu'elle ai réussis à nous faire passer, bon c'était peut être qu'une route mais y'avait du monde à ce moment là. Je regarda la boutique avant qu'Autumn me lance un défi, je fis les gros yeux. " Oh mon dieu, je veux bien, mais ma pauvre, tu va ressembler à rien... " Dis-je en riant, je suis vraiment nul avec les habits, j'ai très longtemps était habillé avec les même vêtement tout les jours alors... N'empêche que je connaissais assez les goûts d'Autumn, et je savais ses couleurs préférés et ce que je pouvais mélangé ou pas. " Allez, ce ne doit pas être si dure, puis au pire, tu peux bien m'aider : tu gueulera si je prend un habit pas à ton goût. " Dis-je en l'entrainant cette fois dans le magasin, là dedans il y avait des femmes de partout. Je ne lâcha pas pour autant la main d'Autumn, la trainant avec moi voir un peu partout les différents genre de vêtements qu'il y avait.

Une fois avec lui, dans la cabine, je mettais mise à râler, pauvre chou qui devait supporter tout ça. Après tout, c'est lui qui avait essayé de draguer la vendeuse, qui, soyons honnête, n'est pas mal physiquement. Mais, quand on jalouse quelqu'un on ne se met à chercher que ses défauts et ce fut mon cas. J'étais légèrement méchante dans mes propos concernant la jeune femme qui ne cherchait qu'à faire son travail avant que l'autre enfoiré en ma compagnie ne l'aborde. J'aurais dû m'énerver contre lui, mais je ne l'ai pas fait puisque ce n'est pas en gueulant que j'allais me venger, grande revancharde que je suis. Il était bien curieux de savoir ce que j'ai bien pu lui dire... Ah non petit, je ne peux te raconter ça, te connaissant tu t'aurais, cette fois ci, vraiment jeter sur elle. J'haussais les épaules. Non, du tout. C'est juste que je ne m'y attendais pas vraiment. avais-je répondu au sujet du fameux baiser qu'il a réussi à me voler, avant de reprendre, répondant à sa question au sujet de ma conversation avec la vendeuse. Truc de filles, tu peux pas comprendre. Dis-je, sourire aux lèvres. Je n'allais quand même pas lui dire qu'il lui plaisait, il prendrait la grosse tête, n'arretera de coller la jeune femme et nd voudrais plus sortir de la boutique. Enzo avait bizarrement mal réagis quand il me déclara qu'il n'était pas vraiment mon petit ami et qu'il ne fallait s'affoler pour rien. Ses propres paroles l'avaient comme blessé, il avait l'air vexé et avait très vite changer d'expression de visage. Je n'aimais pas le voir ainsi et lui souris. Mais tu l'es... Plus ou moins. Je lui tendis son haut pour sortir de la boutique, il le prit et l'enfila avant de me sortir une phrase qui vint arracher un sourire à mes lèvres. Je fus joyeuse de savoir qu'il n'avait fait ça que par habitude et non pas par envie, soulagée de savoir qu'elle ne lui plaisait pas. De toute manière, je m'en fou maintenant puisqu'on allait changer de boutique. 
Arrivés devant la boutique assez pleine de femmes, je me raclai la voix avant de sourire quand il me dit que je risquais de ne ressembler à rien. Oh tu sais, tout me va, tu ne va pas vraiment avoir de mal. Je lui souris avant que mon sourire ne disparu laissant paraitre ma surprise, écarquillant les yeux. Moi, gueuler ? Je ne gueule pas pour un oui ou pour un non, tout de même, je viens d'un milieu bourgeois et ce n'est pas dans mes habitudes de parler fort ou plutôt crier tout le temps, c'est même un signe de malpolitesse. J'ai vraiment une tête pour gueuler moi ? J'ai vraiment une tête de cagole ? Demandais-je en le regardant droit dans les yeux. Il n'est pas si suicidaire pour dire oui, ni un menteur. Maintenant, c'est lui qui m'entraina dans la boutique, me tenant toujours la main. Je souris en voyant qu'il n'avait essayé de draguer personne. Je me retournais pendant qu'il cherchait. Un jeune homme travaillant comme caissier passa, me lançant un regard charmeur, ce n'est pas comme ça qu'on me séduit, mais je lui souris juste pour faire chier Enzo qui s'était sûrement mis à me surveiller du coin de l'oeil. Oeil pour œil, dent pour dent, je ne lâche jamais l'affaire avant de prendre ma vengeance. Le jeune homme vint près de nous me lançant un Bonjour, je lui repondis par un simple hochement de tête avant de regarder ce qu'Enzo faisait et reposer mon regard sur le jeune homme. Dites Monsieur, à votre avis. Quelle est la couleur qui m'irait le mieux ? Il me regardait avant d'ajouter en souriant, que toutes les couleurs me vont. Je mumurais un Merci avant de reposer mon regard sur Enzo. Tu t'en sors comment ?

Après deux ans sans relations sérieuse, mon habitude de draguer n'importe qui revenait toujours. J'y pouvais pour rien moi, puis j'aime bien rendre Autumn jalouse, elle est toute mignonne énervée. Elle me fit sourire pour mon baiser qui l'avait surprise... " Cool, je pourrais le refaire quand je veux alors. " L'embêtais-je en m'habillant. Elle me cachait ce qu'elle avait dit avec la vendeuse, je soupira, puis qu'importe, je m'en foutais un peu. Je l'avais juste taquiner en jouant avec sa jalousie, je ne l'avait pas non plus tromper. Si elle commence déjà à me faire toute une histoire juste pour ça, elle n'en est pas sortit... Elle semblait vouloir me rassurais sur le fait que je n'étais pas vraiment son copain, puis je secoua la tête. Je le savais que je l'étais peut être, mais ça restait au fond du faux. Je souris, seul chose que je savais bien faire, enfin prêt on sortit et alla à la boutique d'en face. Autumn essayait vraiment de m'encourager pour lui choisir une tenue, sans vraiment savoir pourquoi elle tenait autant à ce que je choisisse. " Ouais, j'espère, mais doué comme je suis tu sait... " Dis-je en lui fessant un clin d’œil. Elle sourit mais fût vite étonné, je ris de sa tête, juste parce que je l'imaginais me criais dessus si les habits étaient trop moche, j'avais simplement dit ça juste au cas où. " Mais non, c'est vrais que je te vois mal faire tout un caprice pour un habit pas beau... " Dis-je en riant, je l'entraina à l'intérieur j'étais tellement concentré et déterminé à lui faire plaisir que je ne regarda même pas les filles qu'il y avait aux alentours. C'était pas le moment de draguer, ni de lui refaire faire une petite crise de jalousie (a). Tout ce passait bien jusqu'à ce que je remarque un mec sourire à Autumn, je lança un regard aux caissier avant de serrer plus fort la main d'Autumn dans la mienne. Elle devait être fière de son coup, je m'y attendais pas vraiment, je ne pensais pas que c'était son genre de se venger en flirtant comme j'avais oser lui faire. Bizarrement, le fait qu'elle échange quelques sourires avec ce mec, ça ne m'avait pas rendu si jaloux, je ne m'y attendais pas vraiment c'est tout. Juste avant qu'il ne revienne. Il abuse là, bien entendu Autumn en profita directement en lui parlant. J'entendis l'inconnu dire que toute les couleurs lui allait. " Comme ma main dans ta gueule... " Murmurais-je assez bas, mais suffisamment pour qu'Autumn entende. J'avais envie qu'elle sois contente de sa petite vengeance, mais m'en étant rendu compte ça ne m’atteignais même pas. Je regardais tout les habits qu'il y avait, cherchant la perle des perle. Lorsqu'Autumn me sortit de ma recherche. " Je cherche, oh et je n'est pas besoin de renseignements. " Dis-je en m'adressant aux cassier pour le faire partir, il fila vite nous laissant seuls puis  je souris de soulagement. " Il faudrait peut être mieux allez dans un magasin de costume, pour te trouver un habit de cosmonaute, comme ça aucuns mec te verra. " Dis-je pour déconner mais d'une façon très sérieuse, je regarda encore quelques vêtements avant de tomber sur ce que je chercher. " Ah !  Regarde ! " Je couru, lui prenant la main pour l'entrainer avec moi, je saisis la robe en lui montrant. " Va l'essayer ! Elle est parfaite pour toi ! " Dis-je en souriant tout fière.

Je souris quand il accentuait ses paroles d'un clin d'œil. Je n'en doute pas une seule seconde. Menteuse ! J'en doutais fortement. C'était pour l'encourager, je voulais vraiment voir de quoi était-il capable niveau vetements de filles. Une fois dans la boutique, Enzo s'était déjà mis à chercher et je me mordais la lèvre quand il s'approchait d'un haut ou d'une jupe assez choquante, je ne voulais rien dire, le laissant faire, m'amusant à sourir au caissier avant que ce fou serra fortement ma main et je poussais un cris étouffé, retirant très vite ma main de la sienne. Vous ne savez comment ça fait quand quelqu'un vous serre fortement la main alors que vous portez une bague, je lui lança un regard noir, avant de regarder mes doigts, ma main. Non, sérieusement, là je vais gueuler, je m'approchais encore plus de lui pour ne pas à avoir à crier bien fort. Enfoiré ! t'es malade ? Putain.. Tu m'as vraiment fait mal. Non, je n'exagere vraiment pas, regardez-moi sa carrure, il avait vraiment serré fort et ça a fait bien mal. Quand le jeune homme s'approchait et qu'on ait échangé quelques mots, Enzo fit une remarque que j'entendis très bien, tournant brusquement ma tête vers lui. Jaloux ? Non, je ne crois pas. Arrête... Ta main n'ira nul part. Je savais très bien qu'il était très impulsif et que ça risquait de mal tourner si j'abusais. Mais ce n'est pas une raison pour me broyer la main. Je soupirais quand il fit comprendre au jeune homme qu'il devait s'en allait, à sa façon, ce qui veux dire, direcement. Tu touches plus jamais ma main ! Il me lançait une petite phrase pour apaiser les tensions, mais j'étais bien déterminée à ne pas lui adresser la parole. Moi ? En tenue de cosmonaute ? Mais on va se jeter sur moi. [color=#dd3d49] Même vêtu d'un sac poubelle, je ne peux passer inaperçue, surtout aux yeux des mecs.[/colot] Avais-je réussi à dire mais lui jetant tout de même qu'un simple regard froid. Quand je vous disais que j'étais vraiment difficile à supporter et à vivre. Quelqu'un d'autre aurait quitté les lieux et rentrera directement chez lui, mais ce n'est pas Enzo, du moins j'espère. Ne jamais dire jamais avec lui, je lui avais dit de ne jamais toucher ma main mais voilà qu'il me la tint, m'entrainant vers une robe tellement mignonne que je n'avais même pas vu, je ne pus m'empêcher de garder ma main  dans la sienne, attrapant la robe avec ma main libre. D'accord lui repondis-je, l'entrainant cette fois-ci à mon tour vers les cabines d'essayages où je lâchais finalement la main d'Enzo pour rentrer dans l'une des cabines, essayant de refermer le rideau avant que le Gentleman de la boutique -le fameux caissier- vint le fermer, je souriais en me retournant, sachant très bien que ça pouvait être suicidaire puisqu'il y avait Enzo juste devant la cabine. Mais au moins, ça sert à quelque chose de sourire à un homme. Je sortis ma tête et souris à Enzo. Rapproche-toi s'il te plait, j'aime pas quand tu t'éloignes. Commédienne ! Il allait sûrement me croire. Je rentrais ma tête et me mît à enfiler la robe. Je me regardais dans le miroir avant de sortir de la cabine, soutire aux lèvres. C'est trop mignon ! On dirait Laura de la petite maison dans la praire. J'étouffais un  rire avant de coller un bisous sur la joue de mon cher et tendre Enzo. Je rigole. C'est vraiment mignon.. . J'ai de la chance de t'avoir dis moi ! Je lui souris avant de regarder mon divin reflet en souriant, fière de mon homme ou plutôt, de mon faux homme. Comment tu me trouves alors ?

Elle me fessait bien courir, elle savait me faire jouer et ça ne me déranger pas le moins du monde, justement je m'éclater avec elle. A chaque fois elle trouvait une bonne raison pour me faire batailler à lui prouver que j'étais le meilleur. Elle savait me faire marcher et c'était bien la seule. Dès qu'on entra dans la boutique, j'avais eu cette petite idée de lui trouvé des vêtements assez sexy, car elle est canon et ça aurait était super, mais j’effaçais vite cette idée en la voyant flirter avec le caissier, manquer plus que je l'habille trop bien pour qu'ils se sautent dessus ! Je mis alors toute ma force dans ma main pour la lui broyer un peu, j’explosai de rire lorsqu'elle retira d'un coup sa main et qu'elle se plaignit. " Haha, c'est ça de se la jouer à la dragueuse devant moi... " Lui répondis-je, je lui avait dit qu'elle allait gueuler, mais elle est bien forte, elle sait resté polie, c'est incroyable, même moi j'ai pas était aussi bien éduqué. Dès que le mec lui avait parler, j'avais essayer de rester calme, car moi c'est sois je suis calme, sois je me bat directe. Autumn me fit bien rire en disant que ma main n'irait nul part. " Oh si, si tu continue, mon poing va pas résister. " Dis-je en regardant le caissier, puis montrant à Autumn mon poing serrer, avant de rire. Je fis dégager le vendeur, parce que de un il avait pas à draguer Autumn, et de deux il me souler à nous suivre tel un toutou, on est grand bordel. Autumn avait l'air d'avoir encore mal à sa main, puisqu'elle n'arrêter pas de la regarder, puis s'en plaignit à nouveau. " Ew, désolé sérieux, j'ai pas fait gaffe. " Dis-je me retournant vers elle, je la regarda dans les yeux pour qu'elle se rende compte que j'étais sincère, puis je lui pris la main, la regardant avant d'y faire un bisous. " Voilà, plus bobo. " Je pouffa de rire, j'avais agis comme ma mère lorsqu'elle fessais du babysitting et qu'un des gosses s'était fait mal, il suffisais toujours d'un petit bisous pour faire croire que c'était guérit. Enfin Autumn devait connaitre puisqu'elle rigola un peu aussi. J'étais convaincus qu'en l'enfermant dans une combinaison spatiale, éviterais aux garçons de s'en approcher. Mais elle me répondit le contraire, je ria directement. " Geeenre, je voudrais bien voir ça ! On essayerais ça un jour tient, si tu est si sûre de toi. " Dis-je en lui lançant un regard amuser, j'étais vraiment capable de la faire se vêtir avec un sac poubelle, juste voir si sous ça elle pouvait être toujours belle. Je souris à cette pensé, j'aimais bien prévoir des choses, même si on ne savais pas encore si notre relation allait duré, on imagine toujours trop de choses, sans ce rendre compte que souvent, il y a toujours une fin. Je secoua la tête, effaçant cette nostalgie qui m'envahissait, comment je pouvais être aussi dépressif sérieux ?! Mes yeux pétillèrent de malice en voyant une robe sublime pour Autumn, ayant oublié mon broyage de sa main un peu plus tôt, je ne pût m'empêcher de la lui reprendre, et de l'entrainer avec moi pour lui montré la merveille enfin trouver. Elle la prit, la regarda longuement et accepta, je lâcha un sourire, plutôt content, elle n'avait pas dit non, ça voulait dire que j'avais quand même bien choisis. Et elle ne devait certainement pas mentir, car la connaissant, elle aurait sût vite me remballer et me dire la vérité si c'était pas son genre. On alla aux cabines d'essayages, je resta dans les parages avant qu'elle ne galère à fermer le rideau et que l'autre gars arriva en courant lui fermer, je lui lança un regard noir, avant qu'il partit me laissant le temps de lui tirer la langue tel un gamin, sachant bien qu'Autumn devait me surveiller. Celle-ci passa rapidement sa tête par le rideau en souriant, sa phrase me fit aussi sourire et rire un peu, comme ci elle voulait vraiment que je reste avec elle... Je me mis alors juste devant le rideau, le tenant en attendant, je balança ma tête en arrière pour tenter de voir derrière le rideau, mais ayant le miroir devant elle Autumn risquait de me voir, je laissa alors tomber. Puis elle sortis enfin, elle n'avait vraiment pas mis longtemps, et son sourire me garantissais son contentement de la robe. Je fût alors directement tout fière de moi. " Oh t'est sérieuse ?! Comme si tu était une paysanne ! " Dis-je en riant aussi, elle me fit un bisous sur la joue et j'en souris naïvement. " Ah bah j'espère bien que ça te plait, aw non c'est moi qui est de la chance. " Dis-je en caressant une mèche de  ses cheveux qui tomber sur son visage. D'habitude j'aurais trouvé ça complétement stupide de ne pas accepter les compliments et de jouer au "non toi, non toi, non c'est toi" des petits couples qui foutent le seum, mais là je ne sais pourquoi, j'avais eu vraiment envie de la contredire sur ça. Surement parce que depuis toujours je n'ai pas une totale confiance en moi, et que j'ai toujours trouvé que les autres était bien mieux que moi. Car c'est vrais, d'un côté, moi je suis vraiment basique comparé à certains, je suis même totalement à plaindre. Autumn avait l'air vraiment toute contente, elle ne cessais pas de se regardais dans le miroir, et moi je n'arrêtais pas de la regarder. " Tu est vraiment magnifique, tu as raison, tout te vas, surtout elle et si elle te plait vraiment je te l'achète volontiers. " J'étais tellement fière de moi et amoureux de la voir dedans que même sans voir le prix, qui devait être au dessus de mes moyens, j'avais cette folle envie de lui acheter coute que coute. Juste pour la voir souvent avec et pour me dire, que le matin en se la mettant elle avait dû penser à moi.

Je le regardais longuement quand il m'apprit que c'était parce que je draguais l'autre... Sérieusement ? T'es sérieux là ? J'ai pas draguer en plus... Je lui avais juste souris ! Je passais mon autre main sur celle qui me faisait mal, la caressant doucement avant qu'enzo ne m'informe qu'il allait lui mettre un coup de poings si je n'arretais pas. D'un côté c'était mignon ce qui fit apparaitre un sourire au coin de mes lèvres, et d'un autre, je lui envoulait d'avoir fait ça à ma main. Il me montrit son poing serré avant que je n'utilise ma bonne vieille méthode pour le calmer, j'attrapais sa main et le fixa, le regardant droit dans les yeux. Enzo, arrête. Pas ici. S'il te plait. Je n'ai nullement envie qu'il se batte pour une histoire de vengeance, que voulez-vous ? Je tenais à lui comme à la prunelle de mes yeux et je n'oserais jamais être la cause qu'il finisse défiguré même si ça m'étonnerait que l'autre puisse lever la main sur lui. S'il y a bien quelqu'un qui a le droit de le frapper ic, c'est moi. Je lui avais lâché la main pour regarder ma main avant qu'Enzo me la prit pour y déposer un bisous, s'excusant en me regardant droit dans les yeux. Je soupire, trouvant son acte extrêmement mignon. Je lui souris, n'arrivant pas à résister à la tentation de me pleindre une nouvelle fois. Oui mais voilà... Tu m'as fait mal, c'est pas gentil. 
Quand je sortis de la cabine, j'étais fière de lui qu'il ait autant de goût -après tout, s'il en avait pas, je ne serais pas avec lui maintenant-, je souriais avant de tourner mon regard sur lui quand il me retournait le compliment qu'il avait de la chance de m'avoir. Ça m'avait traversé et je n'ai jamais regardé quelqu'un aussi tendrement et je n'ai jamais souris aussi sincèrement. En temps normal, ce genre de comportement m'aurait écœuré, détestant les gens qui s'aiment, se baladant les yeux en cœurs, mais là, c'était beaucoup plus différent. Je n'avais pu me retenir de me jeter sur lui, le serrant fort contre moi. Il était trop mignon pour que je ne me contente que d'un regard et un sourire. Que je t'aime toi C'etait vraiment sincère et je me surprenais moi-même. Je le relâchais, lui souriant de plus belle. J'avais pu voir qu'il n'arretait de me regarder et ceci me faisait assez plaisir, je le regardais en souriant quand il m'annoncait qu'il me l'acheterait volontiers alors que niveau argent, ceci m'importait peu, je roule sur l'or alors ça ne me pose aucun problème. Je la mettrais à chaque fois quand tu me manques, juste pour penser à toi. Je lui souris et le tirait près de moi en rigolant, je passais mon bras au dessous du sien. Qu'est-ce que je disais ? J'aime pas quand t'es loin de moi. Je rit légèrement avant de le lâcher et rentrer dans la cabine, le regardant longuement pour le laisser refermer le rideaux puisque je savais qu'il aurait aimé le faire à la place du caissier qui avait bizarrement disparu. Je vous accorde cette honneur Monsieur. Dis en lui souriant. Quand il m'avait refermé le rideau, je m'empressais de m'habiller avant de me rendre compte qu'il comptait tellement pour moi et que je commence dangereusement à me prendre dans notre propre jeu... Chose que je devais arrêter mais je suis loin d'être quelqu'un de sage et responsable que dés que j'ai finie de m'habiller, j'ouvris le rideau, trouvant Enzo juste devant, je le tirais vers moi par son haut et refermais légèrement le rideau pour l'embrasser, la robe dans mes mains, notre baiser s'arrêtait puisque je m'étais éclipsé à la caisse, regardant les cabines en riant avant que le caissier ne se ramène. Enzo avait apparu de nulle part et je lui tins la main en lui chuchotant.T'inquiete, je vais rien faire. Si je voulais draguer quelqu'un, ça ne serait autre que toi. je lui souris, accentuant ma parole d'un séduisant clin d'œil avant de poser mon regard sur le caissier, lui tendant ma carte bleue. Une fois la robe payée, je regardais Enzo s'il voulait quitter la boutique ou s'il y voulait quelque chose. On y va ? J'ai envie d'une glace, je sais pas pourquoi. Je lui souris et le fis sortir du magasin, lui tenant toujours fermement la main. Il n'y avait presque plus de papparazzis et je regardais la rue soulagée. Je lâchais sa main pour passer mon bras au dessous du sien, je marchais dans la rue avec lui avant de le pousser légèrement. Ca me fait toujours mal... T'es musclé dis donc. Lui dis-je en rigolant.