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(+ Green) what a confortable meeting

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Il était rare, extrêmement rare de voir la jolie Eliot côtoyer les bars, bien trop indiscrets et peu sécurisés pour une belle plante dans son genre. Mais ce que peu de personnes savaient, c’est que Mallory n’était pas n’importe quelle blonde lambda à la plastique de rêve et au sourire éclatant… elle côtoyait aussi des loubards, des tatoués et autres motards qu’elle adorait plus que sa propre vie. Ils étaient plus proches d’être considérés comme sa famille que son propre père, l’utilisant uniquement pour savoir qui asseoir prochainement sur une chaise de procureur. Autant dire qu’il s’agissait d’une question de survie : Mallo refusait de devenir une bonne femme carriériste mariée à un mou du genou qui lui ferait quinze gosses en prime… elle voulait choisir comment vivre et comment mourir, le reste n’était qu’un vague détail. En l’occurrence, ce soir encore, elle ne jouait pas les potiches à un gala et portait le cuir de son crew, cherchant à se détacher de l’image d’étudiante parfaite pour boire un verre bien mérité dans l’un des pubs qu’elle adorait en ville. Le hasard est tout de même bien fait : l’un des hors la loi avec lesquels elle traitait parfois se trouvait justement dans ce même bar, pour une raison encore nébuleuse mais cela ne l’empêcha guère de l’approcher, un sourire amusé et discret à la fois sur les lèvres. « Puis-je m’asseoir ? » demanda-t-elle prudemment au cas où il soit déjà en affaires.
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Ce soir un petit verre s’imposait, mais pas n’importe lequel… non, Green avait des affaires de famille. Et c’était bien la seule chose qui le faisait devenir un homme impitoyable et extrêmement froid. Son côté gamin attardé, sa folie des paires de fesses semblaient subitement évaporer.  Dans ce quartier pourrit, un bar tout aussi pourrit l’attendait.

Il gara sa jaguar noire, et sortit de là. C’est sûr que tout de suite, entre plusieurs motards qui buvaient une pinte, caresser par leurs blondes. Les regards et un silence de mort se plaqua directement devant lui, certain gros bars le dédaignait des yeux, ou plutôt de leurs tatouages. Green s’alluma une clope, daigna un petit geste de la tête comme pour dire : «  t’approche t’es mort ».
Il expira la fumée, observa un temps l’enseigne du bar et entra. Il n’était pas habiller à son habitude de déganter qui voulait qu’on le regard. Ici comme dit bien avant, il était là pour la famille, donc il se devait êtes un Kodama.

Son entrée fit froid dans le dos, le silence tomba lourdement sur la pièce. Il jeta ici et là quelques regard, avant de se diriger vers le comptoir et demanda d’une voix d’outre-tombe, calme et glaciale :
- Wisky, sans glace.

Le barman se demandait bien ce qu’un type aussi louche, ressemblant à un homme d’affaire en costard foutait chez lui. Car quand il vit sur le torse la marque des Kodama, qu’il le servit rapidement. Le barman tout en frottant son bar énergiquement lui dit de patienter, l’homme qu’il devait voir avait du retard.

Green n’aimait pas attendre, encore moins quand il n’avait rien foutre dans ce genre de clapier. Il alla s’installer dans l’un des seuls divans confortables en cuir qui se dressait là comme un trône, il croisa les jambes se mettant à l’aise face à l’incompréhension des gros durs. Pour Green c’était la première fois qu’il venait chez ce fournisseur, il n’avait pas peur plutôt excité serait le mot idéale. Il avait presque envie que tout ceci finît en bagarre générale. Car faire couler le sang était aussi planant que de la came.

Mais ce soir, Green se devait d’être exemplaire, rater cette transaction serait une honte pour le clamp.
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Tout compte fait, l’homme à qui Mallory s’était adressée lui servait un discours rasoir et parfaitement inintéressant depuis de trop longues minutes, la poussant à se relever de sa chaise pour mieux marcher dans le bar, au moment où elle vit une silhouette connue… pour flanquer la frousse à quiconque croisait justement sa route. Fallait-il qu’elle soit folle ou bien connaisse le terrain où elle mettait les pieds pour ne pas hésiter à le suivre, un petit sourire amusé sur les lèvres. Aucune insolence ne marquait actuellement ses traits, elle trouvait simplement que le hasard faisait atrocement bien les choses. « Étrange de te voir dans un endroit comme celui-ci… mais je présume que tu n’es pas perdu » fit-elle en guise d’entrée en matière, sans pour autant s’asseoir sans y être invitée au préalable. Mallo avait oublié d’être totalement suicidaire ou stupide, bien qu’elle ait déjà fait affaire à plusieurs reprises pour le compte du club auprès de M. Kodama en personne. Dans le cas contraire, jamais elle ne se serait pointée comme une fleur ni ne l’aurait saluée de cette manière. Il n’irait sûrement pas jusqu’à la tuer : elle lui apportait un business non négligeable, autant être honnête. Sans sa présence dans le deal… plus de deal avec le club dont elle était membre actif. « Je peux m’asseoir ou tu attends quelqu’un de précis ? »
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Tournoyant son verre d’impatience, Green observait les glaçons s’entre choqués et tournés de manière maladives. Quand une voix plutôt douce, lui fit relever le visage. Une jolie poupée blonde, d’un regard, il la jugea : jolie blonde jouant les gros bras chez les gros bras. Avait-elle quelque chose à prouver à quelqu’un ? Mais il s’en foutait… il ne répondit pas à la première question, mais fit un geste l’autorisant à s’assoir.

C’est seulement quand elle fut enfin assise qu’il décida à ouvrir la bouche.

- Tu prends quoi ?

Il regarda le barman comme –si il se trouvait au Carlton, et leva brièvement la main, pour demander les consommations. C’était plutôt burlesques étant donnée l’environnement dans lequel il se trouvait. Il finit d’une trait le fond de son verre et d’une voix plutôt rauque de whisky parla :

- Alors jolie plante, c’est plutôt a moi de demander si tu es perdue… que font tes petites fesses ici?

Ça c’était du Green tout cracher, chasser le naturel et il revint au galop.
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Face au geste de Green, Mallory ne manqua pas de s’asseoir, n’ayant guère besoin de davantage pour s’exécuter. Parfois, un geste vaut bien mieux qu’un long discours, même si les expressions verbales ne tardèrent pas à parvenir jusqu’au devant de la scène. « Double scotch » énonça-t-elle simplement car sous ses airs de poupée se cachait tout de même une dure à cuire extraordinairement douée en affaires. Bien sûr, elle n’avait pas encore l’expérience de Green mais quelque chose lui disait que cela viendrait un jour. Elle commençait à mettre la main à la pâte de nombreux contrats, pour son plus grand bonheur : cela ne pourrait que l’inciter à se faire la main, après tout. Puis, l’image de blondinette parfaite est absolument utile en la matière, n’est-ce pas ? Impossible de la soupçonner. « Allons, allons… je pense que tu m’as déjà vue à l’œuvre, je suis rarement perdue ! Mais disons que ce soir je ne suis pas là pour affaire. Il m’arrive de me détendre juste en fréquentant un bar, tu devrais essayer d’ailleurs ! »
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Se détendre disait-elle ? Green afficha un petit sourire en coin, ce n’était pas évidement pour lui de retenir cette petite voix diabolique en lui. Un petit regard malicieux il enchaina rapidement :

- Je ne demande que ça, me détendre mais plutôt dans un bon lit…

Le barman un peu perdu, alla malgré lui porter les commandes à Green. Franchement il ne savait pas si ce type était aussi tarée et dangereux qu’on le disait ou si simplement il se foutait pas de sa gueule. Mais en tant que barman dans un trou remplit de gros dure, lui avait bien appris une chose, de se mêler que de son bar et rien d’autre. Il déposa tout ça rapidement, en bredouillant un « voilà » et disparu  tel le vent derrière ses bouteilles d’alcools.

- Ohh fait pas ta difficile, je sais qui tu es… de plus on va à la même fac… on est « pote » on peut tout faire ensemble.

Le romantisme, les bouquets de fleurs et les belles paroles… bah il n’avait jamais connu ça et surtout il n’en avait jamais eu besoin. Depuis très jeune quand il a appris à maitriser le sport en chambre, tout lui était donnée, et surtout les femmes, jamais il n’avait besoin de faire d’effort. Mais là franchement il s’amusait bien, il savait qui était cette jeune femme devant lui, en effet même personne de la fac, mais surtout que la mafia sait toujours tout. Et ça l’amusait de la voir gonfler à bloque devant ses gros durs, mentalement il était éclaté. S’il n’avait pas cette transaction à faire, il serait déjà sur la table en train de faire le con, le slip en main.

Il sera le rebord du siège, c’était dur, si dur de rester là tranquille à papoter de tout et de rien.
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Mallory laissa échapper un petit rire amusé face aux paroles de Green. Difficile de ne pas saisir le sous-entendu graveleux derrière sa phrase, mais s’il prétendait tout savoir, il devait également être au courant que l’anglaise n’était pas une Marie couche-toi là, bien au contraire. Peu de gens savaient qu’elle réalité, elle était même vierge, et autant dire que cette information restait jalousement gardée par la principale intéressée. Hors de question de laisser filtrer la plus petite faiblesse qui soit, qu’il s’agisse de sa vie sexuelle ou de ses affaires en général… la Mafia sait peut-être beaucoup de choses, mais elle ne sait pas TOUT, et surtout pas l’affiliation de la demoiselle à l’IRA. Après tout, sur son acte de naissance, Aaron Hale est bien marqué à la case « réservée au père », non ? Il y avait fort à parier que Mallory comme Fiona, sa mère, allaient continuer à laisser perpétuer ce mensonge jusqu’à ce qu’il devienne dangereux. Ce qui n’était nullement le cas aujourd’hui… « Potes, hein ? Oh on peut faire beaucoup de choses ensemble Green mais ça ne comprendra jamais un lit » fit-elle en toute sincérité, sans manque de respect aucun, par pur souci de vérité. Mallo n’aimait pas mélanger les affaires et le plaisir, quel qu’il soit. Et puis… soyons honnête, niveau Mafia, elle avait peut-être un autre fils de ce genre d’organisation dans sa ligne de mire. Peut-être… et celui-ci s’avérait irlandais. « Ceci dit je ne fais pas ma difficile, je me demande juste si tu t’amuses, de temps en temps… ça m’intrigue. »
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- Jamais n’est pas français. Tu dis que jamais il n’y aura un lit, mais l’avenir est si flou et lointain.

Il but une gorgée de son verre, puis sortir un étui en or et retira une cigarette, il tendit la boite à la jeune femme puis l’alluma. Il prit une bonne bouffée avant de continuer à parler :

- Pourquoi tu insistes au point de savoir si j’aime m’amuser. Tout dépend ce qu’est « s’amuse » pour toi. Si c’est aller siroter un verre avec des discutions ridicules, non ce n’est pas mon truc. Par contre côtoyer la gante féminine des heures durant avec de l’alcool ça c’est le pied.

En parlant de pied, le sien se mit à bouger, montrant une sorte d’impatience. Il reprit une bouffer de cigarette et parla encore :

- c’est quoi pour toi alors ? Jeune none ?
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« Disons plutôt que de m’envoyer en l’air avec le premier venu n’est pas mon trip à moi » lâcha-t-elle avec sincérité, sans hésiter une seconde, se moquant bien justement de passer pour une nonne à ce sujet. Mallory n’était définitivement pas décidée à offrir ce genre de trésor à un amant de passage, elle voulait que cela signifie quelque chose et le romantisme n’avait rien à voir là dedans. Lorsque l’on mène une vie où tout change à la vitesse grand V, la jolie anglaise se plaisait à un minimum de constance au moins à ce niveau. « Je n’insiste pas, je suis curieuse, nuance. Puis s’il te plaît de croire que je suis une nonne… personnellement me faire des road trip avec ma Harley est mon principal délire. Mais je ne déteste pas boire tant que je ne perds pas le contrôle. » Là résidait sûrement la gigantesque différence entre Mallo et Green : il aimait bien la folie et elle, son si précieux contrôle.
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- Ton papa ne t’a jamais dit que l’illusion du contrôle a une incidence directe sur les comportements pro sociaux de coopération ou d’équité dans les modèles de négociation ou de coopération. En d’autres termes : dans un groupe de joueurs anonymes, l’un des joueurs peut croire que son niveau de contribution aura un impact sur celui des autres joueurs, même lorsque ceux-ci n’ont pas connaissance de sa décision…

Ha la oui, ça pouvait en déstabiliser plus d’un ; entre une phrase aux sous-entendu lourdingue et des débilitées, Green pouvait lâcher des phrases existentielles. Surtout que ce coup-là Green se surprit lui-même, il regarda son verre comme l’accusant de cette perte soudaine de débilitée pour ensuite philosopher. Il plissa le front, sentit son verre… on sait jamais. Puis d’un geste désinvolte bougea la tête en haussant les épaules et lâcha tout bêtement comme pouvait le faire des élèves :

- Le cours de phylo est mauvais pour ma santé…

Il continua à parler comme-ci ce qu’il venait de dire n’avait jamais existé :


- Tu veux savoir ce qui m’éclate ? Tout m’éclate, les femmes, l’alcool, les jeux, la drogue, le meurtre, les flingues, les petites nonnes… tout ce qui me permet d’entendre les autres gémir que ce soit de de plaisir... ou pas. Je pense que si tu veux comprendre qui je suis, je me plairais à dire que je suis un mélange de psychopathe et de sociopathe. En gros un homme parfaitement équilibré pour ce que je suis venu faire ici. Hein ma belle, je sais que tu as des connaissances qui aime tripoter de gros calibre, et c’est pour ça que je suis là. Fait moi plaisir, faisons affaire tu veux bien, ma petite nonne ? Après on fera joujou comme tu l’entends.


Il fit un clin d’œil, recommanda à boire et écrasa sa cigarette et dit une chose avant d’appeler le barman.

-Puis j’ai les crocs, un petit resto me plairait bien si les affaires sont bonnes bien entendus.

Greene ne se contenait plus, sa patience n’avait pas beaucoup de limite, là il allait direct. Il voulait cette affaire, il voulait conclure un gros marché d’arme.
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