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L’histoire des dieux grecs, c’est un peu les Feux de l’Amour, au final…

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L’histoire des dieux grecs, c’est un peu les Feux de l’Amour, au final…



Mina & Aaron


Effectivement, une photo n’a rien à voir avec le reflet d’un miroir. Il est le reflet de la réalité. Une réalité figée à jamais. Seulement, je n’appréciais pas cette réalité qui constituait la mienne désormais. Car même si je passais le plus clair de mon temps à rire ou bien à faire le pitre, on pouvait également se rendre compte que je pouvais être absent, à des années lumières de ma bonne humeur, et ce, sans raison apparente. Je peux également me mettre dans des états minables et ça, la jeune femme avait pu s’en rendre compte puisqu’elle avait pris des photos de moi à cet instant précis. Donc non, je ne souhaitais pas avoir le double de certaines de ses prises. Peut-être le jour où enfin, j’accepterai ce que je suis devenu, ou bien le jour où je redeviendrais comme avant.

J’avais désormais mis fin à cette conversation. J’avais rendu l’appareil photo à la jeune femme puis m’étais éloigné pour fumer une cigarette avant de partir. Je m’adossais contre un mur, le regard perdu dans le vide. Puis je portais la tige de tabac jusqu’à mes lèvres afin de tirer dessus. Puis la fumée s’échappait de ma bouche dans une blancheur due à la nuit. En effet, le soleil s’était couché depuis maintenant quelques temps en cette période hivernale. Je ne faisais plus attention à rien. Perdu dans mes pensées, je tirais nerveusement sur ma cigarette.

Ce fut la voix de la jeune femme qui me tira de mes pensées. Je relevais les yeux afin de les poser sur sa personne. Je la dévisageais un instant alors qu’elle se mordillait la lèvre inférieure, visiblement envahi par la culpabilité. Non, elle n’y était pour rien, elle n’avait pas à s’en vouloir. Je tirais de nouveau sur ma cigarette avant de reporter mon attention sur un point fixe devant moi, comme si ce dernier méritait désormais toute mon attention.

- Ce n’est pas de votre faute. C’est juste que… certaines de vos photos me prouvent à quel point je peux être minable. Vous l’avez bien vu dans ce bar. Je bois, je me bats, je me drogue. Je… ça me rappelle juste un peu plus à quel point j’ai pu changer, à quel point j’avais tout pour être heureux avant, alors qu’aujourd’hui, j’ai tout perdu.

Un soupir s’échappa de mes lèvres. Je ne savais même pas pourquoi je disais tout cela à une étudiante que je ne connais ni d’Eve, ni d’Adam. Elle a probablement mieux à faire que m’écouter et finalement, je secouais la tête, négativement.

- Désolé, je ne sais pas pourquoi je vous dis tout ça. Ca ne vous regarde pas et ça ne dois pas vous intéresser non plus. Vous pouvez retournez à vos occupations, mademoiselle.


BY .TITANIUMWAY

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Je ne savais pas du tout comment réagir à cette déprime soudaine. Ce prof était vraiment un mystère pour moi. Un moment il était joyeux et rigolais, puis la minute d'après, il se renfermait dans ses sombres pensées, comme en ce moment. Je le regardais, cigarette au bec. J'avais vraiment hésité à venir le voir, mais finalement, je l'avais fait. Parce que je m'étais sentie responsable de son malêtre. C'est quand même suite à une de mes photos qu'il est devenu ainsi, même si j'avais pu voir son visage se refermer au fur et à mesure que la carte mémoire défilait. Je ne savais pas pourquoi il se mettait dans un état pareil pour quelques photographies. Je ne pouvais pas comprendre. Certes, ils étaient le reflet de notre vie, mais, ça ne voulait rien dire! Enfin si mais... Bref, j'était totalement perdue. Je lui demandais donc si c'était de ma faute. Il releva son visage mais ne me regarda pas. Non, ses yeux semblaient totalement perdus dans le vague; dans ses sombres pensées, encore une fois. Et tout de suite, je m'en voulais d'avoir posé la question. Malgré son âge, il semblait tellement vulnérable, ça me donnait presque envie de prendre soin de lui. Comme je le faisais avec mon père - qui me manquait énormément d'ailleurs.

« Ce n’est pas de votre faute. C’est juste que… certaines de vos photos me prouvent à quel point je peux être minable. Vous l’avez bien vu dans ce bar. Je bois, je me bats, je me drogue. Je… ça me rappelle juste un peu plus à quel point j’ai pu changer, à quel point j’avais tout pour être heureux avant, alors qu’aujourd’hui, j’ai tout perdu. » Je l'écoutais, sans rien dire. Il avait dû traversé énormément d'épreuves pour devenir ce qu'il était aujourd'hui: un homme brisé. Je pouvais le voir de mes propres yeux maintenant. Et tout de suite, j'avais l'impression que toutes mes photos de sa personne étaient toutes fausses. Parce qu'il n'était pas heureux. Parce qu'il s'en voulait pour quelque chose. Parce qu'il ne s'aimait plus. Je ne pouvais pas imaginer ce qu'il avait pu vivre, mais le voir dans cet état... J'espérais tout d'un coup que je ne finisse pas comme lui, sans aucune véritable raison de vivre. Parce que c'était ce qu'il m'inspirait en ce moment-même. Un homme brisé. J'ouvrais alors la bouche, mais il intervint avant même que je ne puisse parler. « Désolé, je ne sais pas pourquoi je vous dis tout ça. Ca ne vous regarde pas et ça ne dois pas vous intéresser non plus. Vous pouvez retournez à vos occupations, mademoiselle. » Je ne me sentais pas capable de le laisser ainsi à vrai dire. Pas que j'avais peur qu'il fasse une connerie, il n'avait pas l'air d'être un gars suicidaire - bien qu'il ait un côté auto-destructeur - mais... Quelque chose m'en empêchait. « Ça ne me dérange absolument pas professeur, et je n'ai rien à faire... Vous savez, ce n'est pas bon de tout garder pour soi... Je sais que je ne suis certainement pas la mieux placée pour vous écouter ou qu'est-ce mais... » Je ne savais pas quoi dire, alors je ne fis qu'une chose: je posais ma main sur la sienne, comme pour lui donner du courage, ou montrer que, quoiqu'il en pense, il n'était pas seul au monde.

Je restais silencieuse, à sourire légèrement, avant que je ne me rende compte de ce que je faisais. Tout de suite, je retirais ma main de la sienne, comme si je venais de me brûler. Ce n'était pas le comportement qu'une élève devait avoir envers son professeur. Ou plutôt, un professeur. Surtout qu'en plus, je ne le connaissais absolument pas. Je veux dire, je connais à peine son nom, et encore, je n'étais pas totalement certaine. Je bredouillais alors, les joues légèrement rosies d'embrassement : « Désolé, c'était très déplacé de ma part. » Je ne me comportais ainsi qu'avec les professeurs, parce que malgré ce que certains pensent, les études, c'est quand même important dans ma vie. Je ne suis pas du tout du genre timide, mais je restais quand même très respectueuse envers mes aînés, et je savais ce que je pouvais faire et dire, et le contraire. Mes parents m'avaient quand même bien élevé - même si, par moment, je pouvais me révéler être une véritable peste.
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Mina & Aaron


Je savais apprécier la vie comme il le fallait. Les photos que Mina avait prises montraient la réalité. Je profitais de ce que m’offrait la vie, je suis un homme souriant, qui profite, qui aime faire l’idiot ou bien l’enfant. Cependant, parfois, je suis rattrapé par de sombres souvenirs qui remettent toute mon existence en cause. C’est comme si, au final, on souhaitait me punir de profiter de la vie après l’épreuve que j’ai enduré. Pourtant, sans nul doute, je suis malheureux comme les pierres. Je vendrais mon âge au Diable pour revoir mon fils ne serait-ce qu’une seconde. Si j’avais le pouvoir de changer le passé, j’aurai fait en sorte que ce soit moi qui sois emporté par le cancer et ça, sans l’ombre d’une hésitation. Mais la vie en a décidé autrement. Je souffre. Je suis choqué et traumatisé. Pourtant, il arrive que je me mette dans l’esprit que les faits sont là, je ne peux pas revenir en arrière, je ne peux qu’accepter ce qu’il m’arrive puisque de toute évidence, ce n’est pas en me morfondant qu’Isaac reviendra. Dans cette optique, j’arrive à avancer. Mais on me rappelle sans cesse plus tard que c’est dégueulasse, que j’en ai trop pris pour mon grade pour être serein. Le fait est que je suis entre deux phases du deuil : la phase de colère, et celle de l’acceptation.

Je l’écoutais parler et poser sa main dans la mienne. Un geste qui ne me surpris pas car à cet instant précis, j’étais à dix-mille lieux de ce qui pouvait être correct ou non avec telle ou telle personne. Je tournais un instant la tête vers elle et ce fut la jeune femme qui comprit en première qu’un professeur et une étudiante n’ont pas à avoir de contact physique, quel qu’il soit. Elle retira donc sa main, comme si elle venait d’être victime d’un coup d’électricité ou bien d’une brûlure vive et s’excusa dans la foulée.

- Ce n’est rien, ne vous inquiétez pas.

Je portais de nouveau la cigarette à mes lèvres et tirais dessus pour finalement souffler la fumée en une longue volute blanche. Je regardais droit devant moi lorsque je repris la parole.

- Avant, j’étais marié à une femme extraordinaire. Nous avons eu un fils ensemble, Isaac. Un gamin heureux, qui refusait de se prendre la tête avec les règles, qui profitait de chaque minute. Putain ce qu’on pouvait être heureux tous les trois. La famille rêvée. Seulement… Isaac a commencé à se plaindre de certaines choses. On l’a emmené chez le médecin et nous avons dû faire une batterie de tests. Isaac avait une leucémie de stade quatre. Il a reçu de nombreuses séances de chimiothérapies qui, au début, ont fonctionné. Son état s’est stabilisé pour finalement dégringoler de plus belle.

Un soupir s’échappa de mes lèvres tandis que je passais mes mains contre mes yeux inondés par les larmes.

- On est venu à Cambridge par que le service de cancérologie est réputé. Il tentait un essai clinique. Comme Isaac était condamné, on a tenté le coup. Mais ça n’a pas fonctionné non plus. Cette maladie m’a arraché mon fils et a flingué mon mariage. Mais ce qui me dégoûte le plus, c’est que sept ans, ce n’est pas un âge pour mourir…

Je ne savais pas pourquoi je racontais tout cela à la jeune femme. Peut-être m’inspirait-elle confiance ? Dans le fond, c’est une des rares personnes à qui je me suis confié.


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« Ce n’est rien, ne vous inquiétez pas. » Je n'afficha qu'un pâle sourire tandis que son regard semblait toujours aussi vague. Je voulais savoir ce qui n'allait pas, ce qu'il cachait sous ses expressions joyeuses. Je voulais connaître sa vie, sa réalité, comment il se voyait. Je savais aussi qu'après ça, j'aurais plus de mal à le prendre en photo, parce qu'il ne me paraîtra plus aussi honnête qu'avant, lorsque j'étais encore dans l'inconnu. Mais c'était le prix à payer. L'exposition sera la dernière fois où je pourrais le voir sans me soucier de son passé. Après, j'en aurais plus le courage. Je finis par m'adosser contre le mur, regardant la fumée qui s'échappait de ses lèvres pour s'évaporer dans le ciel. Je voulais en savoir plus, encore plus, toujours plus. Il était un professeur, j'étais une élève. Ça me semblait très déplacé, un tel intérêt pour sa personne, mais je ne serais pas tranquille tant que je n'aurais pas satisfait ma curiosité. « Avant, j’étais marié à une femme extraordinaire. Nous avons eu un fils ensemble, Isaac. Un gamin heureux, qui refusait de se prendre la tête avec les règles, qui profitait de chaque minute. Putain ce qu’on pouvait être heureux tous les trois. La famille rêvée. Seulement… Isaac a commencé à se plaindre de certaines choses. On l’a emmené chez le médecin et nous avons dû faire une batterie de tests. Isaac avait une leucémie de stade quatre. Il a reçu de nombreuses séances de chimiothérapies qui, au début, ont fonctionné. Son état s’est stabilisé pour finalement dégringoler de plus belle. » Alors, c'était ça? La photo qu'il tenait comme s'il en dépendait de sa vie, c'était celle de son fils? Je ne pouvais pas comprendre ce qu'il avait pu ressentir, je suis encore trop jeune et surtout, je n'avais perdu personne encore. Sauf peut-être ma grand-mère, mais j'étais encore trop petite à l'époque pour m'en souvenir. « On est venu à Cambridge par que le service de cancérologie est réputé. Il tentait un essai clinique. Comme Isaac était condamné, on a tenté le coup. Mais ça n’a pas fonctionné non plus. Cette maladie m’a arraché mon fils et a flingué mon mariage. Mais ce qui me dégoûte le plus, c’est que sept ans, ce n’est pas un âge pour mourir… » Je l'écoutais, silencieuse. Je ne savais pas quoi dire, je ne savais pas comment réagir à sa confidence. Mais je comprenais maintenant. « Je suis désolée. » J'étais sincère. Ce n'était pas de la pitié, mais bien de la compassion. J'essayais de comprendre, mais je ne parlerais pas au nom de son fils. Parce que je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas lui dire qu'il fallait qu'il se reprenne en main, qu'il tourne la page. Ce n'était pas à moi de le faire. Il devait s'en rendre compte tout seul. C'est un adulte après tout.
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Non, je ne savais absolument pas pourquoi je ressentais le besoin de me confier ainsi à cette jeune femme dont je ne connaissais qu’à peine l’identité. En temps normal, je reste très silencieux concernant mon passé et donc les épreuves que j’ai dû surmonter. A cela, plusieurs raisons se sont toujours présentées. La première, nous avons tous notre croix à porter et quoi qu’on en dise, l’Homme de nos jours est souvent égoïste pour ne pas vouloir s’encombrer des problèmes des autres en plus des siens. La seconde, ça n’arrangera rien à la situation. Je pouvais me confier, hurler ma douleur et ma haine, rien ne changera, Isaac sera toujours allongé six pieds sous terre. Et enfin, la troisième, je restais pudique. Mettre des mots sur mes sentiments n’est pas quelque chose d’aisé pour moi, comme être le centre de l’attention. Mais avec la jeune femme à mes côtés, une quatrième raison aurait dû me pousser à me taire : je suis professeur et elle, étudiante. Ce n’était pas un comportement à adopter entre nous. Si je suis proche de mes élèves et particulièrement contre les règles rigoureuses à tenir pour une relation purement professionnelle au point de ne plus la qualifier d’humaine, je ne peux nier que pour le bon déroulement, il faut savoir se fixer des limites. A présent, j’avais l’impression d’en avoir franchi une.

Ce qui me conforta dans cette idée fut son silence. Elle ne savait pas quoi dire, ni comment réagir. Pourtant, je n’attendais rien d’elle. Je ne la connaissais pas, et la trouvais trop jeune pour comprendre. Non pas que je la voyais comme immature, au contraire, mais j’ose espérer qu’à son âge, la vie est encore belle et qu’elle n’a pas à s’encombrer de fardeaux trop lourds à porter à seulement vingt-trois ans. Cependant, elle s’excusa sur un ton qui semblait d’une sincérité déroutante. Je relevais la tête puis la tournais dans sa direction. Mon regard clair, rougis par les larmes se déposa dans le sien avec insistance. Je secouais négativement la tête afin de chasser cette tristesse qui, bien évidemment, n’en restait que plus têtue. Cependant, j’adoptais une expression plus fière et tout aussi sérieuse.

- C’est moi qui suis désolé de vous avoir confié tout ça. Je ne vous connais pas. Et en tant qu’enseignant, je n’ai pas à vous raconter ma vie. Veuillez m’en excuser, ça n’arrivera plus à l’avenir.

Mon regard planté dans le sien, je lui faisais comprendre silencieusement que je n’attendais pas un « mais non… » de sa part. J’étais d’une sincérité implacable. Cet aveu n’aurait jamais dû se produire et à l’avenir, je tâcherai d’être plus silencieux. Je tirais une dernière fois sur la cigarette puis écrasais le mégot sur le sol. Les mains libres, je passais mes paumes contre mes yeux afin d’en chasser les larmes traitresses qui avaient traduit ma vulnérabilité. Je repris contenance.


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Je ne savais ni quoi faire d'autre, ni que dire d'autre. Je ne pouvais qu'être là, physiquement. Être présente pour lui d'une certaine manière, même si en soit, je ne parlais pas. Et je savais surtout que ma présence était déplacée. Je reste une élève après tout, mais je ne me sentais pas de le laisser seul ainsi, à se morfondre. Quoi qu'il en soit, je resterais à ses côtés jusqu'à ce qu'il me repousse clairement. Parce que si j'avais été à sa place, j'aurais besoin de quelqu'un, je ne pourrais pas rester seule. Peu importe qu'il soit un homme, moi une femme, nous restions quand même humain, avec nos forces et nos faiblesse. « C’est moi qui suis désolé de vous avoir confié tout ça. Je ne vous connais pas. Et en tant qu’enseignant, je n’ai pas à vous raconter ma vie. Veuillez m’en excuser, ça n’arrivera plus à l’avenir. » Une nouvelle fois, je me mordis la lèvre. Je ne savais pas quoi faire. Avec lui, j'avais l'impression d'être sûre de rien et c'était particulièrement frustré. Mais sous ses yeux insistants, je ne fis que soupirer avant de sourire doucement. « Ce n'est pas un problème, je ne dirais rien. » Parce que je ne voulais le dire à personne, ce qu'il venait de me confier là. J'étais sans doute l'une des seuls privilégiées à connaître son passé dans les grandes lignes, et je ne demandais pas plus. En fait, je n'avais même pas demandé à le savoir, mais c'était arrivé. « Je vais vou laisser alors professeur. Bonne soirée. » Et dans un dernier sourire, je retournais vers ma voiture.


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