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Jeudi 27 Février 2014. Un rayon de soleil caresse sa joue ce matin-là et la princesse bougonne un peu alors qu’elle sait pourtant pertinemment qu’il est l’heure de se lever et qu’elle n’a guère d’autre choix que de se plier à cette ponctualité et cette rigueur qu’elle s’impose. Tout juste rentrée de Sotchi, des jeux Olympiques auxquels l’athlète a concouru, la jeune femme doit reprendre les cours. Pas le temps de prendre le temps, elle a déjà raté quasiment un mois d’enseignement. Même si une amie lui transmettait les cours d’histoire médiévale et que pour ce qui était de la danse, au vu de ses entrainements à Sotchi, elle n’avait pas perdu l’habitude de l’échauffement et bien sûr, elle ne risquait pas d’avoir perdu en souplesse, loin de là. Toutefois, malgré la fatigue et malgré le décalage horaire, la demoiselle n’a pas l’intention de louper encore une journée à Harvard. Aussi se lève-t-elle pour filer sous la douche en prenant bien garde évidemment, par respect pour les colocataires qui dorment encore dans les chambre d’à côté, de ne pas faire trop de bruit en se douchant. Ce n’est pas facile avec le bruit de l’eau qui martèle les carreaux mais la brunette fait ce qu’elle peut et surtout, elle le fait assez rapidement pour qu’ils l’entendent le moins de temps possible, ce qui les agacera forcément moins.
Lavée, la brune quitte la salle de bain et rejoint sa chambre pour choisir sa tenue pour aujourd’hui. Un bon pull bleu roi, qu’elle accorde avec un joli jean blanc immaculé. Une paire d’escarpins noirs et son sac à mains complèteront à ravir cette tenue mais en attendant, elle doit se préoccuper de son teint. Qui avec la fatigue accumulée ne doit pas être beau à voir et pourtant, elle a passé une bonne partir de son mercredi à dormir, se reposer, pour retrouver un teint parfait, voir ses cernes se retirer… Au final tout ce qu’elle a réussi à obtenir, c’est une réduction de son air fatigué. Moins bien qu’une annulation totale et complète. Mais également mieux que rien bien sûr, la demoiselle en a parfaitement conscience. Quoi qu’il en soit, Elsy prend place devant le miroir de sa coiffeuse et commence à inspecter de sorte à voir l’ampleur des dégâts. Et c’est limite si la demoiselle ne prend pas peur devant ces poches sous les yeux et ce teint blafard. Vite vite, la jeune femme se dépêche de prendre sa crème hydratante et son sérum, qu’elle applique sur la peau de son visage pour l’aider à bien se remettre. Puis avec son blaireau elle poudre son visage, son nez, le contour de son fascié… Hop, elle attrape son pinceau biseauté, le trempe dans un far couleur terre de sienne, qu’elle applique sur sa paupière mobile avant de faire un trait de khôl noir sur chacune d’entre elles. La princesse attrape le tube de mascara qu’elle applique sur ses yeux pour ouvrir son regard avant de mettre du crayon sur ses muqueuses. Elle pleure un peu, c’est toujours délicat à appliquer. Mais elle se retient de laisser glisser une larme pour ne pas tout gâcher, ce n’est pas le moment. La demoiselle prend un blaireau plus fin que le premier, le plonge dans un peu de far pêche qu’elle prend soin d’appliquer sur ses pommettes, en une touche légère. Un peu de gloss et la jeune femme accorde un regard au miroir. Parfait. Très simple et très joli. Il n’y a plus qu’à attraper un petit élastique noir pour réunir ses longs cheveux bruns en une queue de cheval parfaite, tirée à quatre épingles. Ok. Maintenant elle peut y aller. La jeune femme saute donc dans une paire d’escarpins noirs et attrape son sac également noir avant de sortir de chez elle.
Rapidement, elle s’installe au volant de son véhicule et se lance dans la circulation dense de ce début de matinée. Néanmoins, elle arrive rapidement à Harvard, s’installe au parking, attrape son sac, sort de son véhicule qu’elle verrouille avant de glisser les clés dans une poche de son sac pour finalement se presser, de dirigeant vers les bâtiments à grandes enjambées. Enfin, l’amphithéâtre où se déroule son cours sur l’Histoire du Moyen-Âge. La demoiselle entre, pose son sac par terre, sort son bloc note et se prépare, stylo en main. Surprise toutefois, ce n’est pas le professeur Williams qui entre mais un quarantenaire – plutôt craquant du reste – que la demoiselle ne connait pas. Un remplaçant ? Elle lance un regard à Rosie Huffington pour essayer d’obtenir une indication visuelle mais rien, la brune de la regarde même pas. Et puis elle est trop loin pour que la hongroise puisse espérer quoi que ce soit de ce que tentera de lui dire la demoiselle. Alors la brune décide que se concentrer sur le cours qui commence d’ailleurs, est bien plus sage et plus intéressant : elle saura bien, une fois sortie, où est passé le professeur Williams. A moins que tout simplement, ce soit le premier jour de présence de cet inconnu qui expliquera sûrement alors à ses étudiants, les raisons de ce changement de professeur ainsi que sa durée de sorte à savoir si c’est un changement définitif – ce qui ne manquerais pas de faire plaisir à ces demoiselles, c’est toujours mieux d’étudier avec un prof canon qu’avec un homme allant doucement vers sa retraite – ou seulement temporaire. Alors elle écoute attentivement, son regard rivé sur lui.
Lavée, la brune quitte la salle de bain et rejoint sa chambre pour choisir sa tenue pour aujourd’hui. Un bon pull bleu roi, qu’elle accorde avec un joli jean blanc immaculé. Une paire d’escarpins noirs et son sac à mains complèteront à ravir cette tenue mais en attendant, elle doit se préoccuper de son teint. Qui avec la fatigue accumulée ne doit pas être beau à voir et pourtant, elle a passé une bonne partir de son mercredi à dormir, se reposer, pour retrouver un teint parfait, voir ses cernes se retirer… Au final tout ce qu’elle a réussi à obtenir, c’est une réduction de son air fatigué. Moins bien qu’une annulation totale et complète. Mais également mieux que rien bien sûr, la demoiselle en a parfaitement conscience. Quoi qu’il en soit, Elsy prend place devant le miroir de sa coiffeuse et commence à inspecter de sorte à voir l’ampleur des dégâts. Et c’est limite si la demoiselle ne prend pas peur devant ces poches sous les yeux et ce teint blafard. Vite vite, la jeune femme se dépêche de prendre sa crème hydratante et son sérum, qu’elle applique sur la peau de son visage pour l’aider à bien se remettre. Puis avec son blaireau elle poudre son visage, son nez, le contour de son fascié… Hop, elle attrape son pinceau biseauté, le trempe dans un far couleur terre de sienne, qu’elle applique sur sa paupière mobile avant de faire un trait de khôl noir sur chacune d’entre elles. La princesse attrape le tube de mascara qu’elle applique sur ses yeux pour ouvrir son regard avant de mettre du crayon sur ses muqueuses. Elle pleure un peu, c’est toujours délicat à appliquer. Mais elle se retient de laisser glisser une larme pour ne pas tout gâcher, ce n’est pas le moment. La demoiselle prend un blaireau plus fin que le premier, le plonge dans un peu de far pêche qu’elle prend soin d’appliquer sur ses pommettes, en une touche légère. Un peu de gloss et la jeune femme accorde un regard au miroir. Parfait. Très simple et très joli. Il n’y a plus qu’à attraper un petit élastique noir pour réunir ses longs cheveux bruns en une queue de cheval parfaite, tirée à quatre épingles. Ok. Maintenant elle peut y aller. La jeune femme saute donc dans une paire d’escarpins noirs et attrape son sac également noir avant de sortir de chez elle.
Rapidement, elle s’installe au volant de son véhicule et se lance dans la circulation dense de ce début de matinée. Néanmoins, elle arrive rapidement à Harvard, s’installe au parking, attrape son sac, sort de son véhicule qu’elle verrouille avant de glisser les clés dans une poche de son sac pour finalement se presser, de dirigeant vers les bâtiments à grandes enjambées. Enfin, l’amphithéâtre où se déroule son cours sur l’Histoire du Moyen-Âge. La demoiselle entre, pose son sac par terre, sort son bloc note et se prépare, stylo en main. Surprise toutefois, ce n’est pas le professeur Williams qui entre mais un quarantenaire – plutôt craquant du reste – que la demoiselle ne connait pas. Un remplaçant ? Elle lance un regard à Rosie Huffington pour essayer d’obtenir une indication visuelle mais rien, la brune de la regarde même pas. Et puis elle est trop loin pour que la hongroise puisse espérer quoi que ce soit de ce que tentera de lui dire la demoiselle. Alors la brune décide que se concentrer sur le cours qui commence d’ailleurs, est bien plus sage et plus intéressant : elle saura bien, une fois sortie, où est passé le professeur Williams. A moins que tout simplement, ce soit le premier jour de présence de cet inconnu qui expliquera sûrement alors à ses étudiants, les raisons de ce changement de professeur ainsi que sa durée de sorte à savoir si c’est un changement définitif – ce qui ne manquerais pas de faire plaisir à ces demoiselles, c’est toujours mieux d’étudier avec un prof canon qu’avec un homme allant doucement vers sa retraite – ou seulement temporaire. Alors elle écoute attentivement, son regard rivé sur lui.
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