Je n'osais pas trop penser à son futur en fait. Je ne savais pas non plus si Zita finira par l'accepter ou non. Mon jugement était sans doute tout sauf subjectif. Après tout, Enzio faisait grandement partie de ma vie alors d'office, je voulais penser que la jeune Ferrari l'accepterait, et finirait par l'aimer, quoiqu'elle puisse en dire maintenant. « J'attend de voir. Peut être que dans quelques années, ça lui viendra à l'idée de sympathiser avec son mari. Qui sait ? L'avenir nous réserve bien des surprise. » J'acquiesçais. Oui, nous ne pouvions rien prédire, la vie coulait ainsi, sans qu'on ne puisse rien empêcher. Et c'était nos choix qui dictaient tout. J'aimerais parfois avoir des pouvoirs pour changer le passé, ou faire en sorte d'améliorer mon futur si je pouvais en avoir un aperçu. Mais non. « Bon. Va falloir que je me sauve. J'ai pas mal de chose à faire encore comme m’installer chez les Eliots. » Et là, tout se passa trop vite. Je sentis ses lèvres sur ma joue et la seconde d'après, il s'éloignait déjà de la table. Je me mordis la lèvre. Mon coeur se serra légèrement et je soupirais, terminant ma boisson avant de retourner au bar où mes amies étaient toujours assises.
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Je n'osais pas trop penser à son futur en fait. Je ne savais pas non plus si Zita finira par l'accepter ou non. Mon jugement était sans doute tout sauf subjectif. Après tout, Enzio faisait grandement partie de ma vie alors d'office, je voulais penser que la jeune Ferrari l'accepterait, et finirait par l'aimer, quoiqu'elle puisse en dire maintenant. « J'attend de voir. Peut être que dans quelques années, ça lui viendra à l'idée de sympathiser avec son mari. Qui sait ? L'avenir nous réserve bien des surprise. » J'acquiesçais. Oui, nous ne pouvions rien prédire, la vie coulait ainsi, sans qu'on ne puisse rien empêcher. Et c'était nos choix qui dictaient tout. J'aimerais parfois avoir des pouvoirs pour changer le passé, ou faire en sorte d'améliorer mon futur si je pouvais en avoir un aperçu. Mais non. « Bon. Va falloir que je me sauve. J'ai pas mal de chose à faire encore comme m’installer chez les Eliots. » Et là, tout se passa trop vite. Je sentis ses lèvres sur ma joue et la seconde d'après, il s'éloignait déjà de la table. Je me mordis la lèvre. Mon coeur se serra légèrement et je soupirais, terminant ma boisson avant de retourner au bar où mes amies étaient toujours assises.