Sio & Klaus - Quel film veux-tu aller voir ? HOT [Terminé]

Sio & Klaus
Quel film veux-tu aller voir ?  

Renfermée, je sentais bien que Klaus était un peu déçue que je ne lui avais rien dit. Mais bon, je ne voulais pas le dire…La force n’était pas là, et donc, je disais alors : «   Bah….C’est que….C’est un peu compliqué…..Je te le dirais, mais….» Je ne voyais pas vraiment pourquoi je devais donc continuer mais bon, je préférais aussi non plus ne pas paniquer. De toute façon, j’allais bien réussir à me débarrasser de toute cette pagaille. Je reprenais alors la parole : « Oui, tu as bien raison. Cela va bien se passer. C’est que…Personne n’est au courant…Et si tu croise Rowan au concert, il ne faudra pas lui dire….Ni à mes parents….Sinon, ils ne vont plus vouloir que je retourne en tournée sans garde du corps….Et bonjour l’ambiance…. » Un début de réponse et donc, je savais qu’il devrait se contenter de cela pour un petit moment afin que je puisse avoir à nouveau mes idées en entières.

«  C’est chouette si tu peux venir, on va bien s’amuser. Tu verras. L’ambiance est sympa. Après, on va vivre en autarcie et sur la route, donc, on sera un peu à l’étroit mais on y sera tellement bien. Puis tu verras mon groupe est sympa.  » Finissant mon plat, je voyais la tête des gens et je disais : « Je me doutais bien, tout ça, mais tu as vu leurs têtes….On dirait qu’ils n’ont jamais entendu cela de leurs vies… » Finissant mon plat, je me demandais bien ce que je pouvais donc dire par la suite. Je rajoutais : «   Quitte va servir de dessert ? » Un petit clin d’œil et voilà que je me demandais bien ce que je ferais par la suite.

Tout en trouvant la bonne idée dans ma tête, je lui disais : « Alors comme ça tu es pressé ? Cela tombe bien, j’ai fini mon plat.  » Mettant mes couverts dans mon assiette, je continuais, levant légèrement la main, j’appelais alors le serveur. « Je peux avoir l’addition s’il vous plait ? » Tout en souriant, il revenait avec la facture et je sortais ma carte bleue de mon sac. Je souriais et je disais à mon cher et tendre : «  On y va ? » Me levant, je mettais mon manteau, et prenant mes affaires, je me demandais bien ce que je pourrais donc dire par la suite. En tous les cas, vu la tête de Klaus, il ne devait pas penser que j’allais écouter le restaurant comme ça.

© KIMIKO

 

Sio & Klaus
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L’entendant me parler de mon souci, j’approuvais donc d’un signe de la tête. Je me demandais bien ce qu’il fallait que je fasse par la suite. Je continuais donc de ne rien dire, enfin, je me demandais bien ce que je pourrais lui dire pour me dépatouiller de toute cette pagaille. Je ne voyais pas trop quoi dire d’autres mais bon, pour l’instant, je préférais donc que tout se passe bien pour la suite. Je ne disais rien, et j’espérais bien que pour une fois, il pourrait donc y avoir une solution. Enfin, elle viendrait en temps voulu.

Je répondais alors patiemment : « Oui, tu verras, c’est assez intéressant comme expérience. On a la possibilité de voir un tas de choses, et on peut aussi visiter. En général, je fais la grasse matinée à l’hôtel et je mets mes impressions sur mon blog. Enfin, je vais en mettre un pour la tournée et les concerts. Comme ça au moins, cela pourrait être sympa. »

Le dessert !!!! J’aurais enfin mon dessert !!!!! Coooooool…………..Je souriais et je savais donc qu’il était nécessaire pour nous de passer un bon moment tout simplement parce qu’on l’avait mérité. Le voyant venir vers moi, comme ça, j’enlevais alors mon manteau pour laisser voir ma robe. Ses lèvres sur les miennes, je savais que cela se passerais très bien. Passant mes mains pour le mettre dans son cou, je l’embrassais pour qu’il comprenne ma réponse. Enlevant mes pieds de mes chaussures, je le regardais tendrement. Il n’y avait pas vraiment grand-chose à dire ma tête lui donnais la réponse.

Les yeux qui pétillaient, un sourire jusqu’aux oreilles et voilà que je me pinçais une nouvelle fois la lèvre inférieure. Je voyais pas vraiment quoi dire d’autres, et pour ma part à le voir se dandiner comme ça me faisait sourire. Me collant un peu plus, je lui disais : « Alors comme ça tu veux tout le dessert ? Il faudra m’attraper d’abord.» Me dégageant doucement, j’allais donc déposer le reste de mes affaires sur le fauteuil. Tout en le voyant, je lui faisais signe de venir. Il n’allait pas croire que je serais si docile. Rien qu’à voir sa tête, je comprenais qu’il était bien aussi que je l’embête un peu.

Derrière le fauteuil, je riais en voyant sa tête. Et je disais : « Allez…. Je vais devenir un glaçon si tu continues comme ça.» Je souriais encore et je me demandais bien ce qu’il fallait que je fasse par la suite. Je reprenais donc une petite pause sympa pour lui faire envie. Alors qu’il était bien pour moi de m’amuser, je patientais sachant qu’il jouerais sans doute le jeu.

© KIMIKO

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« Tu vas voir, musique de vingt heure à vingt-deux heures trente, on range, minuit, on va se coucher et on reprend la route à neuf heure ou dix heure. Enfin, on a un chauffeur donc lui il dort la nuit. Là, je continue de dormir dans le bus au moins jusqu’à midi. On est totalement en décalés durant cette période. »

Je l’entendais me dire qu’il était mon premier fan avant même d’avoir écouté ma musique. Je souriais, et je disais : « Ah c’est gentil ça.  » Tout en lui souriant, je me demandais bien ce qu’il fallait que je dise par la suite pour ne pas que cela parte en cacahouète. J’appréciais mon cher et tendre, et l’amour qu’il me donnait me plaisait et me comblait amplement. Je continuais donc de lui donner une réponse : « Hum, je ne sais pas…As-tu été sage… ? »

Riant un peu plus, je me demandais bien pourquoi est-ce qu’il fallait donc que je l’embête comme ça. Mais bon, voir sa tête et le fait qu’il n’avait pas tout ce qu’il voulait comme ça dès le début me plaisait bien. En sous vêtement, je le voyais donc, je souriais et je disais tout en me montrant : « Ah, si tu as le droit… ? Hum, je ne sais pas…. » Je riais une fois de plus, et tout en me laissant faire, je souriais et tout en passant mes mains dans le cou de mon chéri.

Le lit était assez souple et confortable, je me demandais bien pourquoi est-ce que j’avais droit à autant d’attention mais bon. Je souriais et tout en savourant son baisé. Je commençais déjà à le chatouiller avec mes pieds tous froids. Alors pour la bonne raison que j’avais juste envie de me laisser faire, je regardais de temps en temps son visage. Je souriais et je réalisais qu’il était bien aussi pour moi de vouloir tout faire dans le bon sens. Je continuais de l’observer tout en patientant qu’il prenne soin de moi, et tout en ne voyant pas trop quoi dire, je réfléchissais sur le tout, et j’espérais bien aussi essayer de voir ce que je pourrais donc lui dire. Je réalisais qu’il était bien aussi de se taire et de savourer ce merveilleux moment à venir.

© KIMIKO

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Notre petit moment à deux était bien entamé. J’avais alors eu cette douce sensation que tout se passerait bien par la suite. Je me disais qu’il faudrait aussi que j’essaye de trouver la suite des choses. Je lui disais alors en riant : « Ah oui ? » M’arrêtant alors patiemment, je reprenais : « On va faire cela comme ça. Puis, au moins, tu pourras me protéger des mauvaises rencontres. Je suis la femme de ta vie ? C’est étonnant de constater que pour moi, je pense que tu es le bon. »
Je m’arrêtais un peu et surprise d’entendre qu’il voulait essayait de faire sa vie avec moi, je tentais de répondre : « Ta vie avec moi…. ? Tu penses que l’on peut durer ? Que notre couple peut durer ? » Je ne voyais pas vraiment quoi rajouter en plus. Mais bon, je comprenais alors que Klaus tenait vraiment à moi comme je tenais vraiment à lui.
Sa peau contre la mienne, j’avais alors cette douce sensation que pour l’instant, il faudrait que je me laisse un peu plus aller. Je me demandais bien pourquoi est-ce j’allais donc faire. Est-ce que cette nuit serait donc comme la première nuit ? Est-ce que j’aurais droit aux mêmes sensations ? Des « Je t’aime » à n’en plus finir, et voilà que j’appréciais donc une fois de plus ce délicieux moment de plaisir. Je ne comprenais pas trop pourquoi est-ce que pour le moment j’étais un peu stressée.
Puis, finalement, me laissant un peu plus aller. J’avais alors cette douce sensation de plaisir qui prenait en otage tout mon corps. Je suivais alors ce doux voyage pour aller au septième ciel…Cet accord sensuel qui serait pour moi la simple et bonne raison que j’allais aimer d’avantage Klaus. Je fermais les yeux un instant et tout en savourant son corps un peu plus. L’embrassant doucement dans le cou, les frissons commençaient à me parcourir de la tête aux petits orteils. Me cabrant un peu plus sous le poids de cet amour charnel, j’espérais bien que cela ne se termine pas si rapidement.

© KIMIKO

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Toujours en moi, on avait alors l’ultime sensation de plaisir. Tout mon corps avait encore cette douce électricité qui m’habitait depuis le début. Ses frissons qui existaient en ayant le contact charnel. Ayant toujours mes mains dans son dos, je me demandais bien comment est-ce qu’il fallait que je continue de me dire que pour l’instant, il y avait une forte chance que notre couple dure. Je l’observais doucement, et le voyant qui patientait alors gentiment, je l’embrassais tendrement. Et je lui disais alors en riant : «  Tu as été bien sage…. » Riant un peu plus, je l’embêtais avec mes pieds pour aller le chatouiller un peu. Je savais qu’il était bien aussi que je le taquine un peu plus.

Après tout, pour le moment, j’avais juste envie de l’embêter un peu. Je riais un peu plus, et je savais qu’il irait sans doute pour aller sous les couettes. D’ailleurs, je commençais à avoir un peu froid. Tirant sur la couverture, je le voyais qui l’a mettait sur nous deux.

Remarque on était tout nus, pas trop besoin de pyjamas, mais bon, je ne désirais pas avoir froid. Tu imagines la question : vous avez eu froid comment ? Je ne m’imagine pas trop avec mes joues rouges comme des tomates et moi qui pars en courant…..Non merci !
Riant un peu plus alors qu’il ramenait les draps jusqu’au-dessus de nos têtes. Je disais : « Oh une tante…. » Il y avait une bonne sensation et surtout un bon petit moment à nous deux. Le regardant alors doucement, je l’embrassais chacun des yeux histoire de le taquiner encore plus. Riant alors que je réalisais qu’il ne disait rien, je préférais continuer de le faire rire. Même s’il me chatouillait ce n’était pas l’envie pour ma part de lui faire un coup pareil. Puis, fermant les yeux, je savourais donc notre petit câlin. Les mots doux dans mes oreilles, je souriais et je faisais donc de même. L’amour rend aveugle ? Ou est-ce qu’il rend tout simplement heureux ? Comment doit-on faire ? Etre humble ? Ou être tout fou ?

Une chanson allait sans doute naître de toute cela. Crier enfin chanter au monde entier un bonheur amplement mérité. Etait-ce bien ou pas ? Avec mon petit côté discret sur ma vie, je pense que je ne ferais sans doute pas trop de chanson dessus, sans doute que j’essayerais de chanter sur l’Irlande. Mon pays natal me manque, et je pense que j’emmènerais sans doute Klaus avec moi.

© KIMIKO