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Sio & Klaus
Quel film veux-tu aller voir ?
Je préférais donc l’écouter pour que je puisse avoir des renseignements sur mon amour. Je ne l’avais pas encore entendu me parler de ses parents adoptifs, je ne voyais pas trop comment réagir mais bon, je me rendais compte que je devais aussi essayer de le comprendre, je tentais de faire un approche : « Tu n’as plus de famille ? » Souriant tendrement en le voyant et mettant ma main sur sa joue, je lui disais : « Oui, on a notre temps, et comme tu dis, on n’est fait l’un pour l’autre….C’est fou, c’était comme si on était attiré comme des aimants. Je t’aime. »
Il me chuchotait dans l’oreille qui l’avait aimait aussi et me faisait rougir une nouvelle fois, j’avais les joues en feu. L’entendre me dire qu’il aimerait bien recommencer, je me disais que si le temps était propice pour ça et bien, cela sera bien possible. En tous les cas, j’aimais bien que notre conversation parle de nous comme ça de façon à ce que l’on puisse donc se connaître un peu plus. Il était vrai que ma position fortement confortable m’avait un peu assoupie mais bon, je ne désirais pas non plus le laisser tomber comme ça.
Une fois dehors, je l’écoutais me parler pour le restaurant, et tout en lui répondant en souriant : « Bien, parce que je ne tiens pas à ce que tu ais un bleu. Oui, le restaurant que tu aimes. J’ai vu le ticket sortir de portefeuille la première fois qu’on s’est vu. Donc, j’ai regardé où s’était sur le net, et donc, j’ai essayé donc d’avoir une place pour deux. » Son tendre baisé me rappelait donc que le chemin était donc facile pour le restaurant.
Sa main dans la mienne, je cherchais donc mes repères et je lui disais : « Je crois qu’il faut traverser pour aller en face. » Regardant l’heure sur ma montre, je voyais qu’on était dans les temps, la demi-heure que j’avais prise pour le rab était parfaite. Cela nous laisser donc le temps d’y aller tout en douceur sans se prendre la tête. Puis, il fallait bien que je profite de sa présence. D’ailleurs, j’aimais tellement lorsqu’il était là que je le prenais pas vraiment le temps de penser à moi.
En marchant, on arrivait alors devant le restaurant. Le portier nous ouvrait la porte et le maître d’hôtel venait donc nous voir : « Bonsoir, que puis-je faire pour vous ? » Le regardant en souriant, je lui disais : « Bonsoir, j’avais réservé deux tables au nom de O’Connell. » L’homme en question derrière son pupitre regardant alors son registre et il nous disait : « Bien entendu mademoiselle, suivez-moi. »© KIMIKO
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