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Valentin & Rosalia

Rosalia avait tout une nouvelle routine, elle vivait chez Wesley maintenant et elle ne faisait qu'aller à ses cours. Elle évitait plus que soigneusement la Wintrhop House et la Dunster House, elle ne savait même pas si Val et Amy vivaient ensemble ou pas, mais elle ne voulait pas tenter sa chance. Elle n'allait pas à la cafétéria, ne faisait pas de détour, longeait le mur ou presque, ne répondait qu'à Wesley ou Lauréane quand son téléphone sonnait. Elle ne se sentait pas l'humeur, ni le courage ou le coeur de croiser Val ou Amy, ils étaient mariés et c'était trop difficile pour elle de s'imaginer la chose, de simplement y penser ou quoique se soit. Elle pleurait souvent, elle aller au gym un peu plus loin dans la ville pour cogner sur un punching bag. Elle était épuisée, complètement, elle se sentait lourde. Normalement, elle n'aurait pas été à la bibliothèque, mais elle avait des examens et Rosa voulait laisser Olivia et Wesley ensemble un peu, ils avaient droit à leur moment ensemble, ils avaient leur problème à eux aussi, elle ne voulait pas les ruiner. Enfin, elle était tout font de la bibliothèque à l'étage le plus haut, le plus loin possible pour etre certaine de ne croiser personne. Mais voilà, Rosa n'était pas une fille chanceuse, clairement pas, et même s'il était déjà dix heure du soir, quand elle releva la tête, elle vit Valentin au loin. Elle baissa sa tête rapidement, Rosa lui avait dit qu'ils en parleraient plus tard, mais franchement, elle y avait pensé et qu'avaient-ils à ce dire ? Elle continua de lire son livre, enfin pas vraiment, elle espérait qu'il parte, qu'il ne vienne pas la voir, son cœur battait trop vite pour qu'elle se concentre. Elle l'aimait encore, elle le détestait pour ça, pour l'effet qui lui faisait. Elle ne voulait pas lui parler, mais en même temps, elle ne voulait pas le voir partir, la galère.

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Rosalia & Valentin

Ca faisait un bon moment que je n'avais pas eu de nouvelles de ma chère Rosalia, et ça commençait à m'inquiéter et je commençais sérieusement à être en manque d'elle. Même après notre ébat de la dernière fois avant qu'elle ne tombe malade, je n'avais pas réussi à la retirer de ma tête et à être totalement fidèle à ma femme. Je les aime toutes les deux et je suis incapable de choisir. Seulement là pour le coup, c'était Rosa qui choisissait pour moi en m'évitant, en ne répondant pas à mes appels, en ne souhaitant pas me voir. J'avais fini par abandonner, même si elle occupait toujours autant mes pensées quand je l'aperçus à la bibliothèque. J'étais venu à la base pour réviser un peu quelques cours au calme alors qu'on était en plein déménagement avec Amy. Elle serait bien venue avec moi mais elle voulait ranger un peu avant d'aller voir Peter. Un petit moment seul ne me ferait sûrement pas de mal. Surtout que je suis assez frustré pour le coup en ce moment. Surtout que je ne sais pas vraiment si mon ex va mieux après cette épreuve en cage. Je m'étais donc approché d'elle, alors qu'elle me tournait le dos. Je me collais même naturellement contre elle, posant ma main plus haut que sa tête, faisant genre le mec trop dragueur et confiant, alors que je suis loin de l'être avec elle. Elle risque de m'envoyer chier oui plutôt mais j'avais tout de même osé Alors, ça lit quoi par ici au lieu de répondre à mes appels ?
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Valentin & Rosalia

Rosalia avait choisit oui, de se cacher. C'était lâche, extrêmement lâche, elle ne répondait même pas aux appels et au sms de Valentin, c'était son choix oui, mais elle n'avait pas vraiment l'impression que de toute façon, elle lui manquait vraiment. Pourquoi donc ? Elle ne sentait pas qu'elle avait choisit pour lui, vraiment pas, elle n'avait même pas l'impression d'avoir fait partie des choix, elle se trouvait idiote, elle n'était pas fière d'elle, bref, autant s'enterrer dans son livre de politique, chose qui l'emmerdait plus que tout au monde, elle n'étudiait pas cette matière par choix et amour, mais bien pour son père. Bref, elle préférait se plonger là dedans que vraiment faire fasse à la situation. Elle ne s'attendait vraiment pas à ce que Val se retrouve à la bibliothèque en même temps qu'elle, encore moins au plus creux possible de la place. Elle avait bien sur opter pour l'ignorance, mais lui ne lui laissait pas vraiment le choix de lui accorder un signe de vie. Déjà, elle le rendait dingue juste de sentir physiquement sa présence si près d'elle, elle avait clairement envie de lui, mais elle avait vraiment envie de pousser son bras pour le faire tomber, ou lui mettre un cou à quelque part. Enfin, elle ferme brusquement son brusquement. « On lit sur la diplomatie, chose que tu ne semble pas vraiment » Elle était sèche et vraiment, ça lui demandait une certaine force de pas flancher déjà, elle l'aimait encore, c'était claire, mais pour le moment la frustration prenait le dessus sur tout le reste. « Comme comprendre le message que quand quelqu'un ne répond pas aux appels incessants c'est peut-être parce que la dite personne n'a pas envie de parler, ou voir l'autre personne. » Ca se voulait clair, elle était clairement de mauvaise humeur, déjà c'était pas la pêche depuis la maladie, elle avait eu quelque résidu, mais c'était surtout le choc du mariage qu'elle n'avalait pas.  Il avait fait son choix non ? mais il était là coller à elle à la rendre dingue. Elle faisait tout pour éviter son regard, ça rendait la chose plus simple pour elle.

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Rosalia & Valentin

Il était clair qu'elle n'était pas heureuse de me voir. Je l'avais bien compris avant même de me rapprocher d'elle. Elle m'envoya royalement chié, mais je souriais toujours d'un air niais et taquin. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elle n'avait pas bouger d'un poil malgré toutes ces "belles" paroles. C'est pour ça que tu restes collée à moi ... Écoute je voulais juste savoir comment tu allais, savoir si tu t'étais remise de ta maladie, c'est tout ... Mon ton se voulait doux et sincère puisque j'avais vraiment été inquiet pour elle, même si je m'étais bien douté qu'elle ne voulait tout simplement pas me parler. Je restais donc collé derrière elle, commençant à jouer sur sa douce chevelure brune avec mes doigts de façon légère, histoire de lui donner le maximum de frissons, frôlant de temps en temps son cou que j'avais terriblement envie d'embrasser. Tu m'as manqué. Soufflais-je simplement au creux de son oreille.
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Valentin & Rosalia

Il la rendait complètement dingue, elle ne savait pas comment se dégager parce que son touché, sa présence lui avait tellement manqué, mais elle était tellement frustrée et triste et déçue à la fois qu'elle préférait ne pas bouger, mais ne pas en mettre non plus. Elle déciderait plus tard de ce qu'elle ferait, mais clairement Valentin avait remarqué son immobilité et sa la fille limite grogner. Il était doux et ça la dérangeait encore plus qu'il ait l'air aussi sincère. « Je bouge pas parce que je sais pas encore ce que je vais faire, c'est tout. Je vais bien Val, c'est partit je survis à cette maladie, t'es content maintenant, t'as eu de mes nouvelles, rentre donc chez toi. » Elle ne réussissait pas à lui dire d'aller rejoindre sa femme chez lui, parce que c'est vraiment ce qu'elle voudrait lui dire, mais ça lui restait au travers de la gorge comme un gros poids. Rosalia restait assez sèche, mais elle n'était pas aussi méchante, elle n'y arrivait pas à diriger toute cette hargne en vers lui constamment. Il jouait dans ses cheveux frolait son cou, elle frissonnait et elle ne pouvait même pas le cacher. Elle ne le regardait toujours pas, ça au moins elle pouvait encore le contrôler. Elle lui manquait vraiment, là, elle était pas trop heureuse, enfin oui, mais non. « et ta ... femme... elle ne pense quoi hein ? Pas certaine que t'es le droit de t'ennuyer de moi. » Le mot femme lui resta au travers de la gorge clairement elle l'avait encore sur le coeur et biensur il lui avait manqué aussi, elle avait envie de pouvoir lui parler simplement, le toucher, être avec lui, mais elle ne pouvait pas, elle ne pouvait plus, alors elle préféra ne pas lui dire, de toute façon, c'était assez évident.

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Elle avait beau me dire froidement de rentrer chez moi, j'en avais clairement pas envie, j'avais envie d'être avec elle, même si elle n'était pas légalement celle que j'aime, mais je la porte vraiment dans mon coeur, assez pour savoir que je voulais passer du temps avec elle, à la toucher, à lui parler, à la rendre folle, tout comme elle me rendait infidèle alors que je ne suis pas sensé l'être. Ce n'était pas moi en tout cas qui allait bouger ou qui allait rester simplement statique, non je ferais tout pour qu'elle arrête d'être en colère contre moi et que je puisse de nouveau kidnapper ses lèvres. Seulement elle avait réussi à me refroidir avec une simple phrase. J'aurais du m'y attendre mais c'était comme se recevoir un putain de gros poing dans la face sans s'y attendre. Ça pique, voire même faire mal. Ouais j'ai une femme et je les trompe toutes les deux, mais elle sait très bien que je suis incapable de choisir, je ne le peux pas. Je restais tout de même contre elle, même si j'avais arrêté un instant mes caresses sur sa nuque et dans ses cheveux pour lui répondre Non t'as raison, je ferais mieux de rentrer, la voir elle, au lieu de toi, alors que ça fait des semaines que j'ai pas pu te toucher et te sentir ... Malgré cette situation merdique, sache au moins que je t'aime Rosalia. Ce n'est sûrement pas la relation idéale, mais j'ai pas mieux à te proposer pour l'instant. Je finis par dégager de nouveau ses cheveux et lui déposer un tendre baisé dans le creux de son cou pour conclure Je te laisse tranquille. et me reculer pour me retourner et commencer à partir, parce que je ne voulais pas non plus la faire chier plus que je ne m'en donnais le droit.
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Rosalia ne savait plus quoi faire avec tout ça, il la rendait dingue, elle l'aimait, mais il était marié. Elle aurait pu continuer dans cette relation si seulement il avait té simplement en couple, ça aurait été plus facile pour Rosa, mais le mariage pour elle c'était énorme, c'était sacré même. Le sentir comme ça derrière elle, jouer dans ses cheveux, la rendait dingue, elle n'arrivait plus à penser, elle ne savait pas où ce mettre, quoi faire, alors autant ne pas bouger, c'était la seule réaction qu'elle était capable de fournir. Elle avait décidé de l'envoyer chier, vraiment, parce qu'elle se sentait idiote de vouloir qu'il reste, de vouloir passer du temps avec lui, qu'il continue de passer ses doigts dans ses cheveux et au final, ça tout de même porter fruit. Il lui dit qu'il l'aimait et c'est tout ce qu'elle retint dans son esprit. Elle le sentit arrêter de la toucher, elle était soulager et déçue à la fois, il partait et comme elle était si faible avec lui, elle poussa la chaise à coté d'elle pour qu'il puisse s'asseoir au moins à une certaine distance. « tu peux rester... » Elle ne savait pas ce qui lui prenait, elle se trouvait franchement conne de le laisser l'avoir ainsi, mais elle ne savait pas vraiment comment lui dire non. Elle finit par poser les yeux sur lui et ça lui fit manquer un battement de cœur, il lui avait vraiment manqué. « Je t'avais dis qu'on en reparlerait et bien, je te déteste pour ça, honnêtement, te marier bordel, marier, pas être en couple ça allait jusque là, j'aurais pu poireauté sur le coté un moment, mais te marier ?! » Rosalia ne parlait pas trop fort, elle était à la bibliothèque après tout, mais elle n'était clairement pas heureuse de ce qu'elle disait. Elle soupira. « Et puis j'arrive quand même pas à te sortir de ma tête... » rosalia préférerait être capable de se tenir loin d Val, mais voilà, elle n'y arrivait tout simplement pas, elle n'avait pas réussi à le laisser partir, ni à partir elle-même.

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La dernière de mes volonté c'était de la faire souffrir et j'étais bien conscient que c'était ce que j'étais en train de faire à les aimer toutes les deux et à les voir ainsi, surtout ma belle brune. Mais je n'avais pas d'autre solutions, je ne voyais pas ce qui pouvait m'arranger à moi autant qu'à elles, alors je mens. Je n'aime vraiment pas ça et je sais pas si j'arriverais à tenir encore bien longtemps, même si ça fait déjà presque quatre mois que j'y arrive. J'ai aussi peur de me perdre dans mes mensonges et finir par y croire moi-même. Mais au moins j'étais clair et sincère avec Rosalia et il fallait que je fasse un choix. Elle m'aidait à le faire en me repoussant ainsi, mais lorsqu'elle me fit savoir que je pouvais rester, je savais que j'étais de nouveau foutu. Je me suis arrêté et me suis retourné, l'écoutant continuer à me parler. Elle lâcha le poids qu'elle avait sur le coeur à propos de mon mariage et je ne pouvais que la comprendre. Je restais tout de même planté à quelques mètres d'elle comme un con, ne sachant pas quoi lui dire. Elle finit alors par rajouter qu'elle ne pouvait pas m'oublier, et un sourire en coin s'afficha sur mon visage, parce que j'étais bêtement content, alors que je ne le devrais pas, ça ne fait que compliqué la situation. Je finis alors par aller m'asseoir à côté d'elle, rapprochant ma chaise de la sienne, voyant bien qu'elle ne voulait pas que je me rapproche, mais je m'en fichais. J'attrapais alors les pieds de sa chaise et la fit glisser pour la rapprocher encore plus de moi, entre mes jambes et remontais mes mains pour attraper ses cuisses. Je suis vraiment désolé pour ce mariage débile, trop spontané, va falloir que je prenne une décision je le sais bien, surtout pour toi. Je ne veux pas que tu m'attendes indéfiniment, je veux ton bonheur, mais je n'arrive pas à te lâcher, ça se voit non ?! Dis-je dans un petit rire. J'ai juste envie d'être prêt de toi ... là maintenant ... Chuchotais-je avant de me relever légèrement pour atteindre ses lèvres et les embrasser, qu'elle me rejette ou non, tant pis j'en avais trop envie.
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Rosalia n'avait aucune envie de souffrir, logiquement, elle devrait partir, faire le choix pour Val, parce que c'était le seul qui lui restait à elle, elle ne pouvait pas se battre toute sa vie, elle ne pouvait pas attendre, elle ne pouvait être comme ça, ce n'était pas elle et ça la faisait souffrir. Mais voilà, quand elle vit Valentin partir, elle n'y arrivait pas, il y avait un pooids, comme si elle ne se souvenait même pas de la dernière fois où elle l'avait embrasser, elle se souvenait, mais pas vraiment, c'était comme un flou artistique, alors elle lui avait fais une place avec la chaise, qu'elle avait poussé assez loin pour conserver une distance, parce que ça la rendrait juste plus débile autrement. Val en décida autrement et elle se sentit tiré par avant et ça la fit soupirer, elle essayait de l'aider là, de lui rendre la vie plus simplement, mais non ? Ça ne lui disait pas ? une partie d'elle le trouvait idiot, une autre ce disait que de toute façon, c'était pas elle qui était marié. Rosalia était heureuse voir qu'il ne pouvait pas la lâcher, mais ça faisait balancer son coeur aussi dans une façon qui la blessait. Qu'il voulait être prête d'elle « je suis pas capable non plus Val, mais on peut pas, tu dis que tu sais pas quoi choisir, mais t'es marier... y a pa sgrand chose à faire et je peux pas t'att... » Elle avait prit son courage pour lui dire qu'elle ne pouvait pas attendre pour toujours et il l'interrompit en l'embrassant. Elle le laissa faire un moment avant de le repousser doucement sur sa chaise, mais elle s'approcha de lui et le regarda un moment. « c'est la dernière fois... » Elle faisait le choix, elle savait qu'elle allait le regretter, mais voilà, y en avait marre et cette pauvre fille allait avoir le coeur plus que brisé si non. Elle s'assit doucement sur Val et l'embrassa, doucement, mais longtemps, ça lui faisait du bien, vraiment, c'était dommage de se dire qu'elle avait décidé que c'était la dernière fois, mais Rosalia avait décidé de prendre les choses en main un peu.  

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Rosalia & Valentin

Je n'avais pas réussi à attendre la fin de sa phrase, surtout que je savais ce qu'elle allait dire, je venais de le dire. Je ne voulais pas qu'elle m'attende et elle non plus. Mais à côté de ça, je ne pouvais pas me passer d'elle et rien que de la voir avec un autre ça me rendrait fou je crois bien. Alors je joue mon égoïste le plus longtemps possible. Mais apparemment ça serait la dernière fois. Ça me serrait le cœur bien violemment, mais c'était ce qu'il fallait, on ne pouvait plus continuer comme ça, et elle semblait bien déterminer à choisir cette option là, nous laisser tomber. C'est moi qui avait merdé et c'est elle qui en payait les frais. Ce n'était pas juste. Mais je ne répondais rien, je l'accueillais sur moi en la serrant contre moi, en attrapant son visage alors qu'elle m'embrassait pour finalement la caresser doucement et amoureusement. Seulement, à m'embrasser comme ça, avec le silence de plomb et la tranquillité inquiétante de la bibliothèque, j'avais terriblement envie d'elle. Surtout que c'était sûrement la dernière fois. J'attrapais donc ses jambes, sans lâcher ses douces lèvres et la fit s'asseoir sur la table pour me caler entre ses jambes et me coller de nouveau à elle pour l'embrasser bien plus intensément et passionnément. Il était clair que j'avais envie d'elle, mais je ne savais pas si c'était vraiment ce qu'elle voulait. Surtout ici.
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