(seeley) S.O.S mon seul ami

William s'ennuyait à mourir. Ses parents étaient repartit dans leur maison, qui était celle d'à côté. Avec le salaire de William, il en avait assez pour payer leur maison et tout ce dont ils avaient besoin. Leur maison était beaucoup plus petite que celle à Will. La maison à William était gigantesque. 4 portes de garages, 7 chambres, 5 salles de bain, trois salons, une énorme cuisine, un cinéma maison dans le sous-sol, un grand terrain arrière avec une piscine creusé et un gazebo avec lampes chauffantes. Bref, pour faire court, c'était carrément un manoir. Il se payait le luxe, alors qu'il y vivait seul avec son fils. Il avait peu d'amis, donc il invitait rarement des gens chez lui, alors le tout était assez inutile, mais rapportait à William un sentiment de fierté tout de même.

Le médecin sortit son portable et envoya un texto à son seul ami avec qui il était assez confortable. « SOS je m'ennuie! Billard ou jeux videos chez moi ça te dit? » Il envoya par la suite son adresse pour que Seeley se retrouve. Ce serait la première fois que son ami, un étudiant, débarque chez lui. C'était étrange, mais en même temps, William trouvait cela normal. Il alla vérifier s'il avait de la bonne bière dans le frigo, avant de monter à l'étage pour prendre le petit Maxim qui dormait tranquillement. Il n'était que 20h, mais son fils avait joué toute la soirée déjà. William prit son fils doucement afin de l'emmener au sous-sol où il y avait un autre lit pour le petit. Il regarda sa collection de jeux videos et de consoles de jeux. Il les avait presque tous, sur une étagère. Pleins de jeux classés en ordre alphabétique même. Il choisit deux jeux les plus innocents mais toujours amusants: Mario Kart et Super Smash Bros. Will jeta un coup d'oeil à sa table de billard qui était un peu plus loin dans son énorme sous-sol, puis entendit quelqu'un sonner à la porte. Il regarda l'heure. Seeley ne perdait pas son temps en tout cas! Il ouvrit le moniteur pour enfant puis monta ouvrir la porte pour son ami. « Bonsoir, entre je t'en pris, fait comme chez toi! » C'était étrange, il n'a jamais eut d'amis auparavant, et maintenant il en avait un, et c'était un étudiant en plus. William ne portait plus son masque de froideur, pas avec Seeley. « T'as pas eut trop de misère à trouver la maison? » demanda-t-il en l'invitant vers la cuisine. « Bière? » proposa-t-il en ouvrant le frigo pour lui tendre une bouteille de bière froide.

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William ✖ Seeley

Ma rencontre avec William était l’une des plus intrigantes que j’avais eues au cours de ma vie, en même temps se faire attraper le col par un professeur qui m’ordonne de garder son petit pendant qu’il déguerpit, je suis bien heureux que cela ne m’arrive pas tous les jours. Mais contrairement à ce qu’on pourrait penser, je ne m’étais pas laissé démonter ce jour-là, je n’avais pas abandonné l’enfant puisque ce n’était pas dans ma nature, non jamais je ne pourrais laisser quelqu’un de seul, mais lorsque le brun avait fait son apparition, je lui avais balancé ces quatre vérités, et au final le courant était bien passé, allez savoir pourquoi désormais nous étions semblables à des meilleurs amis, la vie est parfois bien étrange. Je venais à peine de rentrer de la caserne lorsque mon portable s’était mis à vibrer dans ma poche, un sourire aux lèvres je lisais le message de mon ami qui semblait désespéré. « Okay, j’arrive à la rescousse. » J’écrivais rapidement et envoyais mon message en me disant que je n’étais jamais allé chez lui, depuis le début de notre amitié, c’était l’occasion, à moins qu’il désirait qu’on se voie ailleurs. Je recevais alors la réponse pendant que j’enfilais d’autres fringues et prenais ma voiture qui était garée en bas du bâtiment. Je roulais alors à allure douce, j’étais plutôt tranquille au volant même si j’appréciais la vitesse, pour sûr. Une fois l'adresse trouvée, je m’arrêtais un moment devant le portail ouvert. Une villa… Il habitait vraiment là ? Tout cela semblait irréel alors je fixais le SMS qu’il m’avait envoyé quelques minutes auparavant, visiblement il n’y avait pas d’erreur. Je rentrais et me garais puis allais taper à la porte, et c’est sans surprise, ou presque que William m’ouvra quelques secondes après. J’entrais alors en lui serrant la main et balayais du regard la pièce dans laquelle je venais de m’introduire. Je me mettais alors à rire en entendant sa réflexion. « Comment tu veux ne pas trouver, c’est si… énorme ! » Je ressemblais à un gosse devant une montagne de jouets, il faut dire que c’était la première fois pour moi que je rentrais dans un endroit luxueux, ma famille étant pauvre, ce n’était pas le genre de maison que l’on fréquentait. « Merci. » Disais-je en acquiesçant de la tête, attrapant la bière, j’étais encore subjugué par son habitation. Je décapsulais alors ma boisson et lui lançais « Bah dis donc, sacrée baraque, t’as fait fort. »

(Invité)