DUNRA ► pour l'amour du risque.

Oui oui je venais de péter un câble, mais dieu que ça faisait un bien fou d'hurler tout ce que tu as dans le coeur. Je n'avais pas pu m'empêcher de le serrer dans mes bras à mon tour, car il était tellement évident qu'il m'aurait manqué que j'aurais fait une grande dépression. Alors, j'avais simplement choisi de ne pas lutter et l'avais prise dans mes bras. D'ailleurs je fus assez surprise lorsqu'il avoua penser venir me chercher arquant même un sourcil, Duncan au Portugal ? Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais un peu de mal à prendre cette phrase au sérieux. En guise de réponse, je lui esquissais un large sourire, me reculant et passant devant lui pour marcher à l'envers prenant plaisir à lui parler de mon prétendant. Il était jaloux vraiment ?. « Non mais arrête avec cette vision d'horreur que t'as de lui !. » Je grimaçais même en pensant une seconde qu'il était comme l'avait décrit Duncan et puis j'hochais la tête gauche, droite comme pour chasser cette vision de ma tête. « Et tu dis n'importe quoi, ton prénom ? Je le ferais taire au fond de ma gorge oui !. » car crier le prénom de celui que j'aimais, mais qui se montrait lent à bouger son cul était surement la dernière chose que j'avais envie de faire. Je n'avais rien vu venir, mais un jeune homme déposa un papier dans ma main avant de disparaître de nos champs de visions. Apparemment c'était son numéro de téléphone que je prenais un malin plaisir à jouer avec, lorsque Duncan me l'arracha des doigts pour le déchirer en mille morceaux, pauvre petit papier. « Han mais t'es fou ! Il t'a rien fait ce pauvre papier... Pourquoi l'as-tu martyrisé de la sorte !. » Jaloux, tout simplement parce qu'il était jaloux que je puisse prendre plaisir avec cet homme, pour moi, de plus en plus ça devenait une évidence. Lorsqu'à son tour il marcha à l'envers me demandant ce qu'il ferait, me laisser, ou rester avec moi. Après Cosette, c'était Hermione Granger, un petit sourire machiavélique fleurissait sur mes lèvres. « J'ai droit à tous les surnoms avec toi ! Mais fait ce que tu veux, je ne vais pas t'obliger à rester avec une Hermione en position de te transformer en crapaud !. » Vive Harry Potter et vive la magie. Soudainement, Duncan se coltina un cycliste dans le dos, tous les deux tombèrent au sol et bien vite le cycliste sortis des propos injurieux, ce qui rendit rouge de colère le mather sur le point de lui envoyer une. Sauf que moi j'aperçus au loin les policiers faire leurs rondes, d'ailleurs le bruit les attiraient, mais avant qu'ils ne découvrent quoi que ce soit, je m'étais interposée entre les deux garçons empêchant ainsi Duncan de faire un geste de plus, me tournant vers le cycliste d'abord. « Quand on percute quelqu'un on s'excuse ensuite, alors tu ferais mieux de déguerpir d'ici avant que je ne te balance aux policiers la-bas !. » Disais-je en montrant du doigt pour que le mather s'en rende compte, car il aurait eu de sérieux problème. Le cycliste partie, je me tournais cette fois-ci face à Duncan, lui attrapant la main. « Quant à toi ! Tu devrais apprendre à canaliser ta colère !. » Ni plus, ni moins, je l'entraînais avec moi et où ? Je n'avais aucune idée, mais surement loin des policiers... Et puis me vint une idée, oui, pourquoi ne l'avais-je pas pensé plus tôt. Chez moi et en plus j'avais quelques affaires à prendre pour squatter chez ma meilleure amie. Nous avons donc emprunté le chemin de ma maison et une fois à destination, je le laissais s'installer sur un fauteuil lui donnant l'appareil de la télé. « J'ai quelques affaires à prendre pour squatter chez ma meilleure amie, mais avant, j'ai besoin d'une bonne douche... Je t'en prie fait comme chez toi... » Disais-je en déposant mes clés de maison et mon sac. « Ah oui, tu crois que j'avais oublié ?, Tu m'as donné une vision d'horreur de mon futur prétendant et t'as complètement ruiné mes chances de m'envoyer en l'air avec ce beau garçon...alors... » Je m'approchais de lui, m'asseyant carrément à cheval sur ses cuisses tout en me pinçant la lèvre inférieure avant d'enlever mon haut, ramenant légèrement mes cheveux de côté afin de me pencher sur lui en soutif. « C'est avec toi que je le ferais !. » Disais-je en passant mes mains sous sa chemise, remontent sensuellement vers son torse, mon visage près du sien, mes lèvres à quelques centimètres, mon souffle s'échouant sur ses lèvres et puis contre toute attente, mes petits doigts le pincèrent au torse. Ma petite revanche pour avoir déchiré le papier. Je me relevais attrapant mon haut. « Si t'avais pas déchiré ce papier, c'est à ce beau mec que j'aurais donné toute mon attention... Je vais prendre ma douche et ramasser quelques affaires alors si tu veux quelque chose à boire n'hésite pas à fouiller dans le frigo... » Esquissais-je un sourire avant de me rendre dans ma chambre me dévêtir du reste de mes vêtements et filant sous la douche.

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Oh j'allais lui en mettre une à ce mec, mais rapidement Tamara vint se mettre entre nous, je rigolais quand elle remit le gars à sa place, puis elle me fit savoir que je devais apprendre à calmer mes nerfs, ce à quoi je lui répondais de nouveau énervé. Ouais bah il n'avait pas qu'à me chercher ce connard .. Il n'a pas intérêt à revenir ou je lui en colle une bonne dans la gueule, rien à foutre des flics. Disais-je énervé plus que jamais en dévisageant le cycliste en train de partir, ça m'agaçait à mort. Les flics s'approchaient de nous, mais Tamara commença à marcher m'entraînant avec elle jusque sa maison. J'étais toujours sur les nerfs sur le trajet de la route, mais petit à petit j'arrivais à me calmer. Une fois chez elle je m'installais tranquillement sur son canapé quand elle m'expliqua qu'elle avait besoin d'une bonne douche et sans que je ne comprenne rien à ma vie, elle arriva vers moi en me disant que j'ai foutu sa partie de jambe en l'air par la fenêtre tout en se mettant à cheval sur moi .. Et là je suis clairement dans la merde, encore plus quand elle retira son t-shirt pour me dire qu'elle va le faire avec moi. Ok, j'ai mon mot à dire ou pas ? J'évitais de loucher sur son soutif mais durant quelques petites secondes mes yeux ont dérivé, finalement je tournais doucement ma tête, je peux vraiment pas faire ça, pas à Lily .. Tam .. Je .. Tu devrais .. J'en perdais mes mots, jusqu'à ce qu'elle passe sa main sur mon torse pour me pincer et un cri roque sorti de ma bouche. Aïe mon téton putain ! Mais t'es une grande malade sérieux .. C'est pas à l'aéroport que j'aurais dû t'amener, mais à l'asile ma pauvre vieille. Disais-je en me caressant le téton, non mais elle m'a carrément fait mal cette folle. Puis j'eus un rire nerveux, elle est folle c'est clair mais je l'adore vraiment cette blonde, elle se retira ensuite de mes genoux pour partir se laver, m'expliquant que je pouvais me servir dans son frigo. Pour la peine je vais vider ton frigo et t'as intérêt à bouger ton cul rapidement, sinon je me tire. Lui disais-je en m'avançant vers son frigo alors qu'elle partie probablement sous la douche, une fois la tête dans son frigo je prenais la totale, du saucisson, une bière, du pain, bref carrément la totale avant de me rasseoir sur son canapé en allumant la télé. Au bout de quelques minutes une envie sévère de pisser me pris. Je mettais tout ce que j'avais pris sur la petite table devant moi en cherchant les toilettes mais impossible de trouver, j'approchais doucement du milieu de la maison pour hurler comme un malade. Tam' elles sont où tes chiottes ? Mais impossible d'entendre sa réponse, tant pis je vais chercher par moi-même. J'ouvrais une porte et je tombais dans sa chambre, je souriais en sautant sur son lit, tombant sur son fameux journal intime .. Dois-je faire mon petit con et le lire ? Hum tentant, mais je vais seulement lui faire croire que je l'ai fait, je l'ouvrais en plein milieu du livre avant de le placer sur son lit sans le fermer pour lui faire croire que je l'ai lu. Bref j'ai vraiment envie de pisser .. Une nouvelle porte, j'espère que cette fois-ci c'est la bonne, je l'ouvrais et je tombais ni plus ni moins dans la salle de bain .. Tamara n'était pas encore à l'intérieur mais complètement nue devant moi et merde .. J'ouvrais grand les yeux gênés de me trouver devant elle dans la tenue d'Eve. Merde .. Excuse-moi je voulais pas .. Je cherchais juste les toilettes. Et je devrais me retourner ouais .. Car bon je vais quand même arrêter de la mater, une fois retourné j'essayais d'ouvrir la porter qui s'était refermé derrière moi et vous savez quoi ? En attrapant trop fort la poignée de porte elle me resta dans les mains, on était carrément bloqué tous les deux dans sa salle de bain .. Tamara complètement nue. C'est pas ma journée ..

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J'avais pris soin d'entrainer le jeune homme jusqu'à ma maison pour éviter les ennuis vous voyez, car une fois que Duncan était lancé rien ne pouvait l'arrêter alors autant déguerpir d'ici avant qu'il ne balance à tort et à travers des injures aux policiers. Lorsqu'il s'installa sur mon fauteuil, je pris peine de régler disons mes comptes en me vengeant, d'abord l'approcher d'une manière provocatrice pour qu'il ne puisse se douter de rien, ensuite attaquer. D'ailleurs, qu'il perde autant ses mots me fit rire, car cela prouvait que je ne lui laissais pas si indifférente, surtout lorsque ses yeux se posèrent quelques secondes sur mon soutif. Une fois ma vengeance accomplit en parfaite folle alliée, je me levais, quand il grogna à son tour pour montrer son mécontentement. En guise de réponse je lui tirais la langue, posant un doigt sous mon oeil et ouvrant grand les yeux tout en marchant vers ma chambre. À l'intérieur, je pris soins de faire sortir mes valises et les posés dans un coin que je récupérerais tout à l'heure en partant, je me dévêtis du reste de mes vêtements donc les jetant sur mon lit avant de filer à la douche. Je m'apprêtais à entrer sous la douche lorsque soudainement la porte s'ouvrit, je me retournais immédiatement et mon regard tomba nez à nez avec celui du mather. Tellement sous le choc, que pendant un instant je n'arrivais plus à bouger, complètement immobile. Mon visage se coloriait bientôt d'un rouge tomate, mon coeur cognait ma poitrine le sentant prèsqu'au bord de mes lèvres. « Retourne toi !!!! » Criais-je aussi fort que le son de ma voix me le permettait. Bravo Tamara, en plus de ça tu n'as même pas prévu de serviette, comment tu vas faire maintenant pour te couvrir hein ?. Je grimaçais cachant de mes mains mes parties intimes ne sachant pas quoi faire, j'arrivais même plus à réfléchir. « Bon sang qu'est-ce que tu fous là !. » Oui je l'avais peut-être laissé voir mon soutif tout à l'heure, mais je ne l'avais pas permis de voir mon corps en tenue d'Eve. « Et c'est malin maintenant t'as bousillé le poignet de la porte ! Comment va-t-on sortir de là ?!. » J'aurais très bien pu me cacher derrière le rideau de douche, mais merde quoi, il était transparent avec de petites fleurs de couleurs imprimées dessus, ça m'apprendra d'ailleurs. Je m'approchais du jeune homme qui était de dos, tentent d'inspecter la porte, je ne voyais rien alors je me collais à son dos, ma poitrine s'y pressait de plus en plus et les battements de mon cœur s'accéléraient. Lorsque je pus enfin voir l'état de la porte, je reculais rapidement, tellement que mon pied droit se pris le bord de l'entrée de la douche et perdant l'équilibre je tombais à l'intérieur atterrissant sur mes fesses me prenant un petit coup aussi sur la tête. « Aieyayayay !. » Je caressais ma tête à travers mes cheveux me redressant rapidement lorsque je remarquais à nouveau le regard du jeune homme sur moi, je grimaçais de nouveau avant d'attraper le jet d'eau de l'ouvrir et de l'arroser avec. « Je t'ai dit de ne pas regarder t'es sourd !!!!!. » Ben voilà, il était tout mouillé et je l'étais aussi, bien fait pour lui, moi je comptais prendre ma douche de toute façon.

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Cette fille est définitivement folle .. Voilà qu'elle s'amuse à m'arroser avec son jet de douche .. Bref en plus d'être enfermé avec elle complètement nue, me voilà trempé par sa faute. Je soupirais en me retournant, retirant mon pull totalement mouillé par sa faute, heureusement mon t-shirt était plus ou moins sec. Oui bah c'est bon j'ai compris arrête un peu de gueuler bordel, tu vas me niquer les tympans à force. Disais-je en évitant de me retourner. Je me grattais la tête en cherchant un moyen de sortir d'ici, mais que faire ? J'en avais aucune idée, mon côté bourrin voudrait que je pète la porte à coup de pied, mais si je n'y arrive pas, j'aurais tout simplement l'air d'un con, alors que mon côté plus posé eut une bien meilleure idée pour nous sortir de ce pétrin. Attends j'ai une idée pour nous sortir de là .. Je suppose qu'on peut ouvrir seulement de l''autre côté ? Lui disais-je en me tournant machinalement, reposant mes yeux sur sa poitrine, je grognais sachant très bien que je devais arrêter de me tourner car la miss était nue comme un ver. Je grimaçais légèrement en sortant mon portable de ma poche, heureusement il n'avait pas pris l'eau. Bon maintenant qui pourrait nous sortir d'ici ? Pas Lily car elle prendrait mal le fait que je sois enfermé complètement mouillé dans une salle de bain avec une autre femme .. Mon pote Jackson ? Non il se foutrait de ma gueule .. Ma meilleure amie Maëlys ? Idem .. Je composais alors le numéro de la pizzeria où je mange habituellement. Allô .. Ce serait pour prendre une commande s'il vous plaît. Deux pizzas quatre fromages, une bière et un red bull au citron vert .. Dans combien de temps aurons nous notre livraison ? Une demi-heure ?! Bon d'accord et surtout ne frappez pas, vous n'avais qu'à entrer directement et venir déposer la commande dans la salle de bain .. Oui oui la salle de bain .. Merci à tout à l'heure. Oui j'ai pris une vraie commande, pas ma faute j'avais réellement faim. D'ailleurs je n'ai pas oublié la boisson que Tamara appréciait tout particulièrement, un red bull au citron vert. Bon le seul problème c'est qu'on allait passer encore une bonne demi-heure ensemble dans cette pièce .. Je n'allais quand même pas rester tout le temps retourner, j'en ai marre de fixer la porte. On vient nous ouvrir dans une demi-heure .. Tiens tu n'as qu'à prendre ça pour cacher tes nibards. Disais-je en retirant doucement mon t-shirt pour lui tendre en restant dos à la porte le temps qu'elle se vêtit. Ouais je me trouvais torse nu, mais je n'étais pas pudique et je pourrais enfin me retourner, je n'aurais qu'à éviter de regarder sa petite fleur. Et quelle idée de ne pas fermer la porte de sa salle de bain à double tour franchement ? Ralais-je dans ma fausse barbe le temps qu'elle s'habille avec mon t-shirt. C'était vraiment du grand n'importe quoi cette journée, mais le pire dans l'histoire ? C'est que j'adorais sincèrement passer du temps avec la petite blonde, je rigolais bien avec elle, je me marrais et je n'avais pas une seconde pour m'emmerder, non franchement je suis bien content qu'elle n'est pas prise ce foutu avion, je sais pas ce que j'aurais fait sans quoi.

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Complètement folle et je l'assumais, si on m'avait dit un jour que j'allais me retrouver dans ce genre de situation aussi gênante, je crois que j'aurais rigolé et même que j'aurais défié le destin pour empêcher cela d'arriver. De plus, ce n'était pas devant quelqu'un pour qui je ne ressentais rien, au contraire. C'est dans un moment pareil que j'avais envie de me faire toute petite et inexistante. Et comme-ci cela ne suffisait pas, j'avais fait une petite glissade arrosant d'eau le mather par la suite. Il l'avait cherché, mais malheureusement pour moi, il n'était pas complètement mouillé, puisqu'il enleva son pull afin de rester en tee-shirt. Il eut soudainement une petite idée et j'étais curieuse de voir ce qu'il préparait. Il attrapa son tel et appela une pizzeria. Je fronçais les sourcils en l'écoutant parler, mais à vrai dire je ne pus retenir un rire s'évaporer dans les airs. Et il osait dire que j'étais folle et lui alors ?. Franchement, je suis vraiment la seule à voir que nous aurions formé un duo de couple parfaitement fous ?. Je chassais cette idée de ma tête ne voulant plus y penser de toute façon, car j'avais moi aussi le droit d'être heureuse dans les bras de quelqu'un. « Premièrement, arrête de mater ma poitrine, secondo, c'est ça ton idée ? Te faire livrer une pizza dans la salle bain ? Ce n'était pas plus simple d'appeler un pote ou même ta sœur ?! » Vraiment il n'y avait pas moyen de garder son sérieux avec lui. Je cachais toujours mes parties intimes à l'aide de mes mains lorsqu'il enleva son tee-shirt afin de pouvoir le porter. Chose que je fis sans plus attendre le remerciant. Son tee-shirt était imprégné de son odeur, je fermais les yeux afin de m'enivrer de cette odeur qui allait bientôt se propager sur mon corps tel un petit virus. Son tee-shirt m'arrivait juste à la fin de mes fesses. « Tu peux te retourner... » Murmurais-je d'une voix tremblante, alors que je tirais timidement les deux côtés du bas de la chemise pour l'allonger et cacher d'avantager mes bagages corporelles. La tête tournée légèrement sur le côté, les joues tomaté, je me pinçais délicatement la lèvre n'osant pas croiser son regard continuant juste de tirer le deux bouts de tissus. « C'est ma chambre, personne n'est généralement autorisé à entrer, alors je ne vois pas pourquoi je fermerais à clé, en plus si t'avais bien regardé, tu aurais vu la salle de bain principal au bout du couloir... » P'tain faut que t'arrêtes de paniquer là, ressaisit toi, respire, respire, ce n'était pas la première fois qu'un garçon te voyait en tenue d'Eve, franchement Noa en a même posé ses mains, alors pourquoi je me mettais dans cet état ?. « Dans une demi-heure tu dis ? J'espère qu'il arrivera avant ce livreur... » Lâche ce pauvre tee-shirt maintenant Tam ! Gnéee je ne pouvais définitivement pas, qu'il soit autant court me gênait sans compter la chaleur qui m'envahissait petit à petit à l'image sous mes yeux de son torse complètement nu et de ses tablettes de chocolats délicieusement sculptés. Fallait que je pense à autre chose et viteee. « Oh et je vois que tu t'es souvenu de ma boisson préférée ? Cela me surprend un petit peu... » Cette fois-ci j'osais croiser son regard, que quelques secondes seulement et souriante, mais rien à faire contre cette chaleur affreuse, j'avais l'impression que mon corps était en feu, je voulais tout simplement m'attacher les cheveux, mais en levant les bras la chemise remontait, je les rabaissais immédiatement m'approchant de lui et lui tendis la petite barrette que j'avais autour du poignet, je me retournais ensuite lui donnant dos. « Tu peux me les attacher s'il te plait ? Je commence vraiment à avoir chaud... » Pendant ce temps, je tirais davantage les deux bouts du tee-shirt à nouveau, humectant mes lèvres.

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Mais je ne regarde pas tes nibards bordel ! C'est toi qui les agites devant mon nez, j'y suis pour rien si tu es exhibitionniste. Et oui c'est ça mon idée .. J'ai faim de toute façon. Disais-je en râlant. Bon j'étais peut-être de mauvaise foi pour le coup, mais je commençais à en avoir marre qu'elle me gueule dessus, je suis pas son chien bordel. Et en plus elle me fit savoir que j'aurais pu appeler un ami ou encore même ma soeur. Demander à Lily de me sortir de cette galère ? Hors de question, elle allait se poser des questions et croire que je vais voir ailleurs. J'ai déjà bien déconné l'autre jour quand elle est venue me voir quand j'étais en quarantaine avec ma crise de jalousie, elle n'allait certainement pas manqué l'occasion d'en faire autant. La plupart de mes potes se seraient foutu de ma gueule et quant à ma soeur .. Je préfère qu'elle reste en dehors de ça. Lui disais-je sans lui avouer que ma soeur était celle qui capturait mon coeur, Tamara n'est clairement pas prête à entendre cela de ma bouche et d'ailleurs je ne savais même pas si elle connaissait Lily .. Bref elle me fit une nouvelle crise lorsqu'elle attrapa mon t-shirt pour l'enfiler, me disant que sa chambre était un endroit privé et blablabla. En parlant de sa chambre, cela me fit repenser à son journal intime que j'avais trouvé sans pour autant le prendre. Elle me tendait alors une perche pour que je puisse la taquiner une nouvelle fois en attendant que le livreur arrive. Ahh ta fameuse chambre .. D'ailleurs pas terrible la cachette pour ton journal intime, en plein sur ton lit, n'importe qui avec de mauvaises intentions pourrait s'en servir contre toi .. Lui disais-je en me retournant une fois mon haut enfilé sur son corps. J'agitais bêtement mes sourcils pour appuyer mes propos et lui faire comprendre que cet homme utilisant son journal contre elle, n'était autre que moi. Bien que je n'avais clairement lu aucune page. Mais j'étais parti dans mon élan et j'allais continuer à la charrier un peu, je faisais alors des gestes efféminés avec mes mains et prenant une fois stridente pour imiter faussement la sienne dans l'unique but de l'énerver et me moquer gentiment de ma Tamara. Cher journal, aujourd'hui j'ai été enfermé dans ma salle de bain avec ce diable de Duncan, matant son corps d'apollon et mourant d'envie de manger ses tablettes de chocolat. J'étais d'ailleurs nue devant lui, je faisais exprès d'agiter mes nénés devant son nez mais visiblement je ne faisais aucun effet au jeune homme, plutôt concentré à faire le con en m'imitant avec une voix plus que douteuse .. Terminais-je en me marrant. C'est ensuite qu'elle me fit part de sa surprise concernant le fait que je n'ai as oublié sa boisson favorite depuis l'autre jour lors de notre escapade au bar près de la bibliothèque. Pourquoi est-ce que j'aurais oublié ? Je t'écoute quand tu me parles, je suis peut-être un petit con, mais c'est pas pour autant que je ne m'intéresse pas aux gens qui le méritent. Lui disais-je totalement calmement et sincèrement. Oui je m'intéresse à sa vie, à ce qu'elle me dit et cela m'arrive que très rarement, si ce n'est avec Lily ou avec Maëlys. Puis elle me demanda de l'aide pour attacher ses cheveux avec sa barrette. Sans plus attendre je l'attrapais, passant doucement mes mains dans ses cheveux puis dans sa nuque pour l'aider à les accrocher. Et voilà .. Tam .. Je suis désolé pour la porte, vraiment. De toute façon quoi que je fasse je déconne, à croire que je suis vraiment un gland comme mec. Lançais-je en soupirant, lâchant doucement ses cheveux avant de m'asseoir dans le coin de la salle de bain. J'en ai marre de foirer tout ce que je fais, tout ce que j'entreprends, j'ai l'impression d'être un bon à rien et ça m'agaçait. C'est ensuite qu'un bruit se fit entendre dans la maison de Tamara, vache il a fait vite le livreur pour arriver Et voilà tu vas bientôt être libéré .. Promis à partir de maintenant je te laisse tranquille. Ouais c'est peut-être le mieux à faire, je voyais bien que ça l'emmerdait cette situation et tout était de ma faute.

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« Mais tu dis n'importe quoi là ! C'est toi qui n'arrête pas de mater et t'as même pas le cran de le reconnaître ! et être nue pour avoir voulu prendre un bain n'a rien d'une exhibition alors ferme là ! » En clair je lui demandais de la fermer toute suite, car lui aussi commençais vraiment à m'énerver, tout retombait toujours sur moi bon sang, il n'avait rien dans le pantalon ou quoi ?. Je l'écoutais ensuite parler sans broncher, lorsqu'il arriva là où il ne fallait pas arriver, mon journal intime !. « Bon déjà c'est bien que tu reconnaisses savoir faire le con ! Ensuite, t'as pas osé hein ?... » Murmurais-je d'une voix tremblante, tout sauf toucher ou lire mon journal intime, car je pourrais même en devenir vraiment méconnaissable. Il bluffait, je suis certaine qu'il bluffait, j'en aurais de toute façon le cœur nette une fois sortie de cette salle de bain, je ne devais pour l'instant en aucun cas le laisser m'atteindre, alors je repris mon sourire là où je l'avais laissé. « Et toi ? Tu mérites qu'on t'écoute ?. » Disais-je assez curieuse et le connaissant, il allait encore se minimiser et me faire sortir le speech du vilain petit canard. Quoi qu'il en soit, en ce moment j'avais chaud, alors je lui demandais un peu d'aide pour attacher mes cheveux et chose qu'il fit étonnement bien, mais lorsque ses doigts touchèrent ma nuque, mon corps avait soudainement été électrisé, c'est fou comme un rien de sa part arrivait à rendre mon corps totalement à sa merci. Je le remerciais tout en le regardant s'asseoir dans le coin de la salle de bain et se plaindre à nouveau. Un bruit se fit entendre, surement le livreur, je pensais pas qu'il allait aussi vite arriver. En attendant qu'il trouve la bonne salle de bain, je m'asseyais à sa hauteur entre ses jambes, mon dos collé à son torse et je ramenais ses bras pour m'entourer les épaules. « Reste avec moi un petit peu encore tu veux, ensuite, moi aussi je te laisserais tranquille même si je n'ai aucune envie que tu me laisses tranquille... » J'entrelaçais mes doigts aux siennes aussi fort que je le pouvais... « Arrête de te faire passer pour le vilain petit canard, t'es tout sauf ça, alors fait toi un peu plus confiance, tu ne foires rien Duncan, ce sont juste les circonstances, personne n'est parfait après tout même pas moi, ni même Barack Obama... Je suis heureuse de t'avoir rencontré malgré tout ce qui pourra se passer ne l'oublie pas... et si un jour...si par malheur je t'oublias de nouveau, promets-moi de te toujours te rappeler de mes mots au cas où moi je ne puisse plus le faire... Je ne cesserais jamais de te le répéter, tu es con, mais un con au grand cœur qui mérite d'être aimé et fréquenté et si mon amour était partagé, je n'aurais guerre hésité à crier au monde entier que je suis amoureuse d'un mec comme toi. » J'étais tellement bien dans ses bras que j'aurais voulu que la salle de bain soit invisible pour ne pas que le livreur de pizza nous trouve.

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Je ne disais plus rien concernant son journal intime, je voulais seulement l'embêter un peu, mais évidemment je ne l'avais pas lu. Je sais pas trop .. C'est à toi de me le dire. Disais-je avec un sourire aux lèvres quand elle me demanda si je méritais qu'on m'écoute. Je m'étais ensuite installé contre le mur de sa salle de bain une fois ses cheveux attachés et elle vint me rejoindre, s'installant sur moi et prenant mes mains pour les serrer forts contre les siennes. Elle m'avoua alors ce qu'elle avait sur le cœur, des mots qui me touchaient. Je te promets que si un jour tu venais à m'oublier, je ferais tout ce que je peux pour que tu te souviennes de moi. Je te l'ai déjà dit, je m'attache rarement aux gens, mais toi .. T'imagine pas à quel point je tiens à toi. Je déconne par moments j'en suis conscient, mais j'ai pas l'habitude de ce genre de truc, qu'on s'attache à moi et qu'on m'aime .. Mais dans tous les cas je te promets de ne jamais t'abandonner, quitte à te taper sur les nerfs de temps en temps. Disais-je en collant mon visage contre sa chevelure, déposant même un baiser sur le haut de sa tête. Dès que tu as besoin de moi, tu m'appelles, tu m'envoies un SMS et j'arrive, pour quoi que ce soit. Et tu peux me croire, ça je le fais pour très peu de personnes. Pour elle, pour Lily et pour Maëlys, elles sont les seules pour qui je suis capable de faire des folies, pour qui je suis prêt à me battre s'il le faut. J'entendais ensuite la porte s'ouvrir petit à petit, je me poussais alors doucement en la relevant avec moi pour la remettre debout. Cependant j'avais envie de changer un peu cette atmosphère légèrement tendue en faisant ce que je sais faire de mieux, faire le con. J'approchais alors mes lèvres au creux de son oreille pour lui murmurer. Enfaîte t'avais raison .. Je te matais. Disais-je ensuite en me marrant, bah ouais mater ce n'est pas tromper. Le livreur terminait par ouvrir la porte et nous regardait bizarrement, ce n'est pas tous les jours qu'il doit livrer une pizza dans une salle de bain avec un mec torse nu et une fille vêtue d'un simple t-shirt. Bonjour .. Euh .. Ça fera 85 dollars .. Disait-il alors que je sortais mon porte-feuille pour sortir l'argent nécessaire. Mais alors que je tendais l'argent vers lui, cet guignol matait ni plus ni moins que mon amie. J'arquais un sourcil avant de claquer des doigts sous son nez comme pour le réveiller de ses rêves et fantasmes dégueulasses. T'as un problème ? Regarde ailleurs .. Tiens. Disais-je en lui donnant l'argent et en arrachant les pizzas de ses mains de manière nonchalante. Je me reculais doucement pour revenir vers Tamara et lui tendre les pizzas, mais au même moment le livreur commença à repartir, laissant la porte se refermer toute seule. Putain la porte abruti ! Hurlais-je sur lui avant de m'avancer rapidement pour éviter qu'elle se referme et qu'on reste de nouveau bloqué, mais je tombais bêtement au sol à cause de l'eau de Tamara avait utilisé plutôt pour m'arroser. Ma tête claqua le sol, mais j'ai tout de même réussi à garder la porte ouverte en la bloquant avec mon pied. Tout en restant au sol je passais ma main derrière ma tête, sentant du sang sur mes mains suite au choc du claquement.

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« Tu le mérites... » Tout le monde méritait un peu d'attention quel que soit son caractère, sauf ceux bien-sûre qui sont irrécupérables et où le chaos régnait dans leurs cerveaux. Il avait beaucoup de défauts, mais aussi de grandes qualités. L'homme n'était pas parfait après tout. J'étais gentiment venue m'installer près de lui de sorte à être dans ses bras, car j'en avais besoin et aussi parce que j'avais peur de quoi nous réservait demain. Profiter du moment présent était pour moi, essentiel. Mes doigts avaient trouvé les siens, tandis que je laissais mon cœur parler en toute sincérité. Je fus surpris qu'il colle son visage contre ma chevelure et qu'il me dépose un baiser sur le haut de ma tête. Je croyais qu'il aurait évité ce petit contact et je fus d'ailleurs très heureuse de le sentir si près de moi. Mon auriculaire alla à l'encontre du sien afin de sceller cette promesse. « Une promesse est une promesse, je pourrais te bouder à vie si tu ne la tiens pas !. » Je retirais mon petit doigt du sien, avant de sourire et d'entendre la porte s'ouvrir petit à petit. Duncan se leva m'aidant à faire de même et me susurra dans le creux de mon oreille, quelque chose qui me surpris. « Je le savais ! Mais je commençais à douter ton sexe... » Disais-je en rigolant, n'importe quel garçon aurait maté, même le plus amoureux des amoureux. Le livreur nous interrompis ouvrant enfin la porte, mais il nous balança un regard assez surpris, mais surtout suspect. D'ailleurs, son regard pervers s'arrêta sur mes courbes, me dévisageant de haut en bas, je tirais rapidement la chemise, me pinçant les lèvres assez gênée. Heureusement que Duncan le réveilla de ses songes surement aussi pervers que lui. Le mather me tendit la pizza alors qu'il se dépêcha d'essayer d'attraper la porte, car ce livreur stupide s'en alla en laissant la porte se refermer seule. Duncan fut assez rapide, certes il glissa sur une petite flaque d'eau atterrissant sur sa tête, mais son pied réussit de peu à sauver la porte. Moi aussi je remarquais le sang sur sa main et rapidement j'ouvris entièrement la porte, la bloquant avec quelque chose avant de me diriger vers le lit et de déposer la pizza. Immédiatement, j'enfilais une petite culotte noir à dentelles, la première que mon regard croisa dans mon sac. Pas le temps de me vêtir d'autre chose. Je cherchais alors ma trousse de secours que je déposais sur le lit, avant de me diriger vers Duncan et de l'aider à se relever. Doucement je l'allongeais, tandis que je déposais une serviette mouillée d'alcool derrière sa tête. « Appuis bien fort sur la serviette, elle va stopper le sang, ensuite je t'appliquerais un peu de bétadine, dieu merci t'as rien d'ouvert. » Je ne remarquais que maintenant mon journal intime ouvert, j'ouvris grand mes pupilles bleus, tendis que rapidement je l'attrapais refermant et la plaquant contre ma poitrine. « P'tain, t'as vraiment osé ! Tu l'as lu ? Qu'est-ce que t'as vu ?. » Je levais mon livre dans les airs et rapidement il redescendit violemment sur le ventre du mather, ce coup, il le méritait pour avoir violé ma vie privée. « Crétin ! ».

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Dans ce cas je ferais mieux de tenir ma promesse .. Et très franchement si tu venais à m'oublier, je me ferais grave chier. Disais-je en rigolant, c'est clair que ces derniers jours sans elle, ma vie n'aurait pas été pareille, je pense que j'aurais déprimé dans mon coin en attendant que Lily se décide enfin d'avouer notre amour au grand jour, mais ce n'était clairement pas le cas. Alors oui j'avais besoin de Tamara, besoin d'être avec elle et rigoler avec elle même pour un rien. Le livreur termina par arriver, elle me faisait rire en m'avouant qu'elle avait douté de ma sexualité quand je niais dur comme fer de l'avoir maté l'espace d'un moment. Finalement le livreur m'énerva bien vite, dans un premier temps en se la jouant pervers avec Tamara, puis en laissant la porte se renfermer toute seule, tellement que j'ai dû me la jouer super-héros en tentant de tout faire pour ne pas qu'elle se renferme. Par la même occasion je me suis réellement fait mal à la tête, tellement que j'avais du sang qui coulait. Heureusement Tamara fit ce qu'il faut pour m'aider, m'entraînant avec elle jusqu'à sa chambre pour me donner une serviette pour stopper le sang quelques instants, j'en oubliais même la petite blague que je lui avais fait avec son journal intime, mais rapidement la blonde me le fit rappeler en me balançant son journal violemment sur mon ventre. J'eus un cri roque, c'est clairement pas ma journée. Putain mais merde Tam', t'es complètement malade de faire ça .. Disais-je en restant sur son lit quelques instants tout en me tenant le ventre, j'en oubliais même mon crane qui saignait toujours. Tu crois vraiment que j'ai que ça à foutre de lire ton journal intime ? Disais-je en râlant, car oui faut pas déconner, j'enchaîne les merdes depuis tout à l'heure, ça commence à faire trop pour moi, mais j'avais pas non plus envie de m'énerver conte Tamara alors j'essayais de rester tout de même calme.. Bon c'est clairement raté. Je pensais que tu avais confiance en moi, visiblement c'est carrément pas le cas. Oui si elle avait confiance en moi, si elle me connaissait autant qu'elle semblait le croire, elle aurait su que je m'amusais avec elle et que jamais je n'aurais fait une telle chose. Je ne l'ai pas lu ton journal, je voulais juste te faire une blague mais apparemment tu n'as pas d'humour aujourd'hui. Jamais je n'irais lire ton journal, je sais qu'il compte pour toi .. Mais apparemment c'est trop compliqué pour toi de comprendre que je ne te ferais jamais quelque chose comme ça. Disais-je en la regardant dans les yeux en récupérant son journal avant de lui remettre dans les mains. Tu sais quoi ? Laisse-tomber, je commence à en avoir clairement marre. Dans un premier temps tu te fous de ma gueule en me faisant croire que tu te cassais d'ici, ensuite je m'en prends plein la gueule, je me ramasse et je me pète la tête dans ta salle de bain et maintenant tu as été à deux doigts de me castrer .. Je ferais mieux de partir je crois. Lui lançais-je en récupérant mon pull encore trempée dans sa salle de bain, l'enfilant et me dirigeant vers la sortie de son appartement, le crane saignant toujours, j'en ai clairement marre mais au fond j'ai pas envie de partir ..

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