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worst idea ever (ft. Diamantika & Jeremiah)

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worst idea ever
DIAMANTIKA & JEREMIAH
fiche par ©century sex  


Je me sentais plus léger depuis qu'on était venu à son secours. J'avais échoué pour une fois dans ma tâche première, celle de la tenir en sécurité. Je m'en voudrais éternellement, les choses ne seraient plus jamais les mêmes et cela pouvait être une bonne comme une très mauvaise nouvelle. J'ignorais l'ampleur des dégâts, je comprenais simplement la profondeur de l'amour que je lui portais. Il m'avait fallut la perdre une minute pour réaliser qu'elle avait envenimer tous mes sens à l'appel de ses lèvres et de son âme. C'était beau, je pourrais lui en vouloir, mais je ne faisais que sourire. Lui rendre la pareille, complètement contaminé par ces étoiles qui gisaient maintenant au fond de ses yeux. Je ne pouvais détacher mon regard du sien, il était trop précieux pour le quitter, trop vivant pour l'ignorer. J'en mourrais peu à peu, le temps s'éternisant dans notre échange, me coupant le souffle et resserrer la main autour de sa cheville dénudée. Je n'avais jamais rien vu de si beau. Le silence me plaisait, ainsi partagé avec elle, nous isolant du drame que l'on l'essaie derrière et qu'on s’apprêtait à revivre une fois l'ambulance immobilisée. Et quand ce fut mon tours de passer sous la loupe d'un médecin spécialiste, je dû grogner mon mécontentement. On me l'emporta loin de moi, derrière des portes amovibles qui me bloquaient la vue sur son visage. Il me fallait rester à son chevet. Un coup d’œil plus tard on me confiait aux soins d'une infirmière qui me désinfecta les plaies d'un liquide à l'odeur migraineuse. Je serrais les dents pour ne laisser aucun souffle trahirent le silence, j'attendais de l'entendre dans l'autre pièce. C'est un cri qui attira mon attention, qui me glaça le sang. «Qu'est-ce qu'ils lui font là-dedans? Laissez moi la voir, lâchez moi!» Je me démenais tant bien que mal, je trouvais absurde qu'on m'apporte de l'aide alors que je n'étais au fond qu'un criminel. On ne me laissa pas entrer par les portes et cela ne fit qu'alimenter ma colère. Je ne me laissai plus toucher, plus soigner. De toutes manières je n'avais rien. Je croisai les bras en m'adossant au mur conséquent des portes détestables. Je patientai ce qui me sembla être une éternité de torture avant que l'on m'ouvre l'accès. J'étais surtout en colère contre moi-même, d'être là, debout, alors qu'elle devait rester immobile. On m'avertit sommairement de ne pas trop la faire bouger, de ne pas trop la toucher ou lui faire vivre des émotions fortes... c'était trop me demander, évidemment. Quand je la vis, ma gorge se noua en un étau de tristesse. Elle semblait si frêle, son teint trop pâle dans les couleurs pastelles de sa chemise d’hôpital. Oh mon amour... « Viens là toi ! Tu vois, je t'avais bien dit que ça serait rapide. » Elle me fit signe de la rejoindre dans son lit et je ne tardai pas à lui obéir. Je m'allongeai avec une lenteur infini, prenant soin de ne pas la toucher dans mes mouvements, bien que l'envie de la saisir me brûlait la peau de toutes parts. «Tu avais oublié de me dire que je devrais survivre à l'enfer d'abord. Ils t'ont fait du mal?» Le seul qui l'avais fait souffrir ici c'était bien moi. Quel idiot! Son cri me hanterait pour toujours. Elle me sourit, mon visage resta statique, se bornant dans la haine de moi-même. « Tout à l'heure tu as dit que tu iras en prison quand j'irais mieux... et bien sache que je m’y opposerais, ta place est auprès de moi et non dans ce trou à rat ! » Oh, si elle croyait que je... Elle pressa rapidement ses lèvres contre les miennes, coupant court au cours de mes pensées, à mes objections. Cette sorcière savait s'y prendre. Le goût du fantasme, le goût de l'extase se tenait bien là, en cette morsure qu'elle m'octroyait à la lèvre inférieure. Hum. Je m'envolai en un souffle, en un battement de coeur un peu trop violent. Diams qu'es-tu en train de me faire? « Je ne les laisserais pas te prendre, ni même toi t'en aller, parole de Diamantika. » Ses mots glisser à mon oreille en un murmure me firent frisonner. J'étais ensorcelé de la tête aux pieds, complètement et indéniablement sien... «Tu comptes faire quoi pour m'en empêcher dis moi? Tu es clouée au lit je te rappelle et je ne te laisserais pas désobéir aux ordres du médecin chérie, tu devras d'abord me passer sur le corps, littéralement. Et puis où est donc passer ton sens de la justice? Si un homme mérite d'être emprisonner, il faut qu'il le soit.» Je parlais évidemment de moi et de mes actes criminels. « J'espère qu'ils ont bien pris soin de toi aussi... » Elle me détailla les traits comme si elle en faisait l'inventaire. Mes plais étaient maintenant propre, il n'y avait rien de flagrant, rien même qui ne mérite l'application d'un pansement. J'avais eu de la chance dans ma malchance énorme. «Rien qui ne me fasse autant de bien que le baiser que tu viens de me donner, arf, tu me rends dingue... pendant un instant j'ai presque cru que j'allais oublier de me rendre aux autorités. T'es douée.» Je me mordis la lèvre, au même endroit qu'elle l'avait fait, en cherchant son parfum et sa passion, ce délice de sensations. Elle déposa son oreille sur mon torse, sans doute pourrait-elle entendre le rythme frénétique de mon coeur trop épris d'elle. Je glissais doucement mes doigts à travers ses cheveux, les entortillant autour d'eux d'un geste presque amoureux. «Me refais plus jamais ça.» Ma voix se cassa sous l'émotion. J'avais vécut trop en si peu de temps et maintenant j'étais assaillit de tous les côtés. Je n'avais qu'une envie, me mettre en boule sur le sol et oublier ma peine. S'il avait fallut... Elle n'avait pas le droit de me quitter, jamais.
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DIAMANTIKA & JEREMIAH
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Certes, je savais qu'on me soignerait assez rapidement, mais j'ignorais que cela me ferait autant mal en si peu de temps. Quoi qu'il en soit, j'étais maintenant hors de danger, il ne me fallait plus qu'un peu de repos et je serais totalement sur pied. Ils autorisèrent Jeremiah à me rejoindre nous laissant enfin seuls. Un seul sourire de sa part et mon cœur s'en était senti allégé. Je l'aimais plus qu'il ne le fallait et ce n'était que maintenant que je me rendais compte. Il est à la fois celui qui me donne des ailes et celui qui peut me les brûler en un claquement de doigts. Je l'invitais doucement à prendre place à mes côtés alors qu'il me demandait si les médecins m'avaient fait du mal. Je lui souris comme pour le rassurer et pour être honnête avec lui, j'hôchais positivement de la tête. « Ils ne sont pas allés de mains mortes, mais l'essentiel est que je suis hors de danger maintenant pas vrai ?. » Il n'y avait plus aucun soucis à se faire, parce que tel que je le connaissais, il allait se morfondre encore et toujours rejetant à vie la faute sur lui et je savais qu'il ne voudra jamais accepter l'idée que je puisse en être fautive aussi, car nous avons quand même été deux à faire ce petit trajet à moto et j'avais par-dessus tout accepter de le suivre chose que je ne le regretterais jamais et si c'était à refaire, je le referais du moment que nous ne nous quittions pas. C'était dingue, je me fichais de mourir si c'était pour lui ou pour lui permettre de vivre. Il y a tant de choses que l'on peut contrôler dans la vie ... Nous pouvons contrôler notre voix, notre apparence plus ou moins, les personnes qu'on fréquente et tant d'autre chose, mais il nous était quand même impossible de maîtriser le temps et surtout nos sentiments. Oui, s'il y avait bien une chose que l'on ne pouvait pas contrôler, c'était bien nos sentiments. Et lorsque j'étais avec lui, je souhaitais toujours que le temps s'arrête, se fige pour l'éternité et même en ce moment, je le souhaitais plus que tout après avoir mis fin à mon passionnant baiser. « Je compte te suivre en prison s'il le faut, nous étions deux sur cette moto, alors s'il faut convaincre les policiers que je suis aussi fautive et bien je le ferais sans hésiter et on sait tous les deux qu'une femme à plus de chance de convaincre qu'un homme !. » Même si de toute façon, je comptais le sortir de prison si jamais il y entrait. Ne parlons pas de malheur, si ça se trouvait, les policiers abandonneront vite les recherches par manque de flemme, chose qui ne me surprendra pas. Et puis la moto sera vite rendue à son propriétaire donc il n'y aura pas besoin d'en faire un drame. Mes yeux inspectaient à leur tour son visage, voir s'ils s'étaient bien occupés de Jeremiah et dans le cas contraire, j'aurais eu deux trois mots à leur dire. Mais fort heureusement pour eux, l'état du Lowell était parfait, ses égratignure désinfectés et soignés. Il réussit d'ailleurs à me voler un rire suite à ces propos que je partageais sans le moindre doute apparent. « Je crois qu'on est bien pour finir dans un asile de fou, car tu me rends dingue aussi t'sais !. » Nous serions seuls au monde, pile ce que je voulais. Je pouvais sentir son cœur battre sous mon oreille, un son qui m'apaisait, mais qui rejoignait aussi mes battements affolés. Mon rire s'étouffa petit à petit par des reniflements, des larmes perlèrent au coin de mes yeux, alors que ces dernières me brouillaient complètement la vue, j'essuyais, une larme après l'autre, mais rien à faire, mes yeux se mouillèrent de plus en plus, je craquais prenant conscience que j'aurais pu disparaître et ne jamais plus avoir la chance de le revoir. « J'ai...si tu savais comme j'ai eu peur de ne plus te revoir... Jerem !. » J'avais tellement eu peur que j'évacuais cela par un petit fleuve de larmes qui ne cessaient de couler le long de mes joues. J'enfouissais ma tête sur le torse de l'homme que je pouvais maintenant avouer aimer, serrant un bout de sa chemise entre mes doigts. Certes ce n'était pas le bon moment de lui avouer ce que j'avais ressentis ce soir, ce qu'il était devenu en un instant pour moi, mais il est clair que tôt ou tard, nous aurions à discuter sérieusement. Pour l'instant je voulais le serrer contre moi, car la peur était encore présente dans mon cerveau. Je finis par fermer les yeux, m'endormant dans ses bras ayant quelques traces de larmes plaquées contre ma joue, le serrant de toute mes forces comme pour ne plus jamais le laisser s'en aller. Never !.

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