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worst idea ever (ft. Diamantika & Jeremiah)

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DIAMANTIKA & JEREMIAH
fiche par ©century sex  

J’avais passé la soirée à chercher le trouble sans le trouver. Personne ne semblait vouloir jouer aujourd’hui, personne qui ne mérite mon attention du moins. Je me croyais condamné à finir la nuit seul, sans aventure à raconter, mais la chance, paraît-il, sourit à ceux qui en ont la patience. La porte grinça dans mon dos, laissant entrer une femme séduisante et un homme menaçant. Ils s’assirent aux sièges conséquents du mien au bar, avec autant d’aise qu’en aurait eu un roi sur son trône. Ils perturbèrent l’ambiance en parlant bruyamment, en s’embrassant publiquement comme si leur vie en dépendaient. Que pouvait-elle lui trouver de toutes manières? Je ne les quittai jamais plus du regard, choisissant l’obstination comme stratégie pour les réduire au silence. Après la cinquième minute, un de deux dû enfin reprendre son souffle, rigolant tout deux comme deux enfants dans la cours d’école. Pathétique. «Hey toi!?» Je relevai les yeux, j’avais perdu conscience du temps en réfléchissant. L’homme m’interpella. «T’as un problème?» Visiblement il n’aimait pas que quelqu’un pose ses yeux sur sa copine, quel égoïste. J’haussai les épaules en détournant le regard, je ne cherchais pas ce genre de problème ce soir. J’avais déjà une nouvelle idée en tête. Je me relevai pour quitter la pièce, tenant en parfait équilibre sur mes jambes comme je n’avais pas bu la moindre goutte d’alcool, au désespoir du barman qui n’avait trouver aucun argument légitime pour m’obliger à partir. Sur mon chemin du retour je me frottai consciemment aux côtés de l’homme qui avait repris possession de la bouche de sa dulcinée. Mes doigts se glissèrent minutieusement dans la poche de sa veste, et se refermèrent contre un trousseau de clés. Un sourire ce glissa sur mon visage, narquois au possible. Merci monsieur, pensais-je. Je me précipitai vers la sortie avant que l’on ne m’accuse de vol. Le parking était déserté  presqu’en totalité, si ce n’était de cette moto sport de couleur verte fluo qui scintillait sous la lumière du réverbère. Je m’avançai vers elle, les yeux rivés sur les clés que je tenais, tombant sur celle que j’espérais trouver. Mitsubishi, je reconnaissais le logo, c’était le même qui ornait l’aile de l’engin. Mes yeux s’illuminèrent en sentant la clé glisser sans anicroche dans le démareur. Miracle. Je posai sur ma tête le casque noir avec une visière couvrant tout le visage, il m’allait parfaitement. Un rire m’échappa, j’étais comme un enfant devant un nouveau jouet. À l’arrière de la moto gisait, coincé sous une corde élastique tendue, un autre casque de couleur rosé, à sa vue je fus inspiré par l’idée de partager ce plaisir à deux. Je me saisit de mon téléphone pour texter l’unique personne qui serait assez dingue pour me suivre dans mon impulsion, Diamantika. J’avais eu un coup de foudre certain pour ce cristal rare, ce n’était rien de physique, mais quelque chose de bien plus profond, une âme qui en reconnait une autre par leur similitude. Elle était et resterait toujours l’unique femme à être complice de toutes mes folies, elle aimait vivre presque autant que moi et pour ça je lui trouvais toutes les beautés du monde. Je chevauchai la moto d’un mouvement, n’attendant pas d’avoir de réponse pour savoir qu’elle serait prêt à me suivre, même entre deux rêves. Tournant la poignée du guidon, un grognement de moteur perça l’air, délicieuse sensation. Je titubai quelques mètres avant d’en trouver mon équilibre, je n’avais jamais fait de moto, mais j’avais vu assez de films pour me considérer un expert. La noirceur était presque totale dans les rues de Cambridge et les témoins à mon crime trop rare, j’adorais cette tranquillité, elle nous aidait toujours à voir le monde différemment. Plus joliment. Quand j’arrivai devant la maison Eliot à l’université, elle se trouvait déjà sur la pan de la porte, patientant l’arriver de son prince charmant qui n’arriverait jamais. Je débarquai de la moto pour la rejoindre, retirant le casque pour le remettre là où je l’avais trouvé, puis montant quatre à quatre les marches de l’entrée. Une fois à sa hauteur, je plongeai une main dans mes cheveux en bataille, il n’y aurait rien pour les sauver ce soir. J’osai enfin la voir, mes yeux la reluquant de la tête aux pieds sans la moindre politesse.  «Tout en beauté ce soir, petit diamant, faut arrêter sinon un jour je vais finir par croire que tu fais tout ça pour moi.» Je me penchai vers elle, enroulant un doigt autour d’une mèche de ses cheveux. Oh ce parfum. Mes lèvres s’échouèrent une seconde contre les siennes comme de mon habituelle salutation. Elle ne s’en était jamais indigner trop sérieusement pour me faire arrêter jusqu’alors. Pourquoi m’en priver? Ses lèvres avaient un goût de sucre que j’adorais. Je souris en glissant ma langue contre mes lèvres, la romance loin d’être au rendez-vous. «Prête pour l’aventure?» Soufflais-je en lui prenant la main rapidement et en la traînant jusqu’en bas. je m’arrêtai devant notre nouveau moyen de transportation. «Sécurité d’abord, évidemment.» Je lui glissai le casque rose entre les doigts, le coeur battant dans ma gorge, l’excitation grisant la moindre parcelle de ma peau.
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DIAMANTIKA & JEREMIAH
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Ce matin-là, je quittais mon lit en bâillant, m'étirant de tout mon corps avant d'ouvrir mes volets. Un timide soleil m'accueillit et c'est ainsi que je sentis qu'une radieuse journée m'attendait. Après une bonne douche et un bon brossage de dent, je retournais dans ma chambre afin de me choisir des vêtements. Je fouillais dans ma penderie jetant mon dévolu sur une mini jupe rouge sanguinaire, un top orange à manches trois quarts et le col complètement fermé au niveau du cou, des ballerine rouge assortit et des chaussettes orange légères qui arrivaient jusqu'aux genoux, bien-sûre en dessous de ma jupe, il y avait un mini-boxeur orange pour empêcher quiconque de mater en dessous. J'avais un style particulier bien à moi, mais il faut dire que j'étais juste une fan incontesté de la mode et donc que tout ce qui sortait de nouveau, je m'en imprégnais tout en apportant un peu de mien, ce qui plaisait beaucoup aux autres. Je n'avais rien de particulier à faire aujourd'hui, si ce n'est trainer avec Apple, Elia et Karlie afin de remonter à bloc le moral de mes cousine qui avaient perdu leur père. Et quoi de mieux pour oublier tout ça qu'une journée entre cousines, entre nanas. D'ailleurs je ne perdis aucun temps précieux, m'emparant de mon sac, de mon tel et de ma clé de voiture avant de passer chercher Apple dans sa chambre et de nous rendre à la cabot pour chercher les deux autres. Vingt-deux heures arriva, le temps passa très vite, je jetais un petit coup d'oeil à ma montre et regardais à nouveau les filles. « Waw ! Déjà vingt-deux heures les filles ! On ferait mieux de rentrer là !... » C'était une simple suggestion, mais évidemment si elles n'avaient guerre envie de rentrer je n'allais pas insister, car passer du temps avec elles ne m'en lassera jamais. Mais Apple était fatiguée et elle approuva mes dires. Je comprenais, ce n'était pas facile de sourire lorsque tu savais ton père au fond d'un foutu trou. Nous quittions donc le petit restaurant où nous avions décidé de venir manger quelques heures plus tôt. Arrivée à l'université, je déposais Karlie et Elia devant la cabot house, tandis qu'Apple et moi avions pris le chemin des Eliots. Fort heureusement, les Eliots s'entendaient plutôt bien avec les Cabots, contrairement avec les mathers avec qui c'était une véritable guerre. Après avoir bizouter ma cousine devant sa porte de chambre, je me rendis à la mienne n'ayant pas encore de colocataire, mais je suppose que cela n'allait pas durer. En tout cas, pour le moment je pouvais prendre toute mon aise, comme me promener nue dans la chambre par exemple ou chanter et danser à tu-tête, ce sont des choses que je cesserais de faire en présence d'un coloc. Je me laissais tomber sur mon lit, fermant les yeux et respirant un bon bol d'air. Fixant le plafond, je pensais à tout et à rien, mais beaucoup trop fatiguée, je n'avais pas envie de me lever jusqu'à la salle de bain alors sans me rendre compte mes paupières se fermèrent lourdement contre ma volonté et me voilà quelques secondes après partis pour le pays des rêves....ou pas. Un bruit sourd traversa mon oreille m'obligeant à revenir sur la terre ferme quelques heures plutard. Qui osait me déranger ? Mais surtout, qui était autant suicidaire pour interrompre mon sommeil ?. J'ouvris rapidement les yeux, m'étirant de nouveau dans tous mes vêtements, cherchant du regard mon tel qui ne se trouvait pas loin de moi. Je l'attrapais dans un élan de soupire me couchant sur le ventre pour pouvoir lire le message, car oui c'était la sonnerie de mes messages. Jerem' tiens donc, que me voulait-il à une heure si tardive ?. Je m'empressais de lire son message lorsqu'un large sourire fleurissait au bord de mes lèvres. Ni plus, ni moins, je me redressais, direction la salle de bain me passant juste un peu d'eau sur le visage. Je n'allais pas me changer, car ma tenue me plaisait comme ça... Juste de nouveau un petit maquillage, un peu de parfum nina richhi, du gloss à lèvre goût bonbon sucré et je descendis l'attendre devant la porte des Eliots. Lorsque je le vis arriver au loin, mon cœur tambourina d'excitation, on allait faire ce que nous avions l'habitude de faire, tester nos limites, voyager à travers de nouvelles sensations, foncer vers l'inconnu qu'il soit stupide, dangereux ou au contraire, amusant et censé. Il monta les marches de l'entrée afin de rejoindre sa partenaire de crime et y laisser quelques compliments s'échapper. « Merci... je te retourne ces compliments et qui sait, peut-être que tu as raison et que je fais tout ça pour toi, cher partenaire de crime. » Avouais-je esquissant un large sourire tandis qu'une nouvelle fois, ses lèvres s'échouèrent sur la rive des miennes. Je le laissais faire, car ce qui me plaisait dans cette relation si étrange, était que nous n'avions pas besoin de mettre un mot à tout ce que nous pouvons faire où échanger, cela se faisait naturellement et nous nous laissions juste aller à cette simplicité, sans pour autant chercher une quelconque explication ou réponse à tout. « Et je vais finir par croire que tu ne peux plus te passer de ces lèvres... » En parlant bien-sûre des miennes. Je posais mes mains sur son torse, m'étirant de ma petite taille jusqu'à ses lèvres et à mon tour y déposait les miennes aussi rapidement que son baiser précédent... « Bonsoir Jerem ! » Chacun avait droit à sa part de gâteau après tout. J'humectais mes lèvres d'un passage rapide de langue. « Je suis excitament prête ! » Ce n'était pas français, mais on s'en balançait grave. Il me traîna alors jusqu'au fameux moyen de transport, me lançant un casque de protection. « Dit donc, où as-tu déniché cette moto ? Je ne me souviens pas t'avoir vu en possession d'une jusqu'à aujourd'hui... » Je relookais la moto, vraiment, il n'avait jamais eu de moto. Je protégeais ma tête avec ce casque, j'avais les cheveux très courts alors pas besoin de les attacher, ils ne me gêneront pas de toute manière. Je grimpais derrière Jeremiah entourant sa taille de mes bras, le serrant fermement contre moi. « Quels sont les plans pour ce soir ?! Braquer une banque ? Sauter d'un point ?... » Oui bon braquer une banque c'était genre pas impossible, mais non, on n'irait pas jusque là et puis on avait de quoi vivre jusqu'à la mort, par contre sauter d'un pont on le pouvait. Je me demandais ce qu'il avait prévu pour ce soir.
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Elle avait toujours ce petit quelque chose pour ravir mes yeux comme mon coeur. En ces moments, en ce petit éclaire de renouveau, je devais toujours me souvenir qu'elle n'était pas à moi, ni ces lèvres, ni son âme. J'avais bien envie de quelque chose, d'elle, mais aussi de longévité. Alors je respectais notre vœu de n'être que nous, sans plus sans moins, avec quelques écarts, mais rien d'exceptionnellement audacieux. « Merci... je te retourne ces compliments et qui sait, peut-être que tu as raison et que je fais tout ça pour toi, cher partenaire de crime. » Je lui rendis son sourire, le sien radieux jusqu'aux étoiles. Je ne pu retenir mon envie de la goûter une nouvelle fois, ses lèvres brillantes aux lueurs subtiles qui arrivaient à traverser la nuit qui nous habillait. Son gloss goûtait le sucre, mais c'était cette tendance que je venais lui arracher, lui voler un si court instant. «Et bien tu devrais faire attention, il y a des beautés qu'un homme ne peut s'empêcher de vouloir posséder.» J'arquai un sourcil en regagnant ma place, ma langue glissant déjà sur l'empreinte des siennes.  « Et je vais finir par croire que tu ne peux plus te passer de ces lèvres... » Je n'avais jamais affirmé le contraire, bien sûr, j'en était complètement amoureux. Je sentis ses paumes se faufiler à mon torse, me coupant le souffle. Elle tendit les lèvres vers moi, je clos les yeux à temps pour tout sentir à sa juste valeur. Hum. Son baiser était aussi chaste que le mien, mais un degré de torture au-dessus. Je n'avais pas envie d'être raisonnable, mais je le devais. « Bonsoir Jerem ! » J'adorais ce surnom, elle était bien la seule à l'employer et il lui revenait de droit et d'exclusivité. Ahlalala, qu'allais-je bien pouvoir faire d'elle? Je rouvris les yeux de peine et de misère, je n'avais pas envie de retrouver la réalité, pas tout de suite. Je ravalai ma remarque pour me laisser tenter par son enthousiasme. « Je suis excitament prête ! » Son exclamation me fis sourire, je savais que j'avais choisie la meilleure partenaire pour m'accompagner ce soir, je voulais lui en faire voir de toutes les couleurs. Je l'emportai jusqu'à ma nouvellement acquise motocyclette, lui tendant le casque qu'elle serait bien obligé de porter.  « Dit donc, où as-tu déniché cette moto ? Je ne me souviens pas t'avoir vu en possession d'une jusqu'à aujourd'hui... » On ne pouvait réellement rien lui cacher à celle-là et elle était bien l'une des seules à me connaître assez pour affirmer une telle chose. «Chérie, parfois c'est mieux de ne pas tout savoir, mais disons simplement que je l'ai emprunter.» Je lui fis un clin d'oeil en toute complicité. Je savais qu'elle n'apprécierait pas totalement l'idée de voyager sur une moto que je venais de voler à son propriétaire, alors je lui cachai ce détail, pour son bien. Le blâme serait entièrement mien. J'enjambai la moto d'un mouvement, m'asseyant bien confortablement tout en posant mes mains sur les manches du guidon. Je l'observai mettre le casque. Irrésistible. Je m'en mordis la lèvre. Elle me joint, glissant ses mains autour de ma taille, me tenant si fermement qu'elle m'en empêchait de respirer sans gêne. J'adorais ça. « Quels sont les plans pour ce soir ?! Braquer une banque ? Sauter d'un pont ?... » Sa voix avait changé de couleur ainsi projetai à travers sa visière. Oh je craquais totalement. «Ce sont deux bonnes suggestions, rappelles moi de t'y amener un autre jour. Aujourd'hui on va... juste rouler, d'accord?» En finissant ma phrase j'appuyai sur l'accélérateur. Mes jambes quittèrent doucement le sol pour se coller aux siennes, se moulant à leur forme. Le moteur vrombis tout autour de moi, faisant vibrer chaque fibre de mon corps. Je roulai à une vitesse raisonnable, les rues complètements désertes. Puis arriva la première lumière, elle était verte, une couleur que j'adorais. Sans savoir réellement ce que je faisais, je m'arrêtai avant de traverser la ligne, les deux yeux fixant la lumière, attendant qu'elle change au rouge. Ce soir j'avais envie de faire une chose que je n'avais jamais osé faire auparavant. Et c'était illégal.
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Jeremiah, il était une vraie pensée, claire comme une boule de feu dans la nuit exaltante, qui éveillait mes sens pour que je bascule dans cette folie qui me tendait les bras. J'avais promis à mon âme de ne jamais gâcher ce "nous" que nous formions. Il était tout ce qu'une femme pouvait désirer avoir d'un homme, mais moi je ne voulais rien de plus que le garder prisonnier du lien qui nous unissait simplement éprise d'une peur de le voir un jour disparaître. Mes yeux ne le supporteront pas, mon cœur lui, risquerait de plonger dans les ténèbres, vous l'aurez compris, je n'imaginais pas une vie sans monsieur O'Bryan. "Et bien tu devrais faire attention, il y a des beautés qu'un homme ne peut s'empêcher de vouloir posséder" cette phrase gambadait en boucle dans mon cerveau. Des beautés disait-il ? Je ne savais pas pourquoi j'avais envie de râler sur cette phrase, mais préférant ne pas m'y attarder, peut-être comprendra-t-il par cette petite grimace certes mignonne, mais boudeuse. « Je n'ai guerre peur d'être possédée, surtout si cet homme répond au nom de Jeremiah... » Ma voix était légère comme une plume et mon corps avait suivi, tous soumis au chaos de son esprit. Esquissant un petit sourire, je passais une mèche de cheveux derrière mon oreille. Et ce dont je n'avais guerre envie de me passer, était ses lèvres, ces mêmes lèvres aux goûts uniques et indéfinissables, ces lèvres qui me donnaient des frissons agitant mon échine, jamais je ne laisserais ces lèvres vivre en paix loin des miennes. Il m'avoua donc avoir emprunté cette moto et je n'avais aucune raison de douter, je lui faisais confiance après tout et peu importe d'où venait cette moto j'allais pouvoir passer un moment de pur folie en sa compagnie. En guise d'une simple réponse, je lui souriais, ce n'était pas potable comme réponse, mais peu importe. Vint ensuite la question fatidique, qu'allons-nous faire ce soir ? J'attendais avec une si grande hâte la destination de notre folie, tandis que Jeremiah se contenta simplement de me laisser sur une note assez curieuse...seulement rouler ?. J'arquais un sourcil, mais le connaissant cela ne pouvait pas être si banal. « D'accord... » Ma voix était tel un murmure dans le vent, je le suivrais peu importe où et comment. C'était mon partenaire, nous formions notre petit duo unique et inséparable, alors même si rouler signifiait aller à l'autre bout du monde et bien j'irais sans jamais le regretter. Je m'étais fermement agrippée à lui pendant que nous roulions lorsque soudainement il s'arrêta devant un feu vert. Je regardais le feu puis Jeremiah à tour de rôle. Que cherchait-il à faire ? Est-ce que c'est ce que je croyais là toute suite ?. « Jerem c'est vert là ! » Je n'eus à peine terminée ma phrase que le feu passait au rouge, j'entendis soudainement le moteur grogner, le Lowell accéléra d'un coup sec. La bouche légèrement ouverte, je compris et c'était bien ce que je pensais. Je le serrais davantage contre moi, mon cœur commençait à se débattre dans ma poitrine, alors qu'un rire explosa dans les airs. « WAAOUUUUUH !!!! » Criais-je jusqu'à coupure total de mes cordes vocales et plus nous roulions, plus mon corps se remplissait d'adrénaline encore plus sur-excitée que tout à l'heure. C'était illégal, dangereux, suicidaire, mais qu'est-ce qu'on s'en foutait et puis qui viendrait arpenter les rues à une heure aussi tardive hein ?.
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Elle grimaça, de cet air provocateur qui ne me donna qu’envie de la mordre. Irrésistiblement elle, comme toujours, je l’éveillais d’un mot, d’une phrase qui trahissait mon désir de l’avoir. C’était toujours la même routine, je lui quémandais ceci, elle me répondait cela... « Je n'ai guerre peur d'être possédée, surtout si cet homme répond au nom de Jeremiah... » Elle sourit, cala quelques mèches de ses cheveux dorés derrière son oreille puis s’enfuit comme si la Terre ne venait pas simplement de s’arrêter de tourner. Une question resta pendue au bord de mes lèvres, brûlante d’être posée. Elle patienta un moment, le temps de perdre à nouveau dans la contemplation de son si jolie visage. La motocyclette gagna sa complète attention, j’étais jaloux, mais trop pris de court pour m’en plaindre. Nous embarquâmes sur le deux-roues et prîmes la route, le vent nous chatouillant doucement la peau du cou. Je m’arrêtai au feu vert, établissant tout de suite ma stratégie du soir, ma folie du jour.  « Jerem c'est vert là ! » Cette remarque me fit sourire. «Et alors?» Criais-je alors qu’à travers ma visière, le rouge scintillait. Les yeux emplis d’excitation, je me cramponnai à la poignée et accélérai. Le danger était quasi nul, il n’y avait personne dans les rues à cette heures tardives, personne pour nous voir, personne pour nous faire du mal. Je traversai le croisement sans tracas, je sentis ses doigts se resserrer autour de ma taille, oh j’adorais ce sentiment... « WAAOUUUUUH !!!! » Sa voix brisa le silence, fis craquer un nouveau plein sourire sur mes lèvres. Ah je l’épouserais cette fille! Son plaisir était le mien. L’adrénaline coula dans mes veines, soulagea mon corps en manque de sa drogue. J’étais un toxicomane assumé et je savais exactement quoi faire pour satisfaire mes besoins. Elle, moi, la vitesse et puis ces bras me possédant entier. La belle vie. À la prochaine lueur verdâtre je posai pied à terre, cette question brûlant toujours, juste là. «Qu’est-ce que tu voulais dire tout à l’heure Diams? Pas peur d’être possédée par... hum... est-ce que notre amitié te convient?» J’avais osé, sans le regretter encore. J’en avais trouvé le courage quelque part d’inusité. Je ne voulais rien brusquer, rien briser, mais elle m’avait donné cette étincelle d’espoir et je n’étais pas prêt de l’ignorer. Je ne sais même pas ce que je veux, mais la gourmandise m’obligera toujours à en vouloir plus que je n’ai déjà, à commencer par sa fidélité. J’étais dans la lune, perdu dans mes pensées profondes et interminables, je ne désirais plus qu’une chose, la ravoir sur les lèvres. Le rouge, enfin et j’accélère. Sans voir, sans comprendre, c’est comme si la Terre entière c’était dérobé de sous mes pieds glissants. Aveugle de la réalité, je ne revins à la conscience qu’une demi-seconde trop tard. Une masse se mis en travers de notre route, je jure que j’ai presque sentie son pelage me caresser le visage, juste avant l’impact. Je fus éjectai de mon siège, mes doigts crispés autour du freins que j’avais actionné trop rapidement et trop violemment. Je la vis, elle, s’envoler vers le ciel, cacher les étoiles une seconde alors qu’elle retombait sur le sol. Non... L’asphalte la trouva tête première, un craquement tonna dans l’air... un bruit qui n’avait absolument rien de rassurant. La douleur ne vint qu’ensuite, qu’en la voyant inerte pour ce qui me sembla être une éternité. Je saignais, un peu, des jointures, des genoux, rien d’important. Je n’osais m’approcher de peur d’en mourir, s’il fallait... «À l’aide!!!! Quelqu’un, aidez-là!» Rien. Personne. Il n’y avait qu’un souffle frénétique qui perçait la noirceur, le mien... pourquoi ne respirait-elle pas? Je glissai mon corps jusqu’à son chevet, rampant sur le sol en m’aidant de mes coudes, peu importe la douleur que cela intimait à mes plais ouvertes au niveau des genoux. «Diams? S’il te plaît... je t’en supplie, tu n’as même pas répondu, je dois savoir, tu n’as pas le droit de...» Je balbutiais n’importe quoi pour combler le silence trop pesant. Mes mains lui attrapèrent les épaules, elle semblait soudainement si frêle. D’un mouvement je la retournai sur le dos, son visage était immaculé de sang, de rouge et pour une fois je n’avais envie de te freiner. «Je suis désolé, je suis tellement désolé.» Une larme traversa mon visage, le regret... ce sentiment si amer et reconnaissable et pourtant c’était bien la première fois qu’il me touchait. Je la secouai un peu. «Répond moi!» Criais-je la gorge en feu, les yeux brouillés par mes larmes. Je glissai une de mes mains dans ma poche, cherchant mon portable pour le retrouver en miettes. «Fuck!» Ajoutais-je à deux doigts de perdre la tête. Il fallait qu’elle se réveille, qu’elle me sourisse, qu’elle me jure de ne plus jamais me quitter. Mon coeur se déchira. En un ultime désespoir, je plongeai, lèvres contre lèvres. Je lui rendis le souffle du mieux que je savais l’imiter. Je m’en voulais, je m’en délectais... sa bouche goûtait toujours aussi bonne, si ce n’était de ce goût de métal rouillé, ce goût de... Rouge.
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Quelques bourrasques de vent caressèrent mon visage à travers le casque, comme les caresses d'un enfant innocent qui a peur de casser quelque chose de sublime sous ses yeux. Je fermais doucement mes pupilles bleus prenant un plaisir sans nom de me trouver en ses lieux accompagné d'un être cher à mes yeux, pas n'importe lequel. Ce moment, je voulais pour rien au monde qu'il ne s'efface un jour, le garder en mémoire éternellement et le partager avec personne d'autre. Ce petit bout de paradis brillait dans mes yeux et l'odeur de Jeremiah m'enivrait d'un bien être incomparable. Une montée d'adrénaline montait en moi, tout mon corps vibrait, tandis que mes bras agrippaient fermement le tour de taille du Lowell. Mon rire lui, résonnait tel un écho dans les ruelles complètement désertes. Lorsque soudainement, le jeune homme s'arrêta de nouveau devant un feu vert, me posant une question quelque peu gênante. Je ne m'y attendais pas, alors que mon coeur manqua un battement. « Umm... » Ce sont les seuls mots qui avaient pu traverser ma gorge, je sentais à présent tout mon corps se crisper, que voulais-je vraiment de cette amitié, de nous ?... « Je crois...que je suis devenue un peu trop gourmande Jeremiah. » Murmurais-je au vent, ce n'était pas vraiment une réponse correct, peut-être pas celle qu'il attendait, mais pour le moment je ne pouvais pas lui donner de vraie réponse. La peur m'avait envahi d'un seul coup, cette question me travaillait l'esprit également. Il fallait que je médite, que je mette tout au clair dans mon cerveau, car c'était l'incompréhension total. Un silence venait de s'installer alors que Jeremiah reprit rapidement la route, je n'eusse le temps de m'accrocher convenablement, que je sentis soudainement mon corps se décoller du sien. L'impact qui venait de se produire me projeta hors de sa porter, pendant une fraction de seconde, celle où mon regard croisa le sien, j'aurais voulu ne jamais le quitter. Mon coeur s'était affolé, comme si je courrais derrière un train que je venais de rater... Quelques secondes plutard, j'étais allongé au sol, dans les pommes. Oui j'entendais sa voix qui semblait de plus en plus se rapprocher, mais je n'avais pas la force nécessaire pour ouvrir les yeux. Lorsque soudainement, je sentais une vague d'air, traverser tout mon corps et s'infiltrer dans mes poumons... Lentement, j'ouvrais mes faibles yeux encore un peu sonné, suffisamment pour que mon regard se pose sur nos lèvres de nouveau sceller. L'une de mes mains vint difficilement se poser sur la joue du Lowell, tendis que mes lèvres pressaient délicatement les siennes avec toute la force que je venais de puiser. Dans un sourire, je décollais lentement nos lèvres... « Tu croyais pouvoir me dire adieu aussi rapidement ?...Jerem... Partenaire à vie, t'as oublié ? Je ne mourrais pas sans toi... » J'aurais pu mourir certes, cette chute aurait pu être fatale, mais le désir de ne jamais le quitter avait vaincu. Je me redressais doucement, sauf que je sentis une énorme douleur dans le dos qui m'obligea à me recoucher en grimaçant... « Je crois que je ne pourrais pas marcher... Mon dos a fait un petit blocage... » L'un de mes mains vint à déboutonner ma poche arrière et de retirer mon portable afin de le tendre à Jeremiah. « Je commence à sentir la douleur, j'espère que mon portable est encore utilisable !. » Je le laissais contacter si possible l'ambulance, j'en aurais besoin vu le cas de mon dos. « Ce n'est pas de ta faute Jerem, j'étais consentante alors promets-moi de ne pas t'en vouloir !. » Je levais mon petit doigt vers lui de sorte qu'il vienne sceller cette promesse lui aussi par son petit doigt, nous étions partenaires et quoi que nous fassions, nous n'avons pas le droit de regretter. Le regard profond que je lui lançais en disait bien long.
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DIAMANTIKA & JEREMIAH
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« Je crois...que je suis devenue un peu trop gourmande Jeremiah. » J’arrivais à peine à percevoir sa voix à travers la visière de son casque. Même la phrase une fois assemblée semblait toujours aussi absurde. Des mots, une confession, un souhait ou une raison de s’inquièter je ne savais plus. C’était comme recevoir un ‘’je t’aime’’ en plein visage et de ne savoir que répondre poliement ‘’merci’’. Diams était la meilleure complice que je possédais, assurément j’adorerais la satisfaire sous tous les points de vues, mais cela en valait-il le risque de perdre notre si belle amitié? Toutes ces questions, aucun réponse, je me morfondais sans cause et perdais l’équilibre sans percevoir la réalité. Une fois à terre, mon premier souhait fut de la savoir vivante, je n’avais jamais été aussi altruiste de ma vie, étrange. Je me précipitai à son chevet, son corps drastiquement allongé à la vertical. Elle était inerte et muette, affreusement sans vie. Je la secouai sans craindre que ce n’était peut-être pas la chose recommencer en risque de commotion, mais je ne pensais qu’à l’entendre me répondre. Il fallait qu’elle le fasse… j’en mourrais sinon. Mes lèvres s’écrassèrent contre les siennes, l’embrassant à demi, lui insufflant mon souffle de l’autre. Je ne savais pas du tout ce que je faisais, mais une chose est sûr, cela fonctionna. Bientôt je sentis ses doigts gelés me frôler la peau de la joue, ses lèvres brûlantes me rendre ce baiser qui ne devrait pas en être un. Son sourire naquit contre mes lèvres, je me reculai pour constater ses traits de nouveau animés. Un envol de papillon. Je sourie à mon tours, de toutes la blancheur de mes dents. « Tu croyais pouvoir me dire adieu aussi rapidement ?...Jerem... Partenaire à vie, t'as oublié ? Je ne mourrais pas sans toi... » Quelle idiote! Je ne pu retenir un rire, bien que la grimace me rattrapa bien rapidement. «De toutes manières j’ai déjà décidé que j’allais mourir le premier, pas question de vivre sans toi.» C’était injuste sans doute, mais inconcevable autrement. Ma décision était prise et je ferais tout pour la préserver d’ici là. Elle essaya de ses redresser pour se retrouver à hauteur de mon menton, mais dû se rallonger trop vite. Mon visage se tordu au même rythme que le sien, sa douleur étant contagieuse. « Je crois que je ne pourrais pas marcher... Mon dos a fait un petit blocage... » Petit blocage? Je paniquais déjà. «C’est grave tu crois?»  Je me sentais tellement coupable, je ne m’étais jamais sentis aussi stupide et immature que maintenant. Pourquoi l’entrainais-je dans mes stupidités aussi?  « Je commence à sentir la douleur, j'espère que mon portable est encore utilisable ! » Je saisi le portable qu’elle me tendait, incapable pendant la première seconde de deviner ce qu’elle espérait que j’en fasse. Je focalisais sur le mot douleur qui s’éternisait en écho. Coupable et criminel, c’était tout ce que j’étais.  « Ce n'est pas de ta faute Jerem, j'étais consentante alors promets-moi de ne pas t'en vouloir ! » Balivernes. Je secouai la tête vivement, regardant son pinky tendu, dans l’incapacité de le prendre du mien. Non, elle ne devait rien pardonner. «Je ne suis qu’un idiot et je ne te mérites pas.» C’était une vérité si cru qu’elle m’en déchira le coeur, peut-être permanemment. Je pressé sur les boutons tactiles de son téléphone pour qu’on vienne à notre secours, un neuf et puis deux un. J’avais du mal, mes mains avaient été fortement endommagé par l’accident, quelques doigts étaient sans doute cassés vu les angles étranges qu’ils arboraient soudainement. Ça sonna, un coup et puis on me répondis. «Oui, j’ai besoin d’une ambulance, rue… » Fuck! Je tournai la tête dans tous les sens pour trouver une adresse visible, la pancarte du nom de la rue me heurta en plein visage. «Intersection Beverly et King, faites vites!» J’hésitai avant de raccrocher, une confession me restais encore au bord des lèvres. «Envoyez la police également, le jeune coupable de l’accident est en possession d’un véhicule volé.» Je clos la conversation, le coeur battant ses regrets dans mes veines. «Voilà, maintenant il y aura justice.» Soufflais-je en reposant mes yeux sur le visage ensanglantée de mon amie. Je ne me le pardonnerai jamais.
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J'étais complètement sonnée. L'instant d'avant, j'étais sur la moto et le suivant, je m'étais retrouvée projetée sur la route sans trop comprendre comment l'accident avait eu lieu. C'était rouge et poisseux, c'était liquide. Mon front était tâché d'une petite flaque de sang. Mon dos avait subi un petit blocage et la douleur commençais petit à petit à montrer le bout de son nez. Mon regard était vide de vie, ma peau était blanche comme la neige. Mes cheveux et mes vêtements étaient imprégnés de quelques tâches de sang. Et puis c'est à ce moment-là que j'avais perçu une lumière, comme si je venais d'arriver au paradis alors qu'une voix m'avait murmuré de revenir, m'interdisant de suivre cette lumière. J'avais écouté cette voix qui avait réchauffé tout naturellement mon corps. Et lorsque j'avais ouvert les yeux, ma lumière à moi m'avait ramené à la vie. Jeremiah. Mes lèvres n'avaient pas hésité à se presser contre les siennes alors qu'il pratiquait du bouche à bouche pour me transmettre de l'air. Ce genre de secourisme n'était réellement fait que pour ceux qui se noyaient non ?. Mais c'était tellement chevaleresque qu'on se moquait pas mal de la signification de son geste. « Et tu crois vraiment que je vais te laisser mourir sans moi ? Tu rêves éveillé Jeremiah... » Ma voix était tel un murmure au vent, j'avais essayé de me relever, mais rien à faire, mon dos avait fait un blocage et je ne savais pas du tout comment le débloquer, j'avais peur de faire un faux mouvement et de perdre mon dos à vie où de rester ainsi pour le restant de mes jours, sans pouvoir bouger. Ne pensons pas à un malheur, ce n'était juste qu'un petit blocage, rien de bien grave car un médecin s'en chargera en même pas cinq secondes. Jeremiah avait l'air si affolé, si inquiet, cela me touchait vraiment, même si je voulais lui épargner le regret. « Ce n'est rien Jerem, ça ne prendra même pas cinq secondes à un médecin pour me soigner !. » Pour l'obliger à ne pas s'en vouloir, j'avais tendu mon petit doigt en guise de promesse et j'espérais vraiment qu'il la saisisse. Mais non, il préféra acclamer des balivernes. Je vous jure cette bouche ! Autant je l'aimais, autant parfois j'avais envie de la coudre lorsqu'il n'en sortait que des bêtises. « Si tu penses ça, alors je suis une idiote qui ne te mérite pas également !. » Puisque toutes ces choses dangereuses, nous le faisons ensemble, nous étions partenaires merde quoi et j'étais consentante, alors s'il ne me méritait pas comme il semblait le croire, je ne le méritais pas aussi, c'est comme cela point barre. Mon portable maintenant entre ses mains, j'espérais qu'il puisse trouver rapidement de l'aide ou encore qu'il soit en état d'utilisation et dieu soit loué c'était le cas. Jeremiah contacta une ambulance, je soupirais de soulagement, mais avant de raccrocher, il avait tenu des propos assez surprenants. « Donc petit un tu m'as menti ? Et petit deux tu t'enfonces encore plus en te dénonçant à la police ?. » La colère monta d'un cran, alors que j'oubliais presque la douleur que j'avais au dos. « Alors laisse-moi te dire une chose Jerem, si les policiers se pointent et que tu ne trouves pas une excuse potable pour ne pas qu'ils t'embarquent, soit sûre que je ferais une gaffe à l'hôpital, alors vaut mieux que tu sois là-bas pour me surveiller ou il sera trop tard pour espérer revoir mon visage...et là, ce sera de ta faute !. » Mon regard était plus qu'assassin, douloureux, profond, je n'avais trouvé que ça pour l'obliger à se réveiller et à ne plus broyer du noir là maintenant au point de faire n'importe quoi ou d'agir sans réfléchir. Quelques minutes de silences passèrent, je ne rajoutais ni plus, ni moins, car mon cœur avait la rage et à la fois envie de le serrer contre lui afin qu'il ne l'échappe pas. Mais là, je voulais vraiment qu'il me croit capable de faire une bêtise simplement pour qu'il se démerde avec les policiers et monte dans ce foutu ambulance avec moi. D'ailleurs en parlant du loup, j'entendais les sirènes assez bruyantes, mon cœur fit un dérapé battant à tout rompre avec la peur qu'il ne me prenne pas au sérieux, ô combien j'étais capable de tout et il le savait. Je lui attrapais la main, serrant de toutes mes forces et je n'allais pas la lâcher de si tôt. Non ça jamais.
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J’arrivais à trouver de la beauté dans un moment si noir, grâce à elle. Son attitude légère arrivait à me calmer, rien qu’un peu, face à la gravité de la situation. Je savais qu’elle mentait, quelque part elle y était forcée pour m’aider à continuer de respirer. Je m’en voulais et je méritais d’en souffrir. « Et tu crois vraiment que je vais te laisser mourir sans moi ? Tu rêves éveillé Jeremiah... » Elle inspira un sourire à mon visage. «Tant que je meurs en premier, ça me va.» C’était un sujet plutôt cinglant, mais qui trouvait son romantisme. C’était presque une promesse, un sentiment avoué. C’était doux et c’était beau de savoir qu’elle y avait peut-être pensé également. Une vie sans elle n’était pas envisageable, aussi simple et drastique soit-il de le dire à vive voix, je le pensais du fond de mon âme.  « Ce n'est rien Jerem, ça ne prendra même pas cinq secondes à un médecin pour me soigner ! » J’hochai la tête vivement, rien qu’elle ne pourrait dire ou faire ne me convaincra que c’était ok de ne plus savoir bouger. Alors que j’étais en pleine capacité, elle était bloqué au sol, c’était injuste et inquiétant. «Ah, parce que tu es l’experte j’imagine? T’as pas besoin d’essayer de me rassurer, il est trop tard!» Je ne pouvais m’empêcher d’hausser le ton, elle m’énervait à garder son calme alors que je paniquais littéralement, que j’en perdais la tête et le souffle. Je ne la méritais pas. « Si tu penses ça, alors je suis une idiote qui ne te mérite pas également ! » Je grognai violemment mon désaccord. Je devenais un véritable enfant de ses situations de confrontation. Elle disait vraiment n’importe quoi! Si je m’écoutais j’arrêterais littéralement de la fréquenter, elle n’en serait que mieux, mais j’étais trop égoïste pour osé m’éloigner. « T’atteins un tout nouveau niveau de conneries ce soir Diams, laisse moi te le dire, c’est inquiétant.» J’appelai la police et l’ambulance, aussi bien faire d’une pierre deux coups, mon séjour en prison m’aiderait sans doute à me sentir plus léger et moins coupable. J’en avais besoin actuellement pour arrêter de me sentir aussi mal.  « Donc petit un tu m'as menti ? Et petit deux tu t'enfonces encore plus en te dénonçant à la police ? Alors laisse-moi te dire une chose Jerem, si les policiers se pointent et que tu ne trouves pas une excuse potable pour ne pas qu'ils t'embarquent, soit sûre que je ferais une gaffe à l'hôpital, alors vaut mieux que tu sois là-bas pour me surveiller ou il sera trop tard pour espérer revoir mon visage...et là, ce sera de ta faute ! » Elle c’était complètement enflammé en une fraction de seconde. Je ne la reconnaissais même plus. Ces mots se bousculaient pour sortir et j’absorbai chaque parole pour m’en nourrir.  Elle abusait, sincèrement. Je grimaçai d'abord, sa menace ne devait pas être prise légèrement, mais elle n’en avait pas le droit. L’idée seule me hanterait pour toujours. «Tu dépasses les bornes, rappelles moi de t’en vouloir quand tout ceci sera terminé. Je n’ai pas menti, je t’ai dit que je l’avais emprunté, j’avais juste omis de te dire que le propriétaire n’avait pas été informé de l’affaire, c’est tout.» Mes parents adoptifs  pouvaient m’en acheter des centaines dans le genre, mais je préférais en voler une, juste pour l’illégalité de la chose qui rendais le tout plus excitant. Elle m’attrapa la main fermement, choisissant de se taire quelques instants pour instauré une ambiance plutôt sérieuse pour une fois. Les sirènes retentir non loin de nous et cela soulagea dès lors le poids sur mon coeur. «Je te promet de ne jamais quitter ton chevet.» Soufflais-je en fermant les yeux pour entrer dans le personnage que je m’étais créé sur mesure pour me sortir d’affaire et exaucer son voeu immédiat. Quand un policier débarquas de la voiture je m’écriai aussitôt. «Il est partie en courant, par là je crois!» Je pointai la direction opposée à celle que nous avions employé. C’était complètement stupide, il n’y avait qu’une moto et deux personnes pour la chevauché… qui serais-je alors sinon le conducteur? Pourtant cela convainc l’agent suffisamment pour le mettre à la poursuite d’une présence invisible. Je me penchai à l’oreille de Diamantika pour lui murmurer ces mots; «Quand tu iras mieux, j'irai quand même en prison.» Un ambulancier s’attaqua à elle sans attendre, m’obligea à lui lâcher la main à contre coeur. Je la laissai travaillé en silence, me glissant sur le bords de l’ambulance pour être certain de faire partie du voyage. C’était simplement affreux à voir. La blonde se retrouva attachée de toutes parts à une planche de plastique, j’avais peur pour elle, avec elle… je me sentais affreusement coupable de lui infliger ce traitement. On la fit glisser dans la cabine et je pris ma place sans attendre qu’on me l’offre. Les larmes me montèrent aux yeux, mais je tentai de les lui cacher. Comme je n’avais à ma disposition qu’un bout de ses chevilles, j’en saisi une pour marquer ma présence. «Je suis là, je ne vais nulle part sans toi.» Criais-je par dessus les sirènes qui retentir de nouveau alors que le véhicule commeņçait sa course. Sur notre chemin nous laissions quelques débris, quelques indices qui m’incriminait par dessus tout. Je me laissais quelques heures, voire même minute avant d’être embarquer et envoyer parmi mes paires, en prison.
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Dès que nos regards se sont croisés et entrecroisés pour la première fois, j'ai su que c'était pour la vie peu importe la relation qu'on pourrait avoir. La preuve, aujourd'hui ont ne se quittaient plus. Alors, ne vous imaginez pas que je pourrais vivre sans lui, c'était impossible. Il tenta d'avoir le dernier mot et dans le genre têtu, il l'était, nous étions pareils sauf que là, je me résignais à lui laisser ce dernier. De toute façon ne parlons pas de malheur après tout je suis certaine qu'un radieux futur nous attendait. J'essayais de le rassurer, mais il me fit comprendre qu'il était trop tard pour cela et je le voyais bien, par-dessus son regard affolé, son air triste et abasourdie, il s'en voulait à mort et c'est ce dont je ne voulais pas voir dans ses yeux. Mais encore ici, je n'insistais pas et de toute façon il était trop tard sachant combien il était assez difficile de lui faire changer d'avis. Par contre, une chose que je ne laissais pas passer était le fait qu'il affirmait ne pas me mériter, c'était une chose absurde et j'avais jugé bon de lui répondre en suivant sa logique. « Nous l'avons atteint ensemble ce niveau de connerie Jeremiah et au plus profond de toi, tu le sais. » Ma voix était douce et calme contrairement à lui, comment imaginer que ma vie pouvait changer si radicalement et en si peu de temps ? Il m'avait fallu cet accident pour réaliser à quel point j'étais heureuse à présent. Ma vie venait de prendre un tournant inattendu et tellement plus merveilleux. Depuis que mon regard avait croisé le sien avant d'atterrir sur mon dos, j'avais senti mon coeur battre si fort dans ma poitrine et d'une façon tellement anormal que je n'avais jamais ressenti ça auparavant. Si bien que je lui fis comprendre que s'il ne ramenait pas ses fesses dans l'ambulance avec moi, j'allais faire une bêtise ayant été très clair, d'ailleurs je fus satisfaite de sa réponse. « Tu ne pourras jamais m'en vouloir, tu en es incapable, tout comme moi !. » Même s'il avait volé cette moto, je n'arriverais pas à lui en vouloir, certes ça ne m'avait pas plu, mais c'était Jeremiah et je pouvais tout lui pardonner, enfin presque tout n'exagérons pas non plus. Il me promis de ne jamais quitter mon chevet et en guise de réponse je lui déposais un baiser sur le haut de sa main accompagnée d'un tendre sourire. L'ambulance répondit enfin présent et les infirmiers s'exécutèrent assez rapidement, m'installant doucement sur une civière afin de monter dans l'ambulance. Jeremiah berna stupidement les policiers et monta comme promis avec moi. Il se saisit d'une de mes chevilles histoire de se montrer présent et quant à moi ?... Je ne faisais que lui sourire, que l'admirer sans pouvoir trouver de mot, je ne le regardais plus vraiment de la même façon, même mon mal ne comptait plus face à son visage. Il était l'anesthésie de mes maux. J'ai préféré le silence afin de pouvoir longuement le sculpter du regard. Tant bien que quelques minutes plutard je n'avais pas senti les sirènes s'arrêter, signe que nous étions arrivés. Sans plus tarder, on me transféra dans une chambre alors qu'une infirmière vint chercher Jeremiah pour s'occuper de ses petites égratignures. Allongée sur le lit à plat ventre, un docteur et un quiné entrèrent. Un infirmier installa un truc entre mes dents surement pour étouffer mes cris, car le quiné jugea bon de me prévenir que cela allait faire très mal. Et même qu'en parlant, il profita pour effectuer quelques mouvements, touchant quelques points précis, qui me volèrent un énorme cri laissant même le truc entre mes dents tomber, je n'avais pu l'empêcher de résonner dans toute la pièce, priant pour que Jeremiah n'entende pas cela. Pourtant, j'avais fait tout mon possible pour me retenir. Ils me firent une piqure d'anesthésie le temps que la douleur s'estompe me demandant de ne pas trop bouger pendant quelques heures. D'ailleurs, le docteur s'occupa de me refermer la blessure à la tête et conclu avec un sparadrap. Une fois les soins terminés, la robe d'hôpital habillé, ils m'installèrent de nouveau sur le lit et laissèrent Jeremiah entrer, nous laissant seuls enfin. Je poussais légèrement sans trop faire de mouvements et de ma main, je tapotais doucement la place à mes côtés que je venais de lui faire. « Viens là toi !. Tu vois, je t'avais bien dit que ça serait rapide. » Je lui souriais et j'avais en plus quelque chose à lui dire. « Tout à l'heure tu as dit que tu iras en prison quand j'irais mieux... et bien sache que je m’y opposerais, ta place est auprès de moi et non dans ce trou à rat !. » Une fois qu'il fut bien installé, je rompis la distance qui séparait nos lèvres, pressant avec plus d'ardeur et d'intensité, je ne me privais pas en passant de lui mordre la lèvre inférieure avant de glisser vers son oreille. « Je ne les laisserais pas te prendre, ni même toi t'en aller, parole de Diamantika. » Suite à ces propos assez clair, je posais ma tête sur son épaule, caressant tendrement son torse couvert par sa chemise. « J'espère qu'ils ont bien pris soin de toi aussi... » D'ailleurs je relevais la tête pour inspecter son visage et chaque partielle de sa peau.
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