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Toi ici ! ? ♣ Jaelle

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Vendredi 30 Septembre 2011. La rentrée a eu lieu depuis quelques jours et c’est déjà la couse pour Elsy en ce dernier jours du mois, ce dernier jour de la semaine. D’autant plus qu’elle part tout le week-end avec une amie. Où ? Nulle part. Un road trip sans destination définie, juste pour voir du pays et se fabriquer des souvenirs. Et les valises ne sont pas prêtes encore. Et au lieu de les faire, la brune doit aller en cours. Tout juste sortie de ses trois heures de cours de danse matinaux, la brune doit se hâter de prendre sa pause déjeuner, sur place sinon elle ne va jamais arriver à être à l’heure, avant de vite vite se rendre à son cours d’étude de l’histoire médiévale. Avant de quitter l’école pour passer à la patinoire suivre trois heures d’entrainement de patinage. Les jeux Olympiques d’Hiver n’ont lieu que dans trois ans mais l’athlète s’y prépare déjà, surtout que bientôt, ce sera les sélections. Après, elle pourra quitter la patinoire et rentrer chez elle et se reposer enfin… ou pas. Faire ses valises, manger, se laver, aller se coucher : tout un programme. Pour peu que ce soit le bordel à la coloc’ quand elle arrive et la voilà bien dans la panade. Mais elle préfère ne pas y penser alors que ses pas la guident à l’entrée de cantine. La demoiselle se choisit une place et y installe son sac à main avant d’aller remplir un plateau de ce qui lui fait envie… beaucoup de cochonneries. Friand au fromage, frites et paupiettes, la demoiselle prend tout de même des artichauts en prime, pour se sentir un peu moins coupable d’avoir cédé à l’appel de la gourmandise. Mais bon, avec tout les calories qu’elle brûle chaque soir sur la patinoire, elle peu bien s’accorder ce genre de petites folies de temps à autres quand l’envie lui prend, après tout.

Installée, la brune commence à manger en tripotant son téléphone, textotant quelques amis, écoutant ses messages. Elle mange distraitement et manque de peu de se mettre de la mayonnaise sur le t-shirt. Heureusement elle évite de peu cette menace et décide de reposer son appareil avant qu’une réelle catastrophe culinaire lui arrive. Si bien que son repas file, de fait, bien plus rapidement qu’auparavant. Soudain, elle prend conscience de l’heure qu’il est. Vite vite, son téléphone dans son sac. Encore plus rapidement, elle porte son plateau sur le chariot. Puis elle quitte la salle et descend les escaliers quatre à quatre, tourne à l’angle d’un couloir et… boum. Elle entre en collision avec une demoiselle arrivant juste devant elle.

«- Désolé désolé, vous ne vous êtes pas fait mal ?» demande la patineuse en se massant le front, sans avoir encore vu qui est la victime qu’elle vient de faire. Et soudain, elle ouvre des yeux ronds, quand son regard se pose sur ce visage. « Jaelle ? Qu’est-ce que tu fais ici !?»
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et dire que je croyais t'avoir perdue...
Elsy R. P. Esterhazy & T. Jaelle Collins-Schmidt

Harvard. Ou le rêve de jeune fille que tu as toujours entretenu depuis que tu savais vouloir aller étudier en arts plastiques. Tu savais depuis tellement longtemps qu'à cette université se donnait le meilleur programme d'arts. Tu le savais tellement que tu cassais les oreilles de ton père avec ça depuis bien trop longtemps maintenant. Et dire que tu y étais enfin. Jaelle Collins-Schmidt, étudiante de première année en arts plastiques. À Harvard. Membre de l'équipe de natation et du club d'arts. Et pour couronner le tout, tu avais intégré les Lowells... Sérieusement, tu prenais vraiment goût à la vie étudiante et pourtant, ça ne faisait pas un mois que tu étais officiellement des leurs. Bref, tu souhaitais profiter de chaque moment comme s'il s'agissait des derniers. Parce qu'on le sait, quatre ans, ça passe très vite. Peut-être même trop. Enfin... Aujourd'hui, on était vendredi et tu n'avais pas vraiment de projet pour le weekend. Tu appellerais sans doute ta copine et vous parleriez jusqu'aux petites heures du matin, mais en ce qui concerne ta journée du samedi et du dimanche, c'était le néant total. Tu en profiterais peut-être pour décorer un peu plus ta chambre, la mettre à ton image. Quoi qu'il en soit, il te restait encore un cours pour aujourd'hui et c'était celui que tu préférais le plus jusqu'à présent. Un cours de langage visuel... Pour ledit cours, tu avais revêtu un vieux jeans et une chemise vraiment hideuse. Tant mieux, c'était ce qu'il fallait pour peindre. Le pire qui pourrait t'arriver, c'était d'abimer tes beaux vêtements alors tu prévoyais le coup. Tu marchais dans le corridor d'un pas plutôt lent, cherchant toujours un peu les locaux du regard. Ça a beau faire presque un mois, tu n'as pas un très bon sens de l'orientation pour te souvenir de toutes tes salles de cours. Alors que tu tournais le coin, tu n'eus même pas le temps de penser, de réfléchir ou de prévenir le coup : tous tes cahiers s'étaient retrouvés par terre et toi... Bah tu avais soudainement très mal à la tête. Reculant d'un ou deux pas, tu portas rapidement ta main à ton front pour le masser. Ouch. Ce n’était pas très cool comme « rencontre », ça. Et pourtant, ça faisait tellement cliché. « Désolé désolé, vous ne vous êtes pas fait mal ? » fit une voix de jeune femme. Tu finis par cesser ton massage et releva les yeux vers ton interlocutrice. Oh, mais... était-ce ? « Jaelle ? Qu’est-ce que tu fais ici !? » Eh bah oui ! C'était Elsy ! Celle que tu avais rencontrée il y a fort fort longtemps, à la Maison Blanche... depuis que vous êtes gamines, vous vous écriviez des lettres et vous promettiez d'être toujours là l'une pour l'autre... Évidemment, le temps avait un peu changé la donne, mais... Wow ! Quel hasard qu'elle soit là ! « Elsy ? Mais... je pourrais te renvoyer la même question ! Je suis étudiante ici... J'ai commencé en septembre... Toi ? » dis-tu, d'une voix tellement surprise. Tu restas planté là à la regarder, la trouvant cent fois plus belle que dans tes souvenirs... Tu mis un temps avant de réaliser que tes livres étaient encore par terre et, rapidement, tu te penchas pour les reprendre. Bon sang... Tu n’en revenais pas. Elsy à Harvard ! Attends que tu le dises à ton père !

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«- Ce que je fais ici ? Bah... Je suis étudiante à Harvard depuis cinq ans déjà moi, Jaelle.»

La princesse répond ainsi à l’interrogation de sa vieille amie qui lui renvoie sa propre question, lui demandant donc ce qu’elle fait ici. La brune, qui arbore sur sa veste le blason de la Eliot House, n’en revient pas de voir cette jeune fille ici, dans la même université qu’elle. Malgré leurs lettres et les promesses de toujours être là l’une pour l’autre, les deux filles se sont perdues de vue. Se retrouver comme ça, par hasard, au détour d’un couloir, c’était quelque chose ! Elsy avait un peu l’impression d’être en train de rêver et que bientôt, elle allait se réveiller en réalisant que tout cela n’était qu’un jeu de son esprit. Mais non, il semblait que Jaelle soit effectivement face à la hongroise en cet instant. Vraiment, c’était… pas surprenant, parce qu’Elsy se rappelait bien comme son amie disait, depuis toute petite, qu’elle voulait aller à Harvard, mais c’était comique tout de même de s’y retrouver d’une manière si peu agréable et si peu conventionnelle. Le principe de faire des rencontres n’est pas de partir tête baissée et de se fracasser le crâne contre celui de la personne que l’on rencontre, après tout. D’ailleurs la patineuse artistique continue de se masser un peu la tête, signe qu’elle a eut mal. Ce qui ne va pas l’empêcher de profiter de ces retrouvailles que le ciel lui offre.

«- Cela me fait drôlement plaisir de te voir ici, si je m’attendais ! Mon dieu comme on a grandit depuis le temps où tu jurais sans cesse qu’un jour ou l’autre, tu irais à Harvard ! Je suis contente de pouvoir constater que ton rêve est devenu réalité ! je m’imagine que ton père doit être vraiment très fier de toi et très heureux que la vie t’offre de faire ce que tu voulais faire depuis que tu étais une toute petite fille ! Et tu étudie quel cursus ? Toujours passionnée par les arts et tout ce qui s’y rapporte ?»

La brunette sourit à son amie, heureuse que la vie lui offre la possibilité de retrouver cette dernière, de renouer la relation qu’elles ont un peu perdue au fil du temps. Elsy a hâte de retrouver si cela est possible la complicité qui les unissait il y a quelques années de cela, quand toutes deux courraient dans les couloirs de la maison blanche en Amérique. Cette fois qu’elles se sont retrouvées, la brune n’a pas l’intention de laisser sa copine lui ré échapper si facilement qu’elle a pût le faire auparavant.

«- Je parie que tu as atterrit chez les Lowell toi, avec tout les autres artistes de l’établissement, ou presque.»

Presque parce qu’Elsy aussi est une artiste, avec le patinage artistique justement, mais contrairement à nombres d’étudiant passionnés d’art ayant postulés à la lowell house, la brune a elle été intégrée parmi les Eliot House, une maison dont les membres ne veulent pas la voir partir. Et qu’elle-même ne veux pas quitter, s’y sentant bien.
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et dire que je croyais t'avoir perdue...
Elsy R. P. Esterhazy & T. Jaelle Collins-Schmidt

La revoir, ça semblait tellement irréel. La dernière fois que vous vous étiez vue, vous étiez encore toute jeune. Ta mère venait tout juste de mourir... C'est un peu grâce à la grande brune que tu avais su passer par dessus cette épreuve : lorsque vous vous êtes rencontrés, elle t'avait tout de suite changé les idées tout naturellement et vous aviez passés d'agréable moments ensemble. La revoir là, en chair et en os, c'était juste trop beau pour être vrai. Et pourtant, ce l'était. « Ce que je fais ici ? Bah... Je suis étudiante à Harvard depuis cinq ans déjà moi, Jaelle. » Oh bah... Cet information avait dû t'échapper, en fait. Tu ne sais même pas à quand remonte la dernière lettre que vous vous êtes échangées. « Cela me fait drôlement plaisir de te voir ici, si je m’attendais ! Mon dieu comme on a grandit depuis le temps où tu jurais sans cesse qu’un jour ou l’autre, tu irais à Harvard ! Je suis contente de pouvoir constater que ton rêve est devenu réalité ! je m’imagine que ton père doit être vraiment très fier de toi et très heureux que la vie t’offre de faire ce que tu voulais faire depuis que tu étais une toute petite fille ! Et tu étudie quel cursus ? Toujours passionnée par les arts et tout ce qui s’y rapporte ? » À ses paroles, tu souris. C'était beau de voir qu'elle se souvenait autant de toi. Parce que oui, certaines fois il t'arrivait de douter. Avec le temps, tu t'étais fait de nouvelles copines et tu pensais de moins en moins à écrire à Elsy. Tout comme de son côté, tu étais sûre qu'elle avait rencontré de nouvelles personnes... Du coup, ça te faisait vraiment plaisir de voir la joie sur son visage. « C'est fou, hein ? On en parlait il y a des années de ça et voilà que maintenant, on y est toutes les deux. C'est juste trop étrange, à la fois ! Et oui, mon père est toujours aussi fier de moi. » dis-tu en prenant une petite pause. Parler de lui te rendait toujours très sentimentale puisque tu t'ennuyais vraiment beaucoup de ce héro... « Et oui, je suis dans le programme d'arts plastiques ! Tu me connais trop bien ! » dis-tu en rigolant. Malgré le temps et la distance, c'était bien de voir qu'elle te connaissait encore assez bien pour se douter du programme dans lequel tu étais inscrite. « Je parie que tu as atterrit chez les Lowell toi, avec tout les autres artistes de l’établissement, ou presque. » Tu souris. Wow. Elle t'étonnait, cette magnifique Elsy ! « Oui, effectivement ! J'ai longtemps hésité entre la Lowell et la Quincy, même si on me disait que j'avais droit à la Eliot, ça ne me plaisait pas... Je ne me considérais pas cadré dans le moule... Toi, en revanche... » dis-tu en pointant du doigt l'écusson de la EH sur la veste de la grande brune. Après tout, tu ne l'aurais pas vue ailleurs. Elle est quand même Princesse ! Toi, qu'aurais-tu à dire à ces autres bleus ? « Oh, je suis riche parce que mon père défend le Président des États-Unis et parce que ma mère, à sa mort, m'a léguée toute sa fortune ». Ça ne se faisait pas. Et de toute façon, la richesse n'a jamais été dans tes... valeurs.

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C’était bon de se revoir après toutes ces années. Comme si l’une et l’autre ne s’étaient jamais quittées et avaient seulement fait un bon dans le futur. Elles se contactaient de moins en moins souvent avec le temps mais Elsy avait l’impression que rien ne s’était passé, que le temps n’avait pas réussit à les éloigner, qu’elles avaient toujours autant de plaisir à se voir et à discuter ensemble. C’était étrange et en même temps, c’était très agréable de constater que parfois, les choses restent comme on a pût les laisser. Le sourire aux lèvres, Elsy était ravie de retrouver son amie d’adolescence, comme elle avait été ravie de retrouver Demetrio, son amoureux d’enfance, ici. Mieux, elles se connaissaient exactement comme si tout était comme autre fois. Elsy connaissait encore bien la jeune femme au point de se douter de la maison qu'elle avait rejoint. Lowell c'était une évidence même si la brune lui indiqua avoir hésité avec la Quincy house qui lui serait très bien allé aussi certes. Mais la hongroise avait sentit d'instinct que son amie avait choisit la maison des artistes. Elle en était vraiment une après tout. Bien sûr elle aurait également pût intégrer la maison Eliot. Mais Elsy la voyait mal répondre aux valeurs de sa maison. Même si elle aussi, son père n'avait jamais parié qu'elle serait Eliot. Cela ne lui ressemblait pas disait-il. Mais ça convenait à la jeune femme et elle s'y epanouissait, c'était tout ce qui comptait. Même si pour une Eliot la jeune femme était un peu spéciale. Elle n'était pas hautaine où égoïste comme certains Eliot. Malgré ces traits qu'ont ses pairs la brune les aimait bien tout de même. Ils avaient leurs bons cotés quoi que l'on puisse en dire. Il y avait bien sûr toujours de mauvaises langues mais les Eliots n'étaient pas si terribles que certains le laissaient supposer lorsqu'ils évoquaient cette maison et le caractère particulier de ceux qui la composent. Des fils et filles à papa oui c'est bien vrai, tous plus riches les uns que les autres, qui se debarassent des ennuis à coup de chèques ce n'est pas totalement faux. Mais Elsy songe que les Eliot cela n'est pas que ça. Ce n'est pas resumable ainsi. Ils sont plus complexes à cerner. Et plus humains que certains veulent bien le leur concéder. Pour les côtoyer chaque jour la patineuse hongroise sait bien comme aussi de grands tendres par moment. Il y a dans cette maison une vraie camaraderie entre les membres, qui est indéniable.

"- Oui je suis une Eliot. Mais tu sais... Ils ne sont pas aussi terribles que ce que l'ont dit. Oh un peu... Près de leurs sous pour certains je te l'accorde. Mais ce ne sont pas les monstres sans coeurs que certains s'imaginent je peut te le garantir." sourit la demoiselle à l'attention de son amie, désireuse de ne pas mal passer à ses yeux à cause du fait qu'elle soit de cette maison aux membres populaires, célèbres et bourrés de défauts autant que d'argent. À ce que l'on dit bien sûr car ce n'est pas forcément vrai. Ils ne sont pas tout noir pourris tout de même. Elsy est bien placée pour le savoir.

"- Alors quoi de neuf depuis tout ce temps qur tu ne m'a pas dit dans tes lettres ? Je veux tout savoir ! Ça te dit un café ?"
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et dire que je croyais t'avoir perdue...
Elsy R. P. Esterhazy & T. Jaelle Collins-Schmidt

Le monde est si petit. Comment, après tout ce temps sans s'être vues ni parlées, vous pouviez vous retrouver comme cela, si facilement, au détour d'un couloir ? Tu avais de la difficulté à croire aux coïncidences parce que dans ta vie, il n'y en a jamais eu. Tu croyais plus à un hasard agréablement surprenant. C'est peut-être que quelqu'un, en haut, a guidé vos ficelles pour que vous vous retrouviez. En tout cas, tu étais tellement heureuse de constater à quel point Elsy se souvenait bien de toi, de qui tu étais et de ce qui te plaisait, à l'époque. Ça te faisait chaud au coeur, littéralement. « Oui je suis une Eliot. Mais tu sais... Ils ne sont pas aussi terribles que ce que l'ont dit. Oh un peu... Près de leurs sous pour certains je te l'accorde. Mais ce ne sont pas les monstres sans coeurs que certains s'imaginent je peut te le garantir. » Tu souris, laissant même un petit rire s'échapper. C'est vrai que lorsqu'on passe devant la maison des Eliots, on a souvent tendance à baisser la tête, à ne pas les regarder directement dans les yeux. Tu as entendus beaucoup de gens parler en mal d'eux, tu as entendus des millions d'histoires les concernant, mais personnellement, qu'est-ce que ça pouvait te faire ? Tu connaissais quand même quelques Eliot et tu les appréciais réellement. Ton père t'a toujours répété qu'il ne fallait jamais juger quelqu'un de par son apparence. C'est la même chose pour un livre; il ne faut pas en juger un par sa couverture. Puis il y avait Demetrios que tu avais rencontré il y a à peine quelques jours. Un très gentil Eliot... Alors non, à tes yeux les bleus ne sont pas tous mauvais. « Je ne juge pas les Eliot, ne t'en fait pas. Ce n'est pas vraiment mon genre non plus de prendre ces histoires de confrérie trop au sérieux. Je ne m'empêcherai pas de parler à un tel ou une telle parce qu'il ou qu'elle est dans une " maison adverse "... » dis-tu en rigolant. Tu savais toutefois que beaucoup de gens prenaient ces histoires de maisons très au sérieux. Un peu trop parfois, mais c'était juste drôle à voir. « Alors quoi de neuf depuis tout ce temps qur tu ne m'a pas dit dans tes lettres ? Je veux tout savoir ! Ça te dit un café ? » Tu souris une nouvelle fois, consultant ta montre. Il te restait un bon quinze minutes encore avant ton prochain cours. Ça te laissait suffisamment de temps. « Va pour le café ! J'ai un peu de temps à tuer avant mon prochain cours. Et tu sais... Tu n'as pas manqué grand chose, depuis ma dernière lettre en fait... Je t'avais dit qu'entre Katherine et moi s'était fini ? Bah... Maintenant je suis avec Jesse. Ça va faire bientôt un an que nous sommes ensemble. » commenças-tu en marchant vers le café. Elsy se mettant à côté et vous marchiez au même rythme. Tu te souvenais lui avoir dit pour ton coming-out et de la façon dont ton père avait fabuleusement réagit. Seulement, tu ne pensais pas lui avoir dit les récentes updates de ta vie de couple... En tout cas, c'était pas mal tout ce qu'il y avait de nouveau dans ta vie, hormis Harvard.

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Comme la brunette accepte d’aller boire une tasse à la cafétéria de l’établissement, Elsy se met en route comme pour guider son amie. Elle va en profiter pour approfondir un peu les connaissances de cette dernière sur l’établissement scolaire en lui-même. Comme une espèce de guide lors de la journée porte ouvertes. Elles ont visiblement un peu de temps devant elle avant que chacune ne se doive de reprendre ses cours alors Elsy songe qu’elles ont bien quelques instants devant elles avant le cours suivant. Quelques minutes qui leur permettent de se rendre à la cafétéria et de prendre place à une table après avoir demandé une tasse fumante entre leurs doigts, qu’elle s’empresse de poser sur la table choisie avant de tout renverser par maladresse. Sitôt installées, Elsy jette un regard envieux à son thé, à qui elle ne compte pas laisser, visiblement, beaucoup de temps pour redescendre de température. Il est vrai qu’il fait relativement frais dehors en ce moment et que se réchauffer un peu l’intérieur à l’aide de boissons chaudes est un réel délice. En tout les cas, Elsy trouve un plaisir certain et c’est assez rapidement en ce qui la concerne que son thé est achevé, ce qui lui permet de réellement se concentrer sur sa discussion avec Jaelle. Les deux amies, anciennes adolescentes, sont cela est vrai très heureuses de se retrouver, de pouvoir passer un peu de temps ensembles. Si heureuses de voir la vie leur jouer ce bon tour, si agréable à leur cœur. Et bien sûr, ça cancane chéri, après la révélation que la Lowell a fait à son amie célibataire, quand à sa relation avec un jeune homme dont pour le moment Elsy ignore quasiment tout, sauf le prénom.

«- Et donc tu as un peu des projets avec ce jeune homme euh… comment dis-tu déjà ?» un large sourire sur les lèvres indique à Jaelle qu’Elsy se souvient parfaitement du prénom de Jesse mais qu’elle veut la taquiner un peu, puisqu’il faut bien trouver un sujet sur lequel le faire. Ce sera les amours tant que la nouvelle arrivante à Harvard n’y voit aucun inconvénient, ni son chéri non plus. «Et vous vous êtes connus comment tout les deux ? Il est étudiant ici, à Harvard ? Il est né où ? Il a quel âge ? Oh recompte moi donc Jaelle, je veux tout savoir moi !» lance la brune d’un air très intéressée par cette affaire dont il est question. Les affaires de coeur, quand elles sont belles surtout, sont toujours intéressantes à écouter.
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et dire que je croyais t'avoir perdue...
Elsy R. P. Esterhazy & T. Jaelle Collins-Schmidt

Cela ne prit que quelques minutes avant que vous soyez finalement assise l'une en face de l'autre, à une table de la grande cafétéria d'Harvard. Elle avait un thé fumant, toi tu avais opté pour un chocolat chaud tiède. Tu n'aimes pas te brûler la langue et les lèvres avec des boissons trop chaudes, donc tu demandes toujours à ce qu'on dilue le breuvage avec de l'eau froide. Une vieille habitude que tu n'allais certainement pas perdre de si tôt. Tu venais de parler de ta nouvelle relation avec Jesse à Elsy. Elle te regardait avec ces beaux grands yeux pétillants, avide de beaucoup plus de détails. Cela dit, il y avait un petit truc qu'elle ne semblait pas avoir saisi. Tu ne pouvais pas lui en vouloir, après tout ce temps sans vous êtres parlé, peut-être avait-elle oublié ton homosexualité ? Après tout, tu n'es pas vraiment le genre de lesbienne qu'on repère de loin. Qui plus est, Jesse était un prénom autant masculin que féminin... « Et donc tu as un peu des projets avec ce jeune homme euh… comment dis-tu déjà ? » Tu souris légèrement, mal à l'aise de devoir lui briser sa bulle. « Et vous vous êtes connus comment tout les deux ? Il est étudiant ici, à Harvard ? Il est né où ? Il a ... » Mon dieu... Tout ces « il » ça te faisait presque mal à la tête... Tu étais triste de vraiment devoir remettre les pendules à l'heure avec Elsy. Un sourire mal à l'aise s'installa sur ton visage, pas prêt à s'enlever. « Je t'arrête tout de suite, Elsy... » commenças-tu lentement, pour ne pas la vexée de lui couper la parole ainsi. « Jesse, c'est une fille... Je croyais que tu savais que j'étais gai... » dis-tu, mal à l'aise. Et si elle ne voulait plus te parler parce que tu es gai ? Après tout, elle est Eliot ? Peut-être que les gens de sa maison sont contre ça ? Tu soupiras légèrement. Ça t'étonnerait que la jeune femme agisse ainsi, mais... Sait-on jamais quand même. Tu préférais prendre le temps qu'elle digère cette information avant de te remettre à répondre à ses questions... Au cas où.

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Soudainement, alors que Jaëlle la coupe dans ses propos pour remettre les pendules à l’heure, Elsy se sent très bête, très mal à l’aise. Surtout qu’elle sait très bien pour l’homosexualité de la demoiselle qui lui fait face, ce qui ne l’a jamais dérangé. Contrairement à pas mal de membres de la maison Eliot, la hongroise n’a rien contre le fait que deux femmes ou deux hommes puissent s’aimer. D’autant plus qu’elle-même se reconnait comme étant bisexuelle. Mais avoir oublié que la jeune femme lui a dit un jour, dans une lettre, avoir fait son coming-out auprès de son père, c’est trop bête. Elsy se sent tout à fait impardonnable. Elle ne sait trop que dire ni comment réagir en cet instant, alors qu’un sentiment de gêne profonde l’envahie et qu’elle sent ses joues se parer d’un beau rose. Mon dieu, que va penser la Lowell, en découvrant que son amie d’adolescence ne se souvient pas de cet important détail de son existence ? Le détail le plus important de cette existence à vrai dire ? Elsy se sent bien sotte. Elle aurait dût s’en souvenir, elle n’aurait jamais dût faire de mal à Jaëlle en oubliant totalement son homosexualité. La hongroise s’en voulait vraiment. Mais Jesse aussi, cela l’avait induite en erreur, fatalement. Cela fait très masculin. Bien sûr c’était mixte mais deux stars portant ce nom étaient des hommes : il n’en avait pas fallu davantage pour que la brunette fasse une méga boulette.

«- Je… Je ne sais pas quoi dire. Je veux dire… Je me sens vraiment idiote d’avoir oublié, parce que je me souviens très bien que tu me l’as dit dans une lettre mais… mon dieu je me sens tellement idiote. Je ne voulais ni te vexer ni te blesser en oubliant ça je ne sais pas… ce qui est arrivé. Pour que j’oublie ça. Je te demande pardon, réellement. Je… mon dieu, je me sens tellement bête en cet instant je te jure… » se morfond la patineuse pleine du remords d’avoir fait une belle boulette. Les yeux rivés sur sa tasse de thé brûlant qui fume encore, la jeune femme se demande comment elle peut bien faire pour se racheter auprès de Jaëlle. Elle décide finalement de reprendre là où elle s’est arrêtée. «Alors tu as… des projets avec cette fille ? Comment et où l’as-tu rencontrée ? Elle est étudiante ? Elle est née où ?»
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et dire que je croyais t'avoir perdue...
Elsy R. P. Esterhazy & T. Jaelle Collins-Schmidt

Tu préféras mettre les cartes sur table tout de suite, histoire de ne pas laisser Elsy dans le déni. Après tout, un oubli ça arrive à tout le monde ! Qui plus est, vous ne vous étiez pas écrit depuis fort longtemps et elle devait tellement être occupé avec ses cours à Harvard et tout ça. Tu ne pouvais absolument pas la blâmer pour ça. Ce serait totalement inapproprié voire même égoïste de ta part. Parce que même toi, d'un sens, tu ne sais pas tout de tout à son sujet. La Hongroise commença donc à visiblement se sentir mal, très désolée de ce blanc de mémoire. Tu souris légèrement, histoire de la rassurer. Tu ne lui en voulais pas, loin de là. Seulement, la voir se mettre dans tous ses états te fit légèrement rire. « Je… Je ne sais pas quoi dire. Je veux dire… Je me sens vraiment idiote d’avoir oublié, parce que je me souviens très bien que tu me l’as dit dans une lettre mais… mon dieu je me sens tellement idiote. Je ne voulais ni te vexer ni te blesser en oubliant ça je ne sais pas… ce qui est arrivé. Pour que j’oublie ça. Je te demande pardon, réellement. Je… mon dieu, je me sens tellement bête en cet instant je te jure… » Tu souris de plus belle, posant ta main sur l'avant-bras de la jeune femme. « Ne t'en fait pas ! Ce n'est rien voyons ! » dis-tu pour la rassurer davantage. Elsy reprit alors son interrogatoire en choisissant les mots justes. « Alors tu as… des projets avec cette fille ? Comment et où l’as-tu rencontrée ? Elle est étudiante ? Elle est née où ? » Tu pris une gorgée de ta boisson avant de te racler la gorge doucement. « Alors elle s'appelle Jesse, nous sortons ensemble depuis un an maintenant. On s'est rencontré au lycée, à Washington. Pour le moment c'est compliqué parce qu'on se voit de moins en moins. Elle, elle a décidé de rester étudier là-bas donc... Mais on essaie de garder contact. On va voir ce que l'avenir nous réserve ! » dis-tu alors, un sourire un peu rêveur collé au visage. C'est vrai qu'avec Jesse, c'était plus ou moins... Comment dire ? Simple, en ce moment. Vous aviez chacune de nouvelles routines et si ça se trouve, de son côté, elle t'avait déjà oublié. Enfin bref, ne pensons pas au pire ! « Et toi ? » demandas-tu alors en reprenant une gorgée.

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