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→ JACKIE AND AIDAN
M’attacher à quelqu’un était rare. Et faire entrer quelqu’un dans ma vie l’était encore plus. Sans m’en rendre compte Aidan était rentré dans ma vie. Je prenais conscience de cela. Et cette idée m’effrayait bien plus que ma relation avec Sam. « Tu me demandes une chose dont je ne suis pas capable. » fit-il froidement. Mes yeux se plissaient. « Je ne suis pas le gentil garçon qui attend sagement dans ton jolie décor de Cabot que tu te casses la gueule, je suis ton ami non ? » bien sûr qu’il l’était mon ami. Je portais ma main à la tête, agacé par ces retrouvailles. « Un ami se doit d’avertir l’autre quand il fait de mauvais choix, et je ne vais pas rester tranquillement à observer tout ça, tu fais le mauvais choix avec Sam, car je sais que tu t’y attaches mais lui a bien d’autres choses en tête, il a changé, il est différent et de toute manière, les filles sont que de passage pour lui » Mon regard se releva vers lui. Et je répondis tout aussi sécheraient : « Oh parce que tu crois qu’un ami partirait maintenant ? Tu le crois vraiment ? » il se recula peu à peu à moi. Le rejet était une chose que j’ignorais encore et cela ne me plaisais pas. « Je veux pas que tu souffres, et je veux pas être d’accord avec tout ça. De toute manière, ça sert à quoi nos petits jeux maintenant que tu es dans une vrai relation ? » Aidan voulait me protéger d’une façon dont j’ignorais encore l’existence. Tout ceci était particulier. J’aimais ma relation avec Aidan, bien plus que ce que je le pensais. Je regardais sur le coté avant de reposer mon regard sur Aidan. « Tu sais quoi j’ai compris Norrington ! Tu veux pas de tout ça » dis-je en faisant un cercle désignant notre relation. « Tu as été super clair là-dessus ! Tu veux pas que je souffre ? Je ne te demande pas de t’en préoccuper ! J’ai souffert une grande partie de ma vie Norrington et sa se passe de détail. » dis-je sèchement et froidement. « Et le pire dans tout ça, c’est que t’arrive à me toucher ! T’arrive à me blesser.. » dis-je énervé. « Va y… cour, part ! C’est tellement plus facile… moi j’en ai ma claque » dis-je fébrilement encore une fois. Les mots étaient sortie. Je ne voulais pas qu’il parte mais cette situation devenait insensé. Je me retournais et mis la cigarette à ma bouche.(Invité)