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Au fond on se ressemble pv AIDAN ♥

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→ JACKIE AND AIDAN



Le virus se dissipait. Je me sentais beaucoup mieux depuis quelques jours. La fatigue, les courbatures semblaient loin derrière moi. Une chance, je voyais enfin le bout de toute cette histoire. Les cauchemars par contre eux étaient de plus en plus fréquents. Le virus m’avait rendu anxieuse. Ma mère était de retour et vivait non loin de l’université. Heureusement pour moi, la présence de mon nouveau petit ami Sam m’apaisait beaucoup. J’affichais un sourire en sachant que je m’étais lancée dans une relation sérieuse. Moi, Jackie-Elie Stevensen. Je me surprenais moi-même de cette situation qui restait très agréable en ses temps de crise. L’air frais m’avait manqué. J’étais assise sur une des tables qui se trouvaient dans le jardin de l’université. Très peu de monde venait ici surtout en cette période. La fraicheur m’encouragea à partir. Je me levais doucement et partis pour rejoindre la chaleur des bâtiments de l’université. Mon regard était préoccupé et rivé sur les flocons de neige qui tombaient du ciel. J’adorais la neige. Ma maladresse m’accompagna dans ma chute. « Aiiiiiiiil… » dis-je surprise de voir que je venais de percuter quelqu’un. Mon regard se leva et s’arrêta sur le visage d’Aidan. Qu’est qu’il faisait là . Mon regard se fronça : « qu’est que tu fais ici ? » dis-je instinctivement. Nous nous étions pas vu depuis l’hôpital. Il semblait en forme. « Ça fait longtemps » dis-je en levant les yeux. Il me tendit sa main pour m'aider à me relever et je lui fis : " Non c'est bon, je peux me relever toute seul " dis-je en me redressant tant bien que mal.
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L'errance, plus qu'un credo, c'était un peu devenu son mode d'existence ces derniers temps. Sa silhouette longiligne déambule dans les lieux qu'elle cotoie de la fac. Aidan niant qu'inconsciemment, il souhaiterait revoir Jackie, en apparence, il s'applique à fuir la Belle pour mieux tenter de l'apercevoir quelques secondes plus tard. Il sait qu'elle est avec Sam désormais, et il enrage de se savoir à l'écart. Mais n'allez pas croire, sa vie est un beau merdier. D'une de ses seules relations platoniques avec la gente féminine, il s'est découvert une possible paternité, comme quoi tout ce qui relève de l'autre sexe, il s'applique à le démonter en lambeaux. Son regard limpide se perd dans la vague, dans les tourbillons légers de la neige, donnant au froid des bâtiments, une apparence cotonneuse, presque douce. Jusqu'à ce bruit sourd, et cette sensation d'un corps qui glisse contre le sien. « Indiana ! » lâcha-t-il surpris. Oui, ne cherchez pas Indiana c'est sorti tout seul. Aveu de faiblesse. Il se mord aussitôt l'intérieur de la joue, coupable. On ne peut plus jouer aux jeux d'autrefois. Aidan lui tendit néanmoins la main, main qu'elle s'appliqua à refuser , froide comme la glace qui les entourait. « Je me promène. » lâcha-t-il d'une voix neutre. « ça fait longtemps effectivement. Apparemment, on est tous les deux sortis de l'hôpital. » Le Peintre regarda distraitement ses souliers avant de relever son visage vers celui de Jackie. « Tu t'es pas fait mal ? » Quand même, fallait bien qu'il fasse un minimum preuve d'attention, c'était pas une inconnue qu'il avait en face de lui.
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Aidan était devant moi. Mon regard se posa sur lui. J’analysais les traits de son visage. Il semblait moins fatigué, moins atteint par la maladie. Une partie de moi était soulagée de le voir dresser devant moi. Et L’autre partie de moi lui en voulait. Depuis mon retour beaucoup de choses avaient changé. L’officialisation de ma relation avec Sam, l’arrivée de ma chère mère à Cambridge, notre relation. Beaucoup trop de choses avaient changé et j’en étais perturbée. « Je me promène ». Mon regard était figée, pleine de reproche. Aidan était pour moi le coupable de cette situation. La distance n’avait jamais faitfais partie de notre amitié. Bien au contraire. Il se promenait. Aidan aimait la solitude tout comme moi. Je ne lui répondis pas. Mon regard fixa pendant quelques secondes un arbre évitant le regard du jeune Lowell. « Ça fait longtemps effectivement. Apparemment, on est tous les deux sortis de l’hôpital ». Mes yeux se froncèrent comme ça il était au courant que j’avais été malade. Je lui fis : « Oh… donc tu savais ». Je croissais mes bras contre moi. En règle générale, j’aurais sauté dans ses bras. Son étreinte me manquait. J’avalais ma salive. « Tu t’es pas fait mal ? ». Je soufflais et lui répondis rapidement : « Parce que maintenant tu t’en soucies… pourquoi tu m’as pas appelé Norrington ? Pourquoi tu m’as pas donné de nouvelles depuis l’autre jour ? » lui dis-je en fronçant les sourcils montrant mon mécontentement.
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Oui il savait, et combien de fois ses doigts mal-assurés avaient effleuré la surface tactile de son téléphone avant de se résigner ? A observer ainsi Jackie et mentalement la scène comme si il était un simple observateur, il y avait de quoi s'interroger en voyant ces deux personnes se chamailler après s'être croisé comme de vulgaires inconnus. Comment avaient-ils pu en arriver là ? Une partie de lui hurlait de la prendre dans ses bras et de sortir une grosse connerie perverse comme au bon vieux temps. Mais le temps était passé et son orgueil s'était gonflé d’idéaux aussi stupides, qu'obsolètes. Inexplicables, pour un cas comme lui. « J'étais trop fatigué. » prétexta le menteur. Guettant la lueur incrédule de la Cabot, il ajouta : « Et je te savais bien entourée. » Un peu plus d'honnêteté ferait l'affaire, il n'avait pas forcément besoin de préciser l'entourage pour qu'elle comprenne. « Et je te signale que tu aurais pu en donner aussi des nouvelles Stevensen. » lui lâcha-t-il d'une voix cassante. Car dans sa mégalomanie, il s'était terré derrière ses principes et sa volonté de ne pas s'abaisser à la soumission. « C'est bien que tu n'en ressentait pas le besoin. Tu as d'autres chats à fouetter. » conclut-il finalement, l'azur de ses pupilles laissant place à de bien sombres horizons.

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Ma révélation avait jeté un froid entre moi et le jeune Norrington. Ma franchise m'avait encore une fois porter préjudice. Du moins s'était ce que j'avais conclu. Aidan ne m'adressait plus la parole. Je ne demandais pas grand-chose un simple SMS m'aurait suffi. " J'étais trop fatigué " à sa réponse mes yeux se froncèrent et mon visage se fermait. Trop fatigué ? une excuse digne des plus gros menteurs. " Et je te savais bien entourée " lâcha-t-il ensuite. Ma tête se levait et je me mis à soupirer. Mon regard se perdait dans le ciel. Voilà la vraie raison. Aidan avait beau prétendre qu'il était malade, fatigué. Il y avait autre chose ! Je le regardais dans les yeux et lui dis : " Voilà la vraie raison Norrington ! " dis-je énervée. Nous étions pleins de reproche, si loin de la complicité d'autrefois. Bien sûr, l me manquait et bien sûr qu'il était quelqu'un d'important mais aujourd'hui il merdait complètement. " Et je te signale que tu aurais pu en donner aussi des nouvelles Stevensen ". J'aurais pu effectivement mais pour être honnête avec vous. J'attendais un signe. Une approbation. En partant dans le couloir, j'avais ressenti ce malaise et depuis il ne s'était pas estompé. Je m'apprêtais à répondre lorsqu'il annonça " C'est bien que tu n'en ressentais pas le besoin. Tu as d'autres chats à fouetter ". Mon visage montrait l'incompréhension et le dégoût. Je ne pris pas longtemps pour lui répondre : " Tu te fiches de moi Norrington ! Tu es le roi des égoïstes là. Le problème s'est Sam. je n'ai jamais réagi comme ça quand tu étais avec June ou bien même avec Emma. Et pourtant j'étais loin d'approuver tous tes choix mais je suis resté à coté de toi. J'ai jamais réagi comme toi tu le fais maintenant. J'ai toujours été avec toi ! " dis-je énervé. La tranquillité des lieux nous permettait de nous exprimer tranquillement. " Franchement tu déconnes Norrington " dis-je plus calmement tout en gardant mon regard froid.

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La discussion tournait au vinaigre mais Aidan n'avait pas envie d'arrondir les angles comme la fois précédente. Oui, cela le faisait chier que Jackie ait décidé de jouer au gentil couple parfait avec son ami Sam, puisqu'elle savait que ce choix n'était pas le bon et il n'avait pas envie de le cacher. Il se mit à sourire devant les reproches de la Blonde, se cachant derrière des apparences moqueuses pour mieux la faire sortir de ses gonds. « Tu ne savais pas depuis le temps ? » Il se rapprocha d'elle et baissa son visage vers le sien. « Ne t'as-t-on jamais dépeint Aidan Norrington comme un parfait connard ? Un mec qui ne pense qu'à lui et qui s'envoie les nanas de passage. » Ses yeux se plissèrent tandis que sa bouche lançait les paroles acérées. « Oui, ce Norrington est là devant toi. » Il se mordilla les lèvres. « Mais il semble que ton choix se soit portée sur pire personne. J'adore Sam mais il n'est pas pour toi. Dis-moi simplement pourquoi tu choisis toujours le pire mec qui soit ? Celui qui prendra ton petit cœur fragile que tu t'acharnes à cacher et qu'il piétinera encore en morceaux. » Sa main chercha fébrile une cigarette dans sa poche avant qu'il ne la porte à ses lèvres et l'allume. « Je suis désolé Stevensen mais je n'ai pas envie d'assister à ça. » Il extirpa la fumée de ses poumons. « Et faut croire que toi non plus, puisque tu attends de me croiser dans la rue pour me faire tous ces reproches. » June, puis elle, finalement, elles le cataloguaient toutes dans la catégorie « connards » et il ne faisait rien pour s'en défendre, fallait dire que la mauvaise réputation était bien plus confortable de par la distance qu'elle imposait naturellement.
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Le sourire d’Aidan m’exaspérait. Mon regard tenta de trouver un autre angle d’approche. Le jeune Lowell possédait de nombreuse arme. Il me connaissait et rare était les personnes qui pouvait l’utilisé contre moi. « Tu ne savais pas depuis le temps ? » il se rapprocha doucement de moi. J’avalais ma salive et ne le quittais pas des yeux. Bien sûr que je préférais le voir loin de moi. J’avais juste envie d’arrêter de parler pour finalement me laisser aller à des pulsions plus familières. « Ne t’as-t-on jamais dépeint Aidan Norrington comme un parfait connard ? Un mec qui ne pense qu’à lui et qui s’envoie les nanas de passage ». Mon regard ne plissait pas. Je ne parlais pas, pas encore. « Oui ce Norrington est là devant toi ». Mes yeux se plissèrent aussi. Et je finis par me rapprocher d’un pas rendant l’écart presque infime. Je pris une voix claire. « Et ce Norrington ne me fait absolument pas peur ! » dis-je en prenant soin de détacher chaque mot. Je n’avais pas peur de lui finalement je ne l’avais jamais été. « Une belle façade Norrington ! » bien sûr qu’il se cachait. Je faisais la même chose. Il se mordilla les lèvres et enchaina : « Mais il semble que ton choix se soit portée sur pire personne. J’adore Sam mais il n’est pas pour toi. Dis-moi simplement pourquoi tu choisis toujours le pire mec qui soit ? Celui qui prendra ton petit cœur fragile que tu t’acharnes à cacher et qu’il piétinera encore en morceaux. ». Pour être honnête, je ne savais pas quoi répondre. Une part de vérité se cachait derrière tout ceci. Et mon silence en était la preuve. « Je suis désolé Stevensen mais je n’ai pas envie d’assister à ça. ». Je me mis à soupirer. Et finis par piquer la cigarette qu’Aidan tenait du bout des doigts. Je l’apportais à ma bouche. « Et qui te dis que j’ai un cœur Norrington ? Qui te dit que finalement ce n’est pas moi qui finirait par faire du mal à quelqu’un de bien ? Y a bien longtemps que je ne m’accorde plus le bénéfice du doute. » dis-je en soufflant l’épaisse fumé de cigarette. « Et faut croire que toi non plus, puisque tu attends de me croiser dans la rue pour me faire tous ces reproches ». Nous étions toujours aussi proche l’un de l’autre. Je le regardais dans les yeux. S’était bizarre. On s’engueulait mais on ressentait ce besoin de proximité. « Mais parce que tu ne t’ai pas préoccupée de moi depuis ton retour. C’est moi l’égoïste maintenant. » dis-je en le regardant dans les yeux.

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Aidan était partagé, une partie de lui avait envie de rire et de la prendre dans ses bras, mais une autre se défendait et lui criait de prendre ses distances face à cette fille qui avait choisit un de ses meilleurs amis. Il n'y avait rien de bon à préserver leur espèce de relation. Elle avait beau être basée sur le jeu, elle devenait bien trop ambiguë pour perdurer alors qu'elle avait choisit d'autres bras dans lesquels se blottir. « Il n'est pas là pour te faire peur, mais juste pour que tu saches qu'il ne faut rien en attendre. » lui répondit-il doucement. Elle s'approcha encore davantage de lui, leurs corps étaient presque collés, ce qui était singulier alors qu'ils se déchiraient. La Cabot lui volant sa cigarette, en temps normal, il aurait rit et se serait moqué d'elle en la traitant d'enfant, mais il était bien trop en colère pour s'apaiser. « Je te connais, et je sais que tu en as un. J'ai vu ta tête quand tu as revu ce Léo, j'ai subi ta réaction, alors trompe ton petit monde avec tes airs de peste, mais moi je te connais vraiment. » Il avait dit ces mots avec assurance, et quelque part il était fier de l'avoir cerné avec le temps. Le problème c'est qu'il savait que c'était réciproque, mais l'un comme l'autre ne pouvaient plus reculer. Ils se renvoyaient la balle sur celui qui aurait du faire le premier pas. « On est égoïstes tous les deux comme ça c'est dit. » Il attrapa doucement mais fermement sa main pour orienter la cigarette que tenait toujours la jeune femme vers sa bouche et il haussa les épaules tout en la relâchant et en extirpant la fumée vers l'horizon en relevant la tête. « Et tu attends quoi de moi ?» lui demanda-t-il pensivement. Oui il était curieux de savoir, juste pour saisir la balle au rebond.

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Il était évident que je m’étais attachée à lui. Mon regard se perdait dans les yeux azur du jeune Lowell. Je m’étais rapprochée machinalement de lui malgré la colère grandissante qui montait en moi. « Il n’est pas là pour te faire peur, mais juste pour que tu saches qu’il ne faut rien en attendre. ». Mes yeux se froncèrent. Je n’attendais rien d’Aidan. Du moins pas volontairement. Sa phrase ne me plaisait pas, j’étais vexée. J'avais l'impression d'être identifié à son ex petite amie, June et cela ne me plaisait pas. « Je ne m’appelle pas June ! » dis-je avant de souffler. Nous étions clairement en désaccord. J’avançais doucement vers lui me rapprochant un peu plus du jeune Lowell. Nous étions proches. Je le regardais dans les yeux. « Je te connais, et je sais que tu en as un. J’ai vu ta tête quand tu as revu ce Léo, j’ai subi ta réaction, alors trompe ton petit monde avec tes airs de peste mais moi je te connais vraiment » s’était ça le problème… Le Lowell me connaissait beaucoup trop. Mon regard se baissa finalement gêner et peu à l’aise. « Tu n’as pas à me défendre Norrington… vraiment pas ! » je portais la cigarette à ma bouche et le regardais. Je n’étais pas une fille fréquentable. Mes vices me portaient préjudices. « On est égoïstes tous les deux comme ça c’est dit. » Nous l’étions effectivement. Je m’apprêtais à répondre lorsqu’il m’attrapa la main. Il orienta la cigarette vers sa bouche et la relâcha doucement. « Et tu attends quoi de moi . ». Ce que j’attendais de lui . Pas grand-chose à part qu’il ne fuit pas. J’avais besoin de lui clairement. Toujours vexer. Je lui fis : « Je pensais qu’il fallait que je n'attende rien de toi ? » dis-je en reportant mon regard sur lui. J’avalais ma salive et finis par souffler. « Je veux pas que tu prennes la fuite… c’est pas compliqué Norrington. » dis-je presque fébrilement en essayant de cacher les quelques émotions qui ne demandaient qu'à sortir.
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Sa remarque l'exaspéra, mais il tenait à être clair, il ne fallait pas attendre grand chose de lui et son absence parlait pour lui. « Et heureusement. » dit-il machinalement. Non elle n'était pas June, elles étaient même parfaitement opposées, et il ne les confondait pas, bien loin de là. Jackie était vexée et prenait la mouche, en d'autres circonstances, il aurait été amusé, mais pas présentement. Son visage se baissa à nouveau vers le sien et il la regarda droit dans les yeux. « Tu me demandes une chose dont je ne suis pas capable. » dit-il en articulant froidement ses mots. « Je ne suis pas le gentil garçon qui attend sagement dans ton jolie décor de Cabot que tu te casses la gueule, je suis ton ami non ? » Il déglutit et reprit finalement. « Un ami se doit d'avertir l'autre quand il fait de mauvais choix, et je ne vais pas rester tranquillement à observer tout ça, tu fais le mauvais choix avec Sam, car je sais que tu t'y attaches mais lui a bien d'autres choses en tête, il a changé, il est différent et de toute manière, les filles sont que de passage pour lui. » Il se recula, cette proximité avec Jackie le gênait tout à coup. « Je veux pas que tu souffres, et je veux pas être d'accord avec tout ça. De toute manière, ça sert à quoi nos petits jeux maintenant que tu es dans une vraie relation ? » Car quoi qu'on en dise, leur lien était ambiguë et même si pour eux il prenait des allures de jeux, il n'était pas certain que Sam soit ravi de les voir s'adonner à leurs joutes favorites.
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