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(flashback) Calis + sorry for my lies...

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Deuxième don de moelle pour le petit Max, ayant malheureusement fait une rechute dans sa leucémie. Thaïs avait immédiatement accepté d’être à nouveau donneuse même si pour l’heure, elle regrettait d’être tombée sur un âne : depuis quelques jours, elle se tapait une fièvre carabinée et il fallait des ruses de sioux pour que Caleb ne remarque ni sa blessure infectée dans le bas de son dos, qu’elle soignait comme elle le pouvait, ni sa fièvre de plus en plus virulente qui la poussait parfois jusqu’au délire. Hélas, si Thaïs avait pu repousser certains entraînements de danse en prétextant un examen de piano déplacé, aujourd’hui, impossible de faire de même : l’allemand finirait par se douter de quelque chose si elle ne venait pas. D’autant plus que cela faisait presque une semaine qu’elle l’évitait à moitié, usant de ruses habiles en ne le croisant souvent qu’au détour d’un couloir. S’il déposait sa main contre le bas de son dos… l’irlandaise hurlerait certainement à la mort. « Je ne suis pas en retard j’espère ? Désolée vraiment de cette semaine de fou ! » fit-elle en s’approchant avec précaution, ayant au préalable effacé la sueur de son front avant d’entrer dans la salle de danse où de la musique s’échappait déjà…
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J’attendais patiemment dans la salle de danse, sans trop savoir quoi faire d’autre mise à part resté assis en plein milieu, patientant sagement. Cela faisait déjà quelques temps que nous étions revenus de Boston et si j’avais pensé au début que le cauchemar était derrière nous, je commençais à douter. Thais m’évitait depuis une semaine. Je n’étais ni con ni parano, je le sentais à sa manière d’être, sa façon de repousser nos entrainements ou encore de me donner des prétextes plus ou moins fumeux pour ne pas qu’on se voit. Regrettait-elle finalement notre réconciliation ? Pour moi, la réponse ne pouvait qu’être oui même si cela faisait mal au cœur, même si ça me donnait envie d’envoyer chier le reste. Toutefois, j’attendais, je la laissais venir, ne voulant pas précipiter la fin, savourant le peu de temps qu’il me restait à vivre auprès d’elle, en tant que son petit-ami. Et ma patience fut récompensée tandis que je la voyais entrer. « Non, ça va. » répondis-je en me levant, ne sachant pas trop si j’avais encore le droit de l’embrasser ou non. « On commence ? J’ai pas mal de truc de prévu » soupirais-je en allant changer la musique. Pas de rumba, je n’étais pas d’humeur. A la place, je décidais de faire un paso.
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Thaïs ne pouvait guère s’étonner de la froideur de Caleb, et pour cause, elle l’avait méritée. Mais il n’empêche que cela lui faisait mal au cœur et que l’espace de quelques secondes, elle fut figée sur place. « Heu… si tu avais des trucs de prévus ou que tu es pressé, pourquoi ne pas avoir déplacé la séance ? » demanda-t-elle en toute légitimité, s’approchant toujours précautionneusement en tentant de ne pas laisser entrevoir sa faiblesse physique pourtant évidente ou même sa fièvre. Tant qu’elle ne se mettait pas à délirer, tout irait bien ! « Écoute, je suis désolée de mon manque cruel de présence mais je t’assure que ce n’était pas contre toi. J’ai juste eu du mal à me refaire à la vie à Cambridge… je pense que tu peux comprendre pourquoi » expliqua-t-elle non sans lui tendre tout de même la télécommande de la chaîne histoire qu’il mette la musique lui plaisant pour leur danse.
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« Parce que j’avais envie de te voir » répondis-je laconiquement tandis que je la voyais se rapprocher comme si elle avait peur de quelque chose. C’est bon, j’avais compris, je n’allais pas m’humilier en me jetant sur elle comme un amoureux assoiffé de sa tendresse et de son amour. J’avais ma fierté qu’elle le veuille ou non et pour l’heure, je souhaitais simplement une dernière danse. Tiens, cela me faisait penser à cette chanson française… « Ce n’est que ça, tu en es certaine ? Je veux dire, je sais que tu m’évites ces derniers temps alors si tu veux qu’on fasse une pause le temps que tu te réadapte à ta vie sur le campus, dis le moi, je vais finir chèvre à force que tu me mentes » soupirais-je tandis que j’attrapais la télécommande, changeant la musique. « Bon travaillons notre paso, il est un peu faiblard je trouve ! Prête ? » lui demandais-je tandis que je m’approchais d’elle, prêt à me mettre en position bien que je sentais qu’elle était à cent lieues de notre répétition. Une constatation qui m’agaçait mais je préférais pour une fois, fermer ma gueule.
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Son aveu réchauffa bientôt son cœur glacé par la douleur et l’appréhension, tant et si bien qu’elle lui offrit un sourire tendre et sincère. Mais les propos qu’il lui lança ensuite, bien que légitimes une fois encore, lui arrachèrent une grimace avant qu’elle ne secoue vivement la tête de droite à gauche. « Faire une pause ?! Mais qui a parlé de faire une pause, pas moi en tout cas ! Je ne dis pas que je n’ai pas de mal à me réadapter mais je ne t’évite pas pour autant. J’essaye de tout concilier et ce n’est pas évident, c’est tout. » Si Caleb se mettait dans la tête qu’elle lui mentait, Thaïs n’était clairement pas dans la merde. Pourtant, elle se rapprocha et se mit en position de façon aussi détendue qu’elle le pouvait, espérant de tout son cœur qu’il ne lui toucherait pas le bas du dos, sans quoi elle hurlerait sûrement à la mort. « On va faire en sorte de le rendre solide comme un roc ! » fit-elle avec autant d’enthousiasme qu’elle le put. Hélas, Thaïs n’avait jamais su mentir…
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« J’ai passé l’âge d’être con Thais… Je sais que tu m’évites, je n’en connais pas la raison mais le fait est qu’il s’agit bien de ça alors ne me mens pas, c’est tout ce que je te demande. Si tu ne veux pas me voir, tu me le dis directement au lieu de prétexter des excuses à la con » exigeais-je seulement cela d’elle. Certes, elle ne semblait pas vouloir rompre mais quelque chose me disait insidieusement qu’elle me cachait quelque chose mais j’ignorais encore quoi. Avait-elle des ennuis ? Est-ce qu’un mec la faisait chier ? Je devenais dingue à force de cogiter dans mon coin car je craignais tellement qu’il lui arrive quelque chose. A notre retour de Boston, peut-être l’avais-je tout simplement trop collée et elle en avait marre. Cela se pouvait également. « Ouais.. On va essayer ! » soupirais-je la voyant se forcer. Je pouvais tellement lire en elle par moment que cela en devenait frustrant de comprendre qu’elle mentait comme une arracheuse de dent. « Un deux trois… » lançais-je le tempo avant de stopper quelques instants plus tard. « Bon sang Thais, maintient ton cadre.. Tu danses comme une débutante là ! » grognais-je avant de relancer la musique. « On recommence ! » repris-je mais encore une fois, le résultat n’était pas au rendez-vous mais mon téléphone se mit à sonner à ce moment-là, l’épargnant en quelque sorte. « Je reviens ! En attendant, essaie de te concentrer » marmonnais-je en sortant de la salle.
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Thaïs préféra ne rien répondre car s’il continuait à lui parler de cette façon, elle savait que conserver le secret serait impossible. A la place, elle se forçait à danser alors que l’intégralité de son corps criait au supplice mais à aucun moment elle ne se plaint, se contentant de hurler intérieurement en laissant couler les attaques légitimes de Caleb sur sa danse… médiocre, il n’y avait pas de mot. « Je t’attends… » fit-elle d’une voix murmurante sans même savoir s’il l’avait entendue. Même parler devenait un parcours du combattant mais ce fut pire lorsqu’une violente douleur la lança dans le bas du dos. Celle-ci, couplée à la fièvre augmentant exponentiellement de seconde en seconde et l’épuisement physique qu’elle se traînait déjà… eut définitivement raison de ses forces et fatalement, elle s’évanouit. Mais ce ne fut pas Caleb qui la découvrit inconsciente, pâle comme la mort au beau milieu de la salle de danse, ce fut un professeur de danse passant par là. Où était Caleb ? Mystère et balle de golf. Thaïs n’en n’eut aucune idée bien qu’une fois à l’hôpital, elle réclama à ce qu’il soit appelé vingt-quatre longues heures durant. « S’il vous plaît… trouvez-le » murmurait-elle à bout de force, la respiration toujours haletante et complexe à cause de la fièvre. Finalement, c’est l’une des infirmières qui consentit à laisser un message au principal intéressé, demeurant sans nouvelle de la blonde depuis plus d’un jour. « Si je parle bien au répondeur de Monsieur Weyss, c’est l’hôpital principal de Cambridge, nous avons pris en charge hier Mademoiselle O’Neall suite à un évanouissement dans une salle de cours. Elle souffre d’une septicémie et vous réclame, je vous donne l’adresse de notre centre… » Le numéro de la chambre n’avait évidemment pas été donné, déjà que Thaïs avait dû signer un papelard pour que l’infirmière donne sa pathologie au téléphone… quoi qu’il en soit, incapable de fermer l’œil même à cette heure de la soirée, l’irlandaise lâchait parfois de puissants gémissements de douleur…
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Elle était partie, en plein milieu d’une répétition de danse. Bon d’accord, j’avais un peu tardé à revenir car j’avais une affaire urgente à faire mais quand même, elle était partie sans un mot ni rien. Bien sûr, j’avais aussitôt essayé de l’appeler sur son téléphone portable mais aucune réponse, elle faisait la mort et je commençais à en avoir marre. Merde, vingt-quatre heures sans nouvelle et je commençais à baliser. « Tu veux qu’on lance un avis de recherche ? » me demanda une voix au téléphone. « Non merci mec mais je crois que je me suis fait simplement larguer comme une merde » soupirais-je avant de raccrocher quelques minutes après. J’allais poser mon téléphone quand je remarquais un sms m’informant qu’un message m’attendait sur mon répondeur. On avait sûrement dû essayer de me joindre pendant que je discutais avec Caine songeais-je tandis que je l’écoutais. Autant dire que je n’attendis pas la fin de mon message pour me rendre à cet hôpital où je fis des pieds et des mains pour obtenir le numéro de la chambre de Thais, qui, ne dormait pas. « Idiote !! Mais putain t’es blonde ma parole !! Tu ne pouvais tout simplement pas tout m’expliquer au lieu de jouer à la grande fille ?! Merde, tu aurais pu… Putain tu fais chier O’Neall !! » m’emportais-je à cause de l’inquiétude. « Idiote… » murmurais-je en m’approchant de son lit pour déposer un baiser d’une grande tendresse sur son front.
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Thaïs aurait pu mourir. Un empoisonnement du sang, ce n’est pas juste un mal de tête passager ou un rhume tout bête, cela ne se guérit pas tout seul, tant et si bien qu’en voyant l’état de son dos, le médecin des urgences l’ayant pris en charge avait fait un bond de plusieurs mètres. « Je suis désolée… » avoua-t-elle, penaude au possible alors que Caleb venait juste de débouler dans sa chambre, la faisant sursauter au passage alors qu’il l’engueulait. C’était à juste titre, nul ne le savait mieux qu’elle mais l’irlandaise avait tellement peu de force que ce n’était pas le moment de vouloir qu’elle rétorque à une dispute. « J’aurais pu mourir, c’est ça ? Tu peux le dire, ça fait cinq mille fois que le doc me le répète » lâcha-t-elle avec une grande ironie mais on ne pouvait pas lui en vouloir : elle dégustait bien assez et, par extension, se trouvait bien assez punie. « M’appelle pas O’Neall s’il te plaît… j’ai horreur de mon nom de famille et j’ai bien assez honte comme ça. Je ne voulais pas m'éloigner Caleb et encore moins t'abandonner ! Mais tu n’aurais rien pu faire si je te l’avais dit… »
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« Oui tu aurais pu mourir, tu aurais pu nous tuer tous les deux ! Merde Thais, tu ne comprends pas que je crèverai sans toi ?! » murmurais-je en caressant son visage avec une grande douceur comme si j’avais l’impression qu’elle se briserait si je forçais trop. Elle semblait tellement souffrir que je peinais à garder mes distance. J’aurais tant aimé pouvoir la prendre dans mes bras pour la rassurer, la soulager de sa peine mais je ne ferais que la heurter davantage malheureusement. « Et tu veux que je t’appelle comment ? Weyss peut-être ? » plaisantais-je doucement avant de déposer un nouveau baiser sur son front, me penchant pour être à hauteur de son visage. « J’aurais pu t’amener à l’hôpital, prendre soin de toi, te forcer à lever le pied… Tu ne comprends toujours pas que je veux être présent pour toi ? Que je veux prendre soin de toi et te protéger ? Arrête de me tenir en dehors de tes problèmes, tu ne fais que les aggraver. Je me demande de temps en temps comme tu as fait pour survivre jusque-là tant les parques semblent t’en vouloir » lui dis-je en douceur poursuivant mes caresses sur son visage.
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