Le Monde est petit, et ton secret énorme. Feat Siobban

Enfin j'avais trouvé un appart, ou plutôt un loft, suffisamment grand que je pourrais même faire une colloc' presque, mais pour le moment c'est pas vraiment ce que je cherchais, j'ai mon chez moi et je peux enfin quitter la résidence des Quincy. Le pied. En plus j'avais une immense baie vitrée, une mezzanine de quinze mettre carrée où j'avais déjà décidé d'y installer mon lit, enfin bref tout était parfais, s'était la première bonne nouvelle de l'année, parce que bon faut dire que un mois à l'hôpital et les nouvelles de Luke n'était pas les choses les plus réjouissante du monde. Mes cartons étaient posaient sur le trotoire et j'étais donc obligée de faire les aller et retour pour tout monté, bah oui pourquoi est ce que les déménageur se seraient amusés à m'aider nan ça sert à rien, autant dire qu'ils n'avaient pas eu de pourboire. Je m'attelais donc à monter tout mon bazar quand bien entendu un des carton mal scotché s'ouvrit, gros cliché de la galère des déménagement bonjours!! "Eh merde."

Tout en marchant sur le trottoir, je sortais donc de mon enregistrement de musique et j’avais donc juste envie d’aller prendre l’air. Je marchais patiemment, et tout en voyant une jeune femme avoir son carton qui s’ouvrait, je m’approchais d’elle pour l’aider. Il y en avait partout dans la rue, et il serait donc dommage que les gens tombent à cause de cela. Il ne fallait pas beaucoup de choses pour qu’ils se prennent la tête. Alors que je continuais de l’aider, je me demandais bien si Leo allait m’appeler ou pas. En ce moment, il était pas mal pris et donc, je patientais donc qu’il rappelle. Tout en aidant à ranger, je me relevais avec les affaires de la jeune femme dans les mains. 

Je m'accroupie pour ramasser le tout quand une jeune femme se ramena pour me filer un coup de main. Euh ouai c'est gentil, m'enfin, je secoua la tête un coup de main c'est toujours utile, et pis qui sait elle m'aidera certainement jusqu'à la fin. "Merci. Si tu m'aide jusqu'à la fin je te paye une bière si tu veux ou autre chose si tu préfère." Oui autant avoir un peu de courtoisie ça fait pas de mal. Et puis si je voulais dormir ici ce soir, je pourrai me mettre plus vite au montage du lit.

« Hum pourquoi pas. Tu as encore beaucoup de cartons ? » Tout en continuant de l’aider, je me demandais bien si j’allais donc pouvoir aider encore un peu. Je ne connaissais pas la personne et donc, je me demandais bien s’il allait m’arriver un truc bien. Tout en continuant de réfléchir à tout cela, je prenais un autre carton, et je demandais : « Il faut le mettre où ? »  

"Y reste que ce qui y a sur le trottoirs quoi." Je lui fis en grand sourire, ouai en gros il restais deux ou trois aller/retour en vrai pour deux donc oui je monterai et descendrais deux fois moins d'escaliers que si j'étais toutes seule. "Ah pose ça là avec les autres je rangerai plus tard. Faut que je monte les meuble après mais ça devrais aller." J'avais hâte de pouvoir déballer tout et ranger à ma convenance avoir enfin un vrai chez moi.

Regardant alors ce qu’il y avait sur le trottoir, il ne restait plus grand-chose à part les meubles à monter. Je disais : « Il ne reste plus grand-chose, cela va aller vite. » Je trouvais donc que pour le moment tout allait bien. J’étais de bonne humeur, et je pouvais donc aider le plus possible. Bien que Nata dise que j’étais trop gentille, je réalisais qu’il était bien aussi pour moi de faire un peu autrement. Je parlais tout simplement : « Oui, avoir son petit chez soi est bien. On peut y faire tout ce que l’on veut. »  

"Ouaip. Ca va aller vite, enfin j'vais pas te demander de rester jusqu'au bout non plus, j'veux pas t'obliger." Pas qu'elle me dérange mais, je suis pas vraiment du genre à demander de l'aide, même s'il faut dire que ça fait du bien d'avoir un coup de main. Puis elle me fis rire. "Ouai enfin c'est pas comme si à la Quincy on pouvait rien faire non plus." On va dire que je m'étais pas trop restreinte niveau connerie à la Quincy, j'étais plutôt du genre à pas vraiment m'encombrer des règlements, en vrai j'aurai mieux fait de me retrouver à la Mather en fait.

« Et bien, j’ai du temps, j’attends un appel, mais il ne vient pas… » Je l’entendais me dire le nom d’une confrérie de la faculté qui ne m’était pas inconnue, je lui répondais : « Ah, à la Lowells House, tout va bien, on a assez de place pour vivre. » Je réfléchissais donc à ce qu’il fallait faire et pour la suite, je réalisais qu’il était bien aussi de faire tout comme il le fallait. Je disais aussi : « Pour le moment, je me dis que je suis bien là-bas, que je n’ai pas d’appartement en vue. »  

"Ok c'est toi qui vois, je t'oblige à rien." Puis elle m'expliqua qu'elle était Lowell et qu'elle s'y sentait bien. "Ouai oh c'est pas tant un problème de place, mais ça fait déjà quatre ans que je suis là bas et pis ces derniers tant j'en avais juste marre d'être avec les autres, j'voulais un truc vraiment juste à moi rien de plus." Oui et puis avoir un endroit tranquille sans qu'on m demande pourquoi je fais tout ces aller/retour le soir et que Neva est un oeil mon souvent sur moi, parce que même si elle est plus constamment à la Quincy elle arrive à me surveiller, même si je dois dire que ça fait quelques temps que je ne l'ai pas vus.

« Pour le moment, je suis bien là-bas, j’attendrais peut-être un peu avant de m’en aller pour mon petit chez moi. Je crois qu’il me faut encore un peu de temps avant de partir. » Si je prenais un logement pour moi, il me faudrait de la place pour mon piano à queue se trouvant chez mes parents et un tas de trucs comme des disques vinyles etc. Je souriais et je disais : « C’est vrai que parfois, on se sent un peu à l’étroit. » Tout en disant cela, je me rendais compte qu’il était bien aussi que l’on ait une chance d’avoir son nid à soi. Sachant que j'avais aussi oublié de me présenter, je disais : « Siobban O'Connell, j'avais même oublié de me présenter. » .