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LINDA K. EVERLY & JAMES L. JOHNSON Ҩ « À ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur, certains rentrent chez eux, certains racontent des mensonges pour s’en sortir, d’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes, six milliards d’âmes, et parfois, il ne vous en faut qu’une seule ... CITATION ONE TREE HILL ☆ »
La journée s’annonçait particulièrement trépidante, j’en avais vraiment marre. Mes maux de tête, plus mes maux de ventre … ma grossesse. C’est si dur. Aujourd’hui, je n’ai pas arrêter de penser à James, à ce qu’il vivait, s’il m’a oublié, s’il pense à nous enfin tout un tas de chose en rapport à notre histoire. Et s’il avait fuit notre histoire ? Il ne voulait peut-être plus vivre à mes côtés ! Non, si c’était le cas je pense qu’il me l’aurait déjà dit. Non, il m’aime je le sais en tout cas moi je suis folle de lui.
J’ai commencé ma journée comme celle de d’habitude, je me suis levé à sept heures puis j’ai prit une douche assez rapide. J’ai simplement attaché mes cheveux avec un élastique pour en faire un chignon. Je me suis habillé, puis je suis allée en cours comme si tout allait bien pour moi. Sa fait trois ans que je vis comme ça, au dépend de rien du tout. Je fais ce que bon me semble, je ne m’inquiète pas de la vie des gens, la mienne me suffit complètement. Bref, puis j’avais cours de chant ce matin, sa fait trois ans que je n’arrive plus à rien dans se domaine, mais malgré tout j’essaie de me donner au maximum pour avoir mon doctorat à la fin de l’année, car oui c’est la dernière et après je me lancerais certainement dans une carrière de professeur d’art ou plus précisément de la danse. Je suis sortie de la pièce au bout de quatre heures, j’en avais marre et puis, j’ai reçu un appel. Mon téléphone vibrait dans ma poche. En le sortant, c’était affiché un numéro inconnu. A chaque fois j’espérais recevoir une bonne nouvelle, mais non. Mon gynécologue qui veut prendre rendez-vous pour voir où sa en est pour ma grossesse. J’étais à la fois contente, mais toujours autant paniqué à l’idée d’avoir des nouvelles de mon bien aimée. J’ai pas prit de rendez-vous étant donné que pour le moment je ne sais même pas si je vais le garder. Il vient d’un parfait inconnu, je ne sais pas qui est le père de cet enfant ! Je ne sais pas où je me suis fourré encore. Bref, j’ai fais une petite pause cigarette. Il est vrai que d’habitude je ne touche pas à ça et pourtant, en ce moment j’en ai bien besoin. Puis je suis retourné travailler afin de remonter un peu mes notes. Toujours rien à faire, ma voix fut cassé. Ma professeur décide de me laisser partir, je me dirige donc à l’extérieur du bâtiment prenant l’air et essayant de faire quelques accord avec le son de ma voix. Puis mon téléphone se remit à vibrer, je soupirais. En décrochant je compris aussitôt que ma vie aller prendre un sacré tournant. « Il est à l’hôpital, et apparemment en très bonne santé. » m’a-t-on dit au téléphone ! Et là, je me suis écrouler sur le sol, les larmes qui coulaient le long de mes joues. Une dame est venu m’aider à me relever. Je n’en croyais pas mes yeux, il est là ! Il est de retour ! Enfin je vais pouvoir le prendre dans mes bras et l’embrasser !
J’ai prit les clefs dans mon sac tout en courant jusqu’à ma voiture qui se trouvait dans le parking à quelques mètres de la fac. Je suis monter et je me suis dépêcher de rejoindre l’hôpital ! En arrivant, je cours à l’accueil et ils ne savent rien. Je me suis contenter de ne rien dire et j’ai prit le premier couloir à gauche. Et là, je l’ai vu debout devant moi quelques marques au visage et sur les bras. Il a l’air de ne pas me reconnaitre, je n’en sais rien en fin de compte. « JAMES !!!!! » Je ne cherches pas à comprendre et je lui cour dessus pour lui agripper le cou. Je pleure toutes mes tripes, puis je l’embrasse ! Je l’ai retrouvé, il est près de moi on va pouvoir enfin fonder notre famille. Mais avant, nous avons pleins de chose à se dire. Trois ans …
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