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Le jeune homme ne semble pas croire la brunette alors que la demoiselle lui annonce qu'elle n'a pas moins de vingt-sept ans. Il lui dit de ne pas se moquer de lui. Et de ne pas mentir aux garçons qui lui font du compliments. Oui mais comment fait-on lorsque l'on ne dit que la vérité ? La brunette est amusée de sa réaction. Il va falloir que ce dernier se fasse à cette idée puisque la brunette ne va pas mentir sur son âge pour ses beaux yeux. Et le voilà qui se remet à la complimenter, disant qu'elle sait jouer avec l'effet de surprise. Il déforme un peu la vérité ensuite. La brune boit une gorgée de son alcool et pose un regard malicieux sur le jeune homme. Elle n'a pas le temps de répondre à ce dernier qu'il se pense pour murmurer quelque chose au creux de son oreille. Et il s'enfuit tout à coup, rejoignant la piste de danse en laissant la demoiselle là où elle est, là où il est venu l'aborder il y a de cela quelques minutes. La brunette le regarde s'éloigner sans le rejoindre pour le moment. Elle continue de boire son verre à petites gorgées, le regard rivé sur l'homme pour ne pas le perdre du regard dans toute cette foule rassemblée en ce lieux. Bon et maintenant ? La demoiselle le rejoint ou ne le rejoint pas ? Elle se pose la question ou tout du moins donne l'impression au jeune homme qu'elle se la pose. Il se trouve que la jolie hongroise le trouve un peu trop confiant à son goût. Il est trop sûr de lui, trop... Il a cette confiance en lui qui peu paraître assez sympathique mais elle a envie de s'en amuser tout simplement. Ne pas le rejoindre immédiatement c'est le taquiner, le faire douter sur ses capacités à draguer une jeune femme. Parce qu'il ne faut pas que le jeune homme se leurre, la brune est loin d'être idiote et elle a bien compris ce que ce dernier attend, ce qu'il cherche à faire depuis qu'il l'a rejointe, ce qu'il cherche à faire depuis ce début de soirée. Chance pour lui la demoiselle se fait joueur, elle a envie de s'amuser. Alors son verre vidée, la brunette décide de le rejoindre, un grand sourire aux lèvres. "Alors rassuré ? Avoue, tu as eu peur que finalement, je ne vienne pas, non ?"
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