Étonné de te voir ici. (Maëlys)

J'étais sorti de la boutique en l'accompagnant et par la même occasion, je n'avais rien acheter. Cela serait pour la prochaine fois, en plus quand je demandais si celle-ci était gênée. Elle me répondait que non, que c'était souvent et tout à fait normal qu'elle soit en sous vêtement dans une cabine mal fermée, elle explique que cela est une habitude pour celle-ci. « Tu as de drôles d'habitudes » Je lui avais ensuite dis que le prince qu'elle attendait, était arrivé en parlant de ma propre personne et elle le prit plutôt bien, même très bien. Puisqu'elle m'invita à passer la saint-valentin tous les deux avec de l'alcool, ce qui me fit sourire. « Toi, l'alcool et moi.. quel bon plan à trois » Je lui fis un petit clin d'oeil, je ne savais pas si ma présence la dérangeait, mais elle allait être gênée tout de même un petit temps de ce qu'il lui était arrivé tout à l'heure.

Il ne faisait pas très chaud dehors, dans cette ruelle. Il fallait que je rentre prendre une douche, manger et dormir, j'étais crevée ce soir. Tu me répondais en restant bête face aux habitudes que je t'avais cité, comme de me retrouver à moitié nue devant des gens, mais ce n'était pas vrai, simplement ironique. « Tu as de drôles d'habitudes » Je secouais la tête un grand sourire aux lèvres. Puis face à ma proposition, tu ne dis pas non, c'était cool. « Toi, l'alcool et moi.. quel bon plan à trois » Je te regardais, haussant les sourcils, attendant un taxi. "Je m'arrête là, j'vais rentrer, on se dit le 14février devant la Cabot House? Après, on verra.."

La jeune fille venait me dire qu'elle arrêtait là pour aujourd'hui et qu'elle devait donc partir par la même occasion. Elle me donnait rendez vous devant la Cabot House, le 14 février, jour de la fête des amoureux. Et qu'on verrait par la suite ce qu'on allait pouvoir faire de notre soirée. « Pas de soucis, à dans quelques jours » Je la laissais quitter la rue avec un petit sourire aux lèvres. J'allais assez vite la revoir et ça me faisait tout de même une petite joie intérieur que je gardais bien au fond de moi. Au moins, je serais occuper ce jour là. Après quelques minutes, je décidais moi aussi de quitter l'endroit et je me mis à marcher en direction du campus.