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(+ Andreas) Je viens jouer les infirmières à domicile

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Il était sorti. Enfin après des jours et des jours d’attente, Andreas était sorti et je me retrouvais à courir pour le rejoindre chez lui sans m’être annoncée ni rien. En fait, je ne tenais plus en place, j’avais tellement envie de le revoir, de pouvoir enfin mettre des actes sur des paroles lancées à travers une vitre que mon excitation était au summum. Je parlais bien sûr d’enthousiasme car pour l’heure ma libido se tenait à peu près tranquille. Je craignais un peu que de toucher mon ami… non petit-ami ne déclenche une crise de la force d’Hiroshima seulement, je ne voulais pas gâcher nos retrouvailles avec des détails de la sorte. Je devais rester fixée sur son bien-être et les paquets que je portais à bout de bras allaient m’être clairement utiles. Il y avait de quoi préparer des menus pour un régiment car je comptais bien le remplumer même que j’étais passée par l’hôpital pour être certaine de ne pas lui faire manger quelque chose de néfaste. J’étais à moitié passée pour une psychopathe mais qu’importe, pour une fois, je voulais faire les choses proprement.

Arrivée à la porte de son appartement, je posais mes paquets à mes pieds avant de sonner, attendant fébrilement qu’il ouvre la porte. J’avais mis une jolie robe de ma création pour l’occasion et j’espérais sincèrement qu’elle lui plairait –car en plein hiver, il faisait froid ! « Salut ! » lui dis-je tout bêtement lorsqu’il se trouva devant moi mais rapidement, l’envie de lui sauter au cou fut bien plus forte et je m’élançais vers lui pour le serrer dans mes bras. « Tu es sorti ! Je suis trop contente !! Tu vas bien ? Oh excuse-moi tu dois être fatigué et moi comme une conne, je te saute dessus ! » m’emportais-je avant de secouer la tête avec une petite moue comique.


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Pour plus grand et immense bonheur, j'étais enfin sorti de cette chambre de quarantaine. Finie les nuits à trembler de froid ou à transpirer à intervalles irréguliers. Finie la nourriture absolument immonde que je me forçais à manger. Finie de voir toutes ces têtes malades dans la même pièce que moi. Fini. Terminé. Après un mois passé dans cet hôpital, j'étais plus que ravi de rentrer chez moi et de reprendre une vie un peu près normale. Je n'allais pas tout de suite reprendre les cours, ce qui me désolait vraiment, sachant le retard que j'avais accumulé.. Alors que je venais à peine de ranger mes affaires et de lancer une lessive, on sonnait à ma porte. En vérité j'avais envie que Mina se pointe chez moi, mais peut-être qu'avec la discussion de l'autre fois, elle avait changé d'avis. Je priais pour qu'elle soit toujours sur la même longueur d'onde que moi, et involontairement, mon coeur battait plus vite. J'étais encore faible mais le traitement qu'on m'avait donné faisait son effet. Avant d'aller ouvrir, j'en profite pour aller me recoiffer brièvement et de me passer de l'eau sur le visage. J'étais encore légèrement pâle. Quand je la vois dans l’entrebâillement de la porte, je suis le plus heureux du monde. Elle est là, comme je l'avais espéré. La seconde d'après, elle se jette dans mes bras et je la serre fort contre moi. « Je suis trop content de te voir, et surtout de pouvoir te toucher, c'était si frustrant la dernière fois ! » J'espérais vraiment que cette épidémie était de l'histoire ancienne et que je ne contaminerai pas Mina. Je ris légèrement à sa remarque, inspectant la tonne de sacs à ses pieds. « J'ai repris un peu de force, même si je dois arrêter le basket pendant plusieurs jours. » Je fais la moue et sans lui demander son avis, prend les deux sacs plein de nourriture pour les apporter dans l'appartement. « Entre ! » Je la laisse poser ses affaires tandis que je dépose les sacs sur le comptoir de la cuisine. Je ne sais encore pas comment agir avec elle.. c'est tout nouveau.
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Fébrile, je l’étais de la tête aux pieds, m’attendant à tout et son contraire sans véritablement savoir sur quel pied danser. Pouvait-on réellement parler de petit-ami ? Nous n’avions qu’abordait le sujet à travers une vitre après tout mais j’avais envie de croire que tout était possible, que le bonheur se trouvait à portée de main si bien que mon sourire n’en fut que plus éclatant. Je ne désirais pas douter ni de lui, ni de moi et encore moins de nous alors, il était de mon devoir de tenir mes promesses notamment celle de jouer son infirmière personnelle. En réalité, ce mot me fit monter le rouge aux joues car je n’avais pas osé rendre la blouse, la gardant presque précautionneusement dans le fond de mon armoire comme si, j’avais l’intuition qu’elle pourrait me servir un jour. Oui, j’étais assez coquine comme demoiselle mais en même temps, rare était les nymphomanes bonnes sœurs. La seule chose que j’espérais, c’est qu’Andreas ne finisse pas totalement traumatisé par ma connerie car dieu seul savait à quel point elle était grande et profonde songeais-je non sans amusement. En tous les cas, l’instant était grave tandis que je posais les sacs à mes pieds pour frapper à sa porte. Nous étions devant l’instant de vérité et je me sentais aussi excitée qu’une puce si bien qu’à peine avait-il ouvert que je me jetais totalement dans ses bras, ronronnant de les sentir me serrer contre son torse. Andreas était encore pâle de son séjour à l’hôpital mais j’escomptais sur mes bons petits plats pour lui refaire une santé. « M’en parle pas, j’avais envie de la fracasser cette vitre de malheur ! » déclarais-je avec une moue boudeuse avant de ne pouvoir esquisser le moindre geste pour l’empêcher de prendre les sacs. « Andreas, voyons, te fatigue pas avec les sacs ! » râlais-je tandis que je refermais la porte derrière moi pour mieux m’approcher de lui et me blottir tout contre son dos. « Dis… C’est quand que tu m’embrasses ? » murmurais-je avec audace non sans rougir comme une planquée derrière son dos. Pour une fois, mes pulsions me rendaient service.

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Nous étions tous deux comme des enfants, excités de découvrir un nouveau jeu ou une surprise inattendue. Ça faisait un bon bout de temps que je n'avais pas ressenti ce sentiment, qui se rapprochait d'une affection bien plus importante que celle de l'amitié. J'avais eu des dizaines de courtes relations, sans lendemain, mais le lien que je partageais avec Mina était complètement différent. Quand je la vis devant chez moi, j'étais terriblement heureux et enthousiaste à l'idée de la voir ici. Ce n'était certes pas la première fois qu'elle y venait, et nous avions passés de folles nuits ici.. mais il y a plusieurs mois. Depuis quelques temps, tout avait changé et le moins que l'on puisse dire, c'est que le changement était véritablement bénéfique pour chacun de nous. « Et moi donc ! » Je m'exclame, suite à ses dires. Je la repose sur le sol, ne voulant pas la lâcher d'une semelle maintenant qu'elle est là. Il fallait tout de même que nous nous mettions au chaud à l'intérieur au lieu de rester sur le paillasson. Je lui lance un petit sourire amusé en ramenant les sacs à l'intérieur, ce qui eut le don de l'agacer gentiment. Je restais un homme, et je ne voulais pas que Mina fasse ça à ma place, même si je sortais d'une épidémie ravageuse. Tandis que je pose les sacs, je sens ses bras qui m'entourent et son corps chaud contre le mien. Instinctivement, je ronronne de plaisir à ce contact et me retourne vite pour lui faire face. « Maintenant. » Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes, frémissant de la tête aux pieds, tout en déposant mes mains autour de son magnifique visage.
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Cet appartement, je le connaissais par cœur du moins, l’avais-je connu par le passé de manières bien distinctes bien que j’en avais pas conscience du tout. Sûrement aurais-je été gênée d’apprendre qu’Andreas et moi avions déjà été amants mais que ma mémoire défaillante avait oublié l’information. Pour moi, ce lieu évoquait simplement de bonnes soirées à parler de tout et de rien, à regarder la TV jusqu’à m’endormir dans ses bras. Rien de bien folichon et pourtant, je m’étais toujours sentie plus ou moins électrisée par le lieu et aujourd’hui, c’était pire que d’habitude. Est-ce que mon corps se tendait vers Andreas comme libéré de ce carcan d’amitié pour reprendre une douce séduction comme par le passé ? Sûrement que la réponse était oui mais pour l’heure, je me sentais plutôt intimidée et à cent lieues de me pencher sur de telles interrogations. Néanmoins, l’audace n’était jamais loin et je me surpris à lui demander quand est-ce qu’il comptait m’embrasser autant dire que son « maintenant » m’arracha un long frisson de plaisir tandis que mon cœur s’emballait comme ce n’était pas permis. Ses lèvres furent sur les miennes et je fermais les yeux pour mieux savourer ce contact, mes mains sur ses hanches. Mon dieu comme un simple baiser était agréable, je n’osais penser du reste. Cependant, l’envie fut plus forte et j’approfondissais le baiser, me collant légèrement plus contre son corps tandis que mes mains remontaient le long de son torse avant de se nouer autour de sa nuque. Malheureusement le manque d’oxygène nous sépara et j’ouvris les yeux pour les plonger dans son regard bleuté. « Je… ouaw… » bafouillais-je tandis que je rougissais et souriais en même temps.

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La soirée promettait d'être riche en événements, après l'attente d'environ une semaine sans se voir et sans se toucher. Nous étions donc ensemble, à priori, en tout cas je n'avais pas envie de chercher ailleurs. Mina me convenait très bien pour l'instant, et je suis certain qu'en apprenant à connaître chaque facette de notre personnalité, nous arriverons à surmonter des épreuves. Elle m'avait déjà avoué un de ses secrets, et de mon côté, il y avait quelques trucs qu'elle ne savait pas non plus.. Je ne savais même pas si auparavant, elle avait repéré le tatouage se trouvant sur mon bras droit. Je devrais lui expliquer, même si je n'en ai pas réellement envie, je n'ai pas envie de gâcher cet instant. Nos lèvres sont scellées dans un baiser tant attendu, je la sens contre moi et le désir prend tout de suite part des moindres parcelles de mon corps. Je lui rend plus passionnément son baiser et sourit quand elle se recule. « T'es trop belle quand tu rougis. » dis-je à Mina, caressant lentement sa joue rosie. Je fixe ses yeux verts, absolument sublimes, avant de sortir de ma rêverie. « Tu as faim ? Hormis de moi évidemment. » Je lui fais les yeux doux, attendant sa réponse.
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Je me sentais tellement bien dans ses bras comme si, de par sa seule étreinte, il pouvait me protéger de tout même de mes démons les plus coriaces. Je désirais que ce moment ne cesse pour rien au monde mais le manque d’oxygène eut raison de ma volonté farouche. « Flatteur va » jouais-je à celle que rien n’atteignait mais son compliment eu le don de me faire rougir davantage et de rendre mon sourire un brin plus tendre si c’était encore possible. Mon visage vint néanmoins se frotter à sa main, comme recherchant davantage de caresses à l’instar d’un chaton. « Toi, je te garde pour le dessert… Enfin quand tu seras un peu plus en forme, j’ai vu le médecin et tu n’as pas le droit de faire de sport… Il m’a dit : pas d’effort physique intense » boudais-je prête à mettre mes désirs en sourdine le temps de sa convalescence –je sentais que les douches froides allaient être mes plus fortes alliées. « En attendant, je vais te faire un repas typiquement italien alors si tu as des envies, dis-moi et je les exaucerai ! Ce soir, monsieur a le droit à son infirmière à domicile » plaisantais-je avant de me dresser sur les pointes de pieds pour déposer un baiser sur ses lèvres, m’éloignant légèrement de lui pour vider les sacs de courses, déposant tout mon attirail sur le plan de travail. Oui, j’étais déterminée à prendre soin de lui.

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« C'est la stricte vérité. » Il est vrai que j'étais réputé pour être un beau parleur et arriver à mes fins. Mais quand j'étais sincère, ça se voyait et j'espérais que Mina fasse bien la part des choses. Malgré tout, je restais un homme, qui aime draguer et charmer, mais je sais être quelqu'un de très attentionné. Je arque un sourcil amusé à sa remarque, elle me comparait à un excellent muffin au chocolat, et pour tout dire ça ne me dérangeait pas trop. J'étais carrément attiré par cette femme c'est certain, en même temps qui ne le serait pas ? J'éclate d'un petit rire, assez contrarié pour le coup. Pas d'effort intense ? C'est une blague ? Je fais la moue à mon tour. « Et bien je crois que tu seras obligée d'attendre pour avoir ton dessert.. » Je ne cache pas ma déception, car Mina est magnifique et c'est ma petite amie maintenant. Quoi de plus normal que d'avoir du désir pour sa chérie ? Je lui rend son bref baiser, me léchant virtuellement les babines d'avance. Elle connaissait bien mes goûts culinaires, et la cuisine italienne, c'était ma grande passion. « T'as pas amené le déguisement cette fois ? » Je demande à la jeune femme en souriant, faisant référence à sa visite à l'hôpital. « Concernant le plat, je te laisse le champ libre. » Sur ces mots je m'approche d'elle, ne pouvant m'empêcher de sentir son corps contre le mien. Je plonge mon visage dans ses cheveux, dos à elle, entourant ses hanches de mes bras. Je ne sais pas si elle arriverait à cuisiner dans ces conditions.
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La vérité. Je la ressentais dans sa voix, dans son regard et rien ne pouvait me faire plus plaisir que ce constat. J’ignorais si notre histoire avait une chance ou non de marcher mais une chose était certaine : je ferais tout pour que ce soit le cas. Andreas comptait tellement pour moi, que je ne pouvais envisager un présent loin de lui alors un futur ?! C’était fort peu probable. Néanmoins, un léger rire secoua mes épaules à le voir aussi déçu de cette cure d’abstinence et je ne pouvais que le comprendre n’ayant moi-même pas envie de me tenir loin de son lit. « Si tu es sage, on pourra toujours faire une tentative et si tu es trop épuisé… on remettra ça à plus tard »soufflais-je contre ses lèvres que je m’embrassais d’abord chastement avant qu’il ne me rende ce même baiser. « Il est dans mon armoire… Tu veux que je le ramène la prochaine fois ? » lui demandais-je taquine avant de m’éloigner pour reprendre un peu mes esprits. Dieu que j’allais quand même avoir du mal à me contenir si près de lui. C’était une véritable torture mais au moins, la cuisine m’offrait une sorte de distraction, un abri… de très courte durée car mon petit-ami s’approcha de moi jusqu’à entourer ma taille de ses bras, se collant contre mon dos. Je fermais les yeux, me laissant aller dans ses bras en posant mes mains sur ses avant-bras. « Ce n’est pas comme ça que tu vas m’aider à la cuisine, t’es au courant » murmurais-je en tournant légèrement la tête dans sa direction, réclamant un baiser. S’il n’en tenait qu’à moi, je passerai directement au dessert seulement, il était encore affaibli, ce n’était pas bien de profiter de son état n’est-ce pas ? Je commençais à douter de ma volonté.
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Il est vrai que mon médecin m'avait prévenu : pas de sport pendant quelques jours. Etant un grand sportif, j'étais vraiment dégoûté mais en réalité, il fallait se rendre à l'évidence. Je n'aurai jamais pu tenir un match de basket ou de volley dans ces conditions. J'étais déjà fatigué quand je parcourais une distance moyenne, alors un match entier, impossible. Seulement, j'étais aussi interdit - du moins pas recommandé - de toute activité fatigante ne concernant pas forcément les sports que j'exerçais habituellement. Pas de sexe, c'était très dur à entendre de la bouche de Mina, car j'avais atrocement envie d'elle maintenant. Elle aussi était déçue de cette nouvelle. « Hmm avec plaisir. » répondis-je à la jeune femme, souriant bêtement comme si j'attendais ça depuis des lustres. De ce que je me rappelle, Mina était très très bien au lit et j'avais hâte de remettre ça. Rapidement, je lui montrais le désir que j'avais pour elle en venant me blottir contre son dos. Maintenant que je l'avais pour moi et que j'étais sorti de l'hôpital, je voulais en profiter un maximum. Quand son regard se tourne vers moi, je l'embrasse brièvement et desserre mon étreinte. « Oui je sais. » Je lui tire la langue et me dirige vers le frigo. « Tu veux quelque chose à boire ? »
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