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CLARK ALICE HENINGWAY fiche; terminée C'est le 28/06/1988 à Moscou, que la famille Heningway m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Clark Alice. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale Moyenne. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Médecine depuis maintenant Trois ans je travail comme Barmaid. Et pour terminer, je fais partie des Cabot House. |
Études Clark à toujours voulu soigner les gens au vue de toutes les blessures qu'elle a subit petite. Depuis que sa mère à été déclarée malade, Clark s'intéresse beaucoup à la psychologie. Elle aime travailler car cela lui porte à coeur mais elle n'est pas la dernière que l'on invite pour une fête. Sur le campus la belle blonde se fait remarquer, on se retourne sur son passage. un vrai soleil elle est sociable et très discrète sur sa vie. | Caractère Clark n'est pas un prénom commun pour une fille; tout comme son caractère de feu. Impulsive, tête brûlée parfois, bornée, glaciale quand on la blesse, on peut dire tout concorde avec ce nom. Mais son coté attentionné, sociable, à rendre l'âme pour quelqu'un d'autre, ça, ça la rend vraiment unique. Oui même si Clark devient garce quand on parle de ses parents ou que l'on touche à quelqu'un de très proche d'elle, alors ses foudres tombe et la miss, dans le genre travail, vie sociale et vengeance n'est vraiment pas du genre à faire les choses à moitié. Quand c'est quelqu'un de proche, elle reviendra vers vous, mais soit elle aime, soit elle n'aime pas. Pas de demi mesure. La jeune femme totalement écorchée vive n'en reste pas moins curieuse, charmeuse, déterminée, loyale, compréhensive, attentive, attachante, joyeuse mais réservée. Elle n'est pas en réserve sur les fêtes.. Il faut bien évacuer le stress. Alors ange ou démon ? A vous de dire. |
Everyone Has Their Own Story
Son regard. Je m'en souviendrai toute ma chienne de vie de ce regard, celui qui vous fait comprendre que vous venez de la décevoir, elle. Ma mère se tenait face à moi et elle me regardait, presque dégoûtée, presque triste mais surtout, en colère. La porte claqua, elle s'est mise devant. Putain, elle veut me séquestrer ou quoi ? Je l'ai entendue, elle a crié comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Cette voix m'a glacé le sang. Elle avait beau être dans une colère noire, elle était froide. J'avais l'habitude de cette froideur, mais pas à ce point. Je n'osais pas bouger, j'ai voulu m'approcher et à peine avais-je fait un pas qu'elle s'est remise à crier. Je vous le dis, un être froid et en colère, ça fout les jetons ! « Recules ! Je t'interdis de quitter cette maison ! Tu es une lâche comme ton père tu veux partir c’est ça ? Non ! Non, Tu resteras ici, tu feras des études et tu vas arrêter avec tes rêves de gosse ! Grandis un peu, ou tu ne survivra pas Clark » J'ai voulu lui répondre et elle l'a vu. J'ai à peine ouvert la bouche que ça y est, elle s'est remise à parler. Elle m'a interrompu, sans crier cette fois mais encore plus glaciale qu'auparavant. Elle m'a fait peur, j'ai reculé. « Ne dis rien, ça ne sers à rien ! Tu vas rester ici ! » Elle était bornée, j'avais reçu ce défaut d'elle. Je n'ai aucun doute là-dessus. Mon père n'est pas comme ça, pas autant qu'elle tout au moins. Sans un mot, j'ai pris mon sac et je suis monté dans ma chambre. Encore une fois, elle avait gagné, elle avait eu le dessus sur moi. La seule personne capable de me faire changer d'avis, capable de m'écraser sans que je ne réplique rien, c'était elle. J'ai lancé mon sac contre un meuble et je suis écroulé sur mon lit. J'ai fixé le plafond durant de longues minutes, comme j'aimais tant le faire. Cette dispute n'avait en rien diminué mes envies d'évasions : je voulais aller voir ailleurs, j’avais 18ans, j’avais le droit de partir. Je pense que je suis prête à faire ma vie, mes preuves et loin des démons de ma mère qui me faisaient tant de mal la nuit. Je ne voulais plus la fréquenter. Il n’y avait pas de l’amour pour elle mais que de la terreur. Je voulais m’enfuir, et comme je venais de trouver un boulot, il me faudrait du temps pour économiser. Mais je la laisserais là, et ferais ma vie.
Plusieurs mois se sont écoulés depuis mon altercation avec ma mère. J'avais déjà discuté de mon désir de quitter la ville, de me rendre en Amérique mais je n'avais jamais tenté de partir comme ça, comme la dernière fois. Elle avait compris où je voulais me rendre, en voyant mon sac et mon passeport qui dépassait d'une poche avant de mon jeans. Je descends à nouveau, mon sac à la main. Elle me voit et secoue légèrement la tête de gauche à droite tout en levant les yeux, vers le haut. Elle reprend, calmement cette fois. Elle ne semble pas vouloir s'énerver contre moi. « Encore une envie de voir le monde, Clark ? » Elle sourit, elle vient sans doute d'apprécier les quelques mots sortis pour l'occasion. Je ne la regarde pas, continuant mon chemin tout en lui répondant, sur ton des plus froids. « Oui ! » Elle a vu que je semblais décidé, elle a donc accouru pour me barrer la route mais j'ai été plus rapide. Me voila dehors, avançant doucement tout en levant la main. Ca peut paraître étrange mais nous avons aussi des taxis en Russie. Elle sort, affolée, les larmes aux yeux et reprend sa tirade habituelle. « Mais pourquoi ? Tu n'es pas bien ici ? Tu as tout ce que tu veux Clark ! Alors pourquoi ? » Je ne me suis pas retourné vers elle, j'ai simplement répondu avec mon bras toujours levé, afin que l'un de ses chauffeurs s'arrêtent pour moi. « J'en ai marre de cette vie et je n'ai aucune envie de prendre la voix que vous m'avez déjà tracée ! » Voila le noyau du problème ! Mon père était silencieux sur son travail, et ma mère était une avocate. Elle voulait que je travaille avec elle, alors que moi, tout ce que je voulais c'était rejoindre ne surtout pas faire ça. Ne surtout pas devenir comme elle, oh grand jamais. Non. Je voulais être une femme avec un enfant pour lequel je vivrais. Je voulais être chirurgien aussi. Et voyez-vous cela ne rentrait tout de même pas dans les plans de maman. « Avocat ou rien » m’avait-elle lancé un jour. Alors je ne serais rien pour elle.
Münchhausen. J’étais dans un cabinet avec ma mère. Elle m’avait retrouvée, je n’avais pas eu d’autre choix que de la suivre, elle me faisait peur, elle avait été si terrifiante que je pouvais en trembler encore. Le docteur avait dit ce mot et ma mère avait presque rit. « Vous êtes atteinte de cette maladie. » Ma mère se leva en me tirant par un bras bandé, je n’avais d’ailleurs pas mal mais elle s’entêtait à dire que la nuit, je souffrais le martyr. Que je sache depuis 20ans que je dors, je n’ai jamais été somnambule. Alors, déviant son autorité je me suis retournée et est demandé en courant vers le médecin « C’est quoi comme maladie ? » le médecin soupira et vit s’asseoir à coté de moi tandis que ma mère tapait du pied. « Cette maladie ma jolie à plusieurs étapes. Ta mère est atteinte donc de ce syndrome qui, après par exemple le décès de ton père, s’est manifesté. Elle te prend pour sa propriété, t’invente des maladies, peut même te faire mal la nuit, pour que tu n’ailles pas étudier, pour rester avec elle, toujours avec elle, elle croit que tu es a elle » « Mais elle est à moi ! » hurla-t-elle. Elle me tira pas le bras et j’hurla de douleur. Elle me lâcha et en tombant sur le sol nous avions entendu un CRAC. Elle venait de me casser le poignet, puis elle s’agenouilla à mes cotés mes prenant dans ses bras alors que je gémissais de douleur, me berçant comme un enfant, puis elle changea d’une seconde à l’autre de comportement hurlant sur le médecin. « Elle est à moi et si je vous dit qu’elle souffre c’est qu’elle souffre ! » Dans une colère noire, telle que je ne l’avais jamais vu elle renversa tout autour de nous. Des hommes en blouses blanches arrivèrent et je restais avec le médecin et un jeune confrère de ce dernier qui me soignait le poignet. Il croisa ses mains et soupira comme si un point énorme lui avait été posé sur le cœur et les poumons. « Je sais qu’à 19ans ce n’est pas les choix que l’on doit forcément faire. Sache que ta mère n’y ait pour rien en ce qu’elle t’a fait. On n’est pas fautif d’avoir le cancer, ni cette maladie cela reviens au même. Mais il faut faire un choix maintenant. La gardes-tu à la maison ou..» « Enfermez-la » dis-je en lui coupant la parole.
Plus d’un an. Voilà le temps qu’il m’avait fallut pour créer une relation avec ma mère, j’avais ce besoin de la protéger à présent, depuis qu’elle était sous traitement tout allait mieux entre nous. Elle gardait des souvenirs et dans cette immense maison vide, des lettres d’excuses s’entassaient sur le bureau, les différentes tables, ainsi que les meubles. Des lettres qu’elle avait écrites de son plein gré. Je venais d’apprendre que j’étais accepté à Harvard en Amérique. Quelle joie ! Mais ce ne fut que déclencheur de problèmes car je dus trouver un centre pour ma mère. On vendit la maison et je trouvai un centre encore meilleur pour placé ma mère. Le départ était pour bientôt.
On y était. Maman ne voulait pas rentrer dans le tunnel menant à l’avion, si bien qu’une hôtesse eu l’audace de s’impatienté. Quand, d’un ton glaciale, je la mis au courant des faits elle aida ma mère à rentré. Une fois posé dans l’avion ma mère, pour la première fois de nos vies, glissa sa main dans la mienne en me chuchotant « J’ai peur Clark » « Ne t’inquiète pas maman, tout ira mieux là bas, ce sera notre nouvelle vie. » « D’accord… Clark ? » « Oui » dis-je en tournant la tête. « Je t’aime.. » Je ne pus répondre. Je ne savais pas quoi dire, cela restait encore coincé dans ma gorge. Je souris et lui fit un bisous sur le front et alors que le décollage commença elle trouva le sommeil sur mon épaule.
Que Harvard soit fait d'Ombres et de Lumières
the face behind
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