Appel ellina ζ

"-Oui oui, j'étudie à Harvard, l'université de Cambridge. Pourquoi tant de stupéfaction ? Tu es sûre que ça va ? "

Sa voix résonne encore au bout du fil. Oui elle était à Havard, elle était si proche de nous, mais depuis combien de temps se trouvait-elle là? Nous ne pûmes réprimait un petit rire. Nous savions que nous pouvions tous lui dire, qu'elle serait toujours là pour nous, elle était comme une cousine et même plus comme une soeur. Nous répondîmes à ses questions:

"-Tous va bien ne t'inquiète pas. Et je sais que tu est capable d'aller dans une tel Université. "

Nous avions toujours su ce que penser l'autre et c'était ce qui faisais le charme de notre relation cousine de coeur.
Pendant quelques instants, nous ne dîmes plus rien réflechissant à si nous lui dissions que nous étions nous même en Amérique à Cambrigde ou si nous gardions le secret et lui faisions une surprise. Après un moment de réfléxion nous lui dîmes:

"- Je ne suis plus en Italie. Je ne suis pas rester dans mon pays natal pour faire de nouvelle étude. Mon père n'y était pas contre, en contrepartie ma mère n'était pas enchanté. "

Nous riâmes doucement, nostagilque à ces souvenirs.

"-Oui, j'espère bien que tu ne me prends pas pour une pure idiote.'

Nous riâmes ensemble. Après nous être redressait, nous nous levâmes pour faire face à la fenêtre. Au dehors un fin manteau de neige recouvret les trotoirs et déjà des petits flocons tombeaient du ciel. Nos yeux se posérent sur les cieux, nous ouvrîmes la fenêtre et un vent froid entra un rafale dans la pièce nous faisant frisonner. Une fine buée sortait de notre bouche lorsque nous respirâmes. Nina nous posa alors une question qui nous fîmes sourire:

"- Bah, t'es où alors ? "

Nous nous souvenions encore du jours où nous avions perdus notre frère jumeau, notre moitié et puis quelques années après ce fut Nina, trois à quatre ans on passées depuis et notre monde c'était éffondrés:

"- Tu te rappel quand j'ai perdu mon frère, c'est toi qui a en quelque sorte rebatit mon monde, ma vie. Lorsque nous avons coupés le conctact, il n'y avait personne pour me remettre d'aplomb et les vielle blessure on resurgie, je me sentais vraiment mal à cause de mon oncle et ma tante. Et cet fois ci tu n'était pas là, j'ai donc décidé de partir faire des études à l'étranger. Je suis actuellement en Amérique, dans la plus célébre université au monde! "

Nos mots n'étaient pas un reproche, bien au contraire ils étaient nostalgique et remplis de malice.

"-Une université connue américaine ?"

Elle était pensive surement devait-elle faire le rapprochement de notre étonnement de tous à l'heure et autre réaction que nous avions pus avoir. Le vent frai entra une nouvelle fois en bourasque dans la chambre, faisant tomber le cadre léger qui contenait une photo de mon frère. Fermant la fenêtre, nous nous approchâmes du bureau et prenant délicatement le cadre, nous l'observâmes avant de le poser sur la table de travail. Nous l'entendîmes dire:

" -Tu es à Harvard ?!! "

Nous sourîmes comme si elle pouvait nous voir. Puis nous regardâmes autours de nous avant de répondre:

" - Exact et je veux te voir, il y a tant de chose que je veux te dire et te demander. "