Appel ellina ζ

La nuit avait fait place au jour, la lune laissa l'astre du jour commencer sa monté vers les cieux. Nous nous tenions assises en tailleur sur le lit simple. Regardant notre téléphone. Notre regard se porta par delà la fenêtre. Nous soupirâmes, nous voulions tant l'appeler, mais comment faire après cette incident. Serait-elle apte à lui parler comme autrefois?
Des larmes nous piquèrent les yeux, nous voulions tant avoir de ses nouvelles, savoir si elle allait bien, sa elle s'habituer à sa nouvelle vie et tant d'autres question sans réponse. Le soleil se lever à peine, nous nous étions étalés le ventre contre le lit' la tête cacher par notre coussin. Notre portable était près de nous silencieux, du loin jusqu'à présent, car il s'était mis à vibrer, une douce musique de violon accompagné les vibrations. Nous l'ouvrîmes sans regarder le numéro qui s'y affiché. Notre voix douce et calme comme à notre habitude dit:

"- Allô, ici Ellena . "

Bon oui, il est étrange de se répondre de cette façon, mais bon quand on fait partie d'associations diverses. Il est normale de les rassurer quand à leur interlocuteur. Lorsque nous l'entendîmes, la voix de cette personne à qui nous pensions si fort. Nous nous levâmes d'un bond pour nous asseoir.

"-Hey, cousine... C'est... moi. Nina... "

Les larmes coulérent en silence sur nos joues, nous les essuyâmes sans un mot, lorsque nous fûment sur d'avoir repris le dessus sur nos semtiments, nous lui répondîmes:

"- Nina ... "

Bien que nous avions fait tous les efforts du monde pour garder notre voix calme, nous ne pûmes réprimer le tremblement de notre voix, notre main c'était serré sur le téléphone, maintenant que nous l'avions en contacte, que nous pouvions lui parler, nous ne savions plus qui faire et quoi dire.
Nous soupirâmes sans pour autant qu'elle puisse l'entendre, un long moment passa sans que aucune de nous deux n'ouvre la bouche. Nous reprîmes finalement la parole:

"- Nina ... euh non Aleksandra, je suis vraiment désolé, mon oncle et ma tante, enfin ceux que j'appelais mon oncle et ma tante, c'est horrible ce qu'ils ont fait, je suis vraiment désolé, si j'avais su plus tôt l'ampleur de ton enfermement, si j'avais compris plus tôt que c'était louche tu aurrais été près de tes vrai parents bien avant que tu ne le découvre aussi brutalement. Je ... "

Nous arrétâmes de pareler, ne savant plus quoi dire, la culpabilité transpercer notre voix.

"-Par pitié, dis Nina, tu veux ? Tu n'as pas à t'excuser, arrête... Ellena tu n'y es pour rien... "

Pas de notre faute. Si bien sur que tous était de notre faute, si nous n'avions pas garder tous pour nous, notre rencontre via internet avec elle à mes parents. Même mon frère, ma moitié, mon tout n'avait pas eu connaisance de cette rencontre fantastique. Si ... une fois de plus nos larmes tombérent sur nos joues tel un torrent. Nous ne prîmes pas la peine de les enlever. Nous l'entendîmes nous demander:

"-Comment tu vas... depuis le temps ? Je... désolée de ne pas t'avoir contacté avant.. "

Nous répondîmes a sa première question en dissant juste:

"- humm ..."

puis lorsqu'elle nous demanda comment nous allions, nous nous souvenâmes de tous les merveilleux moment passaiit avec elle sur internet. Lorsque nous avions perdus le contact, un grand vide avait pris la place de cette chaleur qui reprenait aujourd'hui sa place. Nous lui répondîmes:

"- Je peux comprendre que ... tu ne met pas contactée. Moi ça va. Mais parle moi de toi? Alors comment trouve tu la Russie, je n'y suis jamais aller, ça doit être beau et tes parents raconte moi. Tu as des frères et des soeurs? Ta maison comment est-elle? et .... "

Nous éclatâmes alors de rire, surement suivis de Nina, nous venions de parler trop vite, trop de questions qu'elle ne pouvait y répondre par téléphone. Nous demandâmes alors du voix calme, mais hésitante:

" Dit tu veux bien qu'on se voit en vrai je veux dire pas sur wabcam ou via internet? Tu pourrais venir pendans les vacance en Italie? Qu'en pense tu? "

"-Que je te parle de moi ? Et bien, je... Tu me manques. "

Notre coeur bondis dans notre poitrine en entendant cela, nous lui manquions, toutes ces heures passer à nous parler durant nos années lycée et collége. Elle poursuivie pour répondre à mes autres questions, notre complicité était de retour, détruissant la géne et la culpabilité:

"-Je ne suis pas en Russie. Mon pays est l'Amérique. Je n'arrive pas à m'y faire... Je suis toujours à Cambridge. Enfaîte, à Harvard... J'étudie là maintenant "

Pas en russie? Comment cela, mais si elle était en amérique l'on pourrait se voir plus facilement et non pas pendant que les vacances. Apprendre qu'elle considérait l'Amérique comme son pays ne nous étonés pas, après tous 16 ans de sa vie avait été dans ce pays. Elle répondis à notre dernière question:

"- Bien sûr. Ca me ferai très plaisir !"

Mais nous ne l'entendîmes pas, la fin de sa phrase réonnée encore dans notre tête. "Je suis toujours à Cambridge. Enfaîte, à Harvard... J'étudie là maintenant! " Havard, l'université Havard, il ne pouvait pas y en avoir des centaines et si nous nous souvenions bien, il n'en exister qu'une au monde. Qu'une seule Université de renommé à Cambrige nommé Havard. D'une voix qui peiné à garder son calme et son espérance, nous lui demandâmes:

"- Tu ... Tu à bien dis Havard. La célébre Université de Cambrigde en Amérique? Dis moi que je ne rêvepas. "