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Amaliya & Wyatt- Insomniaque d’une nuit

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Insomniaque d'une nuit
w/ Amaliya & Wyatt

" Et bien la prochaine fois on s'appellera pour se donner rendez-vous." ça serait amusant d’avoir une amie nocturne. Je n’avais pas l’habitude de parler aussi facilement à des personnes que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam le soir. Disons, que je n’étais pas vraiment d’humeur. Pourtant, cette jeune femme ne me dérangeait pas. « On verra ce que le hasard en pense » Cela serait amusant de se revoir une autre fois sans l’avoir décidé au préalable. J’étais curieux de savoir jusqu’où iraient les coïncidences. Parfois, il m’arrivait de croire au destin et de me dire que quelque chose décidait à l’avance pour nous. C’est ce que j’avais ressenti avec Torrey. Que l’on était lié depuis le début, que quelque chose se passait entre nous. On c’était connu alors, que nous n’étions âgés que de quinze ans. Puis, nous nous étions retrouvés l’année dernière. Etrange, quand on sait que cela faisait cinq ans que nous étions à Harvard et que nous ne nous étions jamais croisé. Au fil de la conversation, j’en apprenais davantage sur cette jeune femme. Elle m’avait dit avoir souvent déménagé. Je me demandais comment elle avait réussis à s’adapter aussi facilement. À vrai dire, je ne me souviens pas tellement de la première fois, j'étais encore trop jeune. J'étais à l'école élémentaire. Je te laisse imaginer que c'est un peu flou à l'heure actuel. Ma mère m'a dit que j'avais beaucoup pleurer je jour ou l'on est partis et que lorsque nous avions emménagés je faisais beaucoup de cauchemars durant mes premières nuits. Mais je pense que le plus dure fut le dernier en date. Le deuxième. Parce que tout mes amis étaient de là-bas. Et une partie de ma famille aussi. J'ai passé toute ma vie à Philadelphie te dire qu'il n'y a pas eut de larme et de tristesse serait te mentir. Mais je me rassure en me disant que maintenant que j'ai mon permis je pourrais quand même aller les voir pendant les vacances. Finalement, tout ce terminais bien. Elle pourrait revoir les gens qu’elle avait perdus de vue. « Le permis c’est la liberté. Il ne faut jamais perdre espoir de retourner chez soi. Après tout, personne ne te l’interdit. » disais-je en fixant les étoiles. Mine de rien, avoir le permis m’avait permis d’avoir des moments de libertés lorsque je le désirais. Pouvoir prendre la voiture sans que vous soyez restreint par votre condition d’humain. Avec la voiture, je pouvais aller n’importe où. "Et toi alors l'homme de Roswell? Je pense que je vais te dispenser du cliché universel. Mais ça devait être plutôt cool de vivre prêt d'un désert. Il devait y avoir des animaux peut commun qu'on ne croise pas ici non? En plus ça t'as pas un peu "orienté" vers la voie universitaire que tu as choisi? Je ricanais en entendant les mots ‘’clichés universelle’’. En réalité, très peu de personnes savaient d’où je venais, à part les gens qui m’étaient très proche. Je devais reconnaître que cette ville me manquait. En fait, on n’était bien que chez soi et Roswell était mon chez moi. « Merci, de ne pas me parler de petits hommes verts ! En fait, je ne sais pas ce qui m’a vraiment poussé à faire des études d’archéologie. J’sais pas, j’aime bien l’aventure et donner une vie aux choses qu’on a tendance à oublier. » C’était vrai, je n’avais aucune idée de ce qui m’avait donner envie de faire ce métier. C’était au fond de moi. " Merci google Harvard la prochaine fois que j'ai une question je viendrais te la poser à toi directement." Je venais de lui énumérer toutes les maisons d’Harvard avec leur caractéristique et je ne pus m’empêcher de rire en entendant sa phrase. « Pour vous servir » Je faisais semblant d’imiter une petite pirouette. " Et que proposes-tu de faire pour fêter la création de notre nouveau club?" Bonne question. « Je propose de manger un tas de cochonnerie pour encore moins dormir ! »
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« On verra ce que le hasard en pense » Je le regarda en hochant ma tête d'approbation, un léger sourire aux lèvres. Après tout "le hasard faisait bien les choses" alors laissons le faire. En lui expliquant un peu plus en détail mes ressenties vis-à-vis de mes déménagements, il me regarda et me fit un sourire. « Le permit c'est la liberté. Il ne faut jamais perdre espoir de retourner chez soi. Après tout, personne ne te l'interdit. » Il dit cela avec une légère pointe de nostalgie tout en fixant les étoiles. A lui aussi sa famille devait lui manquer. Il venait de loin tout comme moi, ses amis et sa famille devaient horriblement lui manquer. De plus cela faisait trois ans. Il avait dû s'y faire avec le temps et il devait les voir dès qu'il le pouvait. Mais tout de même. On avait déjà ce point-là commun. Je lui souris "Toi, tu as l'occasion de revoir ta famille?" lui demandais-je un peu timidement, après tout cette question relevait du domaine du privé. Ça se trouve il ne veut pas en parler et me trouve trop insistante. Je venais de lui demander ce qui l'avait réellement attiré dans le domaine qu'il avait choisi en lui faisant une légère boutade sur son lieu d'origine. « Merci, de ne pas me parler de petits hommes verts ! En fait, je ne sais pas ce qui m'a vraiment poussé à faire des études d'archéologie. Je ne sais pas, j'aime bien l'aventure et donner une vie aux choses qu'on a tendance à oublier. » Ah, d'accord quelque part je comprenais cette vision qu'il avait et qui l'attirait. j'acquiesçai un peu admirative de ces gens comme lui qui savent dès le début ce qu'ils veulent faire et s'y tienne. "Waw, je comprend".Nous continuons de discuter. « Pour vous servir » il venait de faire une sorte de légère révérence après son explication sur les confréries. Je ris à son acte. Il ne se prenait pas au sérieux et s'en était amusant à voir. Maintenant je lui proposais s'il avait une petite idée de ce que l'on pourrait faire pour fêter la création de notre club clandestin « Je propose de manger un tas de cochonnerie pour encore moins dormir ! » Je le regardais amusée "Et bien... Pourquoi pas ??"Lui avais-je répondu, un sourire jusqu'aux oreilles et en me levant d'un seul bon. "Mais... je ne pense pas qu'il y aie un commerce ouvert à cette heures-ci." Je me rassis un peu démoralisé avec une petite moue boudeuse, un peu comme celle d'un enfant à qui on aurait promis une chose et qui au dernier moment on le lui retirait..
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"Toi, tu as l'occasion de revoir ta famille?" Elle venait de toucher un point sensible. Cela faisait plusieurs que je ne les avais pas vu, du moins, jusqu’à noël. Après le Thanksgiving chez les cabots, j’étais descendu en avion au Nouveau-Mexique. Il ne neigeait pas là-bas et cela m’avait changé de Cambridge. Les voir m’avait fait le plus grand bien. Malheureusement, j’avais dû remonter sur Cambridge un jour avant le jour de l’an. Je ne devais pas rater le bal de l’an sans compter que peu après, nous étions partie à Las Vegas avec ma maison et les Dunster. « Oui, à noël » répondais-je avec un sourire. Ensuite, je lui parlais de mon désir de devenir archéologue. J’espérais avoir correctement répondu à sa question. "Waw, Je comprend". En parlant d’avenir, je ne savais même pas ce qu’elle étudiait ici. « Et toi, alors, qu’est-ce que tu veux faire après Harvard ? » C’était la question que l’on nous posait, alors qu’on avait à peine quinze ans. A cet âge-là, on ne pouvait pas être réaliste. Je trouvais ça totalement inutile. Pour fêter notre club d’insomniaque, je lui proposais de manger un tas de cochonneries. Ce à quoi elle me répondait : "Et bien... Pourquoi pas??" La jeune femme c’était levé d’un bond comme si elle avait des piles rechargeables en elle. "Mais... je pense pas qu'il y ai un commerce ouvert à cette heures-ci." Je ricanais légèrement, amusé par sa réaction. « Attends-moi là, je sais où en trouver. » Je me relevais et entrais à l’intérieur de la résidence. Rapidement, je me dirigeais dans la cuisine pour ouvrir notre placard favori. Il était rempli de confiserie en tout genre. Nous étions une bande de mecs sportifs qui avaient besoin d’une tonne de chocolat pour tenir. Je prenais des paquets de bonbons, de m&m’s et des kit kat ball, ainsi que deux bouteilles de l’eau à la cerise. Puis, je ressortais et déposais mon butin devant la jeune femme avant de m’assoir à côté d’elle. « Voilà, mais chut ne dit pas que tu as eu ça ici. On les planques dans un placard secret. »
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Sa réponse fut courte et brève. « Oui, à noël ». Me dit-il avec un leger sourire. Cela ne faisait tout de même un petit moment. Mais il n'avait pas l'air vraiment touché par cela alors je n'ajouta rien d'autre. Il vennait de me demander se que je voulais faire. La question piège par excellence d'après moi. Je n'avais que de vague idée de se que je voulais devenir plus tard, et mes plans au fur et à mesure d'être créés se voyait détruit par les commentaires négatifs des autres, me répétant sans cesse que je n'étais pas capable de faire ceci ou de faire cela. "Moi? Je veux devenir présidente des États-Unis vu qu'il n'existe pas encore le grade de président de la Terre." Je lui dis cela avec un sourire, pour qu'il comprenne qu'il ne fallait pas me prendre au sérieux. Cette phrase était celle que je répondais à chaque fois que l'on me posait cette question. Je trouve que je parais moins ridicule en disant qu'en disant "non je ne sais pas ce que je vais faire de ma vie" en d'en suite devoir assumer un discours voulant m'indiquer l'importance de mes choix. Non ce n'était pas le moment en plus. « Attends-moi là, je sais où en trouver. » Venait-il de me dire en semant d'où-t-il était assit. Je le regarda curieuse et le vit rentrer dans ce bâtiment qu'il m'avait dit être quelque minutesavant être la Winthrop house. Mais il était fou d'entrer aussi tard dans une des résidence des confréries! Avait-il perdu la tête ? Je le regarda rentrer les yeux écarquillés et impuissante pour l'arrêter. J'avais peur qu'il ne se fasse attraper et passe un sale quart-heure. Car malgré qu'il sois imposant, dans se genre d'endroit s'en prendre à un membrerevient à avoir la confrérie entière sur le dos. Ce qui est sur c'est que c'était une garantie de sécurité. Lorsqu'il revint avec tout ses trésors, le regardant d'une manière laissant comprendre que je n'en revenais pas. Il venait de prendre des biens dans une des maisons. J'avais de plus en plus l'impression que j'avais en face de moi un fou. « Voilà, mais chut ne dit pas que tu as eu ça ici. On les planques dans un placard secret. »
"Mais t'es malade! Imagine tu te serrais fait attraper? Imagine ils se serait levé et que tu aurais des problémes!" Sur ce coup là il avait faillit me faire faire une crise cardiaque. J'avais vraiment eu peur pour lui... Mais attendait une seconde.. Il venait bien de dire "on les planques dans un placard secret", j'ai pas rêvé. Je le fixa en fronçant les sourcils. "... tu veux me dire que tu cache de la bouffe dans la Winthrop house et que tu n'es pas le seul à faire ça?!". Je lui demandais cela super surprise mais en chuchottant. C'était sur, ce mec était incroyablement surprenant.
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Je venais à peine de la rencontrer et je ne savais pas ce qu’elle voulait faire plus tard et comme elle était au courant pour moi, je trouvais ça normal de lui demander, ne serait-ce que par politesse. "Moi? Je veux devenir présidente des États-Unis vu qu'il n'existe pas encore le grade de président de la Terre." Sa réponse me laissait perplexe. Soit elle ne voulait pas en parler, soit elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire plus tard. Dans le dernier cas, il n’y avait pas de honte à avoir. C’est dur de choisir ce que l’on veut faire plus tard. C’est durant ma première fouille archéologique que j’avais compris que ce métier était fait pour moi. Ensuite, j’étais rentré dans la Winthrop House pour prendre des confiseries et fêter l’ouverture de notre club des insomniaques anonyme. Je revenais quelques minutes plus tard, les bras chargés. "Mais t'es malade! Imagine tu te serrais fait attraper? Imagine ils se serait levé et que tu aurais des problémes!" Hein ? Pourquoi j’aurais des problèmes. Je ricanais avant de répondre : « Des problèmes ? » J’étais perplexe et en même temps amusé par la situation. "... tu veux me dire que tu cache de la bouffe dans la Winthrop house et que tu n'es pas le seul à faire ça?!" Elle me prenait pour un fou ou un sdf ? Je me marrais de plus belle, les yeux pétillants de malice. « Bah oui bien sûr, tout le monde fait ça » Elle pensait vraiment que je m’étais assis ici par hasard ? Je reprenais un peu plus sérieusement tout en continuant de lui sourire. « Je fais partie de la Winthrop House » Pour une raison que j’ignorais, elle n’avait pas l’air d’apprécier les confréries. Aussi, je préférais ne pas lui dire que j’en étais le président.
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Je le regardais maintenant. « Je fais partie de la Winthrop House » m'avait-il dit après m'avoir charrié sur les propos que j'avais dis juste avant. Je resta inerte un moment, le regardant puis détourna le regard. J'étais comme qui dirais devenue muette d'un seul coup. Et me sentais plutôt idiote. J'aurais dû m'en douter. Personne d'autre que moi, et certains dealers pourrai sortir et se retrouver devant un une maison sans aucune raison apparente. Et puis, plein de signes le prouvais! Comme le faites qu'il m'avait dis que je saurais où le trouver maintenant. Il faisait allusion au faite qu'il résidait ici. Je me sentis tellement stupide. J'avais envie de disparaître. Mes joues commencèrent à s'empourprer. "Ho... C'est vrai que ça parait plus logique... Et crédible." Je me sentais bête. Mais c'était tellement le genre de chose qui aurait pût ce passer là ou j'habitais avant que la seule chose qui m'avais surprise réellement était que ça se passer à Harvard. Je fixais maintenant son butin espérant ainsi me calmer. L'élite de la beauté masculine qui de surcroît était connus pour l'amour du sport qu'affectionnait chacun de leur membre cachait des confiserie dans un placard secret. C'est vrai que d'un coup on les voyait plus de la même manière. Mais ils avaient beau être des gars que beaucoup de fille voudrait "se faire" il n'en reste pas moins... Des mecs. Et surtout des jeunes comme nous tous. Mais la vision de les voir s’empiffrer de cochonnerie tout en discutant, bizarrement, cette scène me fit rire intérieurement ce qui m'aida à me calmer tout doucement.
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Je venais de lui dire que je faisais partie de la Winthrop House. A l’évocation de ma place au sein des confréries, un silence pesant venait s’installer entre nous deux comme si j’avais dit quelque chose d’interdit. J’avais donc bien fait de ne pas dire que j’en étais le président. On avait l’impression qu’elle était à deux doigts de partir. "Ho... C'est vrai que ça parait plus logique... Et crédible." Après quelques secondes de silence, elle avait enfin ouvert la bouche pour laisser échapper quelques mots. Elle paraissait vraiment contrariée comme si j’avais parlé celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom dans Harry Potter. « Il y a un problème ? Tu sembles…perplexe » J’étais quelqu’un de très franc et je n’aimais pas passer par quatre chemins pour dire ce que je pensais ni ce qui me brûlait les lèvres. D’ailleurs, cela n’était pas toujours bien perçut. Parfois, j’étais trop crus dans mes paroles et cela pouvait être vu comme de l’indiscrétion ou un manque certain de délicatesse. En attendant sa réponse, j’en profitais pour ouvrir un paquet d’m&m’s et en manger quelques-uns. Pourquoi est-ce qu’elle semblait être perturbée par cette annonce ? Faisait-elle partie de ses personnes qui ne supportaient pas les confréries, car ils les jugeaient sans n’y être jamais entré. Après tout, nous étions des personnes comme tout le monde. Je ne m’étais jamais sentie supérieur aux autres, parce que je faisais partie des Winthrop. J’étais un étudiant comme les autres, mais qui faisait partie d’une maison et pour moi, les rouges étaient ma seconde familles. Ils avaient su m’accueillir et m’accepter en leur sein. J’y avais rencontré de très bons amis comme Théo qui était mon meilleur ami ou encore Emrys, Avery et plein d’autre.
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« Il y a un problème ? Tu sembles…perplexe » Il venait de me poser cette question, je releva la tête et le regarda dans les yeux. Puis le scruta légèrement. Ce qu'il venait de me dire ne changea tout de même pas la vision que j'avais de lui jusqu'à présent. Je me redressa légèrement tout en restant assise, je regardais devant moi, fixant la lune qui ce soir là était à son plein. Pour la premiere fois depuis le début de la soirée je parlais d'un air vraiment sérieux et un peu ferme.
"Je ne vais pas te mentir parce que j'en vois pas la peine ni la raison. Je n'aime pas les confréries. J'ai certaines à priori sur celle-ci. Autant je n'ai rien contre les membres parce que qu'ils sont tous différents. Chaque être est différent. Et que ce sont des personne comme tout le monde dans le fond. Mais je n'apprécie pas leur système. Et n'arriverait pas à m'imaginer au sain d'une d'entre elle. Telle qu'elle sois. Ne pense pas que je te juge ou autre autant toi qu'une autre personne de ta maison. Mais pour des raisons personnelles je ne pourrais pas apprécier ce genre de lieu." Je détourna mon regard de l'astre pour le poser sur le jeune homme étant à mes côté. Essayant de me reprendre. Je n'étais pas du genre à mâcher mes mots, ou à cacher ce que je pensais. je ne le faisais pas hier & je ne risquais pas de commencer aujourd'hui. Je disais se que je pensais que cela plaise ou non, que ça refroidisse ou pas les gens. Ma parole était une lame que j'aiguisais à chacune de mes paroles. Il venait peut-être de l'apprendre d'ailleurs mais c'est lui qui me l'avait demandé après tout. Je ne répondais qu'à se qu'il voulait savoir. Il ma posait une question et j'y ai répondu de la meilleur manière que j'ai pu. Et voyant qu'il m'avait écouté attentivement. Tenta de sourire "C'est la première fois que j’entrouvre ce chapitre avec quelqu'un. J'ai été honnête avec toi. JE t'es dis que je te jugerai pas donc s'il te plait faisant tout autant avec moi" Je ne lui demandais pas la charité à ça jamais! Amaliya Joyce Garcia-Yung est beaucoup trop fière pour ça! Je lui demande juste une égalité des choses. C'est un sujet que même avec mon meilleur ami je n'ai pas ouvert. Et pourtant avec lui je venais de le faire. C'est peut-être parce qu'il y avait des chances pour que je ne le revois plus et que je n'entende plus parler de lui que mon cœur a accepter de laisser entrevoir ça. Et si je le revoyais plus il emporterait sa avec lui pour toujours... Ou l'oubliera des demain. C'est à voir. J'inspira un grand coup et me focalisa un peu plus les différentes choses qu'il avait apportait, je ne regardait ce que c'était je regardais surtout la couleur de leur emballages, ceci pour surement me changer les idées.
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"Je ne vais pas te mentir parce que j'en vois pas la peine ni la raison. Je n'aime pas les confréries. J'ai certaines à priori sur celle-ci. Autant je n'ai rien contre les membres parce que qu'ils sont tous différents. Chaque être est différent. Et que ce sont des personne comme tout le monde dans le fond. Mais je n'apprécie pas leur système. Et n'arriverait pas à m'imaginer au sain d'une d'entre elle. Telle qu'elle sois. Ne pense pas que je te juge ou autre autant toi qu'une autre personne de ta maison. Mais pour des raisons personnelles je ne pourrais pas apprécier ce genre de lieu." Mon intuition avait eu raison. Elle faisait bien partie de ses personnes qui ne comprenait pas le système et qui ne l’appréciais pas. Ce n’est pas pour autant, que je n’allais plus lui parler. Chacun était en droit de penser ce qu’il voulait. "C'est la première fois que j’entrouvre ce chapitre avec quelqu'un. J'ai été honnête avec toi. JE t'es dis que je te jugerai pas donc s'il te plait faisant tout autant avec moi" Elle c’était tournée vers moi comme pour avoir la conviction que je ne partirais pas. Je soupirais avant de reprendre. « Tu sais, j’ai conscience que le système ne plait pas à tout le monde. Je ne vais pas arrêter de te parler à cause de ça. Juste, on est des étudiants comme tous les autres et même si vous ne le comprenez pas, une confrérie, c’est comme une seconde famille. Après, il y en a qui vont trop loin, mais cela dépend de la personne. » Il y avait des bizutages qui viraient très mal, mais cela dépendait du bizuteur et non de la maison. Lui seul était responsable. Cette annonce avait jeté un léger froid. Aussi, je décidais de briser ce silence. « Je respecte l’opinion de chacun. » lui disais-je en souriant.
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« Tu sais, j’ai conscience que le système ne plait pas à tout le monde. Je ne vais pas arrêter de te parler à cause de ça. Juste, on est des étudiants comme tous les autres et même si vous ne le comprenez pas, une confrérie, c’est comme une seconde famille. Après, il y en a qui vont trop loin, mais cela dépend de la personne. » Si seulement c'était juste ça, pensais-je tout bas. Non, malheureusement je ne me limité pas qu'à cela. Je le disais pas mais mes pensées remontaient à bien plus loin que cela et beaucoup moins simple que juste  je ne "comprenez pas". Dans le cas présent, malgré lui, c'était le seul qui ne comprenais pas. Je lui souris. "Je me doute bien que vous êtes des personnes comme les autres, je pense pas que vous êtes des extra-terrestres venus pour nous faire du mal. Non pas du tout et c'est bien pour cela que je t'ai précisée que je n'ai rien contre les personnes qui y sont. Je sais se que c'est d'avoir une seconde famille crois moi. Même si ça ne ce voit pas, j'ai vécu autant de chose que les autres. Et pour moi... Ma seconde famille compte tout autant que ma première. Si toi tu saurais dire la même chose à propos des personnes auquel tu pense quand tu me dis qu'une confrérie c'est une seconde famille, alors je pense qu'à ce niveau là on est sur la même longueur d'onde. Et oui, comme tu dis y'en a qui vont trop loin..." Lorsque je dis ma dernière phrase un ton de sous entendu vienait prendre la place de celui explicatif. Et d'un coup c'est comme-ci un voile sombre c'était posé sur mes pupilles, tant mes yeux exprimait le vide. Ce fut comme un retour en arrière express. Je revoyais certaine scène que j'aurais pu m'abstenir de penser, certains passage de ma vie que je voulais oublier. Je voulais à se moment précis être dans les bras de Keith pour qu'il puisse me rassurer et calmer ma peine. Mais c'était impossible. Je voulus me recroqueviller sur moi-même mais je ne voulais pas qu'un homme que je connaissais à peine puisse me voir entrain de perdre toute mes défenses. Alors je me ressaisis tant bien que mal, malgré que mes pupilles qui commençaient à se faire humides brillaient sous l'éclat de la lune. J'inspira me calma intérieurement du mieux que je pus. « Je respecte l’opinion de chacun. » Je le regarda essayant d'arborer un sourire qui se voulait naturelle. Tout en jouant de nouveau avec mes cheveux et en bougeant mes pieds. Je me cachais derrière ma gestuelle enfantine lorsque je me sentais pas très bien. J'étais comme ça. Je pouvais faire l'enfant pour deux raisons la première car je me sens très à l'aise avec toi et la seconde parce que au contraire je me sentais mal. Malheureusement pour moi ce n'étais pas le premier cas, et pourtant le garçon devant moi étais trés sympathique mais il avait fallut que ce maudit sujet interdit me revienne en tête. Je sortis de mes pensée lorsque je me rendit compte que pendant tout ce temps là j'avais le regard dans le vide mais en le visage tournait vers lui, je sortis de mon blackout. Chercha doucement la dernière phrase qu'il venait de dire. "Merci alors." C'est tout ce que je réussissais à lui dire, mais j'y avais mis tout mon cœur car le faite qu'il puisse respecter se que je le lui disais sans me mettre une étiquette alors que je venais de faire preuve de l'une de sincérité vis à vis de lui me touchais énormément.
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