Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAmaliya & Wyatt- Insomniaque d’une nuit
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


Amaliya & Wyatt- Insomniaque d’une nuit

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Insomniaque d'une nuit
w/ Amaliya & Wyatt

Les étoiles lumineuses brillaient haut dans le ciel, tel des diamants. Il devait être plus de minuit lorsque je m’asseyais sur le perron de la résidence. Encore un peu malade, j’avais tendance à faire des insomnies. Aussi, je prenais une veste doublé de polaire pour ne pas avoir froid dehors. Un café à la main, mes yeux étaient rivés sur l’immensité des cieux. Doucement, mon esprit vaguait vers celle que j’aimais. Elle devait surement dormir à cette heure-là. Sans compter que notre relation était assez étrange depuis ce fameux épisode. Je l’avais rassuré en lui disant que je l’aimais toujours, mais c’était difficile d’oublier ce qui c’était passé à Las Vegas. Fermant les yeux un instant, je revoyais en mémoire certains souvenirs. A ce moment précis, j’aurais aimé retourner au Nouveau-Mexique. Les étoiles là-bas, y étaient plus belles. Elles n’étaient pas voilées par la pollution environnante. En vivant à Roswell, j’avais pour habitude d’aller à l’observatoire en plein milieu de la nuit dans le désert. J’y allais contempler les astres, me laissant rêver à une autre vie. Désormais, cette ancienne vie me manquait, alors que j’avais tout ce que j’avais toujours voulu ici. Soudain, un bruissement attirait mon attention. Je rouvrais les yeux et apercevais une jeune femme qui me lorgnait du regard. Apparemment, je n’étais pas seul. Faite que ce ne soit pas un remake de films d’horreur ou la jeune femme orpheline viendrait me tuer en pleine rue.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'étais là, assise, observant ce paysage urbain qui s'offrait à moi, avec une lueur de surprise et d'admiration dans les yeux face à ces choses qui nous faisaient nous sentir si petit. Je levai ma tête un peu plus haut, admirant ces merveilleux astres lumineux que le ciel nous offrait chaque soir. Que pouvait-il avoir de plus beau sur Terre ? Je ne sais pas, mais de ce que je suis en train de voir je ne suis pas sûr qu'il existe une chose équivalente à la beauté d'une nuit étoilée. Puis, réfléchissant sur le fait que ces belles choses étaient basées sur des explosions, je repensai à ma mauvaise rencontre du matin. Regrettant peut-être certaines de mes paroles. Mais je me rassurais en me disant que j'ai sûrement dû dire tout haut ce que les autres pensaient tout bas. Je soupirais maintenant, voilà comment gâcher un si beau moment, à croire que même à distance cet imbécile avait le don de me pourrir la vie. J'étais tellement plongée dans mes pensées que je ne remarquai pas le jeune brun qui s'était installé sur le perron. Je le regardai un moment, voyant qu'il ne m'avait pas encore vu. La luminosité était assez basse, mais cela ne m'empêcha pas d'entrevoir le visage du jeune homme, qui lui aussi avait l'air pensif. Ma tranquillité étant gênée je décidai de me lever pour m'en aller. Malheureusement pour moi, le jeune garçon devait avoir les sens aiguisés, car malgré la distance qui nous séparait, il me vit quand même me lever et commença des lors à me fixer. Je restai la figée, le regardant comme lui me regardait, mais je n'arrivais tout de même pas à réellement définir ses traits. Puis sentant le malaise m'accabler de son poids sur mes épaules je décidai de me rapprocher légèrement pour voir s'il m'était familier. Non, il ne me disait décidément rien et sa carrure imposante n'était surement pas là pour me rassurer. J'inspirai un coup. Cet affrontement de regard me donna une petite impression de David contre Goliath.Malgré qu'aucun combat n'était à prévoir. Sentant qu'il se demandait pourquoi je restais là je souris par courtoisie tout en me rapprochant.

"Salut ... Le sommeil n'est pas au rendez-vous apparemment hein"

Je voulus me taper la tête contre un poteau. Et je pense que cela se voyait à mon expression faciale car le jeune homme souriait d'une manière amusé et intrigué maintenant. Mais tu es folle ma pauvre petite ! Tu vas voir des gens que tu ne connais pas comme ça. Mais imagine que ce soit un revendeur d'organe ou qu'il pense que tu es une folle détraquée ! Je me demandais qu'est-ce que j'allais bien pouvoir faire de moi quelquefois. Je restai là figée. Dans le fond j'espérais qu'il ne me laisserait pas là, comme une cloche que j'étais à l'attente d'une réponse qu'il ne me donnerait pas.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Insomniaque d'une nuit
w/ Amaliya & Wyatt

Alors, que je me demandais qui était cette jeune femme, elle faisait quelques pas de plus en ma direction. "Salut ... Le sommeil n'est pas au rendez vous apparemment hein" Un sourire amusé venait orner mes lèvres. Son audace me surprenait, car en premier abord, elle me faisait penser à une personne timide. « Morphée n’a pas voulu de moi cette nuit » disais-je avec ironie. Ce qui était vrai d’ailleurs. Le marchand de sable n’était pas passé et je n’avais fait que ressasser mes pensées. La jeune femme qui me faisait avait elle aussi l’air de ne pas trouver le sommeil. Je me demandais qui elle était, car je ne l’avais jamais vu ici et nous étions dans le coin des résidences des maisons ou plus précisément devant la mienne. Sans doute était-elle nouvelle. « Toi non plus à ce que je vois » Je rajoutais ses mots tout en prenant une autre gorgée de mon café. Je savais que cela n’allait pas m’aider à trouver le sommeil, mais j’en avais besoin. Le liquide chaud me réchauffait le corps. Mon visage était toujours un peu pale et par moment, je sentais quelques douleurs aux articulations à cause de la peste. Dieu merci, le virus avait été stoppé grâce aux traitements et plus personne ne pouvait être contaminé. Le séjour en quarantaine avait été long et terriblement épuisant. J’avais pris l’habitude de dormir à des horaires irréguliers et c’était une très mauvaise habitude. Je me demandais comment j’allais faire à la reprise des cours, ainsi qu’aux entrainements de natation. Les médecins m’avaient interdit de faire du sport pendant plus de deux semaines. Une sentence particulièrement déplaisante, car j’étais capitaine de l’équipe et que j’adorais ce sport. Il me permettait d’évacuer tout ce que je ressentais. C’était l’occasion de faire le point sur moi-même. Hélas, c’était impossible tant que je ne reprendrais pas le sport. D’un regard observateur, j’analysais la personne qui me faisait face. Elle avait la peau métissée contrairement à moi qui était blanc comme un linge. D’ordinaire, j’étais un peu plus foncé que ça, mais à cause de ma santé, j’étais devenu tout blanc. Ses yeux étaient légèrement en amande comme si elle avait des origines asiatiques. Enfin, elle ne me disait vraiment rien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Maintenant que j'étais face à lui je pouvais être certaine que je ne le connaissais pas. Mais il avait l'air d'être quelqu'un de sympathique en plus d'être beau, chose qui d’après moi n'était pas très fréquente. J'avais eu l'habitude que les personnes que je rencontrais, ayant un physique avantageux ce prenaient pour des Dieux de l'Olympe. Il n'avait pas l'air d'être dans ce registre là.
"Morphée n'a pas voulu de moi cette nuit" me dit-il avec un ton un peu ironique. Je souriais. Tout d'abord parce que cela voulait donc dire qu'il ne me ferait pas de mal, puis par l'amusement que m'apportais cette réponse. En l'observant plus attentivement je pus remarquer deux grande poches sous ses yeux bleu, qui prouvait tout de même une fatigue certaine. Ajouté à ça le teint blafard du jeune homme, cela ne pouvait dire qu'une chose... Il devait être malade. Impossible qu'on puisse être aussi blanc naturellement. Je suis sur que même un russe ne le serait pas autant, malgré que je n'en ai jamais croisée. C'était sûrement une grippe, une grosse angine ou un truc dans le genre. Avec le froid qu'il y a en ce moment cela ne m'étonne pas. Mais ne voulant pas jouer les pseudos médecin, je garda mes remarques pour moi-même. "Toi aussi à ce que je vois" . Il avait pas tord, je n'arrivais pas à trouver le sommeil, poursuivit par le mal du pays qui m'empêcher de trouver la force de me reposait et las, de mes gigotement perpétuelle que je faisais dans mon lit, je m'étais levée décidée à faire tour pour prendre un grand bol d'air, je m'étais vêtue, avais quittais mon appartement pour commencer petit à petit à laisser mes jambes guider le reste de mon corps, ma tête étant bien trop occupée à me rappeler à quel point ma famille me manquait. Et c'était comme ça que j'étais arrivée devant mon université. C'est sûrement parce que c'était le seul chemin que je connaissais par cœur même en fermant les yeux. Comme j'étais devant sans trop savoir quoi faire, je décida d'improviser une visite personnelle du bahut. Et c'est ce que je fis. Je le visita de fond en comble jusqu'à arriver là ou j'étais. D'ailleurs c'était vrai ça. Où était ai-je? Je ne le savais pas et je m'en fichais un peu. Je repris doucement mes esprits  sourit au jeune homme face à moi.
"Non c'est vrai tu as raison le marchand de sable m'a oubliée. Donc tu m'accepterais dans ton club des insomniaques ? J'ai de super aptitude quand il s'agit de rester debout"  je lui dis d'un air amusé. pendant qu'il buvait ce qui me semblait être du café vu l'odeur qui se dégageait de sa tasse. Je le regarda. "Je ne pense pas que boire du café puisse t'aider à faire venir Morphée hein"
je pris mes cheveux à deux main et les mis sur le côté tout en les caressant, c'était un tic, enfantin certes mais c'était souvent plus fort que moi. Je l'observa en même temps me demandais si lui, savait ou nous étions.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Insomniaque d'une nuit
w/ Amaliya & Wyatt

« Non c'est vrai tu as raison. Donc tu m'accepterais dans ton club des insomniaques ? J'ai de super aptitude quand il s'agit de rester debout » Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’inspirait confiance. Elle ne ressemblait pas à une folle d’un film d’horreur. Bon, c’était déjà ça. « Plus on est de fou, plus on rit » Je me décalais et lui laissais une place à côté de moi. Je n’avais pas pour habitude de parler aux étrangers, mais un peu de compagnie ne me ferait pas de mal. « Je ne pense pas que bord du café puisse t'aider à faire venir morphée hein » Je ricanais légèrement avant de répondre à sa remarque. « En effet, mais qui peut résister à une bonne tasse de café bien chaud » disais-je en souriant. Le café m’avait trop manqué à l’hôpital. Je n’avais eu le droit qu’à de l’eau et une nourriture infect. Ce n’était donc pas de refus que de boire se liquide noir. Je jetais un rapide coup d’œil à la jeune femme. Elle se touchait les cheveux frénétiquement comme si elle était nerveuse. C’était moi qui la mettais dans cet état ? D’ailleurs, je ne lui avais toujours pas demandé ce qu’elle faisait ici ou si elle était nouvelle. « Ton visage ne m’est pas familier. Tu fais partie de quelle confrérie ? » J’étais curieux de savoir quelles maisons, elle avait choisis. Souvent, c’était assez révélateur de certaines particularités caractérielles que nous possédions. J’étais chez les Winthrop, car j’étais sportif, je respectais les femmes et aussi, car c’était la seule vrai fraternité d’Harvard. Mes frères étaient géniaux et l’ambiance était toujours joyeuse. La Winthrop House était ma deuxième famille. Elle m’avait en quelque sorte adoptée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" Plus on est de fou, plus on rit"Je souris à cette remarque de sa part et m'installa prêt de lui tout en gardant un distance convenable. Et ne lâchant pas pour autant ma chevelure blonde cuivrée je fixa un moment le bâtiment devant lequel nous nous trouvions en admirant les couleurs harmonieusement bien placées. Je me demandais tout de même qui il pouvait bien être et ce qu'il faisait ici si tard. Il avait peut-être eut un rendez-vous avec une jeune fille, ou un homme va savoir. on me répète souvent que les plus beaux garçons sont pour la plus part d'orientation homosexuelle. Ça pouvait peut-être être sont cas à lui aussi. Chose qui serait un peu triste pour le sexe féminin de pas pouvoir profiter d'une telle beauté me dit-je, je me mis à ricaner doucement devant le jeune homme qui ne comprenait pas tellement la situation alors qu'il venait de me faire une certaine remarque " En effet, mais qui peut résister à une bonne tasse de café bien chaude" je sourit et acquiesça d'un mouvement de tête "surtout quand il est agrémenté d'un bon lait et de chantilly". j'avait les yeux qui brillaient rien que d'en parler. On me répétait souvent que mes goûts étaient un peu puéril pour mon âge mais je m'en fichais comme de la dernière pluie. C'était un fait, cette boisson était la meilleur qui puisse être et j'en étais une experte dans sa confection. Il me souriait sûrement par gentillesse, maintenant que j'étais assise près de lui je me sentais un peu comme une toute petite chose à côté de lui qui malgré son teint blafard et sa tête de malade avait une certaine présence. "Je me sens incroyablement ridicule à côté de toi" ris-je. "La lilliputienne et le géant. la rencontre! Deux personnes que tout oppose" je lui dis cela comme une annonce de film. Et pourtant j'avais une taille convenable. Mais apparemment on ne jouait pas dans la même cour à ce sujet là lui et moi. C'était vraiment rare que je me familiarise avec une personne aussi rapidement et surtout aussi facilement. Il dégageait quelque chose qui laissait sous-entendre que l'on pouvait lui faire confiance et il était plutôt marrant en plus. Mais j'ai plus l'habitude d'être froide et distante avec les gens que je ne connais pas assez. Les mauvaises expériences forment nos coquilles protectrices. Et la mienne était blindé en temps normal, mais surement que je ne voulais pas que ma journée entière sois une accumulation de mauvaises paroles et de mauvaises rencontres j'avais ressentie l'envie de discuter avec une personne qui ne me jugerai pas à se qu'il verrait. Mais mon rire s'arrêta lorsque de ses lèvres il me demanda "Ton visage ne m'est pas familier. Tu fais partie de quelle confrérie ?" Est-ce que j'avais la tête d’être de ses personnes là? Vraiment? Non mais qu'est ce que je raconte, il n'y a pas de tête faites exprès mais je pensais pas qu'on aurait pu croire que ma petite personne serait rentrée dans une des confrérie d'Harvard. Non. Clairement cela n'était pas possible. Et vu la tête qu'il me fais maintenant je pense qu'il a compris. Je repris une tête posée.
" Oui c'est normal je suis arrivée il n'y a pas longtemps ici. Pour des raison personnelle je n'ai pas pu faire ma rentrée en même temps que tout le monde. Ça fais 1 semaines et demi que je suis là." Je lui dis d'un air calme et serein. Agitant un peu mes pieds. Car malgré que cela faisait seulement une semaine que je m'étais installée ici, je le ressentait comme un mois complet, j'avais perdue tout mes repères et avais du mal à m'en faire de nouveau. Et vu que je ne fais jamais le premier pas mes journées sont dans la globalité, tristement longue. J'inspira et le regarda "Et toi alors? Parce que c'est bien beau de chercher à savoir qui je suis mais j'aimerai bien savoir à qui je raconte ma vie quand même" Je lui sourit sincèrement, et souvent on se moquais de moi quand je faisait cela car mes yeux se bridaient encore plus. Hahaha qu'est ce que cela est amusant. -_- Non. Stop c'est pas drôle. J'assume mes origines telle qu'elle sois. Car oui j'en ai plusieurs. Et que mes yeux plaisent ou pas je ne cesserai pas de sourire aux gens juste pour ça. Oui je sais bien que c'est à moi-même que je fais ce discours mais je le fais quand même ne sait-on jamais s'il est doté du don de la télépathie.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Insomniaque d'une nuit
w/ Amaliya & Wyatt

"surtout quand il est agrémenté d'un bon lait et de la chantilly J’aimais bien sa vision d’un café parfait. Personnellement, il m’arrivait de regarder un film avec un chocolat chaud remplie de marshmallow comme une vraie gonzesse ! Bien sûr, c’était mon petit secret. Mes meilleurs amis se moqueraient surement de moi s’ils savaient ça. La jeune femme prenait enfin place à mes côtés tout en me glissant quelques mots. Je me sens incroyablement ridicule à côté de toi. La lilipucienne et le géant la rencontre! Deux personne que tout oppose" Je ne pus m’empêcher de rire. Elle était assez amusante comme fille et ça faisait du bien de rencontrer des personnes avec qui on pouvait mener une conversation facilement. « Mais non, faut pas te sentir idiote. Compare moi à un gros nounours » Je reconnais que j’étais grand et imposant au niveau de la musculature qui était dû à la natation, mais je n’étais pas méchant, bien au contraire. Par la suite, je lui avais demandé de quel confrérie elle faisait partie, car soyons honnête, je ne connaissais pas tout le monde sur le campus et son visage ne me disait rien. Je sus à l’expression de son visage que j’avais touché une mauvaise corde en parlant des confréries. Avait-elle quelque chose contre les maisons ? Faisait-elle partie d’un de ses groupes activistes d’Harvard qui détestaient le système des confréries. " Oui c'est normal je suis arrivée il n'y a pas longtemps ici. Pour des raison personnelle je n'ai pas pu faire ma rentrée en même temps que tout le monde. Ça fais 1 semaines et demi que je suis ici" En effet, son arrivé était récente. « Si un jour tu as besoin d’aide, tu sais où frapper. » disais-je en souriant. « Sans être indiscret, tu viens de quel coin ? » Elle n’avait pas d’accent, ce qui voulait dire qu’elle était Américaine. "Et toi alors? Parce que c'est bien beau de chercher à savoir qui je suis mais j'aimerai bien savoir à qui je raconte ma vie quand même" Un sourire s’affichait sur mon visage. Elle voulait savoir qui j’étais, c’était logique. « Je viens de Roswell au Nouveau-Mexique, mais j’étudie l’archéologie et l’histoire depuis mes dix-huit ans à Harvard. » C’était dingue de parler de soi à une parfaite inconnu, mais je devais au moins lui dire d’où je venais, puis qu’elle me l’avait dit. « Et ici, tu es sur le perron de la Winthrop House » J’évitais de lui dire que j’en étais le président, de peur qu’elle s’énerve étant donné sa réaction de toute à l’heure.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je souris assez ravie qu'il ne se moque pas de mes goûts en matière de boisson, car généralement on ne se gênait pas pour le faire. « Mais non, faut pas te sentir idiote. Compare moi à un gros nounours », je ne pue me retenir d'éclater de rire, j'inspirais pour me calmer. Je ne me moquais pas de lui bien au contraire, sa comparaison était tellement mignonne qu'elle en était drôle. " Mais les nounours c'est poilus et se qu'ils ont ressemble plus à de la graisse qu'à du muscle. Quoiqu'au niveau du poil t'es pas mal non plus"je lui dis cela en regardant sa légère barbe qui devait dater de trois-quatre jours facilement.  Je le taquinais et charriais Comme je le ferais avec un ami de longue date.  Il devait sûrement me prendre pour une folle et il n'était pas le seul. Cela me surprenait incroyablement de moi-même que je tienne aussi longtemps une conversation avec un homme que je ne connais pas. Mais on ne pouvais que se sentir en confiance avec lui. D'ailleurs je ne lui ai même pas demandais comment il s'appelait, je voulus le faire mais je me retins au dernier moment, me disant qu'en laissant planer se léger mystère là, ça serait sûrement plus marrant. Un peu comme dans les films. Connaitre son prénom casserait peut-être la magie de l'instant que l'on vit là. Alors je m'abstenue. "Si un jour tu as besoin d'aide, tu sais où frapper " lorsqu'il me dit cette phrase je souris, émue d'une telle gentillesse. Sur cet abord là, il me faisait penser à mon meilleur ami, Keith. Mon mal du pays me repris soudainement mais je le contrôla .Oui je viendrais ici à une heure du mat' c'est le rendez-vous lui répondis-je en lui renvoyant son sourire. "Sans être indiscret tu viens de quel coin?" Je le regarda et rit "alors là par contre il faut suivre. Je suis née et j'ai commençais à grandir à Seattle . On a ensuite emménagés à Philadelphie et il y a quelques mois on a déménagés pour aller vivre au Kentucky. Donc je ne sais pas qu'est-ce que tu préfère prendre comme lieu d'origine. " Cela m'amusais toujours autant de voir la tête un peu surprise des gens à qui je disais ça. Mais vu que pour moi c'est un peu plus amusant que surprenant ça allais.   « Je viens de Roswell au Nouveau-Mexique, mais j’étudie l’archéologie et l’histoire depuis mes dix-huit ans à Harvard. » je le regarda surprise pour une fois que c'est pas moi qui a l'histoire la plus intéressante, j'avais les yeux pétillant pleine de lueur d'espoir qu'il me dise qu'il avait déjà croisé un OVNI. Oui moi et les clichés c'est une histoire d'amour, mais seulement les gentils clichés. Mais après tout ce n'est pas de ma faute si on m'a bercée mon enfance avec la célèbre série du même nom. Je ne dis rien , et je pense que c'est bien mieux comme ça car mon expression faciale devait être bien assez drôle pour ne pas ajouter en plus une bêtises  verbale plus grosse que moi. Puis je me rendit compte que cela faisait trois ans qu'il faisait de l'archéologie, je le regarda avec une tête d'enfant admirative c'est ce qu'il éveillait en moi à chaque fois qu'il parlait de lui. Toute mon enfance, la je le visualisais à la place d'Indiana Jones, ça devait être l'heure qui me faisait dérailler à ce point car malgré tout j'avais les idées clairs. Mais le beug sur Roswell avait sûrement du retarder d'un cran mon cerveau. Voire, l'avoir fait régresser. Archéologue est un métier et une science que je respect énormément et pas seulement à cause des films, mais surtout grâce au grande découverte que ce métier a pu faire faire au monde. Et aussi au grande avancée qu'il a permit de faire à l'humanité.  Il faisait cela depuis cinq ans ici et sa depuis ses dix-huit ans. Il avait donc 23 ans. Je trouve qu'il fait son age. Et sûrement encore mieux s'il était rasé, ou un peu plus jeune. Mais la phrase qui suivit me fit directement redescendre de mes enfantillage.  « Et ici, tu es sur le perron de la Winthrop House » Quoi?! Non, j'étais sur le territoires des maisons. Je n'arrivais pas à y croire. J'inspira discrètement , me sentant un peu cruche sur l'instant. Je pris un visage calme et un sourire "de convention"  "Ah bon? Je savais pas. Je comprend mieux pourquoi ses lieux ne me disaient rien. C'est pas trop un endroit que je fréquente ici. Et j'ai d'ailleurs sautée la visite à mon entrée ici. Mais c'était accidentelle." Je lui dit en souriant. . Je ne veux pas  paraître indiscrète ou stupide. Mais tu peux me dire c'est  laquelle des six?" Je lui demanda en riant bêtement et en me grattant la tête un peu gênée. Il devait me prendre pour une fille stupide. Ou pour se que je suis vraiment; une arriviste. Eh bien bravo ma grande toi qui disais que tu te mettrais plus dans l'embarras en allant à l'Université tu commence bien!
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Insomniaque d'une nuit
w/ Amaliya & Wyatt

" Mais les nounours c'est poilu et ce qu'ils ont ressemble plus à de la graisse qu'à du muscle. Quoi que au niveau du poil t'es pas mal non plus" Je pouffais de rire tout en écoutant ce qu’elle me disait. Pendant un instant, on aurait dit la logique d’une petite fille. « Pour ma défense, je suis toujours rasé d’habitude. Je ne savais pas que j’allais recevoir de la visite (a) » disais-je en souriant. C’est vrai, que je me rasais souvent. Quoi que cela avait tendance à varier selon mon humeur, mais depuis l’hôpital, j’avais pris la mauvaise manie de mettre du temps à me raser. Puis, ça m’allait assez bien. Bien sûr, je ne laisserais pas pousser plus. Après quelques minutes, je disais à la jeune femme que si elle avait besoin d’aide, je n’étais pas loin. Après tout, elle savait où je vivais maintenant. Oui je viendrais ici à une heure du mat' c'est le rendez-vous Un mince sourire venait se dessiner sur mon visage. Un lieu de rendez-vous, c’était pas mal comme idée. « Je crois qu’on vient de créer le premier groupe d’insomniaque d’Harvard. Un vrai évènement ! » Discuter avec une personne en pleine nuit, me changeait de ses dernières semaines. La plupart n’avait pas de trouble du sommeil or j’en avais de plus en plus. Peut-être que je devrais prendre des cachets. Allez savoir. Je ne savais pas quand cela allait cesser. Parlant à une parfaite inconnue, je décidais d’en savoir plus en lui demandant d’où elle venait. "alors là par contre il faut suivre. Alors je suis née et j'ai commençais à grandir à Seattle . On a ensuite emménagé à Philadelphie et il y a quelque mois on a déménagé pour aller vivre au Kentucky. Donc je ne sais pas qu'est-ce que tu préfères prendre comme lieu d'origine. " En tout cas, on pouvait dire qu’elle déménageait souvent contrairement à moi. Avant Cambridge, je n’avais jamais bougé de Roswell. Ma terre natale. Durant toute mon enfance, j’avais tout fait pour voler de mes propres ailes et maintenant que j’avais ça, je ne désirais qu’une chose : me réfugier chez moi. Seul Torrey, arrivait à me rappeler le garçon que j’étais. Elle venait de Santa Fe, une ville voisine à Roswell. On c’était connu étant enfant et la revoir à Harvard était une vraie bénédiction. « Woo tu as beaucoup déménagé. Ça ne doit pas être toujours évident… » Je ferais mieux de me taire, car je devenais trop indiscret et peut-être qu’elle allait mal le prendre. Ah bon? Je savais pas. Je comprend mieux pourquoi ses lieux ne me disait rien. C'est pas trop un endroit que je fréquente ici. Et j'ai d'ailleurs sauté la visites à mon entrée ici. Mais c'était accidentelle Lorsque je lui annonçais qu’elle se trouvait dans une des résidences, je crus distinguer une certaine appréhension, à moins que je ne me soit fait des films. « II n’y a pas besoin de la visite. Bien sûr, c’est mieux pour faire ton choix, mais tu peux t’inscrire directement en passant au siège des confréries. » Ce qui était vrai d’ailleurs, je recevais encore des bizuts ici. . Je ne veux pas paraître indiscrète ou stupide. Mais tu peux me dire ce sont lesquels des six? Pour une fille qui avait loupé la visite, elle s’y connaissait quand même. Je me raclais la gorge avant de répondre. « Alors, il y a les Winthrop, c’est la seule fraternité du campus. Puis, y a les Dunster, l’élite intellectuelle d’Harvard ; Les Eliot, ce sont un peu les fils à papa ; Les Lowell House, généralement, ce ne sont que des personnes qui étudie dans le domaine artistique ou qui ont un passe-temps dedans. Il y a les Cabot qui est la seule sororité d’Harvard et enfin les Mather, ce sont des fêtards, mais il y a pas mal de spécimen là-dedans. Après ça ne veut rien dire, je connais des personnes très correctes qui y sont. » Je pensais à ma cousine ou encore certain de mes amis.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
"Pour ma défense je suis toujours rasé d'habitude. Je ne savais pas que j'allais recevoir de la visite (a) " je lui souris. Je trouve ça assez drôle car, il a une facilité déconcertante à me répondre avec une certaine malice malgré la gaminerie des propos que je pouvais lui dire. Ce qui était sur c'est j'étais encore très éloigné de son niveau de maturité apparent. " Et bien la prochaine fois on s'appellera pour se donner rendez-vous." Lui répondis-je avec un sourire taquin. Car, après tout, on venait à peine de se rencontrer. Qui me dis qu'il souhaite réellement revoir une inconnue au beau milieu de la nuit? Peut-être qu'il se posait cette même question. Va savoir. " Je crois que l'on vient de créer le premier groupe d'insomniaque d'Harvard. Un vrai événement! Je ris à ça remarque, amusée du contexte. Il venait de répondre à ma question. Cette idée avait l'air d'être venu tout naturellement. Je dois l'avouer, c'était plutôt drôle à constater. Alors que nous parlions de nos lieux de vies antérieur, il avait l'air surpris de voir le nombre de déménagement auxquels j'ai du faire face. Jusque là rien de surprenant. Mais son visage affichait une certaine "compassion" plus qu'autre chose. "Woo tu as beaucoup déménagé. Ça ne doit pas être toujours évident..." Il avait l'air gêné de demander cela, mais je ne comprenais pas pourquoi, je n'ai rien à cacher à personne et ce n'était rien de bien grave. Je lui souris d'une manière se voulant rassurante avant de lui répondre. À vrai dire, je ne me souviens pas tellement de la première fois, j'étais encore trop jeune. J'étais à l'école élémentaire. Je te laisse imaginer que c'est un peu flou à l'heure actuel. Ma mère m'a dit que j'avais beaucoup pleurer je jour ou l'on est partis et que lorsque nous avions emménagés je faisais beaucoup de cauchemars durant mes premières nuits. Mais je pense que le plus dure fut le dernier en date. Le deuxième. Parce que tout mes amis étaient de là-bas. Et une partie de ma famille aussi. J'ai passé toute ma vie à Philadelphie te dire qu'il n'y a pas eut de larme et de tristesse serait te mentir. Mais je me rassure en me disant que maintenant que j'ai mon permis je pourrais quand même aller les voir pendant les vacances. lui répondis-je avec une pointé de tristesse et de nostalgie dans la voix. C'était vrai. Toute ma vie était là-bas. Et en n'en discutant avec lui je me rendais compte que ce déménagement là m'avais plus touché que les autres. J'inspira essayant de garder la face pour me reprendre. "Et toi alors l'homme de Roswell? Je pense que je vais te dispenser du cliché universelle. Mais ça devait être plutôt cool de vivre prêt d'un désert. Il devait y avoir des animaux peut commun qu'on ne croise pas ici non? En plus ça t'as pas un peu "orienté" vers la voie universitaire que tu as choisi?J'avais l'impression d'être une journaliste tellement je lui posais de questions à la minute. Il devait me trouver étrange parce que mon esprit était tellement éparpillait que lorsqu'il avait eût droit à cet enchaînement de questions il comptait m'expliquer les différentes maisons qu'Harvard possédait sur le campus. Je me tus et souris, lui faisant ainsi comprendre que j'étais toute ouïe à son explication. Il se racla la gorge puis commença. « Alors, il y a les Winthrop, c’est la seule fraternité du campus. Puis, y a les Dunster, l’élite intellectuelle d’Harvard ; Les Eliot, ce sont un peu les fils à papa ; Les Lowell House, généralement, ce ne sont que des personnes qui étudie dans le domaine artistique ou qui ont un passe-temps dedans. Il y a les Cabot qui est la seule sororité d’Harvard et enfin les Mather, ce sont des fêtards, mais il y a pas mal de spécimen là-dedans. Après ça ne veut rien dire, je connais des personnes très correctes qui y sont. »Je souris et hocha la tête d'approbation. Il en connaissait des choses tout de même sur les confréries pensais-je puis je me calma en me disant que ça faisait quand même cinq ans qu'il était ici. Ne pas les connaître serait sûrement encore plus bizarre. Mais il disait ça comme s'il avait souvent l'habitude de parler de cela. Comme-ci c'était pas la première fois pour lui qu'il présentait les différentes maisons. Il le disait avec une facilité déconcertante comme-ci chacun des mots sortait tout naturellement de sa bouche. Ou qu'il avait appris par coeur un discour exprès. Je le fixa un peu surprise de cette connaissance puis sourit. " Merci google Harvard la prochaine fois que j'ai une question je viendrais te la poser à toi directement."Je lui répondis cela tout naturellement. Un petit sourire discret. Mais ne voulant pas rester sur ce sujet trop longtemps, après un léger silence je repris la parole sur un sujet qu'il pensait sûrement clôturer." Et que proposes-tu de faire pour fêter la création de notre nouveau club?"
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)