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I want you to understand darling !

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Etais-je sadomasochiste ? Non pas vraiment mais on pouvait très bien croire que c’était le cas puisqu’après une longue journée de cours d’environ huit heures et demi puisque j’avais séché une bonne partie de la dernière heure de psychologie à laquelle je devais assister pour partir faire quelques magasins avec Roxanna qui en avait bien besoin ces derniers temps avec tous les problèmes qu’elle pouvait avoir à cause de Jude qui lui faisait subir sa mauvaise réputation. Bref, après une longue journée on pourrait s’imaginer que je profiterais de mon vendredi soir pour sortir en boite de nuit, partir dans un bar histoire de me taper la plus grosse cuite de toute ma vie mais non. Ce soir j’allais tout simplement passer deux bonnes heures à donner un cours de soutien à Louka, bon il était peut-être étudiant en arts plastiques et sur ce point je ne pouvais rien faire pour lui vu la qualité de mes dessins mais la partie historique de son cursus était plus à ma portée. Intello comme je l’étais depuis le collège je n’avais pas eu beaucoup de mal pour trouver les quelques points qu’il avait eu du mal à comprendre et en faire un nouveau cours qui lui ouvrirait peut-être quelques portes plus tard ?

Ce soir je n’avais pas envie d’étudier dans ma chambre, non j’espérais qu’il serait d’accord pour sortir en ville bien que ce ne soit pas pour faire autre chose que travailler. Du coup je lui avais proposé par sms de me rejoindre à La Luna Caffe dans le central square, un petit restaurant rapide dans lequel nous pourrions passer une bonne heure à réviser ses cours tout en profitant de bons sandwichs préparés juste devant toi avec ce que tu désirais voir à l’intérieur. Je n’avais pas eu à attendre longtemps avant d’obtenir une réponse de sa part me confirmant qu’il viendrait se joindre à moi comme prévu à vingt heures trente. Il était vingt heures trente-cinq et il n’était pas encore arrivé, histoire de ne pas l’attendre comme un con je nous avais déjà commandé deux bières puis j’avais trouvé une table située dans le fond du restaurant histoire qu’on soit au calme. Baissant les yeux pour regarder mes recherches sur ce qu’il m’avait demandé de trouver je ne l’entendais même pas arriver.
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Perdu, sans ambitions. Que faire? Bonne question. Je suis là sans savoir quoi faire. Bien sur, je veux peindre, je veux être un artiste, mais à quoi bon? Mon père devait avoir raison. Ce n'était pas un métier, surtout pas un métier dans lequel il était possible de gagner de l'argent, d'en vivre. Je me postais devant la fenêtre de ma chambre d'étudiant, la tête posée contre le rebord de celle-si. Regarder les gens passer. Quelle activité fascinante. Le regard perdu dans ma contemplation, j'oublie rapidement que bientôt, j'ai un cours de soutiens avec Soliman. Je regarde dehors. Ils semblent tous si heureux. Comment font-ils? Je soupire. Il y a un couple, prêt d'un cèdre. Je les envie. Je les envie tous autant qu'ils sont. Ils roucoulent, se glissent des mots d'amour au creux de l'oreille et moi... Je dois attendre la fin de mes études pour voir enfin le visage de cette promise dont on me vente tant les mérites. Le désir de chair. Quelle connerie quand on est fiancé. Pourtant je me le suis permis, une ou deux fois. Ce n'est pas tromper, vu que je ne la connais même pas. Je ne sais pas quelle allure elle a, je ne connais même pas son prénom. Une parfaite inconnue à laquelle je serais marié à la fin de mes études. Je soupire une fois de plus. Être marié en sortant de ses études. Qui voudrait d'une vie comme ça? Je hais mon père et ses traditions à deux balles. Nous sommes au 21ème siècle après tout. Je les envie, tous autant qu'ils sont de pouvoir faire ce que bon leur semble sans avoir à se préoccuper des conséquences. Si mon père apprend, je me prend une énième bouffe dans la figure. J'entend déjà sa voix, ses insultes en italien et cette déception que je lui impose. Je suis le fils imparfait qu'il aurait préféré ne pas avoir. Mon professeur changea l'heure de notre cours et le vibreur de mon portable me sortit de mes rêveries. Une fois l'heure arrivée, je m'empressais de préparer mon sac. Je sortais en courant de ma chambre alors que j'étais déjà en retard. Je bousculais quelques élèves et m'excusais brièvement, bafouillant de l'anglais approximatif. Je hais être en retard. Finalement, après dix minutes de retard, j'arrivais à La Luna Caffe. Essouflé, je m'approchais de Soliman qui était déjà là. Je passais une main dans mes cheveux pour les recoiffés rapidement avant de me mordre la lèvre en posant mon sac et en m’asseyant. « Pardon Soli... Je suis à la bourre, je sais. J'ai pas vu l'heure... » Je sortais rapidement mes affaires de cours que j'étalais face à moi, prêt à travailler.
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Foncer tête baissée, trébucher et repartir de zéro. C’était ma philosophie de vie, c’est comme ça que je m’étais retrouvé en première année de droit à l’université alors que ce domaine ne m’inspirait rien de bien intéressant et c’est surement pour cette raison que je m’étais vite rabattu sur la psychologie qui me plaisait davantage. J’avais la même citation dans la tête concernant les cours en eux-mêmes, je n’étais pas un fan de l’apprentissage par cœur, de toute manière la plupart des choses qu’on nous enseignait n’allait jamais plus nous servir, il suffisait juste d’être capable de s’en rappeler par une petite combinaison de mots qui t’entrainent toujours plus loin sur le sujet. C’est avec cette méthode que j’étais parvenu à décrocher un dix-sept sur vingt au bac de sciences alors que j’étais loin d’avoir le niveau pour continuer dans une section scientifique. Je m’en sortais bien souvent grâce à ma motivation, je savais en quelque sorte où est-ce que j’allais, mes grandes lignes professionnelles étaient définies de manière plus ou moins précise. Du coup je profitais de mon temps libre pour aider un peu les autres, Louka était quelqu’un qui avait d’ailleurs besoin d’un coup de main pour s’orienter vers quelque chose de concret, j’avais en tout cas cette impression. En attendant son arrivée je m’étais préparé pour cette petite heure de soutien, patientant tranquillement je m’étais même mis à chanter l’une des chansons des Foster The People, Pumped Up Kicks. Il paraissait que je chantais magnifiquement bien, mes amis me le répétaient souvent et un professionnel me l’avait même dit lorsque j’avais chanté avec Lloyed au karaoké… Le problème c’est que sur ce domaine je n’avais pas confiance en moi. « Pardon Soli... Je suis à la bourre, je sais. J'ai pas vu l'heure... » Je levais la tête, un petit sourire aux lèvres. Un sourire légèrement séducteur il fallait l’avouer même si ce n’était pas forcément prémédité. « C’est pas grave, j’ai eu le temps de nous commander à boire et… A manger ! » Je lui montre notre plateau lui adressant ensuite un petit clin d’œil. « Par quoi veux-tu commencer ? »
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Les cours n'étaient pas vraiment ce que je préférais dans ma vie, mais j'étais obligé de bosser. Se faire à moitié virer de chez soi puisque mes études sont plus importantes que le mariage avec ma promise. Faire attention à ce que je pouvais faire été primordial pour mes parents. A mon père surtout, qui ne comprendrait surement pas pourquoi je faisais passer avant des choses sans importance. Ma vie d'ado n'avait aucune signification pour ceux qui m'avaient donné la vie. Pour eux, je devais être un jeune adulte, sur de lui et de ses convictions. A croire qu'une fois mes études terminées, je m'installerais dans une grande villa italienne aux côtés de ma bien aimée, que je ferais pleins d'enfants et que je deviendrais un grand PDG. Mais non, ce n'était pas ce que moi je voulais. C'était ce qu'ils voulaient, ce qu'ils m'imposaient. J'avais encore eu de la chance qu'ils acceptent que je fasse mes études d'art à la place d'études pour bosser dans une banque ou je ne sais pas où. L'art était ma seule passion, et ma mère en avait conscience. Il m'était tout bonnement impossible de vivre sans griffonner quelque chose. Mon seul moyen d'expression, c'était ça. Dessiner les conneries de la vie sur un bout de papier avec un crayon. Je n'en vivrais surement pas, mais à quoi bon se ralentir? A quoi bon vouloir changer de voie alors que celle-ci est déjà toute tracée dans notre tête depuis toujours? Je veux vivre avec un crayon à la main. Devenir artiste peut-être pour ensuite être reconnu mais seul le temps donnera les solutions à mes interrogations diverses. Je m'installais rapidement en face de Soliman. Je posais mes yeux timides sur lui et me mordais la lèvre alors que je me surprenais à dessiner la moindre des courbes de son visage avec mes yeux. Il était attirant, c'était tellement évident. Il le savait, il se sentait beau et cela se reflétait dans le moindre de ses traits et de ses gestes. Il semblait fier de lui et vu sa réputation de don juan, il pouvait l'être. J'étais loin d'être comme lui. J'étais même tout son contraire. Trop timide, peu sur de lui. Vivre dans l'ombre des gens comme lui, j'étais réduis à ça. C'était la vie aujourd'hui, il n'y a pas d'autres choix. C'est comme ça que vivent dans les jeunes. Si tu n'as pas ce qu'il faut là où il faut, tu n'es pas remarqué, ni aimer. Je ne veux rien de ses deux choses, je veux simplement vivre tel que je suis. « C’est pas grave, j’ai eu le temps de nous commander à boire et… A manger ! » A l'idée de manger, mon ventre se mit à gargouiller, ce qui me fit sourire. « Ca tombe bien, je suis mort de faim. » Je passe un main dans mes cheveux avant de poser mes différents cahiers sur la table. Nous nous voyons avant tout pour bosser. « Par quoi veux-tu commencer ? » Bonne question. Je balaye rapidement des yeux mes différents bouquins. Toute la partie historique me posait problème. J'étais plutôt dans la réalisation, pas dans le reste. Je le regarde. « J'ai une dissert à faire sur l'histoire de l'impressionnisme... Si ca te dérange pas de m'aider au niveau des dates et tout... » Je bafouille ses quelques mots alors que je regarde les pages de mes livres ainsi que le thème de ma dissert. Je soupire. Qu'est ce que je peux détester l'histoire.
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Je ne devais pas être un garçon normal, pourquoi est-ce que le fait d’aller en cours n’avait jamais été comme une espèce de contrainte pour moi ? Pour tout vous dire il m’arrivait souvent de sécher lorsque je sentais que je n’allais pas être productif mais jamais je ne me réveillais le matin avec l’envie de me tirer une balle juste parce que j’allais devoir passer une journée enfermée dans un amphithéâtre avec des bouseux que je ne pouvais plus supporter. Il faut dire que ma vie était bien trop remplie pour que je puisse ne serais-ce que pendant deux minutes me dire que j’en avais ras le cul des cours, c’était bien sûr le cas ces derniers temps puisque j’étais à présent sur la dernière ligne droite pour en finir une bonne fois pour toute avec les études. Dans un peu plus d’un an je serais enfin lâché dans la fosse aux lions, c’est à ce moment-là qu’il faudrait que je me montre plus intelligent que les autres pour me trouver un emploi dans le monde de la psychologie. En attendant je profitais au maximum de ma jeunesse, ici ma réputation n’était plus à faire, j’étais un Dom Juan et je l’assumais. Pourtant ce n’était pas totalement le cas, j’étais relativement calme ces derniers temps sexuellement parlant. Pas de relations d’une nuit depuis un bout de temps, bien sûr je ne tirais pas de croix sur ce petit plaisir. Dès que l’occasion se présenterait j’y retournerais, de toute manière je préférais ce mode de vie, l’amour ça faisait trop mal, mon meilleur ami me l’avait prouvé en couchant avec ma petite amie au moment où je m’apprêtais à la demander en fiançailles. Perdu dans mes pensées j’avais donc légèrement poussé la chansonnette en attendant mon joli camarade Louka à qui j’allais donner des cours du soir pendant quelques temps histoire qu’il ne soit pas complètement largué dans quelques mois. Mes yeux se posaient bien malgré moi sur son corps très sexy, je me mordillais la lèvre lui montrant le plateau que j’avais commandé pour nous. « Ca tombe bien, je suis mort de faim. » Je souriais, prenant une bouteille de coca que j’avais commandée pour en boire une petite gorgée. « J'ai une dissert à faire sur l'histoire de l'impressionnisme... Si ca te dérange pas de m'aider au niveau des dates et tout... » Je souris, l’impressionnisme ce n’était pas le truc que je maitrisais le plus mais j’avais quelques dates plus ou moins précises en tête. « Alors… Si je ne m’abuse l’impressionnisme est un mouvement français, un mouvement pictural qui a vu le jour au XIXe siècle… Monet et Sisley sont des artistes de l’impressionnisme… » Je blablatais attendant qu’il me coupe bien sûr pour passer à autre chose de plus détaillé s’il le désirait.
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Et je le regarde. Je ne peux m'empêcher de dévier la trajectoire de mon regard. Il est en plein dedans et je me délecte de cette observation même si je suis à la fois gêné d'insister peut-être un peu trop. Il me plait, c'est inévitable. Comment ne pourrait-il pas plaire? J'attrape mon coca, l'ouvre et y plante une paille, posée juste à côté de celui si. Je la place entre mes lèvres et les serre pour pouvoir avaler le liquide. Il ne me regarde pas. Je n'arrive pas à arrêter de le détailler. Il semble si attirant, si tentant. On rêve de le toucher, de l'embrasser, de le déshabiller et voir ses courbes si parfaites qu'il cache sous ses vêtements. Une tentation sur pieds. Il le sait qu'il plait, qu'il est désirable et il en joue. Je ne veux pas tomber dans ce piège, pas encore, pas maintenant. Je suis trop faible pour jouer dans ce genre de cour. Je baisse les yeux, rougissant légèrement. J'ai honte après tout. Je le reluque, je le désire, je l'imagine au creux de mes bras voir même dans mon lit. Je me racle la gorge pour tenter de balayer toutes ses images plus tentantes les unes que les autres. Il n'est pas pour moi. Il ne le sera jamais. Pourquoi voudrait-il d'un type comme moi de toute façon? Inconnu, l'air encore puceau et qui n'est pas du genre facile. Je ne suis surement qu'une proie. Un parmi tant d'autre, sans plus d'importance que ça. Un coup de passage, auquel on pense jusqu'au prochain. Je soupire et je serre ma bouteille dans la main. Je suis ridicule. Je pense à lui, alors que je devrais me concentrer sur mon boulot. C'est pour cette raison que nous sommes ici, pas pour fantasmer sur une relation idyllique qui n'aura jamais lieu d'être. Jamais je ne franchirais cette limite semi professionnelle entre nous, ni celle qui sépare son coeur ni encore celle pour atteindre son lit bien que, comme surement beaucoup de monde, je désirais vraiment franchir un jour. Il y avait un truc entre nous, électrique, peu visible. Il était juste là et se faisait ressentir de temps en temps, quand il le souhaitait. Sa voix me sort de mes rêveries. « Alors… Si je ne m’abuse l’impressionnisme est un mouvement français, un mouvement pictural qui a vu le jour au XIXe siècle… Monet et Sisley sont des artistes de l’impressionnisme… » Je prend note en hochant la tête, il avait raison. « Ouep, c'est ça. Je pense que je parlerais de Monet plus en détails, mettre des peintures de lui etc.. » Je n'arrive pas à me concentrer. Mes idées me font frissonner. Il me tente, c'est horrible.
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Alors que j’essaye de trouver le courage qu’il m’est utile d’avoir pour me concentrer alors que j’avais plus envie de danser à poil devant une tribu de cannibale en ce moment-même, il m’arrivait de ne pas avoir envie de faire des choses trop intellectuelles, hélas nous étions là pour ça. Commençant à lui ressortir toutes mes connaissances en employant des mots simples et favorisant un débit très doux et contrôlé pour qu’il puisse prendre les notes nécessaires je me perdais dans mes pensées recherchant d’autres détails sur l’impressionnisme. Baissant la tête pour réfléchir je sentais que quelqu’un me regardait, nous avions tous cette impression et il s’avérait qu’une personne se tenait bel et bien face à vous en train de vous dévisager. Je levais la tête croisant pendant quelques secondes le regard de Louka qui tournait aussi vite que possible la tête sur le côté gauche. Un petit sourire amusé se dessinait sur mes douces lèvres sucrées que beaucoup de personnes appréciaient. « Ouep, c'est ça. Je pense que je parlerais de Monet plus en détails, mettre des peintures de lui etc.. » Je voudrais lui répondre quelque chose mais aucun son ne s’échappe de mes lèvres, je plonge juste mes yeux dans son magnifique regard, je me sentais comme happé par les yeux de ce beau brun qui était face à moi, je me perdais dans un tourbillon et des dizaines d’images venaient s’imprégner en moi. Il faisait tout à coup trop chaud, ma peau me brûlait et si je n’avais pas été dans un lieu public peut-être que j’aurais pris la liberté d’enlever mon haut. Voulant prendre une paille pour boire mon coca je rentrais en contact avec celle de Louka, un frisson me parcourait tout le corps, étais-je en train de me faire foudroyer ? Vous savez des petites impulsions électriques qui vous font comprendre que vous êtes attiré par quelqu’un… « Euhm… Oui c’est une très bonne idée, explique juste les tableaux qu’il a créés si tu le peux pour montrer à ton correcteur que tu es callé sur le sujet. » Je lui souris un peu gêné retirant ma main de la sienne pour prendre ma boisson y enfonçant ma paille pour en boire une petite gorgée. « Tu as envie d’apprendre quelque chose d’autre ou on passe à quelque chose de moins… Casse-tête ? »
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Je ne voulais pas bosser. J'avais envie de le découvrir, de voir plus que cette image de séducteur que Soliman imposé au monde. Au fond, je le savais. Il était plus et je voulais ce plus. Je voulais voir ce qu'il pouvait être. Découvrir sa véritable identité. Laisse moi voir ce que personne ne peut apercevoir. Laisse moi entrevoir qui tu es. Je te promet de garder le secret. Dépose une fois tes lèvres sur les miennes, j'en crève d'envie. Un frisson me parcourt alors que je les imagine. A la fois tendres et fermes, se posant sur les miennes en un baiser passionné. Cette étreinte que l'on forme. Parfaite, fragile, éphémère. Un plaisir d'un instant et pourtant qui resterait gravé à jamais dans ma mémoire. Le jour où un mec comme lui aurait posé ses lèvres sur les miennes. Je rêve, je fantasme. Pourquoi s’intéresserait-il à un mec comme moi? Nous sommes différents, trop peut-être. Bien plus que je l'aimerais. Pourquoi ne pourrais-je pas être sa copie conforme? Pourquoi n'ai-je pas les couilles de m'avancer et de l'embrasser alors que ce n'est pas l'envie qui me manque? Je baisse les yeux. Je dois me concentrer sur mes cours. Sa main rencontre la mienne alors que, nous allons chercher nos tailles. Je sens des milliers de fourmis envahir mon bras et je rougis violemment, traversé par cette envie folle de le touché. Quelques centimètres, encore. Une dernière fois. Je me retiens. Je ne dois pas le toucher. Je vais passé pour un fou. Je frémis, je me mord la lèvre. Je pers mes moyens. « Euhm… Oui c’est une très bonne idée, explique juste les tableaux qu’il a créés si tu le peux pour montrer à ton correcteur que tu es callé sur le sujet. » Je hoche la tête et je bafouille. « Oui, voilà... » Je me racle la gorge alors que mes joues continuent de s'empourprées. Je baisse les yeux. Calme toi Louka. « Tu as envie d’apprendre quelque chose d’autre ou on passe à quelque chose de moins… Casse-tête ? » Je hoche la tête, une fois de plus. Une question me brule les lèvres. Le feu traverse, elle sort, naturellement, bêtement. . « Dis, tu as quelqu'un? » Je me met à rire, gêné. Je rougis, encore et toujours. je suis con, putain que je suis con.

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Moi qui étais habituellement à fond dans les études en particulier lorsqu’on me demandait de l’aide je n’étais pas motivé ce soir. Parler, rigoler, flirter avec mon interlocuteur m’intéressait davantage. Il y avait quelque chose de très étrange entre nous, depuis le début mais jusqu’à maintenant j’avais plutôt ressenti une gêne de la part de mon partenaire, Louka était souvent sur la défensive avec moi et je comprenais seulement maintenant qu’il était peut-être toujours distant parce qu’il pensait à quelque chose qui le dérangeait ? Qui lui donnait envie ? Avait-il envie de quelque chose avec moi ? En avais-je envie ? Je connaissais la réponse à cette dernière question que je me posais le problème c’est qu’ici je ne pouvais pas me permettre de faire un faux pas, j’étais là pour l’aider et si je le braquais c’était mort hors je n’abandonnais jamais des personnes qui avaient fait ce qu’il fallait pour aller de l’avant dans leurs études. Le contact avec la main de Louka me plongeait dans des pensées toutes moins catholiques que les autres et ses lèvres prenaient soudain un nouvel aspect bien plus intéressant qu’auparavant, elles étaient si attrayantes, comment avais-je pu passer à côté de ce détail jusqu’à ce soir ? J’essayais de penser à autre chose, un pamplemousse parce que je détestais le goût de ce fruit, du coup il agissait comme un tue l’amour et m’évitait de trop paraitre en chaleur. Je me mordillais la lèvre inférieure en ne quittant pas son regard, je le fixais avec un air légèrement intéressé avouons-le. Me raclant la gorge je tentais de reprendre le dessus en lui parlant de son mouvement pictural qu’il étudiait ces derniers temps. « Oui, voilà... » Il parait encore moins à l’aise que moi, qui aurait cru que c’était possible ? « Dis, tu as quelqu'un? » Il se met à rire, plus rouge que la peau de ses joues tu meurs… Je le regarde avec un petit sourire amusé, il devait déjà connaitre ma réponse, je n’avais pas eu une seule relation sérieuse depuis plus de cinq ans, juste des aventures. « Euhmm… Comment te répondre au mieux… Non ! » Je lui souris absorbant une gorgée de mon coca. « Depuis un moment d’ailleurs… Et toi ? » Mes yeux après avoir détaillé chaque parcelle de son visage, seule partie de son corps qu’il m’était possible de regarder avec cette table venaient rejoindre ceux du beau brun qui me faisait frémir depuis le début de la soirée. Son statut m’intéressait énormément.
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Savoir se protéger contre l'ennemi. La première chose qu'on est capable de faire. Ne pas faire en sorte d'être une proie, de se protéger pour ne pas se montrer faible. N'avoir aucune failles qui pourront causer notre perte. On a tous peur, tous autant qu'on est, d'un jour tomber et de ne pas pouvoir se relever. Etre séduit, avoir le coeur brisé. Étrangement, même si il n'y avait pas plus qu'une relation professionnelle entre Soliman et moi, c'était toujours cette sensation que je sentais. Comme si si je m'aventurais plus loin, mon coeur se briserait. Une sorte de poison qu'on est tenté de prendre même en sachant les conséquences. Faire une seule fois la faute d'y goûter pour finalement sombrer, peu à peu. J'avais peur, j'étais tétanisé face à une force de caractère telle que la sienne. J'étais loin d'être comme ça. J'étais surement tout son opposé. Posé, amoureux. C'était tout ce que je voulais. Ce n'était pas surement son cas. Du moins, cette image qu'il renvoyait n'était pas comme ça. Je voulais la prendre. Cette rose qui se tendait voir moi, mais les piquants sont trop pointus, j'ai peur de saigner abondement. Alors je la regarde, de la loin. Je l'observe. Elle est beaucoup plus belle de loin, elle est beaucoup moins dangereuse. Je suis un peureux. J'assume. Je ne me jetterais pas dans la gueule du loup pour que celle-ci me retombe dessus. Je baisse les yeux alors que je range rapidement mes affaires pour les remettre dans mon sac. J'en avais plus besoin. Notre part de boulot était terminée pour ce soir, bien qu'elle n'avait jamais vraiment commencer. J'ose pas relever les yeux. Je l'imagine, entrain de me fixer. Je rougis encore plus. Mes lèvres parlent trop vites, je n'arrive pas à retenir les mots et voilà que la question est lancée. Célibataire, en couple. Un des deux. Je priais secrètement pour le premier choix. Je le voulais. Comme un gosse devant une vitrine de jouets avant Noël. Attention à ne pas se piquer avec les épines. « Euhmm… Comment te répondre au mieux… Non ! » Je ne peux retenir se sourire qui se dessine sur mes lèvres alors qu'à mon tour j'attrape mon coca et avale le liquide gazeux. Mon souhait s'était réalisé. La rose se rapproche, elle va m'écorché si ça continue. Mais à quoi bon luter? « Depuis un moment d’ailleurs… Et toi ? » Moi aussi j'étais seul. Complètement seul bien que fiancé. Quelle connerie cette promise depuis ma naissance. Je me racle la gorge. « C'est assez compliqué... Mais en gros, on peut dire que je suis célibataire... » J'hoche la tête et j'avale une gorgée de plus sans savoir quoi dire de plus. Je joue avec mes doigts. J'évite de le regarder, je sais ce que ça me ferait. Cette envie folle de le toucher. Je me mord la lèvre. Elle est là, elle frôle ma main. Je l'attrape, je l'attrape pas?
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