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La colère irradiait tout le corps de Bambi tandis qu’elle tapait telle une forcenée contre son sac d’entraînement. La salle était complètement vide à cette heure du matin si proche de l’aube… mais la belle blonde ne parvenait pas à trouver le sommeil, impossible. Impossible que d’oublier sa nouvelle altercation avec son père datant de la veille, et qui lui avait retourné les orteils de la façon la plus désagréable qui soit toute la nuit durant. « Putain de bordel de merde ! » s’exclama-t-elle en portant un nouveau coup à chaque mot, criant presque pour laisser échapper cette rage ne la laissant jamais en paix. Bambi était constamment sur les nerfs, envoyait sur les roses à tour de bras sans jamais se maîtriser. Merde, mais que fallait-il qu’elle fasse pour redevenir zen ? Elle aurait rêvé d’obtenir la réponse, mais en tout cas, malgré cette séance ardue de boxe en solo, le résultat n’était pas là. Bambi arrêta bientôt de frapper, essoufflée, épuisée même, surprenant le grincement léger de la porte de la salle qui la poussa à se retourner. « Qu’est-ce que tu regardes ?! » lâcha-t-elle d’un air sec et glacial, ne reconnaissant pas cette silhouette menue au loin. Qui était-elle ? Aucune idée et pour l’heure, rien à cirer. Qu’elle se présente donc et Bambi changerait peut-être d’avis, très éventuellement…
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Encore un cauchemar, je venais de faire encore un cauchemar comme tous ceux que je fais depuis mon arrivée chez ma tante à l'âge de 10 ans, un de ces cauchemars en rapport avec le meurtre de mes parents. Pourquoi j'en faisais, j'étais encore traumatisée des années après, je ne voyais que cette explication alors sachant que je ne pourrai rendormir, je décida d'aller à la salle de sport du campus, il devait être 4-5 heures du matin. Arrivée à la salle de boxe dans la salle de sport du campus et après avoir traversé une partie du campus vide depuis la Dunster House, j'entendis un bruit, comme une parole, un juron qu'on dit quand on est énervés. Cela venait du coin des sacs de boxe où on peut taper dedans pour se défouler, j'en avais bien besoin car après ce cauchemar qui me hantait depuis toutes ces années, j'en avais bien besoin. Mais je la vis s'arrêter de frapper avant de me demander d'un air froid ce que je regardais. Je lui répondit tout en me positionnant face à un autre sac de boxe, prête à cogner dedans de toutes mes forces et d'un air froid et méfiant comme à mon habitude.

Ce que je regarde ? Bah vous, on est que toutes les deux ici, vous voulez que je regarde qui d'autre ? Laissez moi frapper un peu dans mon sac de boxe, je crois que j'en ai sérieusement besoin et j'ai pas envie de vous en parler.

Non mais je la connaissais pas et elle vient me parler, elle se prend pour qui cette fille, pour ma pote, elle rêve. Ma vie ne regardait que moi et mes cauchemars aussi par ailleurs. Je commença à taper dans le sac de boxe, histoire de faire sortir mes vieux démons et ma colère envers les monstres qui ont tués mes parents il y a de cela des années et qui continuent de me hanter chaque jour qui passe.

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Oula, cette nénette venait juste de prendre une Bambi en rogne à rebrousse poil, voilà bien une idée saugrenue ! Soit cette inconnue était suicidaire, ce qui n’aurait pas étonné la Mather une seule seconde, soit elle se prenait pour le centre du monde et dans un cas comme dans l’autre, la remettre à sa place devenait aussi vital qu’urgent. « Parce que tu crois que j’ai quelque chose à péter de ta vie ? Tu veux frapper, tu frappes, en même temps ça ne m’étonnerait pas que ce soit le sac qui ait raison de toi ! » lâcha-t-elle avec énormément de mépris. Si au départ Bambi s’était maîtrisée pour ne pas paraître trop désagréable, là elle n’avait plus aucune raison de le faire et ne comptait pas la traiter avec douceur, bien au contraire. Ne jamais vendre la peau de la biche avant de l’avoir tuée, et si la belle blonde savait mettre KO des types faisant deux, trois, quatre fois son poids, ce n’était pas pour se laisser emmerder par une petite merdeuse de son genre. « Suffisait de le dire de suite que tu voulais taper, comme si ta présence j’en avais quelque chose à foutre… faut pas s’croire le centre du monde ! » reprit-elle non sans hausser les épaules avant de recommencer à frapper, d’autant plus fort d’ailleurs, car cette inconnue lui avait définitivement foutu les nerfs en pelotes. Il valait mieux pour son matricule qu’elle ne l’ouvre pas à nouveau sans quoi Bambi n’aurait aucun scrupule à la puncher elle à la place du sac.
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Cette fille devait penser que je me prenais pour le centre du monde ou que sais je et pourtant c'était bien la preuve qu'elle ne connaissait rien de moi ni de ma vie. Je ne voulais rien connaitre d'elle et elle non plus, on se comprenait au moins sur ce point. Oui, je voulais frapper mais avait elle perdu ses parents à 6 ans morts sous ses propres yeux ? J'en doute fortement. Et avait elle vécu dans la rue de ses 6 ans à ses 10 ans ? Je ne pense pas non plus alors je commença à frapper de toutes mes forces, tellement fort que je faillis décrocher le sac. J'avais tellement de haine, de colère et de vieux démons en moi que je ne pouvais que cogner très fort au risque de tout péter. Car je garde tous mes vieux démons en moi et ils me bouffent de l'intérieur et ce malgré le nombre incalculable de psys que ma tante m'a fait aller quand j'étais plus jeune, cela n'a rien changé à ma douleur extrême. je crois que je vais devoir apprendre à vivre avec et surmonter tout cela. Alors je lui répondit en la tutoyant comme elle le faisait avec moi.

Alors tu penses toujours que j'allais me prendre le sac dans le nez ? On dirait qu'on a autant de haine l'un que l'autre, tu ne crois pas ?

Puis elle me sortit que ma présence l'importait peu et que je ne devais pas me sentir le centre du monde alors je lui répondit d'un air froid et méchant.

Pardon, me sentir le centre du monde, tu te fous de moi là ? Je ne pense pas que tu ai vécu un quart de ma vie alors qu'on a peu d'écart. Très bien, je vais prendre un autre sac et te laisser le tien, chacune fait ses punchs après tout. Je vais faire comme si tu n'étais pas là, ce sera le mieux.

Cette fille me donnait envie de la cogner, arrogante et stupide au point de penser que je me prenais pour le centre du monde. Non mais et puis quoi encore, elle ne connait rien de ma vie et moi de la sienne donc qu'on se taisent toutes les deux et qu'on frappe dans nos sacs de boxe respectifs, ce dont pourquoi on est là.

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Bambi n’avait cure des problèmes des autres. Il ne s’agissait pas vraiment là d’égoïsme pur et dur mais plutôt d’une incapacité profonde à pouvoir gérer autre chose que sa rage à l’heure actuelle. Cette parfaite inconnue la prenait à rebrousse poil et sans doute était-ce sa plus grande erreur : quelque soit le passé de cette nénette, cela ne lui donnait pas le droit de rendre la belle blonde responsable. La Mather l’avait-elle rendue responsable de la mort de son âme sœur ou de sa mère ? Non. Il n’était rien que cette miss puisse faire qui calme l’indicible colère grondant continuellement en elle et rien que de l’entendre parler donnait littéralement des envies de meurtres à la blondinette. « Oh mais si tu sais puncher parfait, mais ça ne veut pas dire que tu sais te défendre pour autant, pardon de te le faire remarquer. Mais pour ce qui est de ma haine, ne parle pas de ce que tu ne connais pas, ça vaut mieux » répliqua-t-elle, glaciale, sans même la regarder. Ce ne fut pas le cas face à ses autres paroles, qui mirent Bambi dans une rage tellement noire qu’elle se dirigea vers elle pour la saisir par le col, les yeux aussi noirs que l’ébène. « Comprends-moi bien merdeuse, des nénettes comme toi, j’en bouffe quinze au petit déj… maintenant tu calmes tes ardeurs bouffonnes ou je peux te garantir que c’est moi qui vais te calmer et ce sera nettement moins sympa ! Je ne t’ai pas agressée, je n’ai pas insulté ta mère, maintenant si mes manières te défrisent, rien à taper et si t’as les vers tu prends du vermifuge ! Je me fous de ta vie, tu ne connais pas la mienne, je te juge pas la tienne alors ne viens pas me baver sur les rouleaux, vu ? T’es pas contente, tu dégages, j’étais là en premier je te signale alors va te faire foutre avec ta morale à la con ! » Bambi la lâcha aussitôt, reculant de quelques pas sans la lâcher du regard pour mieux se reconcentrer sur son sac d’entraînement. Pour elle, la messe était dite : la belle blonde n’était pas du genre à se répéter et il valait mieux que cette inconnue ne la pousse pas davantage sans quoi elle risquait d’avoir du mal à respirer pendant plusieurs jours. Bambi avait beaucoup, beaucoup d’expérience en matière de combat, même en n’ayant pas vécu dans la rue.

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Cette jeune femme ne m'inspira guère confiance, je venais de me taper des cauchemars m'empêchant de me rendormir alors j'avais décidée de venir puncher un peu en pensant qu'il n'y aurait personne et je suis tombée sur elle alors je venais de puncher un peu sur le sac de boxe. Elle me dit que je savais puncher mais que je ne savais pas me défendre et que pour ce qui était de sa haine, qu'il valait mieux que je me taise. Pourquoi détestait elle quelqu'un celle là ? Avait elle assistée au meurtre de ses parents et avait elle d'être retrouver par un cartel de drogue mexicain ? Je ne pense pas vu son allure. Bref, elle ne connaissait rien de ma vie et moi je ne voulais rien savoir de la sienne. Alors je me contenta de lui sourire. Mauvaise idée, avais-je eu en souriant à ses paroles car elle me saisit au col en m'expliquant que des filles comme moi, elle en faisait de la chair à pâté, si seulement elle pouvait imaginer ce que j'avais vécue en tant qu'enfant de la rue. Mais pourquoi se saisir de la violence, je l'ai trop vécue étant enfant pour la reproduire alors je lui répondit

Pourquoi répondre avec la violence, cela te sert à quoi hein ? Pour ta gouverne, je n'ai pas de morale à te faire car j'ai moi même connu la rue et j'ai du apprendre à me défendre pour obtenir à manger car je devais voler de la nourriture pour rester en vie et cela durant 6 ans alors se défendre contre les petits merdeux, je connais également.

Puis elle me lâcha aussi sec qu'elle m'avait attrapée avant de se reculer de quelques mètres afin de repartir au sac d'entrainement. Alors je tenta de me reprendre après mon moyen de défense. Je décida de faire ma "sociable" afin de repartir sur de bonnes bases avec cette fille car du peu de ce que j'ai vu, elle devait avoir un passif similaire au mien, bien que je ne creuserai pas par là. Alors je lui dis, tout en restant méfiante car la fille en face de moi avait sensiblement le même caractère que moi.

Ecoutez, on est parti sur de mauvais pieds, si on repartait du début, bonjour, je m'appelle Leonor, je suis venue ici pour puncher un peu après un cauchemar et toi, que fais tu ici à une heure aussi tôt ?

Je souria très timidement car je n'ai pas l'habitude de parler aux gens qui me sont inconnus, il m'est très difficile pour moi de me faire des amis et d'accorder ma confiance à quelqu'un.

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« Pourquoi répondre par de la violence ? Parce que tu m’as cherchée la première je te ferais remarquer, moi je ne t’ai rien demandé » fit-elle avec froideur, sans pour autant accorder à cette parfaite inconnue le moindre regard. Bambi n’avait que trop soupé de personnages de son type, sans arrêt à se plaindre de leurs vies alors qu’il y a toujours bien pire que soi… la belle blonde ne s’estimait pas forcément à plaindre, voilà pourquoi elle évitait soigneusement d’emmerder autrui avec ses problèmes et cherchait à les régler seule, même si ce n’était pas toujours l’idée du siècle. « Si tu t’es déjà défendue contre des petits merdeux comme tu dis, pourquoi tu me provoques ? Non seulement ce n’est pas le jour mais en prime je t’ai juste demandé ce que tu faisais ici, point barre. Inutile de me sortir ton pédigrée » avoua-t-elle non sans noter au passage que cette inconnue faisait preuve d’un peu plus de finesse d’esprit : elle évitait de provoquer plus encore Bambi, et voilà qui était une bien sage décision. D’un coup d’un seul, face à sa présentation, la jolie Mather s’arrêta de boxer pour mieux lui accorder un regard, partant du principe que puisqu’elle faisait des efforts, sans doute méritait-elle autre chose que de la froideur en face… il fallait être plus encourageant que cela. « Je m’appelle Bambi » répondit-elle premièrement, sans aller jusqu’à dire qu’elle était enchantée, n’ayant pas l’habitude de mentir là-dessus. « Pour ma part je boxe tous les matins sensiblement à la même heure. Disons que c’est vital pour moi sinon c’est le cauchemar » fit-elle remarquer non sans s’approcher de Leonor, sans intention mauvaise cette fois mais son regard légèrement radoucit le laissait aisément comprendre.
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Cette jeune femme me fit remarquer que je l'avais cherchée la première alors qu'elle n'avait rien demandée, ce qui était un peu vrai. Je n'arrivais pas à dormir à cause de ce cauchemar qui me hante alors je lui répondit en m'excusant.

Oui, tu as raison je suis venue te parler en première alors que je n'aurai peut-être pas du et je m'en excuse.

Puis elle me dit que je l'avais provoquée, ce qui n'était pas le cas, je voulais apprendre à devenir sociable mais ce n'était visiblement pas dans les projets de la blonde mais elle se présenta après que je me sois présentée. Alors je lui répondit.

Enchantée Bambi et si je suis venue te parler la première, c'est parce que je suis de nature méfiante aussi mais je veux apprendre à être sociable mais visiblement, je suis tombée sur quelqu'un de réticent. Mais au point où on est, on peut apprendre à se connaitre en surface non ?

Enfin, elle me confia qu'elle boxait tous les matins à la même heure et que c'était vital pour elle alors que pour moi, c'était surtout en cas de cauchemars que j'aimais boxer pour me défouler et faire partir ce cauchemar qui aime me hanter toutes les nuits. Alors je lui répondit.

Ah d'accord et bien j'éviterai de venir à l'avenir à ton heure dans ce cas, ce qui évitera bien des discordes comme on a pu avoir il y a peu. Personnellement, je boxe surtout pour me défouler et évacuer mes vieux démons qui me hantent depuis toujours et toutes les nuits.

Je souria timidement, tout en me remettant face au punch afin de boxer un peu, même si cela faisait quelques instants que je ne boxait pas.

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Les excuses de cette presque inconnue sonnaient drôlement aux oreilles de Bambi. Disons qu’on lui donnait davantage l’habitude de lui hurler dessus, de lui taper sur le système sans jamais s’excuser pour le désagrément causé. Cela prouvait que cette nénette ne manquait pas d’intelligence, ni de finesse d’esprit, deux choses dont manquait cruellement la belle blonde une fois bien énervée, ce qui avait été le cas quelques minutes plus tôt à vrai dire. « Tu apprends à être sociable en agressant les gens toi ? » demanda-t-elle, légèrement ironique, car Leonor ne s’était pas simplement exprimée face à elle, chose que Bambi n’aurait pas mal pris, elle l’avait purement et simplement avalée sans autre forme de procès. « Je ne suis pas réticente à la compagnie, je n’aime pas que l’on m’agresse alors que j’ai posé une simple question, c’est tout. Pour ça que j’ai pété une durite, encore tu m’aurais juste demandé si tu pouvais squatter l’autre sac, je m’en serais foutu ! » avoua-t-elle non sans hausser légèrement les épaules, mais il ne s’agissait pas là de nonchalance ou de je m’en foutisme, plutôt d’une incapacité pleine et entière à savoir comment réagir face à cette nénette. « D’ordinaire je me contrôle. Quand on me parle normalement je sais très bien faire semblant. Mais on a tous nos mauvais jours, la preuve pour toi… mais pour tes cauchemars, la boxe ça t’aide ou vaudrait mieux pas que tu vois carrément quelqu’un ? Méfiance ou pas, je suis pas sûre que ce soit la meilleure option pour toi en fait ! »
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Elle me demandait pourquoi j'apprenais à être sociable en agressant les gens mais qu'elle n'était pas réticente à avoir de la compagnie sans pour autant l'agresser. Il est vrai que je lui avais un peu beaucoup rentrée dedans pour rien, je voulais vraiment me faire pardonner et qui sait apprendre à connaitre cette fille aussi compliquée que moi. Elle me confia que d'ordinaire, elle se contrôlait quand on lui parlait normalement il n'y avait pas de problème mais si on commençait à l'agresser comme je l'avais fait, ce que je comprenais tout à fait. Enfin, elle me conseilla pour mes cauchemars soit de tenter la boxe mais sans trop y croire, soit de consulter un psy, chose que j'avais déjà faite presque toute mon adolescence. Alors je lui répondit.

A vrai dire, j'ai tendance à ne pas être très sociable quand je ne connais pas et à être plus méfiante qu'autre chose mais je ne sais pas pourquoi je t'ai agressée verbalement, je n'ai pas d'excuses, j'ai réagi stupidement et j'aimerai que l'on passe à autre chose si cela est possible. Concernant mes cauchemars, à vrai dire, je ne fais pas de boxe en club mais j'y songe mais sinon pour le psy, j'ai assez donné étant adolescente que j'en fais une overdose et que cela ne donne jamais rien car le traumatisme que j'ai pu vivre est réellement trop profond pour que j'arrive à en parler. Mais pourquoi ne aps apprendre à se connaitre ? Je m'appelle Leonor mais ceux qui me sont proches m'appellent Leo, je suis née à Mexico mais j'ai grandie à Albuquerque, je suis en 2e année d'anthropologie e tje fais partie des Dunster. Et toi ?

Je voulais vraiment apprendre à connaitre cette fille si elle le voulais bien. Dans le cas inverse, je partirai de la salle de boxe et la laisserait seule ici. Alors je souria timidement car malgré ma réaction stupide, je n'étais pas méchante, juste méfiante envers les inconnus du fait de mon passif.

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