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(+ Mina) put your past in a bag and throw it away.

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le passé fait parti de notre vie, c'est évident. Il nous définit, il fait de nous qui nous sommes... Mais quelques fois il faut être capable de le laisser de côté, de passer à autre chose. Pour le bien de tous, mais surtout pour son propre bien.


« Et toi ? Tu en penses quoi ? » Tu soupiras doucement. À vrai dire, tu ne pouvais pas vraiment avoir d'opinion face à ce sujet. Tu étudies en sexologie et par le fait même, tu te dois d'être ouvert d'esprit. S'il y a bien un chose que t'ont apprises tes huit dernières années d'études à Harvard, c'est bien que si on veut être bon dans le domaine de la psychologie, de la sociologie ou même de la sexologie, il ne faut absolument pas porter jugement. Après tout, qui es-tu pour juger une personne ? Tu repris d'une donc voix pleine d'espoir. « J'en penses que ce désir plus présent que la moyenne ne fait pas de toi quelqu'un de moins appréciable. Si les gens te jugent pour ça, c'est qu'ils ne sont pas intelligents. Alors moi, comme je suis intelligent, jamais je ne te jugerai à tord et à travers. ». Tes propos étaient très raisonnables. Seulement, ça ne semblait pas être suffisant pour la jeune Mina qui se réfugia au creux de tes bras. Instinctivement, tu posas ta main sur le haut de sa tête et commença à lui flatter les cheveux. Toi, tu savais comment plaire aux femmes. Dommage que tu sois gai. « J’ai du mal à vivre avec… D’avoir toujours envie de me jeter au cou d’un homme dès qu’il me frole, de ressentir ce désir… Je n’arrive même pas à m’imaginer en couple car j’ignore si je serais capable d’être fidèle en sachant que j’ai toujours envie de sexe… J’aimerai trouver quelqu’un à aimer et être aimée en retour mais je n’arrive pas à faire confiance suffisamment pour me laisser aller. Je veux dire, ma vie m’échappe continuellement, je la connais comme un acteur connaitrait son texte et j’ignore quel sens donner à mon présent car mon passé appartient à une étrangère pour moi. Je ne sais pas si c’est compréhensible » Ta main flattait toujours ses doux cheveux. Tu trouvais ça tellement triste qu'elle se mette dans un si grave état pour une chose qui est, à priori, quelque chose de tout à fait normal. Ce n'est pas une maladie, ce n'est pas un handicap, ce n'est pas quelque chose comme la peste ou... un cancer duquel on est certain de mourir. Tu pris une légère inspiration, ne sachant pas trop quoi répondre à tout ça. Les mots, c'est ton fort. Mais il y a certaines fois où tu ne sais pas vraiment quoi dire pour venir à bout des maux des autres. « Tu sais, je pense que tu t'en fais un peu trop. Détends-toi... Cette chose n'a pas à contrôler ta vie de la sort. Tu vaux bien plus que ça et tu le sais. Prends de grande respiration et je suis sûr que ça ira mieux. » Décidément, c'était les seuls mots qui franchirent ta bouche. Espérant qu'ils soient moindrement réconfortants pour la jeune femme.


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J’écoutais Charlie me répondre tandis qu’il flattait ma longue chevelure, m’arrachant des frissons non pas de désir mais simplement de bien-être. J’avais toujours aimé qu’on touche mes cheveux mais étrangement, je ne laissais jamais les hommes le faire. Je crois que je partais du principe que la tendresse n’était pas pour moi. J’étais là pour les soulager et me soulager par la même occasion, tout le reste était dérisoire. Dans le fond, je m’étais peut-être enfermée dans un rôle qui ne me sied guère au teint et j’en payais les conséquences. Ma mère me disait souvent que je me punissais pour une faute que je n’avais pas commise seulement, je doutais qu’elle sache réellement tout de la vie de sa fille. Une fois, j’avais tenté le coup de leur demander si je leur avais déjà présenté un petit-ami. La réponse avait fusé tout aussi vite : non. D’après eux, je n’étais pas très intéressée par les relations et j’avais senti une gêne dans le regard de ma mère comme si elle me cachait quelque chose. C’était toujours ainsi dès que je parlais de mon rapport avec les hommes. Que me cachait-elle ? Et qu’est-ce que je lui cachais également ? J’avais l’impression de bien m’entendre avec elle, nous avions de bons rapports mais une certaine barrière s’était mise en place renforcée par mon amnésie. Je pouvais sentir de temps en temps son regard peiné et coupable, un regard que je ne comprenais pas. Je n’ignorais pas que la clé du mystère se trouvait dans mon passé oublié mais je craignais tellement d’ouvrir la boîte de Pandore que je me forçais à rejeter les souvenirs. C’était tout moi, hésitant entre me rappeler et oublier. « Oui tu as raison, je dois éviter de me mettre la pression. Je voudrais vraiment te remercier Charlie. C’est vrai, on ne se connait pas et tu me viens en aide sans rien demander en retour. Alors, si je peux faire quoique ce soit pour toi, dis-moi ! Je sais très bien faire la cuisine ou même, je suis des études de design de mode et je suis plutôt douée alors si tu veux un costume sur mesure… N’hésite jamais hein ? » tenais-je à lui signaler. Je voulais que cela aille dans les deux sens car je me rendais compte que j’avais passé tout ce temps à geindre sur ma vie. « Et je ne suis pas trop mauvaise dans le genre écoute attentive » ajoutais-je en me redressant légèrement pour déposer un baiser sur sa joue. « C’est bizarre, le prends pas mal mais je n’ai pas envie de te sauter dessus… Pourtant tu es beau garçon et agréable en prime… Etrange ! »

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le passé fait parti de notre vie, c'est évident. Il nous définit, il fait de nous qui nous sommes... Mais quelques fois il faut être capable de le laisser de côté, de passer à autre chose. Pour le bien de tous, mais surtout pour son propre bien.


Ta main flattait toujours les cheveux blonds de la douce Mina. Tu n'osais même pas penser à quoi ressemblerait ta vie si tu avais vécut tout ce qu'elle a bien pu vivre. Ça ne devait vraiment pas être évident de se lever tous les matins et de poursuivre sa vie sans réellement savoir à quoi elle ressemblait avant qu'on ne devienne amnésique. En tout cas, cette jeune femme avait un sacré courage. À tout épreuve, même. « Oui tu as raison, je dois éviter de me mettre la pression. Je voudrais vraiment te remercier Charlie. C’est vrai, on ne se connait pas et tu me viens en aide sans rien demander en retour. Alors, si je peux faire quoique ce soit pour toi, dis-moi ! Je sais très bien faire la cuisine ou même, je suis des études de design de mode et je suis plutôt douée alors si tu veux un costume sur mesure… N’hésite jamais hein ? » Ces quelques phrases te firent sourire. S'il y a bien une chose chez toi qui ne peut pas être changée ni faussée, c'est bel et bien ton attention envers les autres et tout le mal que tu te donne pour les aider, les écouter, les épauler. Parfois, tu aimes à penser que tu es un peu comme le papa de la Dunster House. Tu es l'un des plus vieux et des plus anciens de la maison. Ça fait qu'à tes yeux, tous les petits nouveaux arrivants sont comme tes enfants, tes petits protégés. Et tu adores ce sentiment de pouvoir toujours être là pour eux. C'est gratifiant. Et le mieux, c'est que tu n'attends rien en retour. « Désormais, tu peux compter sur moi en toute circonstance, Mina. Je te laisserai même mon numéro de téléphone ! Je serai toujours là. Et j'apprécie que tu le sois aussi en cas où j'en aurais besoin. » dis-tu poliment. Il est vrai que tu es rarement là pour demander de l'aide, mais ça fait plaisir de voir ces gens qui sont prêt à t'aider si tu en as besoin. « Et je ne suis pas trop mauvaise dans le genre écoute attentive » rajouta-t-elle alors. Tu souris de nouveau. Sur un ton plus sérieux cette fois, elle reprit la discussion. « C’est bizarre, le prends pas mal mais je n’ai pas envie de te sauter dessus… Pourtant tu es beau garçon et agréable en prime… Etrange ! » Et là, tu te mis à rire. Elle se redressa quelque peu et un contact visuel se créa entre vous. « Ça, c'est parce que je suis gai ! » dis-tu en riant toujours. C'est peut-être quelque chose qui se ressent ? Qui émane de toi et qui dit « oh, ce mec... N'y touche pas. Il est gai de toute façon. ». Rien qu'à cette pensée, tu riais encore.


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Je n’avais pas conscience d’être à cent lieues de l’ancienne Mina tandis que je conversais avec Charlie. Il m’était naturel de vouloir rendre aux autres ce que l’on voulait bien me donner. Je ne concevais pas l’égoïsme même si dans le fond, nous l’étions tous plus ou moins à un moment donné dans notre existence. C’était humain et je voulais bien qu’on me donne un seul exemple concret du contraire pour ravaler mon opinion sur la question. Chaque être humain voulait quelque chose au point de tout faire pour y arriver. Personnellement, je n’aurais rien contre une personne à aimer et qui m’aimerait en retour mais avant toute chose, je voulais offrir une véritable famille pour mon fils. Jack ne grandirait pas sans père, j’en faisais la promesse et le serment même de tout faire pour lui trouver une figure paternelle bien qu’il pouvait toujours compter sur son parrain Andreas. D’ailleurs, rien que de penser au rouge, une douce quiétude me réchauffa le cœur sans que je n’en comprenne la véritable raison. Il était encore trop tôt et j’ignorais encore qu’un événement serait à l’origine de ma prise de conscience subite. Pour l’heure, j’étais bien plus préoccupée par Charlie mais aussi par le fait de lui faire entendre que je serais toujours là pour lui. Heureusement pour moi, il capta très rapidement le message et je lui offris mon plus beau sourire avant de frotter mon visage contre son torse, comme un chaton. On me disait souvent que j’avais dû l’être dans une ancienne vie mais ce n’était pas ma faute, j’adorais les câlins, j’en raffolais même bien que je m’étonnais de ne pas ressentir le moins désir sexuel à son égard. Après tout, j’étais tellement habituée à la chose qu’être aussi calme… c’était trop étrange pour moi. En toute franchise, je lui en fis part et sa réaction me laissa perplexe car il éclata tout simplement de rire. « Ooooh je comprends mieux ! Je dois avoir un radar dans le cul, ce n’est pas possible autrement ! Et tu as un chéri ?? » lui demandais-je spontanément avant de me mordiller la lèvre. « Désolée, je ne contrôle pas plus ma curiosité donc hésite pas à m’envoyer paitre si je dépasse les bornes hein ! » lui assurais-je. Ce n’était pas moi qui m’en vexerait, j’étais assez patiente là-dessus. En même temps, quand on fréquentait quelqu’un comme Bambi, valait mieux être prémunie contre la vexation facile.

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La jeune femme resta blottie contre toi. Elle se frottait même la tête contre ton torse, tel un petit chaton en quête d'affection. Ça te faisait bien rire d'un sens... Depuis ton adolescence, tu étais un aimant à fille. Elles t'aiment toutes, t'admirent toutes. Elles aiment être à tes côtés, de toucher, se blottir contre toi... Tout ça en sachant très bien que tu es homosexuel et qu'une quelconque relation hétérosexuelle ne serait pas possible. C'est peut-être parce que tu ne représente aucune menace pour elles. C'est bien connu : les gais sont reconnus pour être des garçons sensibles, agréables, gentils... Forcément, c'est tout ce qu'à besoin une femme. En plus, elle est sûr qu'avec un gai à son bras, elles ne risquent pas de se faire briser le coeur. Cela dit, il y a bien trop souvent des cas où les filles tombent raide dingue amoureuse de l'homme gai. C'est flatteur de savoir qu'on plait aux femmes, mais pas quand on est gai et qu'on doit malheureusement leur dire que c'est impossible. Tu souris légèrement à cette pensée. Ça t'était déjà arrivé par le passé. « Ooooh je comprends mieux ! Je dois avoir un radar dans le cul, ce n’est pas possible autrement ! Et tu as un chéri ?? » s’exclama-t-elle après lui avoir avoué ton homosexualité. Tu ne pus t'empêcher de rire doucement. Elle était si directe, si mignonne. C'est difficile à croire que quelqu'un comme elle ait pu vivre quelque chose de difficile dans le passé. C'est trop injuste, parfois. « Désolée, je ne contrôle pas plus ma curiosité donc hésite pas à m’envoyer paitre si je dépasse les bornes hein ! » reprit-elle, se rendant soudainement compte que ses propos étaient peut-être déplacés. Tu souris de nouveau, posant une fois de plus ta main sur ses cheveux. « Tu dois sans doute avoir un radar, oui ! » commenças-tu en te marrant bien. « Et non, je n'ai pas de petit copain... Par contre, y'a ce mec qui me tourne autour sans vraiment être clair. Il est en couple avec un femme, alors c'est complexe. Ce qui l'est davantage, c'est que c'est mon ex. » dis-tu en faisant référence à Emrys... C'était tellement complexe entre vous deux.


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Ainsi, Charlie était gay. Au moins, je comprenais un peu mieux le peu de désir pour sa belle gueule d’ange car à ne pas douter, il devait faire des ravages dans le cœur des femmes. Pour ma part, je n’avais pas souvenir d’avoir jamais aimé qui que ce soit et je peinais un peu avec ce constat. Il y avait bien eu Charlie –un Winthrop ; avec qui j’avais eu une courte relation. Malheureusement, mon problème nous avait séparés sans qu’il n’ait conscience que sa petite-amie souffrait d’une addiction au sexe. Je n’avais pas été capable de lui en parler, j’avais trop honte et je craignais tellement son jugement si bien que mes mensonges avaient fini par me faire fauter. Je l’avais trompé et encore aujourd’hui, je m’en voulais surtout que Charlie peinait à se réinvestir dans une nouvelle relation sérieuse. Depuis, je m’étais un peu fermée à l’amour sans même en avoir conscience ni même le vouloir. Je partais du principe que je devais me concentrer sur mon fils et mes études, le reste… Le reste était dérisoire mais mon cœur se fânait sous le manque de tendresse et d’amour et même si les étreintes occasionnelles que je m’accordais dans les bras d’hommes tous différents les uns des autres, je sentais qu’il me manquait quelque chose. Aussi, interroger mon nouvel ami sur son propre présent sentimental me parut comme une bonne et une mauvaise idée seulement, on ne contrôlait pas toujours sa curiosité. Fort heureusement, il en rigola plus qu’autre chose et je poussais un soupire soulagé. « Attends, tu veux dire qu’il te tourne autour mais qu’il se joue de toi ? Tu veux que j’aille lui casser sa petite tête ?! Je suis peut-être petite et fine mais je peux être comme Popeye si on me cherche… Puis je cours très vite ! Par contre, je n’ai pas compris, il sort avec ton ex ? Je croyais que tu étais gay ? T’es bi-curieux ? » fronçais-je les sourcils, essayant de comprendre cet imbroglio. Dire que je pensais ma vie compliquée. « Tu devrais le rendre jaloux ! ça marche toujours sur les hommes et peut-être que ça le fera sortir du placard car je présume, qu’il assume pas son attirance ? » fronçais-je les sourcils avant de lui faire un gros câlin comme pour lui apporter tout mon soutien.

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le passé fait parti de notre vie, c'est évident. Il nous définit, il fait de nous qui nous sommes... Mais quelques fois il faut être capable de le laisser de côté, de passer à autre chose. Pour le bien de tous, mais surtout pour son propre bien.


S'il y avait une chose que cette soirée t'avait apporté, c'était bien du divertissement. Tu étais heureux d'être tombé sur Mina, aussi bizarre que cela puisse paraître. Elle était apparu dans la nuit, visiblement mal de sa vie et toi, tu t'étais assis près d'elle et l'avait automatiquement consolé. C'est ce que tu aimes de qui tu es. Tu as cette capacité innée à aider les gens, à les écouter, les conseiller, les raisonner, les faire se rendre compte qu'au fond, la vie n'est pas si laide et qu'elle vaut quand même la peine qu'on se batte pour la rendre meilleure. La jeune Dunster semblait avoir de gros problèmes, en effet. Mais il ne fallait pas qu'elle les laissent dominer sa vie. Elle devait montrer à ses peurs, à ses emmerdes qu'elle était plus forte qu'eux. En tout cas, tu étais bien heureux que ta soirée ait servie à quelque chose. Tu avais bien fait de descendre, finalement. Alors que quelques minutes plus tôt vous étiez en train de parler de nymphomanie, là vous étiez dans une registre totalement différent. Tu venais de lui parler d'Emrys, aux suites de ses questions. « Attends, tu veux dire qu’il te tourne autour mais qu’il se joue de toi ? Tu veux que j’aille lui casser sa petite tête ?! Je suis peut-être petite et fine mais je peux être comme Popeye si on me cherche… Puis je cours très vite ! Par contre, je n’ai pas compris, il sort avec ton ex ? Je croyais que tu étais gay ? T’es bi-curieux ? » dit-elle alors. Tu ne pus t'empêcher de rire légèrement. Ce n'était pas contre elle, juste que tu t'étais rendu compte que tu t'étais peut-être mal expliqué. « Oui, il me tourne autour. Et je n'hésiterai pas si j'ai besoin de Popeye ! Et... En fait, il sort avec son ex à lui. Avant qu'on soit ensemble, il était avec Eliah. Puis ils se sont laissés, Emrys et moi on a sorti ensemble cinq mois... Et là, il est retourné avec Eliah... » expliquas-tu en faisant des gens avec tes doigts pour mieux imager la timeline de votre vie de couple. « Tu devrais le rendre jaloux ! ça marche toujours sur les hommes et peut-être que ça le fera sortir du placard car je présume, qu’il assume pas son attirance ? » Tu souris. « J'avoue que le rendre jaloux pourrait être une bonne idée... Mais... C'est pas mon genre. » ajoutas-tu finalement...


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J’avais un peu de mal à comprendre les tenants et aboutissants de leur relation. Cela semblait compliqué et je fronçais les sourcils durant ses explications. Donc, si je comprenais bien, cet Emrys était sorti avec une femme puis avec Charlie puis était reparti avec son ex. Il n’était pas très stable le petit ! « Pourquoi avez-vous rompu ? » lui demandais-je essayant de démêler toute cette histoire avant d’en perdre mon latin. En tous les cas, j’affichais un air très concentré tandis que je me blottissais un peu plus contre lui à la manière d’une petite sœur qui voudrait réconforter son grand-frère. C’était idiot, je le connaissais à peine mais je ressentais comme une connexion avec lui, c’était totalement extraordinaire et j’étais certaine que cela n’avait rien à voir avec sa sexualité. Non, Charlie dégageait une aura qui donnait envie de se blottir tout contre lui et d’être choyée mais également de prendre soin de lui en retour. Oui, il était bi-câlin : A la fois donnant et receveur. « Tu me promets quand même que tu n’hésiteras pas ?! Tu sais, mon meilleur ami est le président des Winthrop alors, je pourrais toujours lui demander de me faire entrer en douce dans la chambre de ton Emrys pour lui coller la rouste de sa vie même si je sais pas dans quelle confrérie il se cache… Wywy doit avoir ses entrées partout enfin je crois… Bon, surement que c’est moi qui en recevrait une mais au moins, j’aurais tenté le coup » pouffais-je de rire avant de lui proposer de le rendre jaloux. Cela fonctionnerait peut-être après tout, c’était souvent l’arme préférée des femmes pour conquérir ou justement reconquérir un homme. « Et c’est quoi ton genre à toi ? Tu l’aimes n’est-ce pas ? Alors tu ne vas pas le laisser à cette femme ? » lui demandais-je. J’ignorais encore qu’Eliah était une Dunster, j’étais bien trop récente dans la confrérie pour le savoir mais même en sachant cela, je ne désirais que le bonheur de Charlie parce qu’il m’avait tendu la main au moment où j’en avais le plus besoin et ça, je ne pourrais jamais l’oublier quoiqu’il arrive dans les mois et les années qui viennent.
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« Pourquoi avez-vous rompu ? » La question qui tu. C'était une question que toi-même tu t'étais posé des tas de fois sans réellement savoir la vrai raison. À une époque, votre amour était pur et bien réel. Puis il y eut ce moment où plus rien n'était certain. Emrys commençait à devenir de plus en plus distant, de plus en plus différent. Toi, ça t'inquiétait. Tu prenais sur toi, pensant que c'était ta faute, mais au bout d'un temps tu compris que c'était parce qu'il avait du mal à être avec toi. Ou avec un homme, plutôt. Il avait peur des regards des autres, il avait peur des « qu'en dira-t-on » et de ce que sa réputation se prendrait comme coup si on apprenait qu'il fréquente un mec. Toi, ça t’insupportais. Et c'est à cause de ce conflit d'intérêt que vous vous êtes laissés. Vous vous chicaniez de plus en plus, de toute façon. CE n'était plus vivable. Seulement, tu voyais toujours cette lueur dans ses yeux. Celle qui te suppliait de rester, malgré le fait qu'il agissait comme un crétin avec toi. Cette lueur qui brillait tellement, te prouvant qu'il t'aimait vraiment... Mais à cette époque, il ne te méritait pas. Il n'était pas prêt à s'ouvrir, à vivre pleinement. Et à tes yeux, c'était un pas vers l'arrière que tu ne voulais pas faire. À 26 ans, tu ne voulais plus te cacher, vivre dans un placard. Tu avais fait ton coming out et jamais tu ne reviendrais en arrière. Mina se blottit à nouveau contre toi et instinctivement, ta main retourna se poser sur ses cheveux et tu te mis à la flatter. « Honnêtement, à l'époque c'était mieux qu'on se laisse. Il n'acceptait pas le fait d'être amoureux d'un homme, bien que son amour était réel. C'est le combat que tous les gais ou bisexuels doivent faire une fois dans leur vie : celle d'assumer et d'affirmer qu'ils peuvent être intéressés par des gens du même sexe. Seulement, Emrys était pas prêt à le faire. Et moi, j'avais pas envie de retourner dans le placard. » dis-tu simplement. « Tu me promets quand même que tu n’hésiteras pas ?! Tu sais, mon meilleur ami est le président des Winthrop alors, je pourrais toujours lui demander de me faire entrer en douce dans la chambre de ton Emrys pour lui coller la rouste de sa vie même si je sais pas dans quelle confrérie il se cache… Wywy doit avoir ses entrées partout enfin je crois… Bon, surement que c’est moi qui en recevrait une mais au moins, j’aurais tenté le coup » Alors ça, c'était une drôle de nouvelle ! Mina était la meilleure amie de Wyatt, le copain de la Vice-Présidente. C'était mignon. Comme quoi le monde d'Harvard était plus petit que tu le croyais. « Je n'hésiterai pas ! Et t'inquiète, Emrys serait pas capable de faire du mal à une femme. » dis-tu en souriant légèrement. « Et je ne savais pas que tu connaissais Wyatt ! C'est le copain de notre VP, tu savais ? » rajoutas-tu. « Et c’est quoi ton genre à toi ? Tu l’aimes n’est-ce pas ? Alors tu ne vas pas le laisser à cette femme ? » dit-elle alors. Elle était si futée cette enfant. Tu pris quand même un temps pour réfléchir à ta réponse. « Je l'aime vraiment. Et je sais qu'il m'aime aussi... Donc si je veux qu'il me revienne, je dois le laisser partir. C'est la logique illogique de l'amour. » dis-tu avec ta voix de philosophe à deux balles.


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Je n’avais pas pu m’en empêcher, j’avais laissé jouer ma curiosité légendaire, lui posant la question qui tue. Je m’en voulais un peu de l’avoir interrogé sur cet aspect de sa vie privée mais en même temps, j’avais envie de comprendre. Je n’étais jamais retrouvé dans ce genre de situation. Cela ne devait pas être évident d’être amoureux d’une personne qui n’était pas capable d’assumer votre relation. Je ne sais pas si j’aurais pu avoir la patience et la tolérance de Charlie et je n’en avais que plus de respect pour lui assurément. « Cela ne doit pas être évident, il est vrai surtout que nous sommes dans une société qui prône la tolérance par devant mais qui continue d’être intolérante par derrière… Dans un sens, je ne sais pas comment tu as fait pour trouver la force de le laisser repartir en attendant qu’il trouve le courage. Tu es mon héros ! » lui répondis-je avant de tout simplement insister sur le fait que s’il y avait besoin, je pouvais toujours aller lui coller une rouste. Bon, j’étais gaulée comme une crevette et surtout son Emrys allait bien se marrer en me voyant arriver mais j’avais le bras long ! Je connaissais le président de la Winthrop, c’était mon Wywy. « Capable ou non, même pas peur, j’ai envie de dire… Enfin, je dis ça mais je serais la première à me planquer sous un lit si jamais il me hurlait dessus » plaisantais-je avant de pencher la tête sur le côté. « Yep, je le sais ! D’ailleurs, Torrey est une amie. On ne se connait pas encore beaucoup mais je lui fais les tenues de son enfant donc à force, on a lié une amitié » répondis-je avec une certaine fierté comme à chaque fois que je parlais de ma carrière de styliste. J’étais encore étudiante et j’apprenais des techniques au fur et à mesure mais je n’avais pas mon pareil pour créer des lignes de vêtements. D’ailleurs, je commençais doucement à me faire une réputation dans le milieu et mon rêve restait de décrocher un stage dans une grande maison de couture. Là, ce serait le pied. Par la suite, je lui posais la question de ce qu’il comptait faire. Il aimait Emrys, cela se sentait. « Je n’y comprends vraiment rien à cette logique. Je veux dire, tu le laisses partir sans savoir s’il va revenir… Je ne sais vraiment pas comment tu fais…Dans un sens, je t’envie un peu, tu es amoureux, tu connais ce sentiment… J’aimerai me dire qu’au moins, j’ai aimé le père de mon fils mais je sais que ce n’est pas le cas. Mon fils est arrivé parce que j’étais une pétasse qui couchait avec tout ce qui bougeait mais au moins, je me dis qu’il est là, que je ne me bats pas pour rien… J’espère vraiment que tu retrouveras ton Emrys, tu le mérites vraiment ! »

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