LASSA N. KENTWELL ► Luis Batalha

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Little Criminal et j'ai 16 ans. Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à j'y suis depuis 1 an presque .  Le forum il gère toujours autant merde (GG DAN ET LES AUTRES POUR LE BEAU TRAVAIL ET LE DESIGN) alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Luis Batalha comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par artic love (Hailee). Je fais environ 200 à 1000 mots par RP et mon personnage est un [b]personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ J'SUIS DE RETOUR AVEC MON BG DE LA LIFE
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
    participer à la roulette RP (?)

Oh, je n'ai pas réellement envie de vous raconter ma vie. Le mystère pour moi est l'une de ces choses qui prône dans ma vie et qui prônera toujours. J'aime que les gens ne puissent pas me connaître facilement, comme on peut lire aisément un livre ouvert. Moi, je ne suis ni fermé, ni ouvert. Je suis entre les deux. Je laisse les gens me découvrir un peu, et lorsque ça devient trop ou que certains viennent gratter pour connaître les pourquois des comments de telle ou telle chose, je me referme. Rares sont les personnes qui savent puiser dans mes secrets, dans mes mystères, dans mes souvenirs, dans mon passé, dans mon présent et même dans mon avenir. Je réserve ce droit à très peu de personne depuis toujours, et ça se mérite. Autrefois, seule ma mère y avait accès, et mon grand-père. Pas mon père? Non. C'était mon père, mais je le connaissais trop peu, et j'avais cette impression, cette sensation de ne pas vouloir qu'il me connaisse mieux. Horrible, me direz-vous! Et je vous l'accorde.

Enfin, à vous, je peux bien vous le dire. Je suis le petit fils de Roy Raymond, aujourd'hui décédé. Si vous ne le connaissez pas, c'est le créateur de la marque de lingerie et de maillots de bain sexy Victoria's Secret. Vous connaissez, maintenant? Eh oui, c'est bien lui! Déjà là, vous pourrez constater que je viens d'une famille plus que riche! Oh que oui. Mais ce n'est pas tout : ma mère, qui est la fille de ce Monsieur Raymond, n'est nulle autre qu'une des plus grandes mannequins de cette marque que mon grand-père a créé. Quoi de plus normal? Enfin, si seulement ce l'était. Je crois être la personne la plus, comment dire...normale, dans cette famille. Je n'ai jamais voulu suivre les traces de mon grand-père, même si je l'adore et qu'il m'adore. Et je ne suis pas celui qui va adorer les millions de billets verts que nous possédons en banque ou à la maison. Moi, je me concentre sur mes études. Je suis studieux, honnête, loyal, attentionné, et...bisexuel. Et je m'assume.

Certes, j'ai eu une enfance plus que facile. J'avais accès à tout aisément, et ce n'était pas les amis qui manquaient. Jusqu'à l'adolescence, ça a toujours été facile, très facile. J'étais studieux, on ne s'en cache pas : mes notes étaient toujours au-dessus de la moyenne. Ce n'est pas parce que je ne voulais pas suivre les traces de mon grand-père que je ne voulais rien faire de ma vie. Pour moi les études étaient quelque chose d'important qui méritaient leur attention et dans lesquelles je me devais de fournir tous les efforts possibles. J'ai fait deux écoles dans ma vie, avant d'arriver à l'Université, et bien que ma mère voyage souvent, on ne m'a jamais obligé à bouger avec elle pour être le «fils célèbre de maman et de papa.» Non, mes parents m'ont toujours laissé être moi-même et ont toujours voulu mon bien : ils m'ont toujours encouragé et c'est ainsi que j'arrivais à donner mon meilleur dans mes études. Ça me sera bénéfique pour plus tard, pour Harvard, surtout. J'avais des rêves et je les atteindrait. Bref, c'est à l'adolescence que j'ai pris compte de ma bisexualité, qui ne m'a jamais dérangé, ni même fait peur, j'ai aussi réalisé que les gens qui m'entouraient et se disaient être mes amis n'en avaient qu'après mon argent, qu'après la célébrité de ma famille. Ils ne voulaient pas ME connaître, mais m'avoir dans leurs contacts pour se sentir plus puissants qu'ils ne l'étaient en réalité. Ça m'a fait mal sur le coup : j'avais environ 16 ou 17 ans. Heureusement, j'étais près de l'âge adulte. La même année, avant mes 18 ans, mon grand-père Roy Raymond décéda en s'enlevant la vie en sautant du haut du Golden Gate. Ma mère était détruite, moi aussi. Et pour me sauver de cette souffrance, j'emportai avec moi tous mes secrets et mystères, tout comme mes souvenirs, pour aller à Harvard, ou je serais moi-même, et où tout le monde avait de l'argent : en gros, où personne ne me suivrait ou ne prétendrait être mon ami pour avoir les faveurs de ma mère mannequin ou mon défunt grand-père célèbre!

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Like a diary...
J'comprends plus rien. Pourquoi tu ne m'aimes plus? Pourquoi ce divorce? Qu'est-ce qui nous avait perdu, tous les deux? C'est pas de ma faute si on m'avait dit que j'étais malade, que j'avais le cancer. Je ne voulais pas te faire de faux espoirs, te laisser me voir souffrir, et possiblement mourir. J'avais prévu la Mort dans mon agenda, j'croyais qu'elle viendrait me chercher, mais avec tout l'argent que j'avais, il était facile pour moi d'avoir accès à des traitements quasiment inaccessibles à la majorité des gens. Un cancer, c'était difficile à surmonter, pourtant, j'avais passé au travers et j'étais en vie. J'avais demandé à quelqu'un, mon cousin, de te faire passer le message comme quoi j'étais mort. Avant même de savoir que je pourrais vivre encore toute une vie. J'croyais pas pouvoir survivre et pourtant... Je ne voulais pas que tu te fasses de faux espoirs, tu comprends? Que tu pleures sur mon lit d'hôpital. Je voulais que tu continues à vivre, que tu continues tes études et que tu avances : pas que tu restes pris au piège avec moi dans ma maladie. Je sais que je t'ai fait souffrir, mais j'ai fait souffrir tous mes amis aussi : Blaise, ma belle Blaise... Et William, et Wyatt... Et peut-être même Olympe, qui sait? Et tous les autres... Tout le monde me manque, terriblement, et surtout toi. Mais tu ne veux plus rien savoir de moi. Tu m'en veux, c'est compréhensible. Mais pourquoi me rejettes-tu? J'ai besoin de toi, moi, plus que tu ne peux te l'imaginer. Et maintenant que tu m'as foutu ces papiers de divorce en plein sous mon nez, je ne peux plus résister à rien.

Les conneries. Je sais que tu en as fait des milliers, mais je t'aime pourtant quand même. Moi, c'est moi qui tombe dedans, à présent. Oh, les joies de l'envie sexuelle. Le désir d'un corps nu inaccessible. Les drogues : je savais pas que c'était aussi bon. Enfin... c'est dégueulasse, mais je me convaincs facilement du contraire, parce que j'ai besoin de t'oublier. Le bar est mon meilleur ami depuis quelques semaines, si tu savais combien de temps j'y passe. J'évite pourtant le Lord Hobo, parce que je sais que tu y chantes, et je saurais pas te voir jouer devant moi, ça serait trop pénible. J'suis de retour à Harvard, pour toi, et pour les autres, mais surtout pour toi, et tu ne veux plus de moi. Tant pis, j'vais devoir passer à autre choses, puisque c'est ce que tu veux. Tu me manques, merde.