(+ Alan) I need to run... hard.

En théorie, Bambi n’avait pas besoin de s’user le tempérament et l’énergie à faire de la course à pied de façon déraisonnable… mais il demeurait toutefois un besoin vif de calmer son tempérament, cette colère sourde bouillonnant en elle et qui ne s’apaisait qu’en cas d’exercice physique. Bien évidemment, ses conquêtes l’aidaient en la matière mais la belle blonde ne pouvait guère prétendre en faire un travail à temps plein… elle s’était donc inscrite à un club de boxe, où elle se rendait plusieurs fois par semaine et aujourd’hui, elle se payait le culot d’une visite à un professeur avec qui la tension ambigüe était palpable à des kilomètres : Alan Beecher. Non seulement ce dernier était très bien conservé et sexy pour un homme ayant dépassé la quarantaine, mais en plus il s’avérait plus joueur que les apparences ne le laissaient présumer. « J’ai besoin d’un entraînement… dans le genre hard » s’introduit-elle sans fioritures, fidèle à son tempérament préférant la simplicité et l’efficacité aux longs discours barbants. Ainsi, elle ne prononçait jamais dix mots lorsque quatre seulement pouvaient suffire… « Je sais que vous avez été à l’armée, alors me faire courir jusqu’à cracher mes poumons, ça devrait vous faire kiffer ! » Et Bambi était en tenue, un short et un débardeur d’un blanc immaculé, les cheveux relevés en chignons serrés, déjà échauffée… en bref, elle comptait être l’élève idéale, non sans lui faire un clin d’œil en guise de salutations au passage.

Assit à son bureau, Alan était en train de vérifier les fiches de ses étudiants. Ils avaient couru aujourd’hui et en athlétisme, il avait peu de bons élèves. C’est vrai que la course n’était pas le sport préféré ici, mais il regardait les scores notés sur les fiches qu’il avait distribués. En effet, il avait mit les étudiants par deux et pendant que un courait, l’autre notait les temps effectués. Pour certains c’était très bon, mais ça allait aussi jusqu’au très mauvais. Il savait donc qui devrait faire des efforts, qui n’aurait aucun problème et qui il devrait pousser. Après avoir fait un récapitulatif, il ferma son cahier et rangea ses affaires pour aller vérifier que tout le matériel avait été rangé. Ce n’était pas le cas, alors, il commença à ramasser les équipements, avant d’entendre des bruits de pas. Tournant la tête, il vit une étudiante arriver. Fronçant les sourcils, il savait parfaitement de qui il s’agissait et il se serait bien passé de sa présence. Pour une fois qu’il avait une journée tranquille, il aurait aimé en profiter jusqu’au bout, mais visiblement, c’était trop demandé. Tout en rangeant, il écouta ses paroles et fut des plus surprit.

Pardon ?

Il ne s’était pas attendu à ce qu’elle dise une telle chose, du coup, il se stoppa dans ses mouvements et haussa les sourcils.

Kiffer je ne sais pas, mais ça serait particulièrement amusant et ça serait le rayon de soleil de ma journée.

Il se mit à sourire en regardant la jeune femme.

Je dois finir de ranger tout ça, mais vous allez commencer par me faire dix tours de piste et ensuite je verrai.

Il garda son sourire et reprit son rangement, la laissant ainsi courir et s’échauffer si elle en avait besoin. En la regardant partir, il se mit à sourire. Sa curiosité venait d’être piquée à vif et il se demandait pourquoi elle était là exactement. Alors, il se tourna pour la voir courir.

Pourquoi vouloir un entraînement militaire ?

Il avait crié la chose pour qu’elle l’entende de l’autre bout de la salle. Ramassant un tapis, il le souleva et alla le ramasser, tout en écoutant la réponse de la jeune femme.

Pour sûr, Bambi s’attendait à recueillir une certaine stupeur chez ce fameux professeur de sport et avoir raison sur toute la ligne l’amusa bien au-delà des mots. Après tout, elle avait maladivement besoin de gérer sa colère avant de finir par blesser quelqu’un et quoi de mieux que de s’épuiser en sport ? Oh la belle blonde aurait rêvé de s’épuiser lors d’une sulfureuse étreinte avec un homme mais en l’occurrence, à moins de jouer les suicidaires et de faire de vraies avances au prof… elle n’avait pas d’autre membre de la gente masculine sous la main. « Le rayon de soleil de votre journée, carrément ? Vos étudiants ont dû vous en faire passer une pourrie ! » nota-t-elle bien que dans un sens, elle se sente diablement honorée par la chose tout de même, il fallait admettre. Bambi ne s’embarrassa cependant pas d’une nouvelle réplique et commença docilement ses dix tours de pistes, en foulées régulières, maîtrisant son souffle à la perfection comme si elle avait fait ça toute sa vie. Le fait est que la piquante blonde était une joggeuse très régulière… mais ce n’est finalement qu’au bout de son échauffement qu’elle revint vers lui, sans avoir réellement sué, pour mieux lui répondre. « Disons que j’ai beaucoup de colère à canaliser, ça vous va comme raison ? » Bambi ne voulait pas s’étendre… surtout pas.

Ca, il ne l’avait pas vu venir. Qu’on lui demande d’être coach sportif, ça il l’avait déjà entendu, mais avoir un entraînement militaire, ça pas encore. Bambi était donc la première à faire une telle demande et elle ne devait pas être prise à la légère. Parce que Alan n’oublierait jamais ses entraînements, ça voulait donc dire qu’il ferait exactement la même chose et il n’irait pas dans la douceur. Mais elle semblait vouloir une telle chose. Du coup, il lui expliqua que ça serait le rayon de soleil de sa journée. A la réplique de la jeune femme, il sourit.

Toutes les journées ne sont pas pourries, mais voir un élève volontaire pour un tel exercice, ça ne peut que m’amener à sourire et vous voir cracher vos poumons.

Il disait vrai. Avoir des étudiants volontaires était quelque chose de tellement rare que pour une fois il serait près à s’asseoir pour regarder la jeune femme avoir du mal à suivre le rythme. Alors qu’il continuait son rangement, il demanda à la jeune femme pourquoi elle voulait faire une telle chose. En écoutant sa réponse, il fut assez surprit.

Vous devriez faire un peu de boxe ou de base-ball. Frapper vous aiderez plus de courir, non ?

Il haussa un sourcil surprit. Si elle avait de la colère à canaliser, autant qu’elle aille directement vers un sport de combat.

Quand vous parlez d’entrainement hard, je peux vous faire un entraînement militaire, mais ça implique que vous soyez disponible à toutes heures du jour et de la nuit et que vous soyez prête à suivre la cadence.

Il voulait bien s’engager dans une telle chose, ça ne lui faisait pas peur, mais il fallait qu’elle-même soit prête à faire tout ce qu’il lui dirait sans broncher.

Seulement, je ne suis pas sûr que vous soyez à la hauteur pour ça.

Il avait dit cela très sérieusement et en finissant de ranger le matériel, il se mit à sourire. Evidemment que sa phrase était destiné à voir la réaction de la jeune femme. A partir de là, il saurait si elle serait capable de suivre ou pas.

« En fait, vous êtes un sadique, bon à savoir » fit-elle remarquer non sans un brin d’amusement dans la voix, sauf qu’il fallait être attentif pour vraiment s’en rendre compte. Bambi restait une personnalité extrêmement dure à déchiffrer, surtout lorsqu’elle faisait preuve de tant de méfiance. Qui pourrait croire qu’elle était l’une des illusionnistes les plus en vogue de son temps ? Personne. Il fallait dire qu’elle cachait tellement bien son jeu que tous ceux pensant la connaître se cassaient très souvent les dents dessus. Mais ce professeur n’avait sûrement pas envie d’en savoir plus sur elle, à part sur le fait qu’elle soit ou non capable d’endurer un tel entraînement. Le côté blonde bimbo et sexy lui desservait sûrement mais Bambi n’en n’avait cure : elle n’attendait qu’une chose, c’est de pouvoir prouver à ce prof que justement, elle pouvait encaisser un tel entraînement, et plutôt deux fois qu’une. Ce fut sans doute ce qui la poussa à un brin de silence, le laissant pleinement s’exprimer jusqu’à ce qu’elle ne reprenne à son tour, imperturbablement : « Justement, je fais de la boxe tous les jours au moins trois heures et le triple le weekend mais ce n’est encore pas suffisant » lui apprit-elle, en se moquant éperdument de passer pour une folle pleine de colère n’ayant sa place que dans un asile. S’il était aussi intelligent qu’elle le pensait, sûrement utiliserait-il les informations qu’elle lui donnait à bon escient. « Un entraînement vraiment hard du type parcours du combattant, c’est justement ce que je recherche. Je me fiche que vous me réveilliez en pleine nuit ou de devoir être au garde à vous pour vos éventuels appels surprises… je veux une activité qui me prendra tellement le corps à cent pour cent que mon esprit sera en veilleuse et que donc, toute ma rage sera évacuée de mon corps. Ne fous fiez pas au côté bimbo, j’encaisse plus que ce que j’en ai l’air mais pour ça, il faut que vous me testiez. Reste à savoir si vous aurez le cran de le faire. » Un peu de provocation… si Bambi avait bien cerné le personnage, il devrait aimer ça.

Voir mes étudiants avoir des courbatures est en effet un plaisir personnel.

Il se mit à sourire de toutes ses dents. Il aurait pu faire pire et les user, mais il savait aussi qu’ils devaient assurer dans leurs autres cours.

A vrai dire se sont surtout les étudiants et les étudiantes qui me tapent sur les nerfs en se croyant parfaits.

Ils avaient alors le droit à plus de tour de terrain ou plus de choses difficiles à faire. C’était toujours gratifiant pour lui, il devait bien l’avouer, mais il ne le disait pas à ses personnes là. Il gardait ça pour lui en temps normal. Cependant, avec Bambi, il ne savait pas ce qu’il devait au fait qu’elle le voulait comme coach sportif. Surtout que dernièrement, il y avait quelque chose la concernant qui lui plaisait et c’était assez perturbant. Bref, il préféra ne pas y songer et se concentra uniquement sur la jeune femme et leur échange.

En effet vous avez besoin de beaucoup de sport.

Fronçant les sourcils, il se mit à songer à ce qu’il pourrait faire avec elle. Si elle ne voulait pas exploser, ils devraient suivre un emploi du temps strict, mais il avait besoin de plus de renseignements pour ça.

J’ai été militaire et je ne manque pas de cran, croyez-moi sinon je ne serai pas là aujourd’hui.

Comme il disait souvent, ce sont les plus braves qui sont tombés au combat. Lui n’a fait que revenir en vie et même si ça n’a jamais été une partie de plaisir, le retour a été encore plus dur. Mais là n’était pas la question.

Vous ne voudriez pas plutôt canaliser votre colère pour en faire autre chose ?

Blabla de psy ? Sans aucun doute. Car lui aussi avait souvent été en colère, entre la mort de ses parents, celui de sa femme et sa fille, mais également les horreurs vu au combat.

Pourquoi ne pas trouver un autre loisir ? La magie par exemple ? Je ne si pas si vous la connaissez, mais il y a une jeune femme magicienne très en vogue depuis quelques temps déjà et je dois dire qu’elle semble avoir une très grande maîtrise d’elle-même.

Evidemment, il ne savait pas qu’il parlait à la magicienne en question. Parce que sur scène en tout cas, elle semblait très bien se maitriser.

Vous devriez voir un de ses spectacles, c’est vraiment impressionnant.

« Je ne me crois pas parfaite… je ne vais donc pas vous taper sur les nerfs ! En tout cas pas pour ça. » Bambi se savait chieuse internationale mais en l’occurrence, s’il lui permettait d’apprendre à gérer sa colère, sûrement lui vouerait-elle un respect et un culte éternels. En attendant, elle le traitait avec plus ou moins de distance, agissant face à lui comme elle agirait avec n’importe quel autre prof. Elle ne lui léchait pas les bottes, mais contrôlait son insolence habituelle à la perfection, il fallait dire ce qui est. « Beaucoup, c’est le mot. Ceci dit c’est parce que j’ai eu vent de votre carrière militaire que je suis ici, pour rien d’autre. Je sais parfaitement qu’un prof de sport lambda ne pourrait pas me soumettre à un tel exercice. » Il n’y a aucun mal à se faire du bien et lui passer un peu de pommade ne pourrait que plaider sa cause, du moins en théorie. Elle n’avait pas parlé d’exploits, bien qu’il semble en avoir de nombreux à son actif et s’était amusée à rester vague justement pour tester la température et constater son goût pour les compliments. S’il n’aimait pas, la belle blonde changerait aussitôt son fusil d’épaule comme dit l’autre. « Pour en faire autre chose ? J’ai essayé et cela a toujours été un échec. Tout ce qui sort de négatif de moi le reste, croyez-moi » répondit-elle avant d’écarquiller deux grands yeux surpris, jouant son rôle à la perfection car en vérité Bambi savait pertinemment de qui il pouvait bien parler… l’illusionniste et l’étudiante étaient une seule et même personne, à ceci près que la monténégrine se contrôlait parfaitement une fois dans son show, dans son domaine, et détestait tellement sa vie d’étudiante qu’elle n’y contrôlait plus rien une fois de retour. « Pourquoi, vous êtes un fan dois-je comprendre ? Ça impliquerait que vous sachiez reproduire quelques-uns de ses tours si vous souhaitez me filer un coup de main. Où exerce-t-elle son talent si fabuleux ? » fit-elle semblait de s’intéresser et le pire, c’est qu’il était impossible de ne pas croire à son « intérêt ».

On verra au cours des entraînements.

Elle devait dire vrai, mais ça il ne pourrait l’attester qu’en côtoyant la jeune femme. Cependant, il fut surprit par le fait que la jeune femme semblait avoir beaucoup de colère en elle. Il ne savait pas pourquoi et il n’était pas là pour être indiscret. Il aurait pu lui demander, pour peut-être lui dire que le sport n’était pas pour elle, cependant, il lui fit des propositions de sport et il l’écouta en parler. Mais visiblement elle voulait un entraînement strict et vraiment militaire. Dès qu’ils en auraient terminés aujourd’hui, il irait faire un emploi du temps et le lui donnerait pour qu’elle voit si ça collait avec ses autres cours. Il ferait en sorte de la voir le plus souvent possible, seulement, il fallait aussi qu’elle puisse continuer ses études sans souci.

Chaque prof de sport à une vision différente des choses. Mais la rigueur militaire aidera dans votre cas.

Les compliments faisaient toujours plaisir, mais là, il n’y avait même pas fait attention à vrai dire. Cependant, il demanda à la jeune femme si elle ne pouvait pas changer sa colère pour en faire autre chose. De préférence du positif, mais à elle de voir. Mais apparemment elle avait essayé sans succès. Elle sembla surprise quand il parla de la magicienne. Evidemment, tout le monde n’aime pas la magie, mais ça n’était pas une mauvaise chose aux yeux d’Alan.

Fan ? Oui, on peut dire ça. Je l’ai découverte il y a quelques années grâce à ma fille et depuis je ne m’en lasse pas.

Oui, c’était sa fille qui lui avait dit d’acheter des places pour les shows de la magicienne et il avait été réticent, mais finalement s’était laissé prendre au jeu.

Elle est un peu partout, elle fait beaucoup de spectacles et se déplace dans tout le pays et je crois également dans le monde. Elle a une belle carrière devant elle. Mais pour ses tours, je ne pourrai pas vous en faire. Ca n’est absolument pas mon domaine.

En effet, il aimait voir des tours de magie, mais il n’était pas du tout doué pour ça. Il ne l’avait été d’ailleurs, mais avec cette jeune femme il appréciait de voir les choses.

Par contre, si vous voulez qu’on aille voir ensemble, ça serait totalement possible. Comme ça, vous pourriez voir par vous-même ce que ça donne.

Effectivement, le professeur allait découvrir le personnage de Bambi au fil de leurs entraînements et rapidement s’apercevoir qu’aucun détail n’était jamais laissé au hasard, bien au contraire. Chaque chose qu’elle faisait, disait, pensait, était là pour un but précis. Ce n’était pas pour rien qu’elle n’énonçait jamais dix mots lorsque dix pouvaient suffire… et encore, elle se dévoilait nettement plus face à ce coach potentiel que face à n’importe qui d’autre, conscience que ses arguments ne pourraient que lui rendre service. « Justement, je ne veux pas un petit entraînement de mauviette mais bien quelque chose de sérieux et seul un ancien militaire peut voir ce que j’entends par là. Si je n’ai pas mal à en hurler, ce n’est pas la peine. Je vous paraît peut-être masochiste, mais je crois que c’est ma dernière alternative. » Aux grands maux, les grands remèdes. Bambi se désespérait de ne jamais pouvoir soulager sa rage et sa douleur psychique y étant mêlée, par conséquent elle prenait définitivement le taureau par les cornes pour opter une solution plus… drastique, dirons-nous. « Vous savez où elle officie en ce moment ? Que je sache où réserver des billets même moi, la magie… je ne suis pas certaine que cela fixe suffisamment mon esprit pour éviter d’avoir envie de tout envoyer valser. Si mes études d’archéologie n’y parviennent pas, imaginer ce que la magie pourra y faire… faisons un deal vous et moi. Si vous ne parvenez pas à m’être d’une quelconque aide, j’envisagerai cette option. » Bambi ne pouvait pas dire oui comme ça : pas alors que justement, l’illusionniste et l’étudiante n’étaient qu’une seule et même personne…

Si c’était sa dernière alternative, il devait avouer que ça serait un challenge. Surtout si elle mettait sa colère dans de mauvais domaines par la suite. Après tout, le sport pourrait aider, mais il faudrait voir ce qui lui conviendrait le mieux. Bref, il verrait avec un emploi du temps qu’il lui donnerait dès le lendemain. Mais pour ça, il avait besoin d’en savoir plus à son sujet. Alan proposa alors autre chose que le sport : la magie. Peut-être que ça aiderait, mais il n’en savait rien. Il le lui proposa malgré tout. En l’écoutant en parler, il hocha la tête.

En ce moment, elle n’est pas loin de la ville il me semble. Je n’en suis pas certain.

Il n’avait pas été voir depuis un moment, il préférait attendre qu’elle vienne près de la ville, sinon il regardait sur internet ses tours. Cependant aux paroles de la jeune femme, il haussa un sourcil et se mit à réfléchir avant de lui répondre.

C’est un deal.

Si ça pouvait aider, pourquoi pas ne pas aller ensemble voir la jeune magicienne.

Si c’est possible, elle pourrait même vous parlez, pour vous dire comment elle reste maître d’elle-même pendant ses tours. Peut-être que ça vous aidera aussi.

C’était une possibilité, mais pour avoir accès aux coulisses, il allait devoir se renseigner. Il savait que parfois les personnes s’occupant de la sécurité était d’ancien militaire, donc s’il pouvait trouver une personne qu’il connaissait, il essaierait d’avoir un accès VIP.

En plus de l’archéologie vous faites autre chose en études ? Que je sache si je peux axer notre emploi du temps sur un sport plus qu’un autre et si vous avez besoin de vos deux jambes entières ou pas.

Parce que si elle faisait en plus de la danse, il faudrait qu’il trouve autre chose que beaucoup de course. Donc autant qu’il sache tout dès le départ.