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(+ James) what is wrong with you ?!

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« Non mais c’est quoi votre problème bordel ?! » Le ton était donné. Bambi venait de débarquer en frappant à peine à la porte du bureau du professeur de médecine, se moquant bien qu’il soit occupé tant qu’il se trouvait présent. Par chance, c’était justement le cas. La belle blonde ne s’embarrassa pas du fait qu’il soit ou non interloqué, cela ne l’intéressait tout simplement pas : elle n’aimait pas qu’on la prenne pour la dernière des connes, c’est pourquoi son petit jeu ridicule allait prendre fin ici et maintenant. « Je vous signale, à toute fin utile, que je ne suis pas votre élève et nom de dieu il n’a jamais été question que vous m’allongiez sur votre bureau alors je veux bien être sympa mais j’ai horreur qu’on me prenne pour la moitié d’une conne… si vous ne pouviez pas me pifer très bien, il suffisait de le dire à la base plutôt que de jouer stupidement à la douche écossaise ! Merde, ça devrait être interdit une technique pareille… » vociféra-t-elle, les yeux brillants de colère tandis qu’elle ne le lâchait pas du regard. Bambi ne tremblait même pas, non, elle n’avait jamais été si sûre d’elle depuis des lustres… à croire que cela ait réveillé son tempérament profond et aussi glacial qu’une pierre originaire de lointaine Sibérie.
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« Faux. Faux. Non mais, FAUX! Ça ne fait même pas de sens, bravo idiot, ton patient est mort. » pensa-t-il mentalement en corrigeant l'examen surprise qu'il a fait subir à ses étudiants. Il était désespéré de voir à quel point ses élèves n'étaient pas prêt pour l'examen qui arrivait à grand pas dans une semaine. Il marqua des X rouges ici et là, rempli d'une colère intense. Il fut extrêmement surpris lorsqu'on débarqua dans son bureau sans avertir. Il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Bambi lui criait dessus, mais il n'écoutait pas vraiment ce qu'elle disait. Bordel qu'elle était jolie. William se leva, et alla fermer la porte, ignorant la jeune fille qui attendait une réponse de sa part. Il se retourna face à elle, le visage calme, puis arqua un sourcil: « Pardon, mais où est le problème? » demanda-t-il avant de retourner derrière son bureau. Il s'installa confortablement avant de fixer son regard froid dans les yeux de la jeune blonde. Ouais, elle était définitivement trop jolie pour son bien, se dit-il en s'empêchant de la relooker.
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Avait-elle la berlue ou l’ignorait-il superbement ? Certes, Bambi n’avait pas fermé la porte mais il n’y avait pas âme qui vive dans le couloir et quand bien même, elle s’en moquait comme de sa première robe. Ce qui lui importait, c’était d’obtenir des explications plausibles, le reste ne pouvait qu’être détails. « Le problème ? Que c’est apparemment votre grand trip d’être sympa avec une personne pour mieux faire comme si elle n’existait pas le lendemain » souffla-t-elle avec lassitude, sa colère ne diminuant décidément pas au fil des minutes. Bambi n’aimait pas être snobée, au moins autant qu’elle détestait que l’on se paye sa tête. La belle blonde croisa ses bras contre sa taille élancée et fine, se moquant que cela remonte légèrement sa robe pour mieux soupirer de plus belle. « Que ce soit juste clair entre nous : vous allez continuez à faire comme si vous ne m’aviez jamais rencontrée ? Non que je fasse autant et que mon égo vous emmerde direct par avance et par principe ! »
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Il eut un petit sourire arrogant et provocateur lorsqu'elle termina sa petite crise. « Vous aimez bien jouer aux Drama Queen n'est-ce pas? » dit-il pour l'embêter. Il baissa un peu son regard, admirant son corps très rapidement, puis se leva brusquement. Il fit le tour de son bureau et se plaça face à elle, s'accotant à son bureau. « Dites-moi, pourquoi est-ce que cela vous dérange tant qu'un homme comme moi vous évite? Je suis un médecin, un professeur, je suis un adulte. Vous êtes jeunes, pourquoi n'allez-vous pas faire amis amis avec.. d'autres jeunes? » dit-il sarcastiquement. Bordel, il n'avait qu'à avancer le bras et il pouvait l'encercler dans ses bras et la ramener contre lui. Elle était assez petite, mais bon, la grandeur n'était pas très importante. Tant qu'elle était jolie quoi. « Et elle aurait l'air très jolie dans mon lit quoi. » pensa-t-il mentalement. Il se redressa puis s'approcha d'elle. Il était assez près, mais il avait plus d'une tête qu'elle. Il baissa son regard, sa voix grave dans un murmure: « Vous n'êtes pas.. prête pour avoir une.. "relation" avec moi, croyez-moi. » Et par relation, il voulait dire amis. Lui, ami avec une étudiante? Même pas dans un rêve. Il aimait rester professionnel.. Ou bien sexuel. À eux de voir.
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« Sauf votre respect, mon côté Drama Queen vous emmerde, professeur » rétorqua-t-elle froidement, mettant bien en avant à quel point elle n’avait cure qu’il soit adulte, vieux, jeune, médecin ou fils du Pape : il n’en restait pas moins un homme lui ayant manqué de respect et fatalement, Bambi voulait réparation de l’offense, question de prince. C’est fou ce que son foutu orgueil pouvait la pousser à faire… « En théorie je m’en serais foutue mais vous êtes venu à moi au départ, vous avez initié la conversation. J’ai horreur que l’on joue à la douche écossaise car vous me prouvez juste que les « vieux » dans votre genre puisque vous vous qualifiez ainsi, sont juste d’irrespectueux personnages bons à ce que je leur colle des baffes sur un ring » précisa-t-elle sans reculer d’un millimètre. Bambi était trop fière pour cesser de le regarder dans les yeux ou même le laisser gagner, que ce soit leur joute verbale actuelle ou même leur combat de regard. Ceci dit… la petite dame, si menue soit-elle, savait très bien se défendre et qu’il soit professeur ou pas, collègue de son père ou non, elle n’hésiterait pas à lui foncer dans le lard au sens propre comme au figuré s’il continuait son ridicule manège. Personne n’avait dit que la belle blonde n’était pas vindicative ou impulsive… « Ah oui, je ne suis pas prête ? Mais éclairez donc ma lanterne puisque vous êtes devin, je suis follement impatiente d’entendre ce qui peut bien vous faire croire une telle connerie » reprit-elle non sans faire un pas en avant, ne le toisant que plus fortement sans pour autant froncer les sourcils. Au contraire, elle en haussa un tout au plus… à voir qui gagnerait cette manche.
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William fronça les sourcils. Voilà un language assez dégoûtant venant de la part d'une si jolie demoiselle. Il se sentit directement dégoûté envers elle tout d'un coup. Honnêtement, il y avait des limites. Les grosses têtes de blondes, il supportait pas cela. Oui, il avait flirter avec elle, mais un flirt c'est un flirt. C'est pas comme s'il l'avait demandé en mariage ou s'il l'avait baiser. Non, il lui avait tout simplement parlé. Et là voilà maintenant, débarquant en tornade dans son bureau pour lui crier dessus. Il y avait certainement des limites. Il était le professeur le plus respecté d'Harvard. Un enseignant extrêmement adoré et admiré, il était un médecin reconnu. Il était un homme important, et voilà qu'une n'importe qui venait lui demander des comptes et lui parler comme s'il était un "mec". Lorsqu'elle lui demanda de montrer de quoi il parlait en disant qu'elle n'était pas prête, il arqua un sourcil et ricana froidement. « Premièrement, vous n'êtes qu'une petite gamine qui se croit le nombril du monde. Deuxièmement, j'en ai rien à foutre des fillettes qui ne connaissent pas le respect. Je suis un enseignant très important, pas n'importe qui sur qui vous pouvez vous déchaîner. Je peux vous faire renvoyer en un claquement de doigts et ruiner vos études. Troisièmement, oui, je vous ai fait la conversation en premier, avant de me rendre compte que vous êtes la fille d'un de mes collègues. Peu importe mes intentions initiales, elles ne sont plus là. Alors oui, vous n'êtes pas prête pour avoir une relation avec le collègue de votre père. Du moins, je suis certain que vous n'en avez pas le culot. » Il croisa les bras, lui donnant un certain défi. Si elle pensait être prête pour une relation avec un prof, et bien qu'elle le prouve maintenant! Lui n'allait définitivement pas faire le premier pas sur la fille de son collègue, peu importe à quel point elle était jolie.
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La fierté et la colère de Bambi lui avaient souvent joué des tours mais à ce point là, jamais. Elle se retrouvait désormais face à ce professeur arrogant, dont elle avait la folle envie d’arracher la langue pour la mettre à bouillir aux petits oignons, surtout lorsqu’il se mit à ricaner puis à lui offrir une diatribe des plus méprisantes. Sans doute avait-elle trouvé un adversaire finalement à sa taille niveau de la provocation et de l’égo… mais quoi qu’il en soit, il la fit bientôt éclater sincèrement de rire, bien que ce dernier soit tout aussi méprisant que l’avaient été les paroles du ponte de la médecine. « Vous voulez me renvoyer et détruire ma carrière universitaire ? Oh mais allez-y, démontrez donc l’étendue de votre talent, je n’ai cure de mes études et peux donc tout à fait vous retourner la chose : je ne connais pas vos talents et m’en moque éperdument. Que vous soyez pro en médecine ou Pape, pour moi ce n’est pas ce qui détermine votre valeur mais s’il s’agit de la seule chose qui vous détermine, alors vous venez de vous casser la gueule du piédestal où je vous plaçais » avoua-t-elle sans changer son fusil d’épaule, esquisser la plus petite excuse ou faire preuve de davantage de respect. Ne jamais croire que Bambi soit suffisamment stupide pour ne pas connaître les gens sur le bout des doigts, pas alors qu’il était tellement simple d’accepter à un dossier en étant hacker… mais juste pour cette fois, elle lui laissa le bénéfice du doute puisqu’il la provoquait ouvertement et que même sans éprouver de peur, Bambi répondait souvent à la provocation. « Vous ne pouvez pas savoir à quel point ma volonté d’emmerder mon père peut être forte » avoua-t-elle non sans combler la distance se jouant entre eux pour le plaquer légèrement contre son bureau – merci ses nombreuses heures de boxe l’ayant musclée – pour mieux s’emparer avec autant de fureur de ses lèvres. Bambi était très loin de mettre en avant une quelconque gaminerie mais bien une technique des plus sulfureuses, apprise sur le tas. De cette façon, lorsqu’elle se sépara après un ballet extraordinairement provocateur entre leurs lèvres et leurs langues respectives, elle haussa simplement un sourcil de défi à son tour. « Vous ne connaissez pas plus le respect vous qui bavez sur les étudiants n’ayant pas encore votre palmarès… je dirais presque un point partout la balle au centre, à ceci près que le frileux qui se cache derrière l’excuse du collègue, c’est vous. Pas moi » fit-elle remarquer non sans croiser ses bras contre sa taille fine et élancée. Deux solutions potentielles : soit il cédait, soit il la foutait dehors. Sa réaction laisserait pleinement entendre son propre culot, à n’en point douter.
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Il en avait marre de ses excuses. Il ne prêtait plus vraiment attention à ce qu'elle disait. Sa voix devenait aggressante à ses oreilles à force de se répéter. Elle sonnait comme une petite fille pourrie gâtée qui devait absolument avoir le dernier mot et gagner un argument, c'était pathétique quoi. Il était loin d'être impressionné par ce qu'elle avait à dire. Il ne l'écoutait presque plus quand elle s'avança pour le plaquer contre le bureau. Tout d'un coup, il revint à la réalité lorsqu'elle colla ses lèvres aux siennes. Il ne la repoussa pas, mais il ne la prit pas contre lui afin de la garder près. Il répondit à son baiser, et arqua un sourcil lorsqu'elle se recula. « Je suis loin de "baver" sur les étudiantes, comme vous le dites si bien. Au contraire, je ne savais même pas que vous étiez une étudiante à Harvard avant que je ne le découvre à la toute fin de notre rencontre. » Il se redressa et replaca son veston. Il passa une main dans ses cheveux. « Si vous n'avez pas d'autres trucs à me crier dessus, vous savez où est la porte. » dit-il en penchant la tête légèrement sur le côté.
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Rester zen, ne surtout pas s’enfoncer encore plus dans la merde, surtout respirer. Son petit élan de violence avait eut le don de la calmer et ce, sans passer par la case « boxe ». Finalement, elle avait la solution potentielle pour éviter de péter sans arrêt une durite : remettre au goût du jour ses armes de séduction ! Sûrement Bambi réfléchirait-elle à la question pour ce soir au lieu de partir s’user les muscles au stade mais pour l’heure, elle essayait surtout de ne pas voir son précieux calme repartir en colère sourde et incontrôlable, comme précédemment. « Je vous présente mes excuses » fit-elle d’un ton nettement plus apaisé et sérieux, bien loin de cette furie qu’elle avait si bien su être il n’y avait pas deux minutes. Après, s’il choisissait de ne pas accepter ses excuses, la belle blonde comptait bien quitter ce foutu bureau et l’éviter comme la peste à l’avenir, libre à lui. « Mon intention n’est pas, en général, de manquer de respect à qui que ce soit mais mon père dirige bien assez ma vie et la simple mention de ce dernier a… eu raison de ma finesse d’esprit habituelle. Ceci étant effectivement, je sais où est la porte et je vous souhaite donc une journée… appréciable en espérant ne pas l’avoir ombragée » reprit-elle en inclinant légèrement la tête, jouant un brin de cette personnalité double dont elle était la première victime alors qu’elle tournait les talons. Bah… elle avait merdé, elle l’avait bien mérité, non ?
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Elle s'excusa, et William releva la tête, surpris. Plus que surpris même, il était choqué. Comment une tornade comme elle pouvait être changer si radicalement? Il n'y avait même pas 10 secondes elle lui criait dessus et l'embrassait, et maintenant elle s'excusait calmement. Will se redressa et acquiesça après un moment quand elle allait partir. « Attendez, revenez voyons. » Il soupira de frustration. Il n'aimait pas ce sentiment de culpabilité qui l'envahissait. Il prit place sur sa chaise en cuir et pointa un des fauteuils devant son bureau pour l'inciter à s'asseoir. « Je suis désolé, recommençons à zéro, vous voulez bien? Asseyez-vous je vous prie. » demanda-t-il poliment. Il se racla la gorge et s'accouda sur son bureau, les mains sous son menton, observant Bambi. Puis après un moment, il reprit parole: « Je suis terriblement désolé si le fait que votre père soit un collègue à moi vous soit dérangeant, mais je vous promets que ce se passe entre nous, restera entre nous. Je ne suis pas ici pour causer des problèmes avec votre père.. » Il se recula sur sa chaise afin de s'adosser. « Comment allez-vous? »
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