No turning Back - Maxwell Keegan

No turning Back

Maxwell et Savannah

Non je n'avais pas oublié un seul instant, tes yeux clairs, ton regard ravageur, ta carrure, tes grandes mains, tes tics nerveux qui se lisent sur ton visage quand tu flippes grave. Je n'avais rien oublié, mais il ne vaut mieux pas s’appesantir sur des souvenirs, il devait avoir quelqu'un depuis le temps, ou plusieurs quelqu'un d'ailleurs. "Je n'avouerais rien du tout, tu ne mérites pas vraiment que je t'envoie des roses, toi qui a osé oublier mon anniversaire..." Je croisais les bras sur ma poitrine, avec un faux air boudeur. Je rebondis alors sur ma future affiliation en sororité. Il parut surpris et pas qu'un peu, presque triste sur le coup. "Et bien, j'ai choisit la seule maison capable d'accueillir la déesse que tu as devant les yeux..." Je riais." J'ai choisi Quincy..." Dis-je en grimaçant de peur qu'il ne se moque de moi."Dunster a faillit m'avoir, mais ça aurait été malhonnête de rentrer là bas, juste pour les beaux yeux de celui qui m'en vantait les mérites!" Il était encore plus expressif que dans mes souvenirs, ou que sur les photos qui tapissaient ma chambre d'universitaire à Columbia. Je l'attrapais par le menton et l'embrassait sur les lèvres. "Allez viens, il me faut un café, j'ai beaucoup roulé en quelques jours, j'ai besoin d'un remontant."

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No turning back

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(a) toxicheart

"Je n'avouerais rien du tout, tu ne mérites pas vraiment que je t'envoie des roses, toi qui a osé oublier mon anniversaire..." J'étais surpris, moi ? Oublier son anniversaire, impossible, et puis elle se serait venger bien avant si cela avait été le cas. " N'importe quoi, je suis sur que tu n'as pas reçu mon message, j'avais des problèmes de réseau, tu voulais un pigeon voyageur ? " dis-je d'un air amusé, je me voyais acheter un pigeon etc enfin bref. "Et bien, j'ai choisit la seule maison capable d'accueillir la déesse que tu as devant les yeux..." [...] "J'ai choisi Quincy..." Je n'avais aucuns apprioris sur les Quincy, ils étaient plutôt sains et très dévoués à ce qu'on disait, mais je ne m'étais pas plus renseigné que cela. " Je suis fière de toi princesse " Se faire bizuter n'était pas le meilleur des moments et je pouvais en parler, ça colle à la peau un bon moment après, mais je ne l'avais pas regretté et la connaissant, je savais qu'elle se ferait vite une place ici. Je la regardait toujours avec attention, elle m'embrassa avant d'ajouter "Allez viens, il me faut un café, j'ai beaucoup roulé en quelques jours, j'ai besoin d'un remontant." " Très bien, je vais te chouchouter ce soir, tu es à moi "