Une inconnue que tu connais

You Know Me

Avec Amaliya

Denzel n'était pas de bonne humeur aujourd'hui, il c'était comme qui dirait, levé du mauvais pied. On était samedi, et normalement ce jour rimait avec glande totale et absolument mais non. Il avait fallut qu'il échange son portable avec cette fille l'autre jour, il avait fallut qu'elle le bouscule et qu'elle fasse tomber toutes ces affaires au sol. Denzel savait qu'elle ne l'avait pas fait exprès, et encore heureux mais, étant donné comment la jeune file lui avait parler ce jour la, il n'avait pas envie de la revoir.
Le jeune homme se leva de son lit et alla se préparer devant le miroir, un coup de brosse et c'était réglé. Il se brossa les dents et se lava le visage. Il enfila une paire de jean un gros pull colle roulé bleu et des converses de la même couleur. Il se rendit à Starbuck pour se prendre un café latté pour bien se réveiller parce qu'il avait une tête de mort-vivant. Il avait mal dormit. Denzel avait rêvé de Valentina, il avait rêvé qu'elle devenait sa petite copine et cela n'avait pas l'air de lui déplaire sur le coup. Mais il c'était en suite réveillé en sueur et angoissé. Comment il pouvait rêver de ça alors qu'éveillé, rien que d'y penser il en avait des haut le cœur. Non pas que cela le dégouttait. Non, c'était seulement qu'il ne voyait pas comment un garçon comme lui : froid distant et dépressif pouvait former un couple avec une fille aussi lumineuse que Valentina.
Denzel , but assez rapidement son café latté et s'en alla au point de rendez-vous sur le parking d'Harvard. Il s'adossa à un mur et s'alluma une cigarette. Il était onze heure , le rendez-vous était dans quinze minutes, juste le temps de se fumer deux clopes.

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C'est devant la télévision que la jeune Amaliya avait passée toute sa nuit. Tout cela à cause d'un pari stupide. Tout cela à cause de lui. Keith, son meilleur ami de toujours. Qui, comme à son habitude l'avait proposé un défi, mais pas n'importe lequel, de passer une nuit blanche à regarder des films tout les deux au téléphone. Défi qu'elle avait bien sûr acceptée. Jamais elle ne pourrait refuser quelque chose venant de lui. Il passèrent donc toute la nuit comme ça. Elle avait bien rit, tellement rit qu'elle ne ce rendit même pas compte de l'heure qu'il était. On était déjà sept heures, heure à laquelle elle devait se préparer pour aller travailler. Car si pour certain le samedi pouvait signifier la liberté, pour elle, ça voulait seulement dire, big mac, mc chicken, et happy meal. Elle avait une grosse journée qui l'attendait derrière les fourneaux du Mc do. Elle s'affala sur son lit, suppliante que ce ne sois qu'un mauvais rêve. Keith ne ce gêna pas de la rappeler la dure réalité et surtout ce moquer d'elle. Elle finit par raccrocher avec son meilleur ami et partit prendre sa douche tout en se brossant les dents en même temps. Lorsque l'on est grande sœur d'une famille nombreuse dans un appartement avec qu'une seul salle de bain, au fil du temps, on développe des aptitudes et des manière de vitesse plutôt inhabituelle mais qui sont redoutable contre le retard et la panne de réveil. À la sortie de sa douche elle se sécha à peine, enfila un mini sweat à capuche gris écrit dessus "New-York" en blanc, avec un Jean taille haute slim bordeaux et des baskets noir et blanche compensée, c'était approximativement son style vestimentaire, à quelque détail près. C'est à ce genre de moment qu'elle ce disait que ça aurait était plus simple si elle avait été un homme. Elle enroula ses cheveux sur eux-même et les passa au fer sous cette forme la, puis elle les détacha . Cela eu pour effet qu'ils soient ondulés et lissés à la fois, avec un léger effet brouillon. Cette coiffure était celle qu'elle faisait toujours quand elle était en retard et réussissait toujours à être plutôt classe. Elle l'agrémenta d'un élastique avec une jolie fleur autour de sa tête. Après cela elle se maquilla très légèrement, elle n'aimait pas avoir une tonne de produit sur le visage. La jeune fille ce regarda une dernière fois pour vérifier puis s'en alla au travail. Tout se passait plutôt bien, il n'y avait pas trop de clients et c'était calme. Les heures passaient doucement mais surement. Il était enfin l'heure pour elle de prendre sa pause, elle se leva et sorti avec un mc café et un beignet dehors et commença à penser à sa famille. Que voulait-il être entrain de faire? Profitait-il de la nouvelle maison? Ou peut-être préparer-t-il la crémaillère? Elle se le demandait. Alors qu'elle était au plus profond de ses pensées son téléphone sonna, enfin non, plutôt le téléphone qu'elle avait pour le moment. Cet appellation serait plus adéquate. elle avait malencontreusement échangée son mobile avec celui d'un inconnu, qui avait de très mauvaise manière soit dit en passant, car malgré qu'elle ce soit excusée d'avoir fait tombé ses affaires au sol étant trop occupé à rechercher sa classe sur son plan pour se rendre compte qu'il y avait quelqu'un en face d'elle, il a quand même eu le toupet de s'en prendre à la demoiselle. Mais elle ne c'est pas laissé faire, Amaliya Garcia-Yung n'aller surement pas commencer cette année en ce laissant marcher sur les pieds! Et en y repensant... Elle en avait peut être trop fait d'ailleurs, mais la jeune fille n'avait pas appréciée le ton sur lequel il l'avait parlé, et encore moins la réaction qu'il avait eu de s'enfuir après qu'il lui ai répondu. Oui, pour elle il avait pris la fuite et le destin l'obligé à revenir aujourd'hui. L'impolitesse et la méchanceté n’emmène que de mauvaise chose. Et ce jeune homme en ai la preuve. Il faut avouer que ce retournement de situation l'amusait un peu. Car tout ce qui pouvait ennuyer une personne qu'elle n'aimait pas était une bonne chose pour elle. Et ce type commençait plutôt mal dans la liste d'ami. Mais, elle ne risquerai pas de rester bien longtemps avec lui, juste le temps qu'il lui rende son dû est elle ne le reverrait plus jamais c'est tout ce qu'elle voulais. Elle fit stopper la sonnerie et redescendit de ses pensées tout doucement, elle alla prendre le bus la permettant d'arriver a leur lieu de rendez-vous, car malgré qu'elle soit à Cambridge son auto, elle, était toujours dans le Kentucky. On lui avait dit qu'elle pourrait le récupérée dans quelque semaines. Après 10 bonne minute elle y était . Elle fût surprise de voir le désastre qu'avait fait la bombe sur ce lieu qui autre fois avait l'air si imposant sur les photos. Elle regarda les bâtiments effondrés avant de ce reprendre. Pour une fois qu'elle était en avance il aura fallut que ce sois pour cela. Si ce n'est pas de l'ironie ça. Elle entra et chercha le jeune brun ténébreux du regard elle vit sa silhouette au loin. Amy inspira un bon coup puis alla vers lui.

"Bonjour, mon téléphone s'il te plais"

C'est tout se qu'elle dit en le voyant, elle n'avais pas le temps de faire semblant de s'intéresser à sa vie ou bien de faire comme si elle le considérait un minimum avec différente forme de politesse alors que ce n'était pas du tout le cas. Tout ce qu'elle voulait, c’était son Samsung Note. De plus elle le trouvait trop dédaigneux pour pouvoir essayer quoi que ce sois. Et surtout elle ne voulais pas rester auprès d'une personne qui puait autant le tabac. Elle ne supportait pas l'odeur qu'elle sentait. Elle avait envie de lui vomir dessus peut-être qu'avec sa il sentirait mieux mais elle ce retint. Ne voulant pas rester trop longtemps et surtout qu'elle était attendue elle sortit directement le téléphone du jeune homme pour leur échange.

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Avec Amaliya

Il la vie arriver de loin, mais n'était pas sur que c'était elle. A vrais dire la première fois qu'ils c'était parler il n'avait pas vraiment détaillé les traits de son visage, il était trop occupé à se plaindre intérieur du comportement désagréable de la jeune fille. Quant elle se rapproche vers lui tendant la main pour son portable il eut la confirmation. Il inspecta de plus prêt son visage et ces traits et fronça les sourcils : son visage lui disait quelque chose. Ces yeux marrons légèrement tiré, ce regard , cette bouche fine mais pulpeuse... Il savait qu'il l'avait vue le jour ou ils avaient échanger leurs téléphones, mais il lui semblait que le souvenir de ce visage remontait à une date antérieure. Peut-être était-il fou ? Non Denzel avait une mémoire photographique hors du commun, comme l'avait certifié le psychologue et le médecin psychiatre qui le suivait à l'époque ou il avait été diagnostiqué surdoué. Il était sur de l'avoir vue avant. Mais ou ? Il ne voulait pas vraiment lui demander même si sa curiosité était forte. Et puis si ils s'étaient croisé à un événement important il s'en rappellerais ? Denzel avait besoin de la regarder un peu plus longtemps pour permettre aux souvenirs de remonter à la surface.

« Euh, j’apprécie pas trop le ton. La politesse ça existe tu sais ? »

Il lui tendit son téléphone et tendit l'autre main pour récupérer le sien.

« T'as reçu un nombre d'appel incalculable. Madame est très demandé à ce que je vois »

Denzel lui avait dit ça sur un ton assez non chaland, un peu pour se venger du manque de politesse dont avait fait preuve la jeune fille.

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Elle maintenue son regard au sien lorsque celui-ci l'a dévisageait étrangement, elle en profita pour en faire de même. Et, elle devait l'avouer, le jeune homme devant elle avait beaucoup de charme. Bien évidement pas assez pour rattraper ses mauvaises manières mais bien assez pour avoir quelques groupies à ses trousses se dit-elle. Il avait le physique pour plaire mais surement pas le caractère! Elle observa tout les différents traits du visage du jeune homme, se disant qu'ils avaient l'air si carré ce qui donnaient une certaine fermeté à son expression et creux telle des sillons qui se serait creuser au fil du temps, mais surtout qu'ils paraissaient si froid. Son visage entier paraissait gelé. Comme une fenêtre fermée cachée par un brouillard.
Quelque part il éveillait en elle des souvenir d'enfant, plutôt des souvenirs d'animation. Vous voyez de quel animation je parle? Mais si, vous voyez bien, l'avarice en personne, le méchant Ebenezer. Son visage paraissait aussi fermé et rigide que celui de cet affreux personnage. Elle cessa de l'aspecter lorsqu'elle entendit cette phrase sortir de sa bouche.
« Euh, j’apprécie pas trop le ton. La politesse ça existe tu sais ? »
Comment a-t-il pu dire cela?! Cela serai venu de quelqu'un d'autre elle n'aurait rien dit, mais lui! Non! C'était totalement ironique! Elle le regarda, le dévisagea d'une manière laissant clairement sous-entendre le décalage total de cette phrase en vue du personnage qu'il est puis ajouta:

"Tu te foutrais pas un peu de ma gueule là? C'est toi qui me dit que la politesse existe? Pourtant lorsque je l'avais utilisée la dernière fois t'avais pas l'air de l'avoir réellement remarqué. Non, c'est vraiment n'importe quoi."

Elle soupira, leva les yeux au ciel et inspira pour éviter tout excès cette fois-ci, elle se contenta de récupérer son précieux et de lui rendre le sien.

"Apparemment c'est tout ton opposé, d'après ce que j'ai pu constater. Plus de messages que d'appels, et je suis gentille en disant ça. C'est l'amusement jusqu'au bout avec toi."

Répliqua t-elle d'un air sarcastique. Lui prouvant ainsi qu'il n'était pas le seul à savoir jouer à ce genre de jeu. " Je suis avec toi ce que tu es avec moi" Voilà comment on pourrait nommer leur discussion quand il y en avait. Elle savait qu'elle pourrait rester-là à jouer à sa pendant longtemps et d'après ce qu'elle a vu il en était dans le même cas. Décidément ses deux-là n'étaient pas fait pour ce plaire.

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Avec Amaliya

Elle tenait son regard comme personne n'avait osé le faire avant, elle n'avait pas peur et n'était pas intimidée. Contrairement à la majeur partie des gens qu'il connaissait on ne pouvait pas facilement lire ces émotions dans son regard. Elle avait quelque chose de froid, un peu Denzel avait dans son regard. Une lueur qui laissait deviner une certaine fissure dans son cœur. C'était le genre de regard qui voulait dire : « eh j'en ai vécu moi aussi des choses moches donc ton regard tu peux te le garder, je le connaît très bien ! ». Puis son simple regard froid se transforma en regard indigné assortit de l'expression facial qui allait avec. "Tu te foutrais pas un peu de ma gueule là? C'est toi qui me dit que la politesse existe? Pourtant lorsque je l'avais utilisée la dernière fois t'avais pas l'air de l'avoir réellement remarqué. Non, c'est vraiment n'importe quoi." Elle était exaspéré par l'attitude du jeune homme : mais qui ne l'était pas ? Nina l'était , Valentina l'était … Le monde entier l'était ce n'était pas étonnant ! Il récupéra son téléphone et eu pour réflexe de regarder l'heure dessus, comme pour vérifier que tout fonctionnait correctement."Apparemment c'est tout ton opposé, d'après ce que j'ai pu constater. Plus de messages que d'appels, et je suis gentille en disant ça. C'est l'amusement jusqu'au bout avec toi." Ce n'était pas surprenant, Denzel ne passait d'appels qu'à sa famille, avec le reste de la population il se contentait que d'envoyer des messages. Il trouvait cela plus pratique et moins gênant. Puis, cela prenait moins de temps d'envoyer un léger message que d'engager une conversation au téléphone.

« Effectivement, je ne suis pas très aimé des gens. Et je penses que tu as pue t'en rendre compte par toi même ! A moins que tu sois un peu trop retardé mentalement pour le comprendre. »

Il n'était pas dans les habitude de Denzel d'être mal polie. A vrais dire il disait cela pour la provoquer, pour qu'elle reste et qu'il remette enfin un prénom sur ce visage qui lui semblait familier. Non, le jeune homme n'avait pas abandonné. Il était bien trop curieux pour abandonner. Et si jamais il abandonnait il considérait cela comme un échec.

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Elle pris son téléphone, vérifiant tout d'abord s'il n'avait reçu aucun choc quelconque du à la chute, puis regarda les appels et les messages manqués. ses amis et de sa famille, avaient cherchés à la contacter, elle inspira soulagée de ne pas avoir ratée d'appel professionnel. Par contre il n'avait pas tord, le nombre d'appel manqué l'a surpris 32 appels et 13 messages. Certes ces appels venaient essentiellement de ses parents et de Keith mais cela la surpris quand même. Puis commença à vérifier si rien n'avait bougé dans ses application et ses photos.
"J'espère pour lui qu'il n'a rien touché" pensait-elle, car s'il y avait bien une chose que la jeune fille ne supportait pas c'est bien que l'on touche à ses affaires sans son autorisation. Elle leva la tête pour, pouvoir le remercier et ensuite s'en aller mais cela changea lorsque de la bouche du jeune homme sortie ses paroles:
« Effectivement, je ne suis pas très aimé des gens. Et je penses que tu as pue t'en rendre compte par toi même ! A moins que tu sois un peu trop retardé mentalement pour le comprendre. »

"Dites moi que je rêve!" se dit la jeune fille, elle le regarda avec haine et dégoût. Elle ne le prenait pas seulement comme une provocation puérile, elle le prenait aussi comme s'il l'a rabaissé, qu'il la regardait d'un air supérieur, qui disait qu'il n'avait définitivement pas la même valeur. Cette phrase était synonyme de moquerie. Elle le prenait comme s'il c'était moqué de toute sa vie, bien qu'il ne la connaisse pas. Dans le fond elle savait que ce n'était pas ça, mais dans l'instant c'était de cette manière là qu'elle l'a prise.

"Pour qui tu te prend au juste pour me traiter comme ça?! T'inquiète pas que j'ai pu voir que tu n'était pas aimé et le monde a bien raison! Mais tu veux savoir ?! La retardé que je suis, elle, au moins tout le long de sa vie il y aura des gens qui seront présent pour elle et qui s'auront l'aider s'il lui arrive quelque chose. Mais toi si tu t’étouffe qui voudra t'aider?! Hein?! Personne! Et au moins moi, le jour de mon enterrement il n'y aura pas seulement mes parents et le prêtre, qui seront là parce que ce seront les seul qui seront réellement obligé de venir! Ton argent ne te suivra pas jusqu'au bout"

Elle était tellement habituée aux remarques venant des gens aisés, qu'à la longue elle n'y répondait plus. Mais là, elle ne pouvait pas le laissait parler aussi impoliment sur elle et ne rien répliquer. Il lui manqué de respect elle devait le faire aussi... A sa manière. Pendant un quart de seconde elle ce demanda si elle n'avait pas trop abusée sur ses propos puis fit sortir cette pensée de son esprit se disant qu'il méritait bien plus que ce qu'elle avait dit et que d'où elle venait on ne faisait de pitié pour personne. Alors qu'elle venait de lui en faire une. Devant lui elle ce sentait comme devant un gosse de riche qui pète pas plus haut que son cul mais qui veut faire comme-ci personne n'était à sa hauteur. Voilà ce qu'elle pensait de lui, mais elle oubliait une chose: C'est qu'elle était entrain de le juger sans le connaitre. C'était l'une des choses qui l'horripilé le plus au monde et pourtant c'est ce qu'elle faisait inconsciemment. Elle le regarda une dernière fois lourdement, mis sont téléphone à sa poche, leva la tête, tente de rester fière malgré ses yeux brillant, laissa planer pendant quelques petites secondes un silence.

"Au plaisir de ne plus jamais te revoir."

Voilà tout ce qu'elle pu dire. Voulant couper court à leur conversation pour ne plus avoir à discuter avec un tel individu. Elle n'était pas du genre à montrer directement les griffes de cette manière mais elle sentait bien qu'avec lui, si on ne faisait pas cela il se penserait gagnant de toute confrontation. Mais pour elle, dans tout cela il n'y avait aucun gagnant. Ce n'était pas une compétition, mais sa y ressemblait. Elle se retourna commença à marcher en direction de la sortie du parking, pour pouvoir ce rendre à son lieu de travail. renifla légèrement car... Malgré que ce sois elle qui les ai dit elle était toucher par la dureté des mots qu'elle avait utilisé. Mais ça, elle l'avouerai jamais.

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Avec Amaliya

Denzel leva les sourcils quant la jeune fille vérifia que son téléphone n'avait pas de dommage collatéraux. Il savait qu'elle ne lui faisait pas pas confiance et encore moins parce que leur rencontre n'avait pas été des plus réjouissante, mais tout de même …
Il appréciait avec une certaine fierté sadique le regard de dégoût de la jeune femme. Mais bizarrement quant elle arbora cette expression faciale cela raviva un souvenir en lui. Il se souvenait d'être dans une chambre d’hôpital étant petit. Cela lui revenait lentement , il regarda de nouveau Amaliya de haut en bas. Il se souvenait que dans cette chambre d’hôpital Sally était sur le lit, ils étaient petit. Il n'était pas seul à son chevet, il y avait d'autre personne, dont une petite fille à la peau mate. Denzel avait du mal à se concentrer sur son souvenir parce qu'Amaliya était en train de lui parler, il l'écoutait à peine et plongea plus loin dans son souvenir. Sally c'était faite opérer de l'appendice … La petite fille c'était Amaliya ? Denzel fronça les sourcils examinant toujours Amaliya .
Comme celle-si avait l'air de s’enflammer de plus en plus il décida de l'écouter. « Au plaisir de ne plus jamais te revoir ». Non il ne pouvait pas encore la laisser partir sans lui demander. Mais le jeune homme ne savait pas pourquoi, les mots de sortaient pas … La question fatidique ne voulait pas sortir. Comme si il avait peur de le savoir. C'était vrais qu'après la mort de Sally il avait voulu tout effacer, il avait voulu tout refouler en lui et certain des souvenirs qu'il avait d'elle était parfois flou. Peut-être que c'était pour ça qu'il ne voulait pas vraiment savoir, parce qu'avec les souvenirs , la peine et la nostalgie reviendrait aussi.

« Tu n'as pas l'impression qu'on se connaît ? »

Il avait dit ça tout simplement. Comme si il occultait toute les grossièretés et leurs disputes pour les mettre de côté . Oubliant complètement qu'elle venait de lui faire tout un pitch pour le rembarrer.

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Elle le regarda, ne comprenant pas trop se qui vient de ce passer, elle le fixait maintenant, les sourcils froncés, entre énervement et incompréhension.
« Tu n'as pas l'impression qu'on se connaît ? »
Venait-il sincèrement de dire ça? Après tout se qu'elle venait de dire, la seul chose qui lui ai venu à l'esprit étais ça. Cela énerva d'avantage la jeune fille qui eut l'impression qu'on se foutait littéralement de sa gueule. Elle essaya de se calmer au maximum, elle avait pris sur elle toute la colère qu'elle avait envers le, elle le regarda pour en finir espérant qu'après cela elle n'aurait plus à le revoir. Elle le fixa le regardant de haut en bas, essayant de réfléchir si elle l'avait déjà croisait auparavant, essayant tant bien que mal que ses émotions négatives ne vienne pas troubler son objectivité. Elle l'observa un moment et se rendit compte que ses traits lui disait quelques choses quand elle le regardait dans sa globalités. Il avait un visage de quelqu'un qu'elle aurait déjà croisé il y a longtemps. Surement beaucoup trop longtemps pour qu'elle s'en souvienne à l'heure d'aujourd'hui. Elle essaya d’assimiler sa tête à celui d'une personne qu'elle avait connue mais rien n'y fait. Le souvenir ne revenait pas. Elle pensa qu'il avait peut-être était dans une de ses anciennes écoles mais elle se dit que aussi jeune pouvait-elle être elle se souviendrait tout de même de quelqu'un qu'elle avait fréquentée pendant un moins un an, voir plus.
"C'est possible, j'en sais rien pourquoi."
Elle n'avait pas demandée ça sous forme interrogative, sa phrase ressemblait plus à de l'impératif qu'autre chose. Elle était réellement remontée contre lui. Mais était beaucoup trop surprise que d'un coup son visage puisse lui dire quelque choses pour pouvoir le laisser en plan comme ça comme elle comptait faire. Elle voulait comprendre pourquoi il lui a demandé cela, pourquoi d'un seul coup alors que depuis le début la seule chose qu'il fait c'est de l’énerver. Elle replaça ses cheveux en arrière, en les secouant légèrement entre ses doigts comme elle avait l'habitude de faire lorsqu'elle était énervée ou prise d'émotion trop négative. Comme-ci quand elle faisait les mauvaises ondes s'en allait loin. Bien sûr ce n'était pas le cas, mais ça avait le don de faire descendre même d'un pour cent le taux d’énervement qui était en elle, se qui n'est pas totalement négligeable. Heureusement, aujourd'hui c'était un taux plutôt bas. Malgré se que l'on pourrait penser elle était à un stade d'énervement minimal. A vrai dire il l'insupportait plus qu'autre chose. Il n'avait rien qui puisse donner envie de rester et de discuter avec lui, mais cette simple question avait réussie à faire pencher la balance de son côté. Qui pouvait bien-t-il être? C'est ce que se demandait la jeune Amaliya.

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Avec Amaliya

Elle devait le prendre pour un fou c'était certain. Mais peu lui importait. Depuis quant Denzel se souciait de ce que l'ont pensait de lui. "C'est possible" ; c'était ce qu'elle avait dit après l'avoir inspecté. Cela voulait dire qu'il n'était pas fou de croire ça. Elle avait un doute. Il inspira et tira une latte sur sa cigarette avant d'expulser la fumé par le nez. Si son souvenir était juste, elle connaissait Sally. Mais quelque chose l’empêchait de demandé concrètement la chose. Comme si il craignait d'être déçu.

"On s'est connu quant on était petit j'en..."

Le téléphone du jeune homme retentit, lui coupant la parole. C'était sa mère. Il décrocha immédiatement. "Allo?" - "Oui mon chéri je suis arrivée dans cinq minutes la, pourquoi tu ne répondait pas aux message." - "J'avais pas mon portable maman, tu es ou exactement la ?"- "Je vais arriver sur le campus" ; le jeune homme soupira, il avait oublié que sa mère avait proposé de passer le voir. "Ok , je suis sur le parking du campus" - "ok à toute". Le jeune brun raccrocha et se re-focalisa sur la jeune femme en face de lui.

"Tu t'appels comment au faite? "

Il eu à peine prononcer cette phrase que la voiture de sa mère se gara dans le parking : elle avait prit le gros quatre-quatre noir, elle était donc venu avec Hope. L'ayant aperçu il regarda la voiture se garer. Et comme sa mère l'avait vu aussi elle en sortie toute souriante, saluant Denzel de la main. Elle sortit en suite Hope de son siège auto pour la prendre dans ses bras et vint vers eux et fixa son regard sur Amaliya.

"Mais , tu n'es pas la nièce de Connor ?"

Denzel fit les gros yeux. Connor ? Le père de Sally ? Il cru que son coeur allait s’arrêter tandis que des milliers de souvenir remontait à la surface.

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Amaliya soupira, il venait de commencer une phrase mais n'avait pas put la terminer. Son téléphone avait retentit et de ce que la jeune fille avait compris sa mère était au bout du fil. Elle espérait au moins que sa mère ne lui ressemblait pas caractériellement car apparemment elle allait venir là ou ils étaient. Elle arrangea une dernière fois sa chevelure pendant que le jeune homme clôturait sa conversation. Lorsqu'il eut finit, il la regarda à nouveau et lui demanda comment elle m’appelait. Elle n'eut à peine le temps d'ouvrir sa bouche, aucun son n'avait eut le temps de sortir qu'un pick-up noir étincelant, vint se garer dans le parking. La beauté de cette voiture était digne de celles des voitures des Eliots. Les voitures de ces gens-là était reconnaissable assez facilement dans l'établissement. Elle écarquillait les yeux tant elle était surprise. Une femme ayant de légère ressemblance avec le jeune homme descendit avec un enfant dans ses bras. La femme était très belle avec un sourire qui donnait l'impression que tout ce qui était autour était tout aussi joyeux. Elle compris que c'était la mère et se dit que la petite devais surement être la sœur du jeune garçon devant elle. Et l'enfant encore plus mignonne. Elle était à croquer. Une moue totalement adorable. Je souris en voyant la petite et caressa sa main gentiment. Pendant ce temps-là la femme regardait Amaliya fixement. Elle ne comprenait pas pourquoi et finit par détourner le regard vers elle aussi lorsque ses mots sortit de la bouche de cette jeune maman "Mais , tu n'es pas la nièce de Connor ?". Elle fronça les sourcils. Parlait-elle de son oncle? Le demi-frère de son père? Non c'était impossible d'où pouvait-il bien le connaitre? Même elle n'avait plus de nouvelle de lui depuis ce triste événement... Sally. Elle lui manquait beaucoup à Amaliya, elle manquait à tous mais elle ne pensait pas que la famille de son oncle auraient du profiter pour se rapprocher encore plus tous ensemble plutôt que de s'éloigner. Non elle ne devait pas parler de lui mais sa paraissait tellement étrange au yeux de la jeune fille elle fronça les sourcils.
"Euuh... Je.. Je crois... Mais qu.. Comment le connaissez-vous? si on parle bien de la même personne...". Elle ne savait pas quoi dire ou faire. Elle était bien dépassé par les événements.

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