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DUNRA ► Encré sur ma peau, gravé dans mon cœur.

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« Tu n'es qu'un mot écris à l'encre sur ma peau. Tu reste inscris un temps. Tu as du mal a partir. Mais je sais que tu finiras par disparaitre. » Ce soir-là, je continuais à déprimer dans cette insupportable chambre de quarantaine. Souffrir dans le noir le plus complet. Se sentir totalement vidé et sans intérêt. Depuis cette dernière visite à Duncan, la faim m'avait quitté... Je ne trouvais plus la force de me nourrir, ce qui accentuait la douleur que je ressentais au fond de mon être. Cela n'allait quand même pas durer éternellement, il allait bien falloir que je me nourrisse et à vrai dire je n'en n'avais pas du tout l'envie. Je refusais catégoriquement le repas que nous apportait les infirmiers, laissant mon plat aussi remplit et ce, tous les jours. Malgré ce que me disaient les médecins et sur le fait que je devais me forcer à manger pour reprendre des forces, je ne les écoutais pas faisant la sourde d'oreille. J'avais l'impression d'avoir perdu quelques kilos en me regardant dans un des miroirs des salles de bains. Ce soir encore, j'avais laissé mon repas tel qu'il était, mais lorsqu'on nous avait informés que nous pouvions voir les malades d'autres étages, j'avais senti mon cœur se presser douloureusement dans ma poitrine. Je voulais voir Romane et tous ceux que je chérissais, certes d'après les infirmiers, les médecins avaient enfin trouvé le problème et les premiers traitements allaient nous être donnés. Je fis appelle aux deux infirmiers qui devaient nous escorter là où nous désirons aller, je pris le pot de yaourt que je n'avais pas mangé, la cuillère et je me fis escorter dans la salle de quarantaine du premier étage. Ici ce n'était pas la grande forme contrairement aux autres étages. Je cherchais du regard Romane, lorsqu'il tomba nez à nez avec celui de Duncan qui était assit dos contre son lit, toujours autant mal en point. Je me dirigeais vers lui et avec le plus beau des faux sourires de la terre, je lui fis une petite tape sur ses jambes. « Et beh alors ! Comment va le petit malade ?! Oh t'as vu ça, moi je suis plus résistante que toi, pour une fille ! Enfin heureusement qu'ils ont trouvés le remède, nous allons bientôt sortir d'ici !. » Hein ? Genre plus résistante ? Je toussotais légèrement, mais je gardais ce faux sourire, comme-ci rien ne s'était passé, comme-ci sa vue ne me faisait rien, alors qu'au fond je bouillonnais à la fois de joie et de tristesse. « Bon ce n'est pas tout ! Mais j'ai un pot de yaourt à faire manger à quelqu'un, tu m'excuseras... » Lui balançais-je un signe de main accompagné d'un clin d'oeil, me dirigeant vers Romane que j'aperçus plus loin dans la même position que Duncan. J'enlevais mes pantoufles et grimpais sur le lit de mon frère, m'asseyant face à lui en mode bouddhiste, veillant tout de même à ce que ma robe d'hôpital cache ce qu'il faut cacher. Rapidement, j'ouvris le pot de yaourt et attrapa la cuillère que je fis sortir de ma poche. « Regarde ce que je t'apporte et tu vas tout manger ! T'as intérêt même avec une mine aussi mal en point, sinon je te boude à vie !. » Et j'étais presque certaine que Davina allait se ramener très vite. « Ahhhh ! ouvre la boucheeee et fait pas ton gêné là !. » Oui en tant que petite sœur, c'était mon boulot de prendre soin de mon frère et ce, même si on n'était pas lié de sang. « Toi alors, je ne peux rien te refuser !. » Exactement. Soudain, je repensais à mon bracelet, maintenant que j'étais là je pouvais le récupérer, enfin je le ferais plutard. J'introduisis la première bouchée de yaourt dans la bouche de Romane un large sourire aux lèvres, ne portant aucun regard sur le mather, même si l'envie me brulait les yeux jusqu'au dernier degré.

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Cette odeur et ses visages de morts-vivants, j'en peux vraiment plus. Je veux sortir d'ici et ne jamais revenir dans ce foutu hôpital. C'est vraiment insoutenable, entre les malaises par dizaines et engueulades avec Elia, je crois que j'ai jamais eu autant ras-le-bol de ma vie. Mais le pire ? Lily et Tamara, la première à cause de notre engueulade avec Elia et la seconde à cause de ce baiser sorti de nulle part. Je ne m'y étais vraiment pas préparé à cette éventualité, je sais que physiquement je peux plaire aux femmes, mais de là à tomber amoureuse de moi, j'arrive pas à comprendre. Et ça me hante nuit après nuit, parce qu'au bout du compte je sais que tout va changer entre nous et bizarrement j'ai pas envie de la perdre. Chose qui m'arrive avec pratiquement personne. M'attacher au point d'avoir peur de perdre cette personne, mis à part Lily et Maëlys, je n'ai jamais ressenti ça pour personne .. Sauf elle à présent. Tamara .. Pourquoi les choses sont-elles toujours aussi difficiles ? Aujourd'hui je restais une nouvelle journée coincé dans ce lieu lugubre, apprenant par la même occasion qu'on pouvait rendre visite aux autres malades et que les médecins ont trouvés un remède, il était temps j'ai envie de dire. Installé tranquillement sur mon lit, je sentais une main toucher mes jambes et je reconnus aussitôt sa voix. Qu'est-ce qu'elle fait ici ? Et surtout .. Pourquoi ce sourire alors que notre dernière rencontre était plutôt .. Étrange ? Elle s'avançait ensuite vers un type, yaourt en main. Depuis quand t'es malade ? C'est depuis que tu m'as .. Enfin depuis la fois où tu es venues ? Disais-je en fronçant les sourcils, c'est de ma faute c'est ça ? Je sens que c'est lorsque ses lèvres ont touché les miennes qu'elle est tombée malade et ça m’agaçait davantage d'être le coupable de sa maladie. Quoi que je fasse - même quand je fais rien pour l'occasion - ça part en cacahuète, dans un premier temps elle tombe sous le charme du pire des enfoirés et dans un deuxième temps elle tombe malade à cause de ce même type. Et le pire dans l'histoire, c'est que ce mec, c'est moi. Je la regardais nourrir le mec qu'elle avait envoyé me chercher l'autre jour, petit à petit et avec les quelques forces que j'avais je me soulevais de mon lit pour marcher vers eux ou plutôt vers elle, je m'en fous complètement de lui. Une fois devant Tam je toussais jusqu'à m'arracher la gorge avant de lui tendre son bracelet que j'avais gardé dans ma poche pour lui rendre. Je comptais te le rendre en sortant d'ici, mais puisque tu es malade toi aussi .. Tiens. Disais-je en mettant doucement son bracelet sur le pied du lit. Visiblement elle voulait faire comme-ci de rien ne s'était passé l'autre jour. Elle ne me demande même pas qui est cette fille dont je suis amoureux ? Je passais ma main dans mes cheveux, complètement KO mais je terminais par lui dire avec les dernières forces qui me restaient. Je vais vous laisser ensemble .. Je ne me sens pas bien, je vais me passer un coup d'eau sur la figure. Disais-je en la regardant doucement quelques instants, attendant qu'elle me demande de rester, mais finalement elle était trop occupée avec l'Eliot .. Ouais donc elle fait semblant d'oublier c'est ça ? Moi je peux pas, ça me fait chier pour Lily mais aussi mal pour Tam, car je me suis attaché à elle comme je me suis attaché à rarement de personne. Bon bah on se revoit en sortant d'ici alors .. C'était cool de te voir. Disais-je légèrement blasé avant de m'avancer les pieds frottant le sol pour rejoindre l'espèce de salle de bain commune, commençant par me mettre de l'eau sur le visage grâce au robinet, vivement qu'on sorte d'ici, car ça devient insupportable pour de nombreuses raisons.

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Quelqu'un a dit un jour que les tragédies font partie de la vie, qu'on ne devait pas baisser les bras parce qu'on était malheureux. Quand on vous brise le cœur, il faut se battre de toutes ses forces et s'accrocher à la vie, parce qu'elle continue quoiqu'il arrive et cette douleur qui vous déchire fait partie de la vie tout comme la peur et le mal être. Toutes ces sensations qui sont là pour nous rappeler que les choses s'arrangeront, ça vaut le coup de continuer à se battre. Je m'étais répétés ces mots en boucle dans ma tête et je devais les appliquer, faire comme ci de rien n'était, continuer ma vie comme si jamais rien ne s'était passé, sourire aussi difficile soit-il et pourtant c'était plus facile à dire qu'à faire. J'en avais même perdu l'appétit. Pour la première fois j'avais souhaité avoir une crise d'amnésie, oui, pour complètement effacer ce baiser et ces sentiments de ma mémoire. Il me demanda depuis quand m'étais-je retrouvée ici et mon cœur avait fait un énorme bon quand soudainement les images me reviennent. « Que je t'ai quoi ? Aaaah non non, rassure toi... » Avais-je fait semblant d'avoir un instant oublié que je l'avais embrassé, pour donner style, "un baiser déjà passer aux oubliettes" or c'était loin d'être le cas, car ses lèvres sur les miennes, je ne pourrais jamais oublier cette sensation. Et pour éviter qu'il ne réponde quoi que ce soit d'autre, je retirais ma présence après un signe de main et un clin d'oeil. Maintenant, assise sur le lit de mon frère à lui faire manger ce pot de yaourt, une voix tiqua mon oreille, je pourrais reconnaitre cette voix entre mille autres dorénavant. Il me rendit mon bracelet qu'il déposa au pied du lit. « Merci, merci... » Toujours avec cette voix enthousiasmante, alors que je continuais à m'occuper de mon frère sans me retourner pour lui accorder ne serait-ce qu'un regard. Et lorsqu'il avoua qu'il se sentait mal, j'arrêtais soudainement la bouchée que j'allais donner à Romane, baissant la tête. J'avais senti mon cœur s'alourdir et se pincer de douleur, je n'aimais pas entendre qu'il était mal, mais je n'avais pas le courage de me retourner. Alors, il nous laissa quelques mots s'échapper, se revoir à la sortie ?... « Mm mm ! On se revoit à la sortie !. » Lorsque je relevais la tête il n'était plus là, j'attrapais mon bracelet et le passait autour de mon poignet gauche, par contre le regard interrogateur de Romane me narguait. « Non non, ne me regarde pas comme ça toi... et je ne vais pas le rejoindre non... » Dans le genre, tu devras tout m'expliquer petite sœur, mais en attendant vas le rejoindre. Je soupirais et me laissais tomber sur le bord du lit côté droit, laissant mes longs cheveux pendre vers le sol alors que je fixais la toilette commune tête légèrement tendue vers l'arrière. Je ne voulais pas y aller, ma raison me l'interdisait car je sentais que j'allais encore le regretter. MERDE QUOI !. Je me redressais rapidement et donna le pot de yaourt à l'Eliot. « T'as intérêt à tout finir et quand je reviens, je veux voir ce pot totalement vide !. » Empruntant le chemin qui me menait à Duncan. J'ouvris la porte, sauf que j'entrais tellement comme une furax que je glissais sur une petite flaque d'eau, atterrissant directement sur mes fesses. « Aieuhhhhhh !. » Avais-je doucement crié en me redressant rapidement massant légèrement ma fesse gauche. Plus maladroite que moi tu meurs. Je regardais un instant Duncan, avant d'étouffer un petit rire et de complètement éclater par la suite, suivi d'ailleurs du jeune homme. Je finis par tousser sèchement, mettant ma main devant mes lèvres. « Franchement, je suis doué pour ce genre de maladresse !. » Affirmais-je avant d'appuyer mes mains contre le bord du grand marbre où se trouvaient plusieurs lavabos et de m'asseoir balançant légèrement mes jambes, le regard fixé au sol. « Je suis tellement contente le remède est enfin trouvé, tout le monde va pouvoir sortir d'ici et reprendre le cours de sa vie, l'extérieur me manque grave ! D'ailleurs, la première chose que je ferais, c'est d'aller au parc et dessiner encore et encore jusqu'à la tombée de la nuit ! Ça me manque mais graveeuhh et toi, comment tu te sens ? Tu ressembles à un canard malade t'sais. » Un petite rire s'échappa de mes lèvres toujours en fixant le sol, j'essayais d'éviter tout ce qui était sujet délicat entre nous, faire semblant jusqu'à cicatrisation de mon cœur, jusqu'à qu'il sorte de ma tête et de mon esprit. J'évitais même de croiser son regard plus d'une minute, car je savais que j'allais encore plonger et me noyer.

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Pourquoi est-ce que ça me faisait aussi mal que ça de lui briser en quelque sorte le cœur ? En temps général je m'en ficherais complètement, j'en aurais eu rien à faire mais avec elle c'est différent. Mais ça me blessait de savoir qu'au fond d'elle, elle m'en voulait et que j'avais probablement détruit une partie d'elle. C'est alors quand lui demandant depuis combien de temps elle était là et si c'était à cause de son baiser de l'autre fois, elle fit comme si elle ne se souvenait plus trop de ce moment. J'ouvrais grand les yeux, non mais elle veut m'énerver c'est ça ? Car si elle pense pouvoir taper la discussion avec moi, parler et déconner comme si de rien n'était, elle est tombée sur le mauvais mec. Mais je n'ai rien pu ajouter qu'elle s'avança vers le lit d'un Eliot pour lui donner un yaourt, je m'approchais d'elle pour lui rendre son bracelet et sa réponse me hérissait les poils. Merci merci ? Rien d'autre ? Putain qu'est-ce qu'elle avait le don de me taper sur les nerfs en faisant ça, mais je ne savais quoi faire de plus, l'engueuler et la remettre à sa place ? Non je peux pas l'engueuler pour ça, car au fond je sais qu'elle est mal à cause de moi, mais contrairement à elle je ne pouvais pas faire semblant que rien ne s'était passé, que ce soit pour elle ou pour Lily.. Même si je n'ai pas parlé de ce baiser lorsqu'on s'était vu lorsque jour avec Elia. De rien de rien..[/b] Répondais-je en fronçant les sourcils, elle ne me regardait même pas, trop occupé à donner son yaourt à l'autre type. Mon de rien était complètement ironique et ça s'entendait grâce à l'intonation de ma voix, mais ça m'énervait vraiment qu'elle fasse comme si ce baiser n'était jamais existé. Je me suis alors dirigé vers la salle de bain commune, je restais la tête collée contre le mur de la salle de bain, mais je l'entendais tomber derrière moi, je me retournais en souriant doucement. Ça va quand même ? T'as pas trop mal ? Demandais-je en la regardant se relever doucement avec l'aide du lavabo. Elle allait ensuite s'asseoir dessus en balançant ses jambes, je la regardais quelques instants en espérant qu'elle aborde le sujet du baiser, car ça me hantait réellement. J'arrivais pas un mettre un mot sur ce moment, car elle avait beau ignorer la chose, ça allait nous retomber sur le coin de la gueule un jour ou l'autre, autant mettre les choses à plat, mais visiblement elle n'était pas de cet avis. Elle m'expliqua qu'elle voulait sortir d'ici rapidement pour pouvoir dessiner, j'aurais voulu lui dire que j'aimerais voir ses dessins, mais c'était au-delà de mes forces .. Je lui répondais tout de même quand elle me demanda si j'allais bien, souriant légèrement quand elle me fit savoir que je ressemblais à un canard malade. Ça va ça va, j'en ai juste marre d'être coincé ici, surtout avec la sorcière Elia .. Elle me prend la tête cette fille. Puis j'en peux plus de cette pièce, d'être enfermé et j'ai envie de fumer un joi.. Un joint .. Ouais j'avais envie de fumer un joint, mais pas certain que cela lui fasse plaisir d'entendre ça. J'arrêtais alors ma phrase en me dirigeant vers un lavabo, commençant à me mettre de l'eau froide sur le visage car mine de rien, je n'allais pas bien du tout. Les secondes passaient et j'attendais qu'elle débute la conversation, pour mettre les choses à plats, pour savoir où nous en étions elle et moi .. Mais rien et ça avait tendance à me blaser davantage. Je soupirais un bon coup avant de m'essuyer le visage avec une serviette, posant mes fesses sur l'espèce de l'évier devant elle, la fixant dans les yeux. Tu comptes faire semblant combien de temps encore ? Demandais-je d'un air assez blasé, j'en avais marre qu'on tourne autour du pot et je voulais avoir mes réponses. Je restais quelques secondes assis contre mon lavabo, devant le sien avant de reprendre la parole. Parce que si tu comptes venir me voir en dehors de ces quatre murs et faire style que tout va bien, que rien ne cloche, ça va pas le faire. Je sais pas vraiment ce que tu ressens pour moi mais dans tous les cas ça me ferait clairement chier de .. Je m'arrêtais net, ne sachant pas si je devais terminer ma phrase, parce que dire des trucs sympas, ça ne me ressemble pas beaucoup, mais tant pis. Je me levais de mon levier pour m'avancer plus près d'elle et la regarder dans les yeux. De te perdre, je t'aime bien .. Je m'attache à toi et j'ai pas envie que tu souffres à cause de moi. Disais-je en soufflant, ouais ça me ressemble pas de dire ce genre de choses et ça se voyait sur mon visage complètement blasé.

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Heureusement qu'il n'y avait personne dans ces toilettes pour assister à ma chute, je venais d'éviter de me faire ridiculiser. Il me demanda si j'allais bien, je lui répondis positivement d'un signe de tête, tout allait bien, ce n'était pas une aussi petite chute qui allait me mettre KO, j'avais évité le plus dangereux qui était la tête alors tout allait bien, mais au fond je fusse heureuse qui s'en inquiète autant. Sauf que lorsque j'entendis le demi mot de joint, mes poils s'hérissèrent, mes poignets de mains se refermèrent sans que je ne m'en rende compte, si j'avais de la force et surtout l'envie, je lui aurais donné un coup de poing n'importe où pour avoir entendu ça... Mais je lui répondis de la manière la plus neutre possible... comme si je ne m'intéressais pas plus que ça à son cas. « Franchement, fume ce que tu veux, tu t'en mordras les doigts tout seul après... je t'aurais prévenue... » Ce n'était pas la Tamara qui l'aurait sermonné de fumer ou prendre des choses aussi dangereuses, je restais insensible, du moins je me forçais ô combien j'avais envie de lui crier dessus, pire, lui tirer les oreilles ou même le faire jurer sur ma tête qu'il ne prendra plus et ne fumera plus ce genre de choses. Mais là il m'énerva à vouloir remettre le baiser sur le tapis, ce n'était pas si important pour lui, alors pourquoi en parler. J'évitais de répondre à son sous-entendu gardant la tête toujours baissée. Il s'attachait à moi ? Mais peut-être pas de la façon dont moi je m'étais attachée à lui et encore là, je ne voulais pas en parler, j'avais tellement les boules qu'une pantoufle glissa de mon pied et tomba à terre. « Tu n'as rien ressenti à ce baiser, ce n'était pas important alors je ne vois pas l'intérêt d'en parler... Ce baiser n'a jamais existé, je ne t'ai jamais avoué que tu me plaisais, so,mets-toi tout cela dans la tête pour le bien de tout le monde... on va mettre tout ça de côté, oublier tout et puis basta...ce ne sera plus qu'un souvenir balancé dans les oubliettes... » Je n'étais pas furieuse, ni calme, j'étais juste neutre et lorsqu'il s'approcha de trop près de moi et qu'il me regarda dans les yeux, je tournais immédiatement la tête sur le côté, avant de descendre du marbre même si je me retrouvais collée à son corps, son souffle qui s'écrasait sur mon visage, humph, je déglutis, l'air d'une bougie qui fondait à une vitesse lumière. Je me glissais doucement sur le côté avant d'aller m'adosser au mur du coin croisant les bras contre ma poitrine, car lorsqu'il était trop près de moi, cette envie de l'embrasser de nouveau sur ses douces lèvres, de plonger dans l'océan de son magnifique regard, de poser mes mains sur sa peau autant lisse que son corps bien bâti de partout, mon cœur qui s'affolait aux simples centimètres de son ombre et pourquoi je le détaillais d'ailleurs ?. Tout ça chamboulait assez mon cerveau et c'est pourquoi être à une distance raisonnable était le mieux à faire. « Qui a dit que t'allais me perdre ? Tu vois bien que je te parle encore avec le sourire, je me comporte comme une amie devrait l'être... Nous sommes a-mis non ?... Et aussi longtemps que je ferais comme-ci ce baiser n'avait jamais existé, comme si je n'ai jamais eu de sentiments pour toi, comme si tu me faisais aucun effet, j'irais, mais, alors merveilleusement bien... » J'insistais sur le mot amis, car c'était ce qu'il voulait que nous soyons et j'appliquais ses envies, j'essayais d'être son amie et toute amie ne parlerait pas de ce baiser ou de ses sentiments. J'allais encore éviter ce sujet aussi longtemps que cela serait nécessaire pour le sortir complètement de mon esprit et vous savez quoi ? Je ne voulais même pas savoir comment s'appelait sa petite amie, ni même savoir qui elle était. « T'as réussis à te faire des ennemis même malade ? Qui est cette Elia et pourquoi tu lui en veux autant ?. » Parler de cette fameuse Elia nous évitera de parler de quoi que ce soit d'autre concernant mes sentiments à son égard, enfin j'espérais qu'il ne reviendra pas la-dessus.

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J'hochais les épaules lorsqu'elle a rebondi sur mes propos concernant le joint que j'avais envie de fumer, à quoi bon lui tenir tête car au bout du compte ça deviendra infernal ? Mais le plus infernal restait tout de même cette conversation sur ce fameux baiser et sa réaction qui m'énervait au plus haut point. Qu'est-ce que tu racontes ? Ce baiser était important pour toi et ça me fait clairement chier de t'avoir fait ça, de t'avoir fait croire quoi que ce soit. Tu peux pas faire style que rien ne s'est passé l'autre jour, c'est juste impossible. Disais-je en la regardant avant que nos regards ne se croisent quelques courtes secondes, très courtes même puisque rapidement elle dégageait ses yeux ailleurs comme pour éviter que nos regards ne se croisent. Je soupirais blasé en la regardant descendre du marbre pour s'avancer vers le coin de la salle de bain. J'en faisais autant, oui je suis une vraie tête de mule et je n'allais pas partir avant qu'elle m'en parle, qu'elle m'explique ce qu'elle ressentait vraiment pour moi, car j'avoue être totalement perdu. Une fois vers elle, je me collais au même mur que la petite blonde, même si son regard évitait toujours le mien. Parce que je sais ce que c'est d'attendre quelque chose qui ne viendra peut-être jamais .. Tu fais semblant que tout va bien, mais au final tu souffres. Et ne dit pas le contraire, tu n'oses même plus me regarder dans les yeux. Et ton sourire, il n'y a rien de plus faux, je te signale que je suis le maître en la matière, les faux sourires je m'y connais. Disais-je en attrapant doucement son menton pour lever ses yeux vers les miens, évidemment qu'elle n'allait pas bien et que son sourire était monté de toutes pièces. Je finissais par lâcher délicatement son menton avant de reculer, c'est à ce moment qu'elle me parla de la sorcière d'Harvard. Je grimaçais avant de lui répondre. Elia c'est la présidente des cabots, la sorcière d'Harvard. Ça ne date pas d'hier notre mésentente, on n'a jamais pu se voir en peinture et on ne deviendra jamais amis .. Je peux pas parler normalement avec cette grognasse. Disais-je complètement énervé rien qu'en pensant à cette fille et c'est d'ailleurs pour cette raison que ça me faisait un bien fou de voir Tamara, avec elle je pensais pas à mes problèmes avec Lily et avec Elia, mais depuis ce baiser c'était vraiment compliqué et étrange entre nous, malgré ce qu'elle voulait faire croire. Je soufflais un bon coup avant de reprendre sur Elia. C'est la meilleure amie de .. De ma sœur. Elle s'occupe trop de mes affaires, elle met son nez là où ça ne la regarde pas et ça a tendance à me taper sur les nerfs. Tellement que je suis venu l'emmerder à la Cabot House l'autre jour, ça ne lui a pas plus, encore plus lorsque j'ai fumé un joint dans leur salon. Mais que veux-tu, elle m'insupporte et être enfermé avec elle, ça me tue littéralement. J'omettais volontairement de parler davantage de ma fameuse sœur, car cette sœur n'est autre que celle qui a kidnappé mon cœur de pierre il y a bien des années. Je m'approchais de nouveau de Tamara, plongeant mon regard dans le sien. Et ouais j'ai bien plus d'ennemis que d'amis, dire qu'il y a quelque temps de cela tu faisais partie de la première catégorie .. Même si j'avoue que je t'aime bien, pour ton bien tu aurais peut-être dû rester parmi ceux qui ne peuvent pas me blairer, non ? Disais-je le plus sérieusement possible. Je voulais vraiment savoir si elle souffrait à cause de moi, car c'est clairement l'idée que j'avais en ce moment-même. En temps habituel je m'en fiche complètement de briser des cœurs, mais le détruire son petit cœur innocent parce qu'elle est tombée amoureuse du mauvais gars, ça me faisait mal.

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Sayez, monsieur ne voulait plus lâcher l'affaire. J'avais pourtant été clair, je ne voulais plus en entendre parler, je voulais oublier moi-même tout cela, à quoi cela servirait que je fasse comme si tout cela était réel, franchement j'aurais plus de peine que de joie à garder tout cela au fond de mon cœur, je voulais tout balancer aux oubliettes un point c'est tout. Je soupirais lorsqu'il s'approchait de moi et si je m'éloignais encore, il allait me suivre, ça ne servirait à rien. Je restais là, à fixer le plafond l'air désintéressé. « Tu ne m'avais fait croire à rien, je n'ai seulement pas pu empêcher cela d'arriver... Rien est impossible dans la vie, alors si je dis que je peux faire comme si de rien n'était, ça veut dire que je peux le faire okey !. » Il est vrai que je n'osais plus le regarder dans les yeux, non pas parce que je lui en voulais pour quoi que ce soit, car au final ce n'était pas de sa faute, mais celle de mon cœur, seulement, j'avais peur de ne pas savoir me contrôler, peur de me noyer encore dans ce regard si déstabilisant, peur de ce que je pourrais faire en sa présence. Il attrapa mon menton et m'obligea à le regarder dans les yeux, il était si cruel et si beau. Il ne voyait pas, il ne comprenait rien. « Tu m'énerves ! J't'ai dit d'abandonner ça va c'est bon là ! Je ne veux plus en parler, alors arrête ! Arrête, parce que même si j'en souffrais ça ne servirait à rien de parler de ça avec toi où de faire comme-ci tout cela avait existé, car la meilleure solution pour moi, c'est de faire comme si tout ça n'avait jamais existé et comme tu dis, c'est important pour moi et moi seul, c'est donc à moi d'en décider. Alors tais-toi maintenant, tais-toi où sinon tu vas finir par me faire faire quelque chose que tu n'aimerais plus que ça reproduise !. » Oui, comme laisser mes pulsions ainsi que mon cœur parler et l'embrasser de nouveau, car mes lèvres se languissaient des siennes où encore lui montrer ce que je voulais réellement et c'était lui que je voulais, alors il ferait mieux de se taire maintenant. Je l'écoutais me parler d'Elia, donc en résumer, elle fouinait dans sa vie ? Je n'aimais pas trop juger les gens que je ne connaissais pas sans les avoir fréquenter, alors je n'allais pas juger cette fameuse Elia, mais je pouvais lire dans ses yeux à quel point il la détestait. « T'as essayé de vraiment la connaitre ? Peut-être qu'à ta plus grande surprise, si vous arrivez à vraiment creuser profondément, tu te demanderas pourquoi t'as passé ton temps à la détester alors que parler sérieusement et faire des efforts pour améliorer votre situation auraient pu éviter pleins de choses non ? Mais bon tu dois surement avoir tes raisons. » En clair, je ne prenais ni parti pour Duncan, ni parti pour Elia. Il se rapprocha à nouveau de moi, plongeant son regard dans le mien. Ça le tuerait d'installer une certaine distance entre nous ? Pourquoi devait-il rompre tout le temps les centimètres qui nous séparaient, j'suis bien là, loin de lui, franchement il allait me rendre vraiment dingue ce mec. « J'imagine que cela aurait été moins compliqué si j'avais gardé cette haine pour toi, mais non, je ne regrette pas t'avoir donné cette seconde chance et je me demande encore pourquoi tu avais tant voulu que je te la donne... » Affirmais-je en fuyant son regard furtivement, fixant de nouveau le plafond. « Écoute, tu n'as pas à t'inquiéter ou te sentir mal pour moi, je finirais bien par oublier tout ça, qui sait, un garçon plus sexy, plus beau, plus doux, plus drôle, plus parfait que toi, viendra me voler mon cœur et ce sera tant pis pour toi, tu ne sais pas ce que tu rates et ce sera trop tard pour le regretter... » Disais-je en lui tirant la langue accompagné d'un sourire, un vrai sourire cette fois-ci, oui j'essayais de détendre un peu l'atmosphère pesante qui régnait, car bon il m'avait déjà volé mon cœur et ce sera difficile de me le voler à nouveau, j'espérais maintenant qu'il se tienne à carreau et s'occupe plutôt des sentiments de sa copine, plutôt que des miens.

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Dans ce cas j'espère que TA solution marchera, parce que compte pas sur moi pour rester le cul assis à te voir souffrir à cause de moi .. Ne prends pas la grosse tête, mais je tiens trop à toi pour te laisser avoir mal dans ton coin parce qu'au bout du compte je suis qu'un enfoiré. Lui lançais-je d'un ton similaire au sien, bien que je n'hurlais pas, disons que j'étais plutôt strict dans mes paroles. J'allais arrêter pour cette fois-ci, mais si au bout du compte je la vois toujours aussi gênée et malheureuse à cause de moi, je serais obligé de réagir. Elle termina ensuite par me parler de la sorcière de la Cabot House. Je grimaçais avant de lui répondre lorsqu'elle me demanda si j'avais essayé de parler concrètement avec elle, entres adultes. Non ça sert à rien de parler avec cette fille, elle est trop bornée et ne pige rien du tout. Elle me met à bout et après madame se fait passer pour la victime devant Lily, c'est n'importe quoi. Je me suis carrément pris la tête avec Lily à cause d'elle, à cause de son don à m'énerver rien qu'en étant présente dans la même pièce que moi. Je veux pas apprendre à la connaître, c'est une connasse point. Disais-je d'un air râleur. Tam ne pouvait pas vraiment comprendre cette haine que je vous à Elia, elle ne connaît pas ma relation avec mon ancienne sœur et c'est peut-être aussi bien comme ça. Je ne me vois pas lui dire que celle qui monopolise mon cœur partage mon nom et a partagé mon père depuis presque 23 ans. Ça serait sûrement un choc de plus pour elle, un choc dont elle n'a pas besoin. Puis elle me fit savoir qu'elle ne comprenait pas pourquoi je voulais tellement qu'elle m'offre cette seconde chance. Je la regardais dans les yeux, bien que son regard s'enfuyait de nouveau vers le plafond. Au départ je voulais une seconde chance parce que je me sentais redevable, mais finalement je me suis attaché à toi et tu peux me croire .. Je m'attache rarement aux gens. Donc ouais d'un côté ça me fait chier que tu souffres à cause de moi .. Tu mérites pas ça. Disais-je en diminuant ma voix petit à petit. C'est vrai que je m'attachais bizarrement à elle et ça me faisait peur. J'ai peur de m'attacher aux gens car au bout du compte ça se termine toujours mal et souvent à cause de moi. Elle a finalement réussi à me faire rire en m'expliquant sur le ton de l'humour et suivi d'un tirage de langue qu'elle trouvera tôt ou tard un mec bien plus parfait que moi. Qu'est-ce que tu racontes ? Un mec plus beau, drôle, doux, sexy et parfait que moi ? Ça n'existe pas .. Regarde dans le dictionnaire, chaque adjectif a la même définition 'Duncan'. Alors peut-être qu'un jour tu trouveras un mec qui te rendra heureuse, mais il ne sera pas aussi parfait que moi. Disais-je en hochant bêtement les sourcils. J'espère bien finira par trouver le bonheur, mais au fond de moi, je pense que ça me ferait quand même bizarre de la voir aux bras d'un autre type .. Je sais pas trop pourquoi, mais qu'importe. Je commençais à faiblir et fallait mieux que je bouge ou j'allais m'écrouler au sol. Tu veux qu'on se tente une opération commando ? On se casse de là .. Ou alors on essaie de piquer le téléphone d'un infirmier pour commander des pizzas, j'en ai marre de manger leur bouffe dégueulasse. Lui disais-je en souriant légèrement malgré la fatigue. Bon techniquement ça ne sert à rien de s'échapper d'ici, car au bout du compte on devra y retourner après un malaise ou quelque chose dans ce genre, mais j'avais envie de bouger et faire un peu le con. Sans compter que la nourriture de l'hotipal est loin d'être appétissante, alors sait-on si jamais on arrive à piquer un téléphone, on pourra peut-être se nourrir de nous-même .. Et déconner un peu ensemble.

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Je n'étais certaine de rien quant à ma méthode, mais en tout cas ce n'était pas en gardant tout cela au fond de mon cœur qui m'aiderait. Je me suis mise face à lui, cette fois-ci c'est moi qui rompais les quelques centimètres qui nous séparaient, goshh sayez, je trahissais moi-même mes propres paroles. C'est bad, ce n'est pas bien, il prend une trop grande place partout, dans ma tête, dans mon cœur... « Dis-moi qu'est-ce que tu peux faire pour empêcher ce cœur de battre pour toi ?. » Pour accompagner mes paroles, je lui attrapais l'une de ses mains, que je déposais sur ma poitrine au niveau de mon cœur. Il battait si vite et tellement fort, qu'on aurait dit qu'il était dans la main du mather et il devait le sentir maintenant, sentir l'effet que sa présence produisait à mon cœur meurtri. « Tu ne peux rien faire, absolument rien, alors oui, je ferais tout pour que ma solution marche... quitte à aller voir d'autres garçons... » Disais-je en gardant sa main quelque seconde sur mon cœur, sauf que je n'avais pas capté qu'elle était descendue de quelques centimètres plus bas et que celle-ci pressait mon sein gauche actuellement à cause de la pression de mes mains, je me rendis compte et la laissa immédiatement retomber regardant ailleurs l'air gêné. Je ne disais plus rien à propos d'Elia, car à le voir parler de cette femme, je sentais toute la haine qu'il ressentait à son égard, c'était effrayant. Ensuite, il me donna la raison pour laquelle il avait voulu une seconde chance, au départ c'était pour l'accident, la vie que je l'avais sauvé, mais visiblement par la suite, il s'était vraiment attaché. Cela me faisait plaisir mine de rien. « Et si je comprends bien, ta vie m'appartient, elle n'est uniquement qu'à moi... » Tous les moyens sont bons pour passer le sujet délicat de mon cœur, car je ne voulais pas revenir sur cela une nouvelle fois. J'étais celle qui l'avait empêché de se retrouver sous terre, alors d'une certaine façon, sa vie m'appartenait. Si je voulais la partager ? Non si ça ne tenait qu'à moi, je ne l'aurais partagé avec personne. Bon j'aurais dû me taire, car le voilà partis une nouvelle fois dans son délire du mec le plus parfait de la terre et le pire dans tout ça, c'est qu'il l'était à mes yeux maintenant. Ça me faisait chier d'en être devenue autant accro, il me fallait une cure de désintox' anti Duncan. « Hum, je ne suis pas sûre que nous utilisons le même dictionnaire, moi j'en possède un spécial, unique dans son genre, alors je n'ai jamais vu de Duncan là-dedans, désolé...Mais dans mon dictionnaire, tu n'existes pas !.... T'existes qu'à un seul endroit...mais ça je ne te le dirais pas... » et c'était dans mon coeur. Il avait suffi qu'il parle de pizza et mon estomac répondit aussitôt par un grognement affreux, tellement que personne n'aurait été épargné de l'entendre. Je regardais Duncan bouche bée, choqué par mon ventre, mon visage avait rapidement changé de couleur, il était plus rouge que le sang, d'ailleurs si j'avais été dans un sorte de dessin animé, je crois qu'on aurait vu une sorte de fumé s'évaporer de ma tête comme une cocotte minute qui sifflait. Je me laissais accroupie cachant rapidement mon visage dans mes mains. LA HONTEEE et devant qui en plus. « MON DIEU, sayez je viens de déshonoré ma réputation de fille mignonne et douce... ce n'était pas ma faute, ce n'était pas moi...enfin ça fait trois jours que je ne mange pas...olalalala, la honteee... » Sayez, tellement j'étais rouge, je perdais mes mots, divaguais, paniquais, m'étant ridiculisé devant lui. « T'as raison, on a qu'à faire cette opération...En fait, en venant ici j'ai remarqué de la bouffe dans l'une des chambres d'à côté, ce n'est pas d'ici en tout cas vu le nom sur les cartons, je ne sais pas ce que c'est comme bouffe, mais ça restera mieux qu'ici ! Je vais faire diversion et toi t'iras les piquer... Allez !. » Je me relevais les joues rougies et je ne perdis pas une seconde avant de sortir d'ici aussi honteuse et gêné... Je m'avançais vers la porte de cette chambre et une fois à quelques mètres, je créais une fausse convulsion et lorsque des infirmiers se ramenèrent laissant la porte ouverte, alerté par les cries de malades autour de moi, je fis mine de me réveiller et me calmer petit à petit lançant un clin d'oeil discret à Duncan du genre grouille toi et ce, pendant que les infirmiers m’aspergeaient de questions et m'examinaient.

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Je sentais sa main attraper la mienne pour la placer au niveau de son cœur, me demandant ce que je pouvais faire pour qu'elle arrête de m'aimer, car c'était réellement le mieux à faire pour elle. Partir et te laisser tranquille .. C'est pas ce dont j'ai envie, mais si ça te permet de te sentir mieux. Disais-je en baissant d'une octave au fur et à mesure de ma phrase, puis petit à petit je sentais ma main descendre sur sa poitrine. Mon regard croisait le sien et rapidement je la sentais relâcher ma main. Je ne disais plus rien, ne sachant que dire ou que faire. Elle réussissait tout de même à me voler un sourire en m'expliquant que ma vie lui appartenait. Je lui lançais un sourire avant de délirer avec le dictionnaire, sachant pertinemment que j'étais loin d'être parfait et tout le tralala. Ouais bah ton dictionnaire est merdique alors ! Dans un universel, mon prénom est la définition de bien nombreuses qualités .. Comment ça j'appartiens qu'à un seul endroit ? Disais-je en souriant bêtement, pensant qu'elle allait me sortir une connerie, une blague ou quelque chose dans ce style. Mais en dirigeant mes yeux dans les siens, je comprenais où elle voulait en venir. Dans son cœur, c'est là où elle me voyait. Puis doucement mon sourire s'effaça et mon regard se défaisait du sien. Ah .. Non c'est bon j'ai compris .. Enfin je crois. Disais-je à voix base avant de changer complètement de sujet, ne voulant pas la mettre d'autant plus mal à l'aise. Je lui ai alors proposé une opération commando pour capturer des pizzas, mais d'un seul coup son ventre fit un bruit étrange, ça me volait un petit sourire sur le moment. Ce n'était pas un sourire moqueur, bien au contraire mais au vu de sa réaction elle semblait complètement gênée par ce que son ventre venait de faire. Elle s'accroupissait en cachant son visage. Doucement je m'approchais d'elle, passant mes mains sur les siennes pour retirer ses petites mains de son visage, fixant ses yeux avec un sourire serein et calme sur les lèvres. Hey calmes-toi .. Ça arrive à tout le monde d'avoir le ventre qui gargouille, t'as pas à te sentir gêné pour si peu. Si tu savais le nombre de fois que mon ventre crie famine, je suis un vrai goinfre. Et oui ça peut paraître surprenant d'avoir un corps de rêve et d'être un vrai goinfre, mais c'est bel et bien le cas. Bref t'as pas à te sentir gêner pour ça. Puis doucement je lâchais ses mains pour reculer, la laissant reprendre ses esprits et accepter mon offre. Je rigolais, au moins j'allais pouvoir rire un peu, ça va me changer de mes derniers jours ici. Ni une ni deux elle m'expliqua où trouver de la nourriture. J'hochais la tête en m'avançant à mon tour vers la pièce en question, mais je ne pouvais m'empêcher de regarder Tam sortir le grand jeu face aux médecins. Elle était vraiment crédible dans son rôle et son petit clin d’œil me fit comprendre que je devais me bouger les fesses. J'entrais discrètement dans cette salle, attrapant les trois petits sacs, je jetais un coup d’œil voyant qu'il s'agissait de pains au chocolat, de croissants mais aussi d'éclairs aux chocolats. Putain c'est bon ça ! En tout cas moi j'adorais ça. Je cachais doucement mes sachets derrière moi, faisant signe à Tam que c'était bon pour moi. Je m'installais dans un coin discret en attendant qu'elle revienne, sourire aux lèvres en la voyant revenir. Je pensais tomber sur une pizza, kebab ou un truc dans le genre, finalement on se retrouve avec des pains aux chocolats, des croissants et des éclairs .. C'est largement mieux non ? Et pas mal ton petit acting de tout à l'heure, mais bon j'aurais fait bien mieux que toi. Tellement qu'ils ne m'auraient pas relâché .. J'aurais été dans la merde ! Bon en tout cas, hors de question d'en laisser aux autres, rien que pour nous héhé. Lançais-je en me marrant avant de tendre un pain à la petite portugaise, je rigolais en repensant à son jeu d'actrice, puis au même moment une dernière question qui n'avait rien à voir refit surface .. T'es quand même sacrément folle pour tomber amoureuse d'un mec comme moi .. Dis-moi .. Pourquoi ? Je te promets qu'une fois cette question répondue, je t'emmerderais plus avec ça. Mais j'arrive pas à comprendre ce que tu me trouves. Disais-je en mangeant mon pain, évitant son regard en espérant savoir une bonne fois pour toute ce qu'elle me trouvait, car malgré ce que je pouvais dire sur moi .. Je suis très loin d'être le mec parfait.

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