Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI wanna get better, have fun with me, okay ? Pruron - Page 2
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I wanna get better, have fun with me, okay ? Pruron

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J'avais besoin de respirer et de me dégourdir les jambes, après avoir passé plus de 10 heures enfermé avec les autres, je voulais me changer les idées, m'éloigner un peu de tout le rafus.

Je partis nous chercher quelque chose à boire, c'était difficle à croire, que nous puissions au moins profiter de la présence d'une machine à café, les choses banales de la vie vous manque vraiment dans une situation comme celle-là. Certes, ce n'était pas le meilleur café du monde, mais du moins, c'était meilleur que leurs médicaments amers qui me bousillaient l'estomac.

C'était horrible que de penser que je venais à peine de revenir, pour me faire de nouveau embarquer dans ce truc, pourquoi moi ? Pourquoi toujours moi ?

Je devais cesser de me sentir visé par tous les mauvais sorts que les gens jettaient dans le monde, parce qu'à ce rythme là, je ne sortirais bientôt plus de chez moi.

Je tendis à Prue son café avec un sourire.

"cesse un peu de te préoccuper de moi;" lui ordonnais-je.

"Toi, tu es aussi malade, pense d'abord à toi, c'est vraiment gentil de ta part, mais je suis un grand garçon."

Je me rapprochais d'elle comme tout à l'heure, sauf que je me sentais plus à l'aise.

"je voulais te voir" lançais-je. "non, j'avais en fait besoin de m'isoler, je ne pouvais pas descendre, alors je suis monté et je suis tombé avec toi, alors tu comprends, je me sens plutôt chanceux"
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"cesse un peu de te préoccuper de moi" dit-il en me donnant mon café que j’acceptais avec un sourire. "Toi, tu es aussi malade, pense d'abord à toi, c'est vraiment gentil de ta part, mais je suis un grand garçon." C’est ce que tous les hommes disaient aux filles pour se faire passer pour des hommes forts, mais tous les humains avaient des faiblesses. « Les grands garçon ont besoin d’être épaulé de temps en temps » Je disais ses mots en buvant une gorgée de café. Il était infect, mais c’était déjà ça. J’avais l’impression de boire un article de luxe après toutes ses journées passés ici à ne manger que des choses immondes. "je voulais te voir. Non, j'avais en fait besoin de m'isoler, je ne pouvais pas descendre, alors je suis monté et je suis tombé avec toi, alors tu comprends, je me sens plutôt chanceux" Il se rapprochait de moi, mais cela ne me surprenais plus. Depuis mon adolescence, j’avais l’habitude d’être proche des hommes. A tel point, que j’étais parfois mal vu par certaines de leur copine, alors que je ne cherchais pas à faire d’histoire. « Chanceux, rien que ça. » Je reprenais une gorgée de café et je posais le gobelet sur une petite table basse à côté de moi. « On ne s’est pas parlé depuis quelques temps, alors dit-moi, il se passe quoi dans ta vie ? » Parler de notre vie extérieur pourrait nous faire du bien. Cela nous permettrait de penser à autre chose. Je posais ma tête sur son épaule comme une enfant qui avait besoin de réconfort.

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Je regardais Prue avec une telle intensité, j'avais surement du être choutté au médoc, mais la présence de sa tête contre moi me fit du bien.
Sa dernière question fut comme un interrupteur dans mon cerveau, qu'est-ce qui se passait dernièrement dans ma vie ? D'ailleurs qu'est-ce que Prue connaissait de ma vie ? Pas grand-chose, j'allais pas lui exposer les 50 nuances d'Aaron Silver, ah non, ça, jamais.

D'ailleurs apparemment la chose nouvelle était que j'avais une chance de clamser dans cette hôpital.

"Ben tu sais, rien, je viens de revenir d'Australie après un break de quatre moi, maintenant je suis enfermé et peut-être condamné dans cette hôpital." dis-je sur le ton de la rigolade.

Qu'est-ce que j'avais envie de sortir, de gambader, limite j'enviais les pigeons dehors à se les geler, j'étais enfermé sans pouvoir respirer l'air frais, je me sentais condamné à une sentence à mort.

Le destin m'avait mis sur le chemin qui menait à la fin.

Que faire dans ces moments là ?

Si j'allais mourir, je ne voulais rien regretter, je finis par prendre le visage de Prue dans mes mains, certes j'avais mal à la tête, mais je savais encore viser.

Je collais nos lèvres dans un baiser langoureux, que je voulais plein de tendresse et de réconfort.
Je sentis son souffle se mélangeait au mien d'une manière excitante.

Oui embrasser quelqu'un allait me manquer si je mourais, ça s'est sûr. C'était un tel mélange fantastique, un tel feu d'artifice.

Je n'en pouvais plus. Je continuais mon exploration de la bouche de Prue, avant de me reculer.

"excuse-moi l'envie était trop forte et on sait jamais, je ne préfère rien regretter." clair, net et franc.

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"Ben tu sais, rien, je viens de revenir d'Australie après un break de quatre moi, maintenant je suis enfermé et peut-être condamné dans cette hôpital." J’aurais aimé pouvoir faire un break d’un an, mais cela n’était pas possible. Mon père se serait posé trop de question et il s’en posait assez avec la fin de mes fiançailles. « Dit pas de bêtise, tu ne vas pas mourir ! C’était bien l’Australie ? » Il ne fallait pas qu’il parle de malheur, on allait sortir d’ici. Il suffisait juste de leur laisser trouver un remède. Ce qui ne devrait pas tarder, car à notre époque, nous disposions de médecins compétents. Soudain, sans prévenir, il venait coller ses lèvres contre moi. Au début surprise, je finissais par me laisser faire. Le contacte physique me manquait et si c’était vraiment la fin, je ne voulais pas finir seule. Pensées contradictoire n’est-ce pas ? "excuse-moi l'envie était trop forte et on sait jamais, je ne préfère rien regretter ." Je me contentais d’esquisser un sourire. Il avait donc pensé à la même chose que moi. Et si jamais c’était la fin ? Non, impossible. Je ne voulais pas penser à ça. « Ne t’excuse pas. Ça fait toujours plaisir de se faire embrasser par une personne séduisante. » disais-je en riant légèrement. Aaron n’était pas un laideron et puis, je l’appréciais. Même si ce baiser ne voulait rien dire, il avait réussis à me remonter le moral. Je resserrais ma blouse autour de moi, car elle avait légèrement glissé, dévoilant mon épaule et même si l’intérieur était chauffé, cela me donnait des frissons.

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