ZAKHAR MORDACHOV ► konstantinos laios.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Rimini/Célia et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. Mais je suis une ancienne membre (dixit : Juliet, Dimitri).  ILH me manquait alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Konstantinos Laios comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Jacage. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

La demeure semblait calme, trop calme d'ailleurs, je me demandais bien ce qu'il se passait. Puis une voix oppressante envahi les lieux. « Artur, Zakhar, Feodor, Pyotr, réunion de famille. » Je me disais bien que c'était louche cette histoire. Puis, je réfléchi, un sourire se placardait sur mon visage, j'en conclu rapidement que c'était mes résultats d'admission à Harvard qui étaient arrivé en cette belle matinée. Je descendais alors, encore en caleçon, suivi de mes trois frères. Ils avaient tous un sourire débile aux visages. Je fronçais alors les yeux, regardant mes parents qui trônait au fond du salon. « Zak, tu aurai pu t'habiller tout de même ! » S'exclamait mon paternel, je fis alors une mine désolé, pour calmer le jeu. « Laisse le voyons, c'est un grand jour pour lui. » Ma mère, toujours aussi mère poule, elle s'approchait alors vers moi pour me tendre une lettre recommandé. J'avais enfin la réponse entre les mains, je paniquais tellement, d'ailleurs je me mettais à imaginer le pire. Je regardais la lettre, puis ma mère, puis mes frères un par un, pour finir je regardais mon père qui affichait toujours son air détaché. C'était un peu pour lui que je partais à Harvard, il voulait que je m'ouvre au monde, que je grandisse loin de cette mère trop oppressante. Il avait bien raison, j'étouffais ici, j'avais grand besoin de voir de qui se passait ailleurs. J'avais aussi besoin d'un nouveau départ, une envie d'être quelqu'un d'autre et de m'amuser tout en gardant en tête mon futur rôle d'homme irréprochable. Je pressais alors la lettre dans mes mains. « On ne va pas coucher ici princesse, ouvre cette lettre. » Pyotr, mon plus petit frère, celui qui ne ratait pas une occasion de la ramener et de se montrer. Je lui adressais une mine qui en disait long sur mes intentions, puis j'ouvrais cette lettre, doucement. Je lisais alors tout ce blabla, c'était interminable... Incroyablement interminable. Puis un cri de joie, un saut en l'air, plusieurs cries de joies, des accolades, des rires. Les portes d'Harvard m'étaient alors grandes ouvertes.

Ses cheveux blond virevoltaient dans les airs, elle était tellement belle et sa robe était à la hauteur des plus beaux films Hollywoodien. Je restais bête, planté devant elle, rien ne sortait de ma bouche. « Tu vas partir, c'est bien ça ? » J'avais un regard grave, comment pouvait-elle être au courant. Je baissais la tête, ne pouvant voir sa petite tête décontenancer. « C'est Artur qui m'en a parlé hier... Il pensait que j'étais au courant. » Elle me prit alors la main. « Zak... Je comprend que cette école te fasse rêver, que tu as un grand avenir devant toi et que ta famille t’étouffe. Mais tu penses à moi, qu'est-ce que je ferai sans toi ? » Je relevais la tête, je ne savais pas vraiment quoi répondre à ça, j'étais bien avec elle... Mais mon avenir me semblait bien plus important qu'une amourette d'adolescent. « Tu ne vas pas me dire que tu voyais ta vie avec moi ? » Elle semblait ne pas comprendre. Je voyais dans son regard de l'incompréhension, de la tristesse aussi. « Comment tu peux me dire ça ? Evidemment que je vois ma vie avec toi... je ne serais pas la à te supplier de rester sinon ! » Cette fille était trop fleur bleu, j'avais en tête de me séparer d'elle depuis plusieurs mois, mais ce départ réglait tout, c'était parfait pour mes petites affaires. « Excuse moi, je ne voulais pas dire ça, pardon. » Je pris alors sa main, je jouais mon parfait rôle d'acteur, j'avais fais ça toute ma vie. Son regard s'adoucissait. « Je ne peux pas passer à côté d'Harvard. Toi même tu l'as dis, un grand avenir m'attend. Cet établissement sera parfait pour moi. » C'était à son tour de baisser la tête, elle comprit alors qu'il n'y avait plus rien à faire. Quand j'avais un truc en tête, personne ne pouvait me faire changer d'avis, encore moins une fille comme elle.

Harvard. C'est donc ça ?! Woua, c'est immense. Ce bâtiment rivalisé clairement avec ceux de Russie, il n'y avait rien à dire. C'était parfait pour un homme de mon rang. Je m’engouffrait alors dans le bâtiment après avoir donné des nouvelles à ma mère poule, elle s’inquiétait, pour changer. Pour tout avoué, j'étais soulagé d'avoir quitté le cocon familial, même si c'était la première fois que je quittais mes trois frères.. peut être qu'ils feront bientôt leurs entrées à Harvard, qui sait. Toujours ce sourire Colgate aux lèvres, je me devais d'être impeccable, après tout c'était mon premier jour ici, ça pouvait changer toute une vie.