Un peu d'étude [Julia]

Julia était toujours en quarantaine j'avais hâte de pouvoir me promener avec elle pour qu'elle se dégourdisse les jambes. J'avais demandé aux gens qui étaient dans le même cours s'il avait des notes pour Julia elle avait besoin de se changé les idées. Je voulais aller lui porter ses notes moi-même l'infirmière ne voulait pas, mais j'ai réussis à lui faire dire oui. Je savais que Julia n'allait pas être d'humeur, mais je ne pouvais plus me passer d'elle. L'infirmière m'avait expliqué que si je voulais aller de l'autre côté de la vitrine que je devais me couvrir de A à Z. Je terminais mon cours et j'avais les notes de Julia je remerciais les filles qui me les avaient données et j'allais leur dire des nouvelles. Je me lavais rapidement enfilais des vêtements et me dirigeait à nouveau vers l'hôpital pour voir ma Julia. Cela ne m'avait pas prit de temps que j'étais déjà rendu l'infirmière m'expliquait ce que je devais faire et je fis ce qu'elle me demandait. Une fois prêt je me dirigeais à nouveau vers la chambre de Julia pour y rentrer habiller de la tête au pied. Je ne pouvais que rester quelques minutes pas plus. Je souriais et je m'adressais à la femme de ma vie :

- Je sais que tu ne voulais pas me contaminer, mais ne t'en fais pas avec ça. Voilà je t'ai apporté quelques notes pour t'occuper un peu et tu vas pouvoir prendre les notes des cours que tu as manqué. Je t'ai même amené un cahier de note avec de jolies crayons.

Je me trouvais toujours à l'hôpital et les jours se ressemblaient tous enfermée dans ces murs, je voulais serrer fort, embrasser Alex ou qu'il me fasse l'amour mais pour le moment, c'était impossible. Mais Alex m'avait promis de venir aujourd'hui alors je l’attendais avec impatience et quand je le vis entrer dans la chambre, je ne peux m'empêcher de penser qu'il allait être contaminé lui aussi, ce dont je ne voulais pas. Et bien que les médecins ont trouvés un remède pour nous guérir, à coups d'antibiotiques donc d'ici quelques jours, je pourrai sortir enfin. Quand je le vis dans une espèce de combinaison blanche, il me dit qu'avec cela, il ne craignait rien alors mon visage s'illumina et je ne peux m'empêcher de lui sauter dans les bras, je ne pouvais pas encore l'embrasser car il avait un masque mais au moins je pouvais sentir sa peau contre la mienne. Enfin, il me tendit un cahier et des crayons pour que je puisse rattraper mon retard niveau cours. Alors je lui répondit en plaisantant car sa tenue me faisait rire, bien que c'était réglementaire.

Mon amour, je t'aime et tu me fais du bien à venir ici, tu as l'air d'un comment te dire pingouin blanc dans cette combinaison. Oh tu es adorable mon coeur, tu remercieras les camarades qui t'ont passés mes cours à rattraper mais tu sais quoi, je vais bientôt pouvoir sortir, on a été mis sous antibiotiques. Mais pour l'heure, je suis encore là et c'est long d'attendre la fin de cette grippe. Et sinon la recherche de l'appartement, tu t'en sors mon amour ?

Après ce câlin tendre et amoureux malgré la combinaison de mon homme, je pris les affaires qu'il m'avait ramené et je voulais sortir au plus vite pour vivre avec lui.

Julia ne voulait pas que je contaminé il n'avait aucun danger. J'avais écouté les infirmières de A à Z. J'étais dans la chambre avec Julia tant qu'à moi j'aurais envie d'enlever ce que je portais, mais en guise de protection j'allais rester habiller comme ça. Julia s'adressait à moi en disant qu'elle m'aimait et que sa lui faisait du bien de me voir ici et que j'avais l'air d'un pingouin blanc dans cette combinaison un rire sorti de ma bouche et je m'adressais à elle et la serrant fort dans mes bras :

- C'est ma puce j'ai l'air d'un pingouin et moi aussi je t'aime

Elle enchaînait en disant que j'étais adorable que je pouvais remercier ses camarades de classes. Qu'il m'avait passer des notes de cours et qu'elle allait bientôt sortir d'ici un sourire apparut sur mes lèvres. J'allais pouvoir l'embrasser et lui faire l'amour j'avais très hâte pour être honnête. Julia poursuivait en disant qu'ils étaient sous antibiotique, mais que pour l'heure elle était encore là et que c'était vraiment long à attendre la fin de la grippe. Julia terminait par me dire si je m'en sortais pour notre appartement un sourire apparut sur mes lèvres et je m'adressais à elle :

- Oui je m'en sors plutôt bien et j'en ai vu quelques uns qui seraient intéressants pour nous deux.

Mon amour était venu me voir une nouvelle fois comme il me l'avait promis quelques jours plus tôt lorsque nous nous étions retrouvés et mis en couple, il était donc mon homme rien qu'à moi et à personne d'autre, je pouvais en devenir jalouse et possessive si une fille venait à s'approcher un peu trop près de mon amoureux. Il avait décidé de rentrer dans la chambre où je me trouvais malgré que je lui avais dit que je ne voulais pas qu'il soit contaminé mais il était habillé comme un pingouin avec sa combinaison blanche et son masque, ce qui me fit légèrement sourire. Mais malgré tout, j'étais heureuse de le voir et de pouvoir le serrer dans mes bras, ce que je m'empressa de faire mais je voulais sentir ses lèvres sur mes lèvres mais ce sera pour après cette grippe dans notre chez nous. Il me répondit qu'il ressemblait à un pingouin et qu'il m'aimait aussi alors je resta dans ses bras qui m'avaient tant manqués et lui souria. Puis après notre étreinte amoureuse, il me tendit des cours qu'il avait pu récupérer de mes camarades ainsi qu'un cahier et des stylos pour que je puisse prendre en note. Alors je le remercia pour tout et lui fit savoir que j'étais en ce moment sus antibiotiques et donc que j'allais probablement sortir bientôt de l'hôpital, j'avais hâte surtout quand je vis le visage de mon bien aimé s'illuminer à cette annonce. Enfin, je lui demanda comment avançait les recherches pour notre futur appartement et il me confia qu'il en avait vu quelques uns, ce qui attisa ma curiosité espérant qu'il est des photos de ceux qu'il avait vu. Alors je lui répondit.

Bien sur mon amour que tu es mignon même avec cette combinaison et puis c'est pour éviter d'être contaminé à ton tour, bien que cela va un peu mieux depuis la dernière fois, je dois être moins pâle hein ? Oh je te remercie mon amour et promets moi de t'embrasser dès que je le pourrai pour te remercier mon coeur. Je vais enfin pouvoir me mettre à jour niveau cours et le temps passera plus vite quand tu ne pourras pas venir me voir pour le peu de temps qu'il me reste entre ces murs avant que je puisse être dans tes bras. Oui, ils nous ont donnés des antibiotiques il y a de cela 2 jours peut-être et c'est pour cela que je commence à me sentir mieux. Oh tu en as vu qui te plaisent, tu m'en as trop dit mon amour, je veux voir des photos, tu en as sur toi ? Montre moi mon amour, je veux voir.

Je lui souria d'un air plus qu'amoureuse car je voulais voir les superbes appartements qu'il avait vu pour pouvoir vivre notre amour dans un véritable petit nid douillet. Il allait se souvenir de mon côté curieux que j'avais déjà en Irlande quand je l'ai connu.

J'avais hâte de pouvoir m'établir avec la femme de ma vie. Je voulais lui demander sa main, mais le petit problème c'est qu'elle ne pouvait pas vraiment m'embrasser ce qui me désolait vraiment beaucoup. Julia s'adressait à moi en disant que j'étais super mignon avec cette combinaison un sourire apparut sur mes lèvres. C'était super parce que cela m'empêchait d'être contaminer à mon tour. J'avais hâte de pouvoir la serrer dans mes bras, mais surtout d'avoir notre petit nid d'amour. Elle me remerciait et elle voulait que je lui promettre de l'embrasser à sa sortie un sourire apparut sur mes lèvres et je m'adressais à elle :

- Oui je te le promet babe

Julia reprit la parole en disant qu'elle allait pouvoir se remettre à jours dans ses cours c'était tout ce que je voulais pour être honnête. Je n'aimais pas la savoir en retard dans ses cours parce que je savais bien qu'elle adorait ses études de droits. Elle allait en profiter pour s'avancer les jours que je ne pourrai pas venir la voir pour le temps qu'il lui restait. Elle poursuivait en disant que les médecins lui avaient donné des antibiotiques il y a deux jours et qu'elle commençait à se sentir mieux. Un sourire apparut sur mes lèvres je regardais la femme de ma vie.

- Je suis vraiment content de savoir qu'après deux jours tu te sens déjà beaucoup mieux.

Julia terminait par me dire qu'elle voulait voir des photos j'en avais pris quelques unes et je voulais que la femme de ma vie décide celle qu'elle voulait que je loue. Je sortais mon portable de ma poche difficilement, mais j'y arrivais. Je souriais à Julia et je m'adressais à  elle :

- Oui j'ai pris plusieurs clichés, mais j'aimerais que tu décide celui qui te plairait le plus dans tous ces clichés que j'ai pris.

Après ce câlin tant attendu pour moi comme pour lui, je voulais l'embrasser mais je ne pouvais pas et je sentis que lui aussi voulait mais je lui fis promettre de m'embrasser dès que je sortirais. Je savais pertinemment qu'on ferait plus que s'embrasser car je voulais sentir son corps contre le mien, j'en mourrais d'envie depuis un an. Alors j'afficha un énorme sourire car j'étais la plus heureuse avec mon amoureux que j'aimais depuis un an déjà. Puis je lui fis savoir que j'étais sous antibiotiques et il me dit en souriant qu'il était très content que je me sentes un peu. Evidemment, ce n'était pas encore la patate comme avant cette grippe car je restais fragile malgré tout. Alors je lui répondit.

Je me doute que tu es content mais je reste encore un peu fragile mais on nous a dit qu'avec les antibiotiques, dans quelques jours, on pourrait sortir, tu peux pas savoir à quel point j'ai hâte de sortir d'ici, être enfermée n'est pas fait pour moi. Et puis je veux t'embrasser et que tu me fasses l'amour moi.

Enfin, il en vint à notre futur chez nous, le nid douillet qui représentera notre amour. Il me fit savoir qu'il avait pris des photos mais je voulais connaitre tous les détails car avec des photos qui sont très utiles certes, tu ne sais pas tout d'un appartement. Je le vis sortir son téléphone alors je lui répondit.

Oui, montre moi les photos mon amour. Mais tu as cherché dans quel coin de la ville ? Je ne connais pas trop bien la ville mais proche du campus, ce serait pas mal car même si je déteste être en retard, je pourrais le devenir car je ne voudrai pas te quitter le matin, pas toi ? Je veux connaitre tous les détails des appartements que tu as vu, que ce soit le prix de la location, l'emplacement, comment tu le trouves.

Après lui avoir répondu, je vins me blottir contre lui, je ne craignais rien car il avait sa combinaison de protection alors au moins il pouvait me prendre dans ses bras à défaut de pouvoir m'embrasser et je lui souria car mon avenir amoureux semblait tout tracé avec mon âme soeur, l'homme de ma vie. Maintenant, à nous de protéger notre amour.

J'aimais bien sentir son corps coller au mien ce qui me faisait un peu de peine c'était de voir que je ne pouvais pas l'embrasser. Tant qu'à moi être contaminé ne me dérangerait pas du tout j'avais seulement hâte de sentir ses lèvres collées au mienne. N'importe quel mec ayant une copine aurait hâte de pouvoir la toucher, la caresser et l'embrasser moi j'étais comme ça et je n'étais pas prêt à changer. Julia s'adressait à moi en disant qu'elle se doutait que j'étais content de savoir qu'elle allait de mieux en mieux, mais qu'elle restait encore un peu fragile. Ils ont dit qu'avec les antibiotiques que dans quelques jours ils pourront tous sortir et qu'elle ne pouvait pas savoir à quel point qu'elle avait hâte de sortir d'ici. Je comprenais tout à fait moi à sa place je réagirais de la même façon, mais surtout du fait qu'elle était enfermée n'était pas fait pour elle. Elle terminait par me dire qu'elle voulait m'embrasser, mais surtout que je lui fasse l'amour. Je souriais à Julia et je m'adressais à elle :

- Je te comprends ma puce moi aussi j'ai hâte que tu sortes. Ce qui me manque le plus c'est de ne pas être capable de sentir tes lèvres contre les miennes, mais surtout que je prenne possession de ton corps. J'ai aussi hâte de pouvoir te faire l'amour et de sentir non deux corps ne faire qu'un.

C'est vrai la dernière fois que nous avions fait l'amour c'était en Irlande. Sa faisait un bail, mais j'avais hâte de pouvoir sentir son corps au mien. De me sentir en elle comme n'importe quelle personne qui font l'amour. Je ne faisais qui penser et j'avais hâte de lui faire l'amour partout dans l'appartement. Julia s'adressait à moi en disant de lui montrer les photos. Elle me demandait dans quel coin de la ville j'avais cherché en faite pas trop loin de l'Université. On pouvait même s'y rendre à pied, mais elle ne connaissait pas trop la ville et moi non plus d'ailleurs.

Que proche du campus ne serait pas mal du tout même si elle détestait être en retard. Qu'elle pourrait très bien le devenir parce qu'elle ne voudrait pas me quitter le matin. Un sourire apparut sur mes lèvres pour moi aussi cela serait vraiment difficile. Julia enchaînait en disant qu'elle voulait connaître tous les détails des appartements que j'avais visité le temps qu'elle était ici il en avait pas mal à vrai dire. Peu importe le prix, l'emplacement et le comment je le trouve. Je regardais Julia et je m'adressais à elle :

- Ceux que j'ai visité son proche du Campus et oui j'aurais autant de misère à me lever, mais moi non plus je n'aime pas être en retard. Au moins ce qui est plaisant c'est que nous pouvons le faire à pied et c'est toujours plus plaisant marcher à deux que seul non ?

J'avais vraiment hâte de serrer Julia dans mes bras je l'aimais tellement sa n'avait aucun sens. Cette fille me comblait complètement je suis l'un des mecs les plus heureux du monde pour être honnête. Julia s'adressait à moi en disant qu'elle avait hâte de sortir de là et de pouvoir vivre avec moi. J'avais autant hâte quelle de pouvoir vivre notre histoire d'amour. Je savais que cela allait se produire bientôt parce qu'elle allait sortir d'ici et j'avais hâte. Elle poursuivait en disant qu'elle voulait sentir nos deux corps l'un contre l'autre dormir auprès de moi et de vivre tout simplement avec moi.

Un sourire apparut sur mes lèvres j'avais hâte je voulais lui faire ma demande, mais je savais qu'elle ne pouvait pas m'embrasser. Julia s'adressait à moi en disant qu'elle m'avait tant attendu et depuis un an elle n'avait plus envie de me quitter et moi non plus d'ailleurs. Elle poursuivait en disant d'accord avec le fait que j'ai cherché des appartements près du Campus et que c'était mieux marcher à deux que marcher seul pour se rendre en cours même si elle n'avait pas encore vécue à l'extérieur du Campus moi non plus d'ailleurs cela allait être nouveau pour nous deux.

Julia s'adressait à moi en disant combien il coûtait ce loft là par mois ce n'était pas vraiment cher 450 $. Elle enchaînait en disant qu'il était magnifique et s'il se trouvait proche du Campus pour être honnête oui il était proche du Campus 10 minutes de marche. Elle terminait par me dire qu'il ne serait pas parfait pour leur amour je regardais la femme de ma vie et je m'adressais à elle en souriant pour ensuite me mettre à genou devant elle:

- Il coûte 450 $ par mois si tu le divise en deux sa ne coûterait que 225 $. Sérieusement je trouve qu'il en vaut la peine et c'est 10 minutes de marche pour se rendre au Campus. Je voulais attendre avant de te le demander, mais je ne suis pas capable d'attendre donc je me lance. Julia Delcroix si je suis ici aujourd'hui c'est pour te demander quelque chose qui me tien à cœur donc Mademoiselle Delcroix voulez-vous faire de moi l'homme le plus heureux du monde en acceptant de devenir ma femme ?

J'avais tant espérée vivre avec lui notre belle histoire d'amour digne des contes de fées qu'à l'heure actuelle, je vivais comme dans un rêve éveillée et je n'étais pas au bout de mes surprises car j’étais loin de me douter de la surprise que mon homme me préparait. Je lui fis savoir que je voulais sortir pour qu'on puisse faire l'amour, s'embrasser et tout faire ensemble, ce fut le cas pour lui aussi. Pendant un an, j'ai vécu pour mes études à Paris mais avec toujours dans l'espoir de revoir mon bel américain et je me trouvais dans ses bras en ce moment même et qui plus est, notre amour d'Irlande était resté intact. Puis je lui demanda en lui montrant la photo combien coutait ce loft et il m'informa qu'il se trouvait à 10 minutes du campus pour la modique somme en location de 450 dollars, soit 225 dollars à partager à deux.Trouver un appartement digne de ce nom pour pas cher et proche du campus, il devait y avoir une coquille mais même pas en voyant les photos. Alors je lui répondit.

Que dis tu mon amour que l'on prenne celui là ? Il nous plait à tous les deux, il est pas trop cher et pas loin du campus, juste parfait non ?

Enfin, je vis mon homme se mettre à genou et me dire qu'il ne pouvait pas attendre puis il commença par me demander si je voulais faire de lui le plus heureux de tous les hommes en acceptant de devenir sa femme. Mon rêve éveillé ne voulait plus s'arrêter je crois, mon rêve de vivre avec Alex pour toujours devenait de plus en plus concret avec l'appartement et cette demande en mariage surprise mais romantique à souhait. Alors je le fis se relever, lui baissa son masque et posa mes lèvres sur les siennes en guise de "oui" avant de lui répondre.

Mon amour, je te dis oui et encore oui, je t'aime. Je veux devenir madame Weeber et être la mère de nos futurs enfants. Je t'aime, je t'aime, je t'aime.

J'avais tant rêvé ce moment où il me demanderait en mariage que je n'en revenais pas trop mais j'étais la plus heureuse des femmes, je venais de me fiancer à l'amour de ma vie, que demandez de mieux ? Alors je lui souria avant de l'embrasser de nouveau amoureusement.