It's 3 AM, i'm losing sleep feat LEO

Lavender tourna la page 34 de l'ouvrage qu'elle tenait dans les mains, la théorie d'un groupuscule américain qui évoquait l'existence possible d'un virus hybride, à mi-chemin entre la grippe et la rage. Elle referma son livre d'un coup sec, ce n'était pas genre de scénario qu'elle aimait entendre. La jeune femme faisait quelques heures de bénévolat par semaine depuis que la ville avait été touchée par un mystérieux virus. Il n'existait aucun remède à l'heure actuelle et Lavender avait profité d'une soirée de libre pour essayer de creuser un peu plus sur le sujet et d'envisager toutes les hypothèses. Ses yeux commençaient à fatiguer à force de parcourir les lignes noires. Lavender laissa sa main se promener sur la page suivante, elle nota certaines expressions qui pouvaient éventuellement lui donner des pistes d'étude : hybride, saisonnier, sélection naturelle...elle ne devait rien laisser au hasard. Lavender devait rendre les livres qu'elle emprunté, dès le lendemain matin, ou la bibliothécaire risquait de lui en faire voir de toutes les couleurs. Par réflexe, Lavender fouilla dans son sac à main pour récupérer son téléphone portable et en profiter pour prendre quelques clichés mais elle avait beau farfouiller dans tous les sens, sa main ne rencontra pas l'objet tant espéré. La Quincy sortit en trombe de sa chambre d'étudiante et pressa le pas dans les couloirs de la maisonnée. Elle franchit les portes d'entrée de la faculté, qui n'était que peu fréquentée à cette heure-ci. Quelques lumières restaient toutefois allumées dans les couloirs, preuve que certains étudiants révisaient encore. A droite, la deuxième à gauche puis la porte du fond. Lavender se retrouva devant l'imposante porte en bois qui donnait sur l'amphithéâtre B. La porte grinça légèrement lorsqu'elle entra; et elle soupira de soulagement en remarquant que la salle n'était pas fermée. Plissant les yeux pour se remémorer à quelle place elle se trouvait lors du cours de biologie appliquée du matin même, un éclat brillant attira son regard. Son téléphone trônait sur une table, au deuxième rang.

Une dure journée temps appréciée par le jeune professeur. Huit heures de cours de théâtre et des étudiants toujours aussi fortement créatif. J'avais tous eu aujourd'hui. De l'étudiant maladroite et stupide en passant par celui qui ne manque pas d'imagination et pour finir c'est qui vient en cours juste pour roupiller. Avec tout ça inutile de vous dire que l'on ne s’ennuie pas une seule seconde. Ma journée était presque terminée, il ne me restait plus qu'a faire le tour d'une seul salle. C'était pour moi un de ses rituelle quotidien. Histoire de voir si les femmes de ménage on bien fait leur boulot? récupérer quelque objet de valeur? réveiller un éventuelle étudiant endormi? je ne savais pas moi même a vrai dire parfois on fait des chose sans même y réfléchir et c’était souvent mon cas.
Je me pose alors au premier rang sur l'un des siège rouge que je venais de déplier l'assise pour pouvoir y poser mes fesses. Puis pose ma tête sur le haut du dossier et ferme les yeux.
Est ce comme ceci que l'on peut trouver un semblant d'inspiration? ... oui enfin c'était mon cas. fredonnant un aire de musique venant d'une chanson que j'appréciais temps, changer de maitre Gims, je faisais totalement abstraction de tout ce que pouvait se passer autour de moi et imagine toutes sorte de scène, image, et autre faisant travailler mon imagination.

Lavender resta quelques instants au centre de l'amphithéâtre, peu habituée au silence que dégageait les lieux. Ce matin, la salle était encore pleine à craquer d'étudiants de troisième année, qui bricolaient avec leur stylo quatre couleurs, tapotaient discrètement sur leur téléphone tactile ou laissaient leurs mains courir sur le clavier de leur ordinateur portable. Mais ce soir, les lumières lui paraissaient d'une faible intensité, presque irréelles. Elle devait faire vite, elle se doutait bien qu'aucun étudiant ne devait être en droit de trainer tard dans les locaux de la faculté. Lavender grimpa les marches centrales qui lui permettraient d'accéder à la deuxième rangée de sièges. La salle paraissait dix fois plus grande lorsque les sièges étaient vides, comme laissés à l'abandon. La jeune femme touchait au but, elle slaloma entre les tables et parvint au niveau de son téléphone portable, qui gisait intact sur la surface plane de la table. Il n'avait pas bougé d'un centimètre depuis qu'elle laissé ici, sans surveillance, en quittant son cours de biologie appliquée du matin. Elle eut un soupir de soulagement et un petit sourire satisfait naquit sur son visage. Lavender récupéra son bien et entreprit de faire demi-tour lorsqu'une voix d'homme résonna dans la salle. Pensant qu'il pouvait s'agir d'un surveillant ou d'un garde de nuit, Lavender se baissa instinctivement. Elle était ainsi invisible aux yeux d'un quelconque visiteur, dissimulée derrière la deuxième rangée de siège. Ses genoux touchaient terre et elle ne pourrait pas rester longtemps dans cette position inconfortable. Après tout, elle n'avait rien à se reprocher, pourquoi agissait-elle donc comme une enfant effrayée ? Lavender se releva progressivement et jeta un oeil en bas de la salle pour apercevoir un homme affalé au premier rang, sifflotant un air de musique qui lui était inconnu. Elle avança sur la pointe des pieds et déboucha sur l'escalier central qu'elle descendit avec autant de précaution. La porte d'entrée était restée ouverte et le regard de la jeune femme ne cessait revenir vers l'homme qui, pour une raison inconnue, avait peut être décidé de passer la nuit ici ou juste de faire un pause dans des révisions. Etait-il étudiant ? Enseignant ? Lavender n'aurait pas su lui donner d'âge puisqu'elle ne voyait que le haut de son crâne. Alors qu'elle n'était plus qu'à quelques mètres de la sortie salvatrice, la porte émit un étrange grincement et un bruit caractéristique de clé annonça la fermeture de celle-ci.
- Attendez ! lança Lavender au gardien ou à la femme de ménage qui devait certainement penser que la salle était vide. Il y a du monde, ne fermez pas ! La jeune femme se rua sur les lourdes portes et tira sur la poignée de toutes ses forces. Trop tard, elle était enfermée.

Assis sur mon siège au premier rang, j’ouvris un oeil car j'entendais du bruit derrière moi. Cela devait être la femme de ménage ou un gardien je présume, sans même me retourner je referme l’œil précédemment ouvert puis dit d'une voila assez forte.
ne fermez pas la porte je le ferais moi même lorsque j'aurais finit de préparer mon cours suivant. Demain je n'ai pas cours et j'allais pouvoir passer la journée avec ma fille. D’ailleurs ça me fait penser que je dois contacter sa nounou. Je pris alors en main mon téléphone qui se trouvait dans la poche de mon jeans puis ouvrit les oeil et redressa la tête afin d'envoyer un sms. Il fallait que je l'a prévienne que j'allais rentrer plus tard ce soir et surtout rassurer Abby ma fille que je pensais fort a elle. Depuis la mort de sa mère Abby et moi somme encore plus proche qu'avant, pour moi ma fille c'est mes deux yeux je ne pourrais vivre sans elle.
Puis je me retourne brusquement, car une voix féminine et paniquée retentit dans toute la salle. Visiblement je m'étais trompé ce n'était pas la femme de ménage ni le gardien.La porte venait de se refermée, une blague? ou une réalités? j'en savais rien. Ce qui était sur c'est que j'avais les clé de la salle sur moi. mon téléphone retentit dans la salle, c'était la réponse de la nounous de ma fille qui me répondit ok. je range alors mon téléphone dans ma poche puis me lève et monte sur la scène et regarde la jeune femme au fond de la salle paniquée de rester enfermée ici et cela me fit sourire. non pas par ce qu'elle était affolée mais par ce que ci elle savait que j'avais les clés.....

Si'l y avait un sentiment que Lavender redoutait plus que tout, c'était bien l'impuissance, le fait de ne pas maitriser le cours des choses. La jeune femme n'était pourtant pas contre les surprises, du moment qu'elles étaient bonnes ! Elle se sentit un peu gênée, ainsi enfermée au milieu beau d'un amphithéâtre vide, au milieu de la nuit. Les premières questions fusèrent dans son esprit légèrement embrouillé, y avait-il d'autres sorties possibles, pouvait-elle appeler un camarade Quincy qui se chargerait de venir la chercher...mais seulement le hic restait le même. Seul le corps professoral et les gardiens de nuit possédaient les clés de la faculté. Elle risquait donc de rester quelques temps enfermée avant qu'un membre de l'école ne vienne la sortir de ce pétrin. Elle jeta un regard faussement mauvais à son téléphone portable, qui brillait de mille feux dans sa main droite. Si seulement, elle ne l'avait pas oublié sur sa table ce matin, rien de tout cela ne lui serait arrivé. La jauge de batterie de son téléphone était au plus bas, l'appareil émettait de faibles vibrations par moment indiquant que le niveau de charge était insuffisant. D'ici une heure tout au plus, son téléphone serait donc hors d'usage. Lavender en pris son partie, après tout, c'était elle qui s'était mise dans cette situation, c'était donc logiquement à elle de trouver une solution. Elle aurait dû se douter que c'était risqué de se promener dans les couloirs de la faculté à une heure tardive, comment le gardien de nuit aurait-il pu imaginer l'espace d'une seconde que l'amphithéâtre abritait, non pas un étudiant, mais bien deux ! Même si Lavender avait des doutes sur l'âge de l'homme qui s'était assoupi deux rangs plus loin. La voix du jeune homme lui avait semblé viril un peu plus tôt, elle lui aurait donné quelques années de plus qu'elle. Qu'allait-il penser de sa présence ici ? Risquait-elle une sanction ? Le téléphone du jeune homme sonna et Lavender le vit se lever de sa chaise...il se dirigeait vers elle ! Contrairement à ce qu'elle avait imaginé, il n'avait pas l'air méfiant, ni même contrarié, peut être juste surpris en la découvrant ici. Lavender lui lança un sourire un peu crispé. "On est enfermés je crois...vous auriez quelqu'un à appeler pour nous dépanner ?" Lavender lui montra son téléphone, qui était sur le point de s'éteindre faute de batterie suffisante, "je revenais juste pour chercher le téléphone que j'avais oublié en cours...je crois que j'ai choisi le mauvais jour." termina Lavender avec humour.

parfois la vie réserve des surprises, ce soir j'étais plus ou moins gâté enfin si on peut dire car me retrouver enfermé ici, en charmante compagnie je suis sur que beaucoup d'homme aimerais être à ma place. Un instant je fis en sorte de ne pas montrer mon inquiétude en même temps j'avais en ma possession les clés des salles de cours ...enfin normalement. Pour le moment j'étais plus occuper de faire le pitre sur la scène imaginant plein de scénario pour mes prochains cours. De nombreuses idée me venais et je ne privais pas de les jouer avec des gestes et paroles n'ayant aucun regard pour la présence féminine dans la meme pièce que moi. Puis mon téléphone sonne. Je stop alors mon cirque puis décroche. oui Abby , oui moi aussi, tu es sage, je rentre très vite ne t'inquiète pas, papa finit de préparer le prochain cours puis demain on passe la journée rien que tous les deux promis.... Oui promis jurée... Je t'aime aussi petit cœur .. puis raccroche. Je saute alors en bas de l'estrade puis me dirige vers mes affaires pour les prendre en mains. Je fouille mes poches me rendant compte que mes clés ne se trouvait plus dans mes poches. Et merde. Ou pouvait bien t'elle être. Puis la jeune femme se trouvait devant moi et me communique son inquiétude . et bien habituellement j'ai les clés mais on va dire que... je réfléchissais dans ma petite tête ou pouvais bien être ses foutu clés. et bien à vrai dire j'ai aucun contact dans mon téléphone qui peut venir ouvrir cette porte. Et puis l'issu de secourt à été récemment condamnée. je me laisse alors tombé assis sur le siège à mes côté soupirant. habituellement j'ai toujours une idée pour me sortir de n'importe qu'elle situation et la ... Je suis comme,à cours d'imagination. dis je soupirant de nouveau pensant à ma fille qui attendait mon retour à la maison.

Lavender était tiraillée entre deux sentiments : paniquée ou être rassurée de la présence d'un autre étudiant dans la salle aux moments des faits. S'imaginer seule dans un amphithéâtre vide pendant plusieurs heures, Lavender n'osait même pas y penser, surtout avec un téléphone déchargé. Comment de temps aurait-elle patienté ainsi, sans pouvoir joindre qui que ce soit ? Lavender cacha sa gêne derrière un sourire de circonstance, il était inutile de s'en faire une montagne alors que la porte était seulement fermée depuis quelques minutes. Peut-être que la femme de ménage était encore à proximité et pourrait les entendre s'ils l'appelaient assez fort, mais c'était seulement un peut-être...Lavender suivit du regard l'homme qui avançait au milieu de la pièce, elle s'était donc trompée, il ne se dirigeait pas vers elle mais vers l'estrade ! L'avait-il seulement vue ? Il ne pouvait en être autrement, elle était au beau milieu de l’amphithéâtre, les bras ballants. Il prit la parole d'une voix théâtrale et commença à mimer des personnages en tout genre, comme s'il s’entrainait pour une pièce. Etait-il étudiant en art dramatique ? Un sonnerie se répercuta sur les murs de la salle de cours, tout semblait amplifié. "Papa?" questionna une voix d'enfant, quel étudiant avait l'âge d'être parent ? Etait-il seulement étudiant après tout ? Lavender songea à Nevada ou Roxanna, deux amies qui avaient à peu près le même âge qu'elle et qui pourtant avait déjà commencé à fonder leur propre famille. Si seulement Lavender avait la chance de faire de même dans quelques années, si Casey était toujours à ses côtés...Lavender arqua les sourcils, réellement surprise par ce qu'elle venait d'entendre. C'était un enseignant évidemment, qui d'autre pouvait conserver un double des clés ! Les informations s’enchainaient trop rapidement et l'esprit de l'étudiante était en ébullition. Elle récapitula "Donc en temps normal, vous avez un jeu de clés, mais pas ce soir. Et jusqu'à présent, il y avait une sortie de secours, mais vous me dites qu'elle a été condamnée il y a peu...". Lavender commençait à avoir des doutes concernant sa nuit de sommeil, ça sentait la veillée nocturne. "Vous n'auriez pas le numéro de l'accueil, du gardien ou du doyen en cas d'urgence ?" Lavender savait qu'elle en demandait trop et elle en avait même oublié de se présenter ! "Excusez-moi, je suis Lavender. Une étudiante en biologie qui...est enfermée dans un amphithéâtre en pleine nuit avec vous !" enchaina la brune avec un sourire.

A y réfléchir c'est tout de même pas de chance de se retrouver la ici en plus j'ignorais combien de temps cela allait encore durer. J'avais des projet avec ma fille et le fait de restait ici enfermait me faisait penser que tout allait tomber a l'eau. La jeune femme récapitule alors ce que je venais de lui dire. oui c'est bien ça, j'arrive même a me demander ci cela n'a pas était calculé d'avance. plissant le front je me demandait si cela n'était pas une de ses méchantes blague qui mettait adresser. Mais bon je ne suis pas du tout du genre a paniquer ni a m'énerver bien au contraire je me réfugie le plus souvent dans l'humour même si cela est parfois pas très apprécié mais j'étais ainsi et le jugement des autre envers moi je m'en moquais fortement. Je suis très mauvais cambrioleur, et les épingle a cheveux sont devenue si démodé, qu'il va être très difficile de se sortir d'ici par nos propre moyen dis je en me rapprochant de la porte .Je regardait trop la télé moi déverrouiller une porte avec une épingle a cheveux mais bien sur .... Puis la demoiselle me demande si je ne peut pas prévenir quelqu'un et finit par se présenter. Et bien désolé de te décevoir mais je n'entretient pas de très bonne relation ici je suis ce genre de prof qui ne pratique pas l'autorité par la force mais plutôt par l'humour et les règlement de bonne conduite ce n'est pas trop mon fort et donc ma façon de faire ne plais pas au collègue qui ne comprenne pas que la manière forte ne sert a rien. J'étais le genre de prof rebelle beaucoup plus proche de mes élèves que de la direction de l'établissement ainsi que le corps professoral Tu l'a surement compris ou le sais déjà, je suis prof de théâtre Monsieur Timber ... enfin Léo quoi !! dis je en me retournant vers elle lui adressant un sympatrique sourire.

La présence d'une tierce personne à ses côtés la rassurait, elle ne se serait pas sentie de rester seule dans un amphithéâtre vide pendant plusieurs heures. Quelqu'un se serait-il inquiété de son absence ? Celle-ci serait certainement passée inaperçue puisqu’elle n'avait pas encore de colocataire dans sa chambre d'étudiante. Elle aurait dû attendre le lendemain matin qu'un enseignant signale son absence en cours pour que les esprits commencent à se pencher sur la question. Lavender jeta un coup d'oeil à sa montre, il était 20h40, pas de quoi s'affoler donc puisque sa nuit n'était, techniquement du moins, pas encore commencée. Elle songea au devoir de biologie qui l'attendait en début de semaine prochaine, ses révisions allaient devoir attendre. Lavender ne put s'empêcher de sourire en attendant les propos du (supposé) enseignant qui lui faisait face. Il fallait dire qu'ils avaient joué de malchance ce soir. Ma vie pour un portable..pensa Lavender en regardant le sien se décharger à petit feu. Elle se rendait bien compte qu'elle était dépendante de son engin électronique pour obtenir des nouvelles de son entourage, elle s'en séparait donc rarement. "Je dirais même que cela a été trop bien calculé, puisque ça a marché !"; Lavender l'élève assise au premier rang, se retrouvait à présent enfermée dans une salle de cours à la nuit tombée. Quelle ironie du sort. Un rire franc s'échappa des lèvres de la jeune femme, "Et puis, c'est dommage, je n'ai pas d'épingle à cheveux pour faire le test !"; Lavender devait reconnaitre qu'elle s'était toujours demandé comment il était possible de déverrouiller une serrure avec un mince lien de ferraille. "On peut dire que ça tombe bien, étant donné que je ne devrais pas être dans les locaux à cette heure-ci. Je suis rassurée que vous soyez davantage dans le dialogue puisque je venais juste récupérer mon téléphone !" dit-elle en agitant la main renfermant son cellulaire. "Pour un premier contact c'est original, Mr Timber !" Devait-elle l'appeler Léo comme il l'avait indiqué ? Elle préférait conserver une certaine distance, c'était un enseignant et pour rien au monde, elle n'aurait voulu lui manquer de respect sous prétexte qu'elle s'est enfermée dans une classe avec lui. "Cela vous arrive souvent...de rester tard dans les amphi, je veux dire ? "

Il n'y avait plus grand chose a faire visiblement alors je m'éloigne de la porte d'entrée de la salle de cours. La jeune femme me fait comprendre que cette situation avait était même trop calculé d'avance ce qui me fit sourire et je dit en portant une main sur mon torse. Il est vrai que l'on pourrait dire que j'y suis pour quelque chose, les fait sont contre moi je l'avoue mais pour une fois j'ai rien avoir la dedans je t'assure. Je me justifiait sur le fait de ne pas être coupable mais elle ne m'avait pas encore accusé il me semble. Puis elle parle de l'épingle a cheveux, ce truc me fait un peut sourire car selon moi c'est les grand mere qui porte ça, j'ai toujours vue ce genre de truc pour tenir leur vieux cheveux crépu mais il se peut bien que certainement jeune femme en porte aussi ... a vérifier... Ma grand mère aurait était la elle aurait pu nous aider j'en suis sur. Mais la ou elle est je doute qu'elle puisse être notre sauveuse. Puis elle se justifie d'etre encore dans les locaux. Je hausse les épaules l'aire de dire cela ne me regarde pas. Ce n'est pas moi qui va te réprimander tu sais, je ne suis pas gardien et puis je me vois mal dire c'est pas bien de trainer dans les salle de cours seul le soir j'y était moi aussi. Les règlement de bonne conduite était pas mon fort je faisais bien souvent infraction au règlement... quel exemple pas vrai... Puis elle me pose une question Oui j'aime me retrouver seul après mais cours, faire le vide, et puis ça m'aide a trouver de l'inspiration pour mes prochain cours. Être seul c'est ne pas recevoir de critique, ne pas devoir rendre compte a qui que ce soit mais la solitude me tuera un jour j'en suis sur. Dans mes parole je m'égarais un peut vis a vis de la question qu'elle m'avais posé et je me suis très vite rendu compte. enfin bref.... dis je en soupirant.