(Flashback) Oups, mauvaise salle ... [PV]

Il était 16h00 et Will avait fini sa journée de cours un peu plus tôt que prévu. Un de ses profs ne faisait pas cours aujourd’hui, il avait annulé pour se concentrer uniquement sur quelques élèves. Will faisait partie de ses élèves, en fait quelques élèves du cours de politique pouvaient participer à un concours national pour rencontrer le président des Etats Unis. Le concours consistait à écrire une sorte de mini thèse sur les enjeux politique des élections qui allait avoir lieu dans les mois à venir. Le professeur avait donc convoqué Will pour lui parler de sa thèse et l’aider à corriger quelques petits trucs.

Will se dirigeait vers donc d’un pas confiant vers la salle de classe dans laquelle son prof lui avait donné rendez-vous. Il arriva devant la salle en question et frappa avant d’entrer. Mais une fois à l’intérieur il ne vit personne ; son professeur devait être un peu en retard. Pour l’attendre il fit le tour de la pièce s’amusant à regarder par les fenêtres mais au bout de quelques minutes toujours personne. Du coup il sorti tout son petit dossier en relisant quelques trucs et en étalant les différents papiers sur le bureau du prof. Dix minutes plus tard toujours personne, il regardait sa montre et commençait à s’impatienter, finalement la porte s’ouvrit enfin et quelqu’un rentra. Mais au lieu de voir rentrer son prof quinquagénaire et un peu bedonnant il vit une superbe femme au corps parfait. Soit il s’était trompé de salle soit il avait des hallucinations, il ne put s’empêcher de jeter un petit coup d’œil à la jeune femme qui venait d’entrer, il avait du mal à savoir si c’était une étudiante ou un professeur. Elle avait l’air plus âgé que lui mais elle faisait également si jeune pour une prof et surtout elle était bien trop jolie et trop bien faite pour enseigner. Il la laissa s’installer puis se décida enfin à lui parler …

Bonjour mademoiselle, je suis désolé de vous demander ça mais vous ne vous seriez pas trompé de salle par hasard ?

"- Non, pas du tout. C'est la classe de design de mode. C'est vous qui devez vous être trompé, Monsieur... ?" « Monsieur » un sourire se dessina sur les lèvres de William, il n’aimait pas qu’on l’appel Monsieur mais cette fois ci ça le fit sourire. Apparemment il s’était trompé de salle mais bon ce n’était pas bien grave maintenant qu’il était face à cette prof sexy, il était bien content de s’être trompé.

Vous pouvez m’appeler William Madame … je ne suis qu’étudiant …

A ce moment il se demanda pourquoi il n’avait pas choisi design de la mode comme cours, même s’il s’en foutait il aurait eu une prof canon à observer pendant le cours. Alors qu’il parlait avec la prof il ne put s’empêcher d’avoir des idées quelques peu salaces, elle était tellement bien foutue en même temps, quel mec n’y aurait pas pensé. Et puis elle l’observait comme lui la regardait, elle l’encourageait dans ses pensées un peu coquine.

" Je suppose donc que vous n’étiez pas venu me voir pour une question ? Et que je ne peut pas vous être utile ?"En effet elle ne pouvait pas l’aider, du moins elle ne pouvait pas l’idée pour les cours mais il aimerait bien qu’elle l’aide pour autre chose. Il fallait qu’il trouve un moyen soit de rester et de gagner du temps ou alors pour amener la discussion sur un sujet un peu plus intéressant.

Malheureusement non, ce n’était pas vous que j’étais venu voir et vous ne pouvez pas m’aider pour mon cours. Mais je me dis que j’ai bien fait de me tromper de salle maintenant que je vous vois …

C’était un peu cash et direct mais bon, elle n’était pas sa prof donc il ne la recroisera pas de sitôt, au temps y aller franco et jouer cartes sur table. Peut-être qu’elle avait quelques idées et pensées coquines elle aussi sait-on jamais …

Alors qu’il venait de parler à la professeur, Will se dit qu’il avait peut être fait une boulette en lui disant ça, elle allait surement deviner à quoi il pensait. En même temps elle le provoquait un peu ; même si ce n’était pas volontaire, était-elle obligée de s’asseoir comme ça sur le bureau ? Et puis il la voyait bien le dévisager, enfin elle s’intéressait plus à son corps d’athlète qu’à son visage. Peut-être que c’était réciproque, peut être que lui aussi lui faisait un petit effet. Quand elle lui dit qu’elle était professeur et que c’était contraire à l’éthique il rigola. Elle avait donc bien lu dans ses pensées et interprété ses paroles. Mais elle laissait trainer un peu sa voix en lui répondant, comme si elle lui répondait quelque chose de sérieux mais qu’elle s’en fichait un peu, peut-être avait-elle réellement envie de lui.

« Oh vous savez, moi et l’éthique de l’école, ça n’a jamais été le grand amour ».

C’était une manière polie de dire qu’il s’en fichait royalement et qu’il voulait juste prendre son pied avec elle. Pourquoi est-ce qu’il ne pourrait pas coucher avec elle ? Il était plus que consentant et cet éthique à deux balle devrait le privé d’une femme aussi belle sexy que cette professeur ? Fuck l’éthique alors !! Ils se seraient rencontrés en dehors du campus, il n’aurait pas su qu’elle était prof et elle n’aurait pas su qu’il était étudiant et s’ils s’étaient plu ils auraient couché ensemble sans rien savoir. Mais pour le moment ils étaient loin d’avoir couché ensemble, ils parlaient juste et flirtaient gentiment si on pouvait appeler ça comme ça. Elle lui demanda ensuite pourquoi il avait bien fait et qu’est-ce qu’il avait en tête …

L’avantage de m’être trompé de salle c’est que je suis tombé sur vous plutôt que sur mon prof plus tout jeune et un peu grassouillet, vous êtes beaucoup plus jolie et avez des formes beaucoup plus agréables à regarder que les siennes. Mais je n’ai aucune idée qui me trotte dans la tête madame, pourquoi me demandez-vous ça ?

Il n’allait quand même pas lui répondre « j’aimerais bien vous prendre sur le bureau s’il vous plait madame » et puis il voulait qu’elle parle un peu plus, il n’allait pas se griller auprès d’elle sans qu’elle se mouille un peu auprès de lui.

Will et la prof discutait tout en se chauffant gentiment l’un l’autre. Puis elle fit tomber un dossier par terre, il la soupçonnait d’avoir fait exprès mais quand il la vit se pencher pour le ramasser il en était sûr, elle l’avait fait volontairement histoire de l’allumer un peu plus et de passer un cran au-dessus. Mais il ne refusa pas le spectacle qui s’offrait à lui, bien au contraire, le temps qu’elle ramasse tous les papiers à terre il avait le temps d’en profiter. D’où il était, il pouvait voir son petit cul serré dans la jupe de son tailleur, jupe qui était légèrement remonté quand elle s’était baissée et qui laissait deviner le porte jarretelle qu’elle portait en dessous. Elle avait l’air d’avoir un arrière train magnifique mais il voulait aussi voir le reste alors l’air de rien il se dirigea vers sa propre paperasse qui se trouvait sur une table juste en face d’elle et commença à la ranger. D’ici il avait une vue parfaite sur son décolleté et sur son assez opulente poitrine, elle était bien équipé il fallait l’avouer. Elle était tellement bien fournie d’ailleurs que sous la pression de sa poitrine un bouton de son chemisier sauta et un bout de son soutien-gorge apparut ; plus ça allait et moins il regrettait de s’être trompé de salle. Puis elle se releva et s’approcha de lui, elle s’approcha tellement qu’elle se collait carrément à lui pour lui murmurer qu’elle était d’accord avec lui et qu’elle était tenté de faire ce à quoi il pensait. Il se demanda un cours instant si elle jouait avec lui ou si elle était sérieuse puis finalement il se décida à lui répondre …

Tenté par quoi Madame … ?

Il laissât trainer sa phrase pour qu’elle lui dise son nom. Puis comme par réflexe il plaça ses mains sur sa taille. Il ne fit même pas attention au fait qu’elle était professeur, il voyait juste une femme aux formes magnifiques qui était collé à lui, avec ses seins touchant son torse. Puis il remonta ses mains vers le chemisier à moitié déboutonné de la prof puis lui dit …
Laisser-moi vous aider à vous rhabillez dans ce cas là …

Sauf qu’au lieu de lui reboutonner son chemisier il avait mis ses doigts sur le bouton d’en dessous et le fit sauter doucement en regardant la prof droit dans les yeux. Puis il en fit sauter un autre, plus ça allait et plus la poitrine de la professeur se dévoilait à lui, encore deux boutons et son chemisier serait encore complètement ouvert. Il s’attaqua au troisième bouton attendant la réaction de la jeune femme avec envie …

Alors qu’elle chauffait Will, d’un coup la prof lui dit qu’elle était tentée pour lui mettre une heure de colle. Il s’en fichait bien, il n’avait rien fait qui méritait qu’elle le colle, c’était l’inverse et puis on n’était plus au lycée, les heures de colle ça n’existait pas à l’université, du coup il ne releva pas loin de là. Il commençait alors à déboutonner le chemisier de la professeur mais elle lui dit qu’ils ne pouvaient pas et qu’elle n’était pas comme ça, pas du genre salope … ça le fit sourire de l’entendre dire ça. Une insulte qui sortait de la bouche d’un prof ça restait rare et puis il ne pensait pas du tout à ça. Il la voyait juste comme une femme qui voulait profiter de l’instant présent mais elle avait l’air un peu plus prude que ça finalement ou alors elle jouait avec lui.

Pourquoi on ne peut pas ? Je pensais qu’on était sur la même longueur d’onde pourtant …

Il l’avait pourtant rassuré un peu plus tôt en lui disant que l’éthique il n’en avait rien faire mais apparemment ça ne suffisait pas. Peut-être avait-elle juste besoin d’un peu plus d’aide pour se laisser aller. Du coup il tentait une dernière approche, après il devrait arrêter sinon elle allait porter plainte pour harcèlement sexuel pensa il en rigolant. il s'approcha d'elle en reposant ses mains sur ses hanches ...

Pourquoi dites-vous ça ? Je ne vois pas en quoi le fait de coucher avec un homme fait de vous une salope … je vois plus ça comme une femme qui profiterait de la vie et qui se fait plaisir. Ou alors vous n’avez pas du tout envie de moi, vous pouvez me le dire madame … d’ailleurs comment vous appelez vous ?

Ça le dérangeait de connaitre ni son nom ni son prénom, il essayait de coucher avec une fille et il ne connaissait même pas son nom …

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