Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityUn jolie sourire pour monsieur Norrington pv AIDAN (a) - Page 2
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Un jolie sourire pour monsieur Norrington pv AIDAN (a)

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→ JACKIE AND AIDAN



Je cachais mon enthousiasme face à cette annonce. J'affichais un mince sourire qui finalement cachait une joie profonde. Je n’avais jamais cru au couple, June & Aidan. « Eh oui comme l’air ! » La liberté. Il n’y avait finalement rien de mieux. Mon sourire s’accentua et je lui fis un petit clin d’œil. Je lui répondis par trouvant finalement qu’il avait résumé plutôt bien la situation dans laquelle il se trouvait. « C’est mal de dire ça, mais je suis soulagé ! ». J’avais beau ne pas avoir vécu la même situation qu'Aidan, je le comprenais. Je le regardais dans les yeux et lui fis comme toujours très franchement : « Mais ça prouve que tu as faits le bon choix » dis-je en hochant la tête afin de le rassurer. Il était évident qu’Aidan avait merdé avec June. « Tu’as raison les relations libres c’est de la connerie et surtout les histoires de couples ne sont pas faites pour moi ». J’affichais un petit sourire et je mis mon épaule sur la vitre pour m’appuyer un peu. Mes jambes commençaient à devenir fibrille. La fatigue peut-être. « J’ai toujours raison Norrington » toujours ? Je l’espérais même si mon petit doigt me disait que non. « Je vais pouvoir recommencer à faire n’importe quoi » je me mis à rire, nous avions enfin retrouvé le bon vieil Aidan même si finalement la relation qu’il avait eue avec June n’avait pas changé grand-chose dans son comportement. J’affichais une moue en le voyant derrière ces vitres. « Enfin un peu de folie dans votre regard monsieur Norrington » dis-je en haussant les sourcils provocateurs. « Et toi Indiana, tu cherches le prince charmant ? » je me mis à sourire. Aidan connaissait parfaitement la réponse. Chercher ce n’était pas mon truc. J’aimais la simplicité et les relations sérieuses ne m’apportaient pas rare ce genre de chose. Pourtant, les choses semblaient quelque peu différentes depuis que Sam était venue dans ma chambre. Je ne répondis pas tout de suite laissant un léger petit silence entre sa question et ma réponse. Je le regardais et fis : « Je ne cherche pas non » je ne cherchais pas non mais disons que plusieurs choses avaient évolué.
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Jackie était une des rares personnes à le conforter dans son choix d'avoir quitté June. Elle était une des rares à le comprendre en même temps. Là où la plupart recherchaient l'amour, la durabilité d'une histoire, Aidan s'appliquait à la fuite en avant, à ne pas révéler ses sentiments et à ne supporter pas s'attacher. Ne vous fiez pas aux apparences, la charmante tête blonde qui lui faisait face aimait à adopter exactement le même type de comportement, du moins c'est ce qu'il croyait. Un sourire en coin arma le rebord de ses lèvres exsangues. « Ne pousse pas quand même ! Même si c'est souvent le cas, je dois bien l'avouer. » Ses iris bleutés pétillaient légèrement, dans ce que lui accordait la maladie, rendant l'ensemble tout de même un peu terne. Jackie s'appuya contre la vitre et Aidan eut un regard inquiet à la pensée qu'elle puisse être malade elle aussi. La réponse qu'elle lui fit attisa sa curiosité. Ses sourcils se haussèrent, accompagnant non verbalement son expression de surprise. « Que me caches-tu vilaine enfant ? » Un nouveau sourire éclaira de façon fulgurante son visage, mais derrière la bienveillance apparente, il était intrigué.
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" Ne pousse pas quand même ! Même si c'est souvent le cas, je dois bien l'avouer " j'affichais un sourire face à sa révélation et levai un de mes sourcils. Ma franchise et ma lucidité me permettaient d'affronter le monde extérieur. Je lui tirais la langue en signe de réponse. La fatigue semblait vouloir prendre le deçu. Mes jambes étaient lourdes. La vitre se trouvait être d'une grande aide finalement. J'observais Aidan qui semblait inquiet. " Ne t'inquiète pas Norrington... je n'ai pas réussi à dormir cette nuit. " lui dis-je en ajoutant un petit clin d'oeil, histoire de se montrer le plus rassurante possible.

Vint ensuite un sujet plus sensible, plus délicat. Ma réponse pourtant simple attira la curiosité du jeune Lowell : " que me caches-tu vilaine enfant ? ". Ma tête se pencha sur le cotée. Si je cachais quelque chose ? en soit rien de très officiel. J'étais intriguée, Aidan me connaissait de plus en plus. " Tu m'énerves... tu me connais trop " dis-je en grimaçant et en affichant un sourire. Je finis par lui dire : " Ça pourrait changer " dis-je simplement en haussant les sourcils. Quelque chose me disait, un pressentiment que Sam n'était pas si insensible à mon charme. Je le savais et il avait fini par me le montrer. La stabilité et la fidélité me faisaient peur même si avec Sam tout semblait très simple.
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Oui l'état de Jackie le préoccupait, mais il était bien trop handicapé des sentiments pour lui avouer. Néanmoins la Cabot sembla percevoir son inquiétude et il eut un petit sourire presque gêné, je dis bien presque, puisque aussitôt une connerie passa dans sa tête. « J'en suis là à souhaiter que tu aies fait des folies de ton corps plutôt que tu tombes malade Stevensen. » Il plissa ses yeux pour tenter de gérer son cœur qui s'accélérait, attendant que cela se calme, il reporta son regard sur la belle blonde. « Un prétendant ressort plus que les autres ! » Il tentait d'afficher un air distant, mais il se sentait tout bizarre, le virus sûrement...  « Laisse-moi deviner... » Aidan affichait un sourire narquois, sublime façade pour masquer le tourment qui l'emportait en petits morceaux. « Léo ? » Il ne savait pas à quel point il se trompait, il ne savait pas comme le véritable nom le détruirait encore d'une plus forte façon. Mais sans doute que Jackie préférerait garder le secret.
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« J’en suis là à souhaiter que tu aies fait des folies de ton corps plutôt que tu tombes malade Stevensen ». Ma tête se pencha sur le cotée et mon regard se perdit dans celui du jeune Lowell. En y pensant, cela faisait un moment que je n’avais pas passer du bon temps avec quelqu’un. Les évènements de ses derniers temps me troublaient. J’affichais un petit sourire. « Je suis solide Norrington. Regarde moi ça » dis-je en lui montrant mes bras musclés - ou pas -. Je n’étais pas le genre de fille à me plaindre. Il était évident que j’étais fatiguée et affaiblie par les derniers évènements mais je ne voulais pas le préoccupé d’avantage. « Un prétendant ressort plus que les autres ! ». Aidan comprenait très vite, trop vite parfois. Je regardais sa réaction avec attention. J’affichais un mince sourire lui montrant qu’il avait raison. « Laisse-moi deviner… ». Le mal aise m’emportait peu à peu. Mes yeux se plissèrent attendant la réponse d’Aidan. « Léo ? ». Mon visage se crispa Léo ? Noooooooon. « Nooooooooon.. Pas Léo !» dis-je en grimaçant. Je ne savais pas qu’elle allait être la réaction d’Aidan lorsque je lui avouerais que le garçon en question était Sam. Je tentais de me redresser et le regardais dans les yeux. « Sam… » dis-je d’une petite voix à peine audible. Je regardais son visage, sa réaction. Il semblait figée. « enfin je l’aime bien… il y a rien du tout » dis-je apeurer par la futur réaction d‘Aidan. S’était bien la première fois que ça me faisait ça. « Dit quelque chose… »
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La communication avec Jackie commençait à se passer de mots et c'était un petit jeu bien dangereux auquel s'adonnaient les deux amis alors séparés par une vitre. De son trouble, Jackie avait compris l'inquiétude et par son humour, elle tentait de gommer le malaise, bien que non dit avec des mots. « Impressionnant ! » avoua un Aidan taquin sur le même ton léger qu'avait emprunté la Cabot. Celle-ci réagit d'ailleurs vivement alors qu'il avait soupçonné un nouveau penchant pour Léo. La réponse qu'elle lui fit cependant par la suite lui fit l'effet d'un coup de fouet en pleine gueule. C'est qu'il l'avait cherché le fouet et bien le voilà ! Le Peintre ne réagissait pas légèrement pétrifié, son mal de tête semblait s'intensifier. Ses yeux se posèrent sur la jeune femme comme pour chercher à comprendre. « Sam... » Il se racla la gorge. « C'est mon ami mais tu le trouves pas bizarre dernièrement ? » Sous entendu, pas fréquentable ? Les deux mecs avaient pour habitude d'être amis, de côtoyer les mêmes fêtes mais dernièrement le Mather avait changé, était devenu plus distant, semblait nourrir une face plus sombre de lui. En résumé, quelqu'un de pas bon pour les fréquentations de Jackie. « Fais-attention. » lui dit-il un peu plus froidement qu'il aurait voulu. Depuis quand il avait cette boule gênante dans la gorge ? Il savait qu'il réagissait comme un con mais les mots sortaient de sa bouche avant même la moindre réflexion. Maladie à la con...
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L’humour était toujours la meilleure des solutions pour apaiser les craintes ou les tensions. J’affichais un large sourire en entendant la réponse du Lowell « Impressionnant ! ». S’était ça qui me plaisait chez Aidan. Je pouvais être moi-même, loin des vices que je prétendais avoir au quotidien. Un sujet bien plus sérieux et plus gênant s’annonçait. Je n’aimais pas les prétendantes d’Aidan. June était trop gentille et nunuche. Emma quant à elle trop provocatrice. A l’annonce du prénom de Sam, je regardais le Lowell avec insistance. Il ne bougeait pas et ne parlait pas. J’en étais presque à m’en vouloir d’avoir été encore une fois beaucoup trop franche. « Sam.. ». Mon regard ne bougeait pas. J’étais à l’écoute. « C’est mon ami mais tu le trouves pas bizarre dernièrement ? » bizarre ? Je fronçais des yeux surprises parce qu’il venait de me dire. J’étais bien loin de m’attendre à ça. « euh… non je ne trouve pas. Enfin il est pas pire que certain je trouve » dis-je en hochant la tête. Aidan semblait s’être replié et beaucoup moins explicite qu’à mon arriver. A croire qu’il ne semblait pas enchanter par cette nouvelle. « Fais-attention » me dit-il froidement. Mes sourcils se froncèrent surprise par le ton qu’il venait d’adopter. « d’accord… Norrington ! » dis-je sèchement. Faire attention ? À quoi ?. Je lui demandais ensuite : « Tu aurais préférer que ce soit Léo ? » lui demandais-je par pur curiosité. Tout ceci était plus qu’étrange. Vraiment bizarre.
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L'atmosphère entre eux était devenue bizarre. Il n'approuvait pas le choix de Jackie mais il n'avait aucune raison objective de l'empêcher de le faire. Après tout, Sam était son ami et Jackie également. N'importe quel ami digne de ce nom se serait réjoui de voir deux des siens finir ensemble. N'importe qui mais pas lui. Ses pupilles se firent plus sombres et son expression plus neutre. « Sûrement pas. » lui dit-il en déglutissant tant bien que mal sa salive. « J'aurais préféré que ce soit moi. » aurait-été une réponse adaptée mais va savoir pourquoi il ne s'en sentait pas capable. Il porta sa main sur son front et soupira distinctement. « Je suis fatigué je crois. » dit-il presque automatiquement. Il s'était attaché plus qu'il ne croyait, et il se maudissait intérieurement. Il n'était pas fait pour ça. Fuir était encore la seule solution. « Je vais me reposer. » Son regard était vague puis il se fixa de nouveau sur Jackie. « Je vous souhaite d'être heureux et merci d'être venue Jackie. » Il lui fit un petit signe et reprit chemin inverse vers le dortoir, le regret dans son dos.
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Les sourires s'étaient effacés et dissipés. Avais-je merdé ? avais-je été trop sincère encore une fois ? Sans doute vu la réaction du jeune Lowell. Les expressions de son visage étaient froide et sombre. Chose qui ne me plaisait pas. " Surement pas. " mes yeux se froncèrent. Pourquoi n'était-il pas content alors ? L'accablé de question n'était pas la solution. Norrington ne semblait pas vouloir en dire plus, je ne pouvais pas le forcer à me dire ce qui le retenait d'afficher un beau sourire. Je le regardais avec de petit yeux essayant de lire dans ses pensées. Manque de bol, tout restait confu. Il porta sa main sur son front et soupira. Mon regard s’adoucissait, inquiète. " Je suis fatigué je crois ". J'affichais un mince sourire, peu convaincu par son excuse même si son visage et son corps montraient des signes de faiblesses et de fatigues. " oh euh... tu devrais y allez " dis-je presque à contre coeur. " Je vais me reposer ". J'hochais de la tête comprenant que la visite était terminée. Mon regard vagabondait dans la pièce avant qu'il ne fixe lui aussi du regard monsieur Norrington. " Je vous souhaite d'être heureux et merci d'être venue Jackie ". Ma respiration s’accélérait. Il me fit un petit signe avant que je lui dise : " On se revoit dans pas longtemps Norrington " dis-je avec conviction. Il ne me répondit pas et partis vers le dortoir. Un dernier soupire et je partis direction mon appartement.
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