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please, forgive me ♒ jarad (flashback)

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Cela ne faisait que quelques heures que je suis arrivé à Cambridge en me trouvant un appartement. Oui, il est encore trop tôt pour que je revienne à la Cabot House... D'ailleurs, je me demande encore ce que je fais là et pourtant je suis sur le campus... Silver depuis quelques heures seulement, je n'arrive toujours pas à m'y faire lorsqu'il faut remplir des papiers et pourtant je portais ce nom de famille qui me reviens de droit. Laissant Brown au placard, j'ai eu du mal, mais j'ai besoin de ce changement, de ce renouveau et revenir à Harvard après presque trois d'absence, ça me fait vraiment bizarre. J'ai laissé tellement de personnes derrière mois coupant les ponts avec tout le monde et même avec les personnes qui me sont proches. J'avais besoin de me retrouver seule, affronter cette épreuve avec ma mère qui n'est malheureusement plus de ce monde et j'ai encore du mal à faire mes nuits correctement sans la revoir mourir sur ce lit d'hôpital... Je crois que je ne pourrais jamais oublier. Soupirant, je venais de sortir du secrétariat en espérant croiser personne, pas de tête connue, mais faut dire que le destin a beau s'acharner sur moi, car c'est en sortant du hall d'entrée que j'ai accidentellement ouvert la porte sans voir qu'une personne se trouvait derrière. Faut croire que ma maladresse ne me quittera jamais. « Je suis vrai... » dis-je en sortant sans pour autant finir cette fichu phrase. Ce visage, ce regard que je pourrais reconnaître entre mille... Ce mec que j'ai envoyé sur les roses tellement de fois se trouvait devant mois... « Konrad » dis-je d'une traite avant de reprendre ma respiration. Il devait m'en vouloir, je n'ai presque pas donné de nouvelle et pourtant dieu seul sait à quel point il peut compter pour moi et surtout à quel point on était proche.

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jarad Le cours d'histoire de l'art venait de finir, c'était chiant clairement, on taffait déjà dès la première semaine alors que la rentrée ne datait que de deux jours, il fallait ma petite d'adaptation quoi, comme depuis six ans, enfin bref. Je sortais de ce cours pour me rendre dans le grand hall, j'étais avec quelques potes, on parlaient du cours, relativement chiant, même trop chiant et d'un coup on me bousculais, enfin ce fut la porte et en me retournant je voyais Jales, j'avais du mal à le croire. Elle ne s'attendait pas non plus à tomber sur moi, pourtant si c'était bien moi et c'était bien elle qui avait ouvert cette porte sans faire attention à qui était posté derrière Ta mémoire t'as pas lâchée c'est cool. lui disais-je frottant mon épaule, ouais je l'avais quand même sentis le contact de la porte, mes potes me laissait avec elle, ils avaient autre chose à faire, super, me voilà seul avec Jales, je lui en voulais ouais, on étaient super proches avant puis d'un coup, j'existais plus, ça fait pas super plaisir sachant que je la considérais différemment de toutes les autres filles.

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Croiser se regard que je ne pensais plus recroiser. Une sensation étrange et pourtant il a fallu un seul regard pour que tout ces bons moments passés en sa compagnie défilent sous mes yeux. L'oublier ? C'est impossible, personne ne peut l'oublier il est tellement adorable... Du moins il l'a toujours été avec moi. Fermant la porte, je ne faisais pas attention à sa bande de pote. Faut dire que Konrad a toujours eu toute mon intention et c'est encore le cas aujourd'hui même si je suis partie du jour au lendemain. Au début, on se parlait tous les jours quand je suis retourné auprès de ma mère, mais plus les jours passaient et plus j'ai coupé les ponts avec tout le monde « Ne dit pas n'importe quoi » comme si ma mémoire était partie. C'est impossible d'oublier tout ces moments et faut croire qu'il n'es pas prêt à m'ouvrir les bras « Je suis vraiment désolé Koko » Oui, même les surnoms je n'oubliais pas et pourtant ma main s'est posé sur son avant bras, je n'étais pas prête, pas au bout de deux jours, mais le destin venait d'en décider autrement « Comprends-moi, tu sais à quel point elle comptait pour moi, je devais faire le vide... Ne plus te voir, te parler ? C'était un calvaire, mais elle avait besoin de moi » la mort de sa mère remonte à seulement une semaine alors toute cette douleur est encore trop présente pour elle.

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jarad Je ne m'attendais vraiment pas à la revoir, pour moi elle m'avait oubliée, on avaient gardé ce contact tous les jours lorsqu'elle est parti mais plus le temps passait loin de l'autre, plus rien, plus de skype, de lettre, elle a rompu tout contact. Et c'est vrai que la revoir ici, me choque étant blessé et en colère mais aussi heureux et rassuré de la voir mais je ne laisse aucune joie paraitre, lui montrant que je lui en voulais en lui adressant un regard froid et des paroles tout autant non accueillantes. Je dis pas n'importe quoi. répondais-je alors qu'elle refermait la porte pour ensuite poursuivre en s'excusant et je souriais ironiquement Cool. je sentais sa main sur mon avant-bras, putain ce contact m'avait tellement manqué et il me rassurait, je frissonnais mais je ne laissais toujours rien paraitre bien que je laisse sa main posée sur mon bras alors qu'elle se justifiait, par rapport à sa mère J'ai pas besoin de savoir t'sais, ça me regarde pas et ça nous concerne pas, point barre. je ne la regardais même pas, j'étais peiné oui, elle comptait tant pour moi, trop même.

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Si seulement il pouvait savoir à quel point je m'en voulais. Je me suis mordu les doigts en revenant ici et j'ai beaucoup hésité, mais apprendre à connaitre ma nouvelle famille, celle que j'aurais dû avoir il y a dix-neuf ans, je ne pouvais pas laisser cette chance me filer entre les doigts et pourtant je ne l'ai jamais oublié. Comment oublier ce mec qui agi différemment avec vous alors qu'avec les autres il joue au connard ? Je n'aurais pas dû rompre tout contact et pourtant c'est ce que j'ai fais « Soit pas comme ça avec moi » Oui, je voyais son sourire, il s'en fichait. Il agit comme avec toutes ses autres filles, mais il a pas à le faire avec moi, il sait très bien que je ne suis pas n'importe qui et ce mec sans coeur ? Je ne veux pas le revoir, pas encore une fois. Ma main posé sur son bras, il ne l'a pas enlever et pourtant il fuyait mon regard... D'une main, j'ai attrapé le coté de sa joue pour affronter son regard. Je ne suis pas une fille facile et le laisser de nouveau sur le coté ? Je ne suis pas prête de le refaire. « J'ai fais une erreur, j'ai été conne, mais ne m'en veux pas d'avoir choisir la femme qui m'a fait devenir celle que je suis, t'as pas le droit de m'enlever ça » dit-je en enlevant ma main de sa joue. J'étais blessé de le voir agir comme si j'étais n'importe qui. Je pensais qu'il y avait ce quelque chose entre nous, que j'étais différente à ses yeux « Tu m'as manqué Koko... » dis-je tout simplement.


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jarad Je voyais qu'elle m'en voulait, je le savais mais moi aussi je lui en voulais, j'étais même blessé qu'elle m'est sortis de sa vie alors qu'on avaient garder un contact même loin l'un de l'autre et ça me faisait mal de la revoir. J'essayais de fuir son regard car même si je paraissais insensible avec tout ceux que je pouvais croiser, elle je pouvais pas, on avaient été tellement proches avant, si complémentaires, presque une âme-sœur tellement tout comptait pour moi chez elle et ça me blessait autant que j'appréciais qu'elle soit de retour, j'étais partagé, elle m'avait manqué terriblement mais je lui en voulais tellement. Je souriais avec arrogance, passant pour celui qui s'en foutait de ce qu'elle pouvait dire mais elle me connaissait tellement par cœur, elle savait que c'était pas moi et elle me demandait de ne pas être comme ça avec elle T'veux que je sois comment. lui dis-je froidement alors que je sentais sa main se poser sur mon avant-bras, je frissonnais, ce contact m'avait tellement manqué et même si je ne la repoussais pas tellement ce contact me faisait du bien, je fuyais son regard tournant la tête mais elle n'était pas de cette trempe là, elle faisait en sorte que je la regarde en attrapant ma mâchoire avec sa main, elle l'enlevait une fois que nos regards se croisaient puis elle se justifiait J'tenlève rien du tout là. elle me répétait encore que je lui avais manqué, là je repoussais sa main qui agrippait mon avant-bras et je m'écartais d'elle Toi aussi.. dis-je presque en chuchotant alors que je marchais jusqu'à la sortie du Hall, me poser dans les marches, et mettre ma tête dans mes bras croisés sur mes genoux, je l'aimais tellement.

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Lui faire croire que j'ai tourné la page en ne répondant plus à ses messages que je recevait chaque jour, en ne donnant aucun signe de vie a été la plus grosse erreur que j'ai pu faire. L'oublier ? On oublie jamais une personne comme lui. Oui, il joue avec les filles, il fait le mec inaccessible, mais tout était si différent avant que je ne quitte Harvard pour rejoindre ma mère. Si seulement il pouvait comprendre à quel point il m'a manqué, à quel point je voulais lui parler après la mort de ma mère. J'étais juste trop honteuse de revenir vers lui comme si rien n'était et pourtant c'est ce que je faisais dans le hall de l'université. Je ne suis pas cette fille qui cours après les mecs pour se faire pardonner, mais avec lui, je ferais n'importe quoi pour le ravoir dans ma vie, retrouver ce mec qui me fait tellement rêver. Oui, il joue au mauvais garçon et pourtant il n'est pas ainsi avec moi. Comment pourrais-je l'expliquer ? Je l'ignore et ça depuis notre première rencontre que je ne pourrais pas l'oublier. Faut dire que je l'ai tellement remis à sa place, j'en suis toujours fière. « Comme celui qui me fait craquer. » dis-je tout simplement en haussant les épaules. Je ne lui dévoilais pas facilement mes pensées, mais sentiments, mais c'est le seul à me comprendre comme personne et le seul à me connaitre telle que je suis même si il ignore toute l'histoire de ma famille, chose bien trop compliqué depuis quelques mois. « Tu sais que je devais m'éloigner, j'en avais besoin » dis-je simplement en le voyant enlever ma main de son avant bras. Le toucher restait toujours quelque chose de profond, des frissons que je n'avais pas eu depuis plusieurs mois et pourtant il avait encore ce petit truc, je ne voulais pas laisser tomber, pas maintenant que je le voit. Surprise ? Oui, je l'étais. Je lui manquais aussi ? Et pourtant il ne l'a pas crié sur les toits, mais ces deux mots étaient très audible pour que je reste debout comme une idiote en le voyant sortir et en ayant le temps de ne rien dire. Dans le fond, rien n'était perdu et je ne laisserais pas tomber tant que je ne retrouverais pas mon Koko. Me passant une main dans les cheveux, je n'allais pas le laisser filer aussi vite, pas maintenant. Sortant à mon tour après avoir laisser entrer quelques étudiants, j'ai posé mon sac de cours entre mes jambes avant de poser mon regard sur lui tout en posant mes doigts sur le haut de sa nuque « Je ferais n'importe quoi pour toi, pour retrouver ce qu'on avait, je sais que rien n'est perdu et je ne laisserais pas tomber aussi facilement » dis-je avant de regarder en face de moi. Non, je ne laisserais pas ce mec partir, pas une seconde fois « Ne t'enferme pas, pas avec moi. »


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jarad J'espérais qu'elle regrettait, je ne lui en voulais pas pour rien tout de même, j'avais accepté qu'elle parte, je n'avais pas pousser une gueulante car elle m'avait promis qu'on resteraient en contact, j'y ai cru jusqu'à ce que du jour au lendemain, plus rien du tout, je me sentais trahis, blessé, peiné, elle m'avait fait du mal. La revoir me faisait à la fois un bien fou tellement elle m'avait manqué mais j'avais aussi mal de la voir se ramener comme si rien ne s'était passer et c'est ça qui me faisait le plus mal, elle se justifiait, s'excusait mais j'en avais rien à faire, trop blessé, alors je jouais à l'indifférent, elle voulait que je sois ce type qui l'avait fait craquer, mais je voulais pas l'être là, je voulais qu'elle comprenne sa faute J'vois pas de qui tu parle. je niais totalement même si elle avait raison et que j'avais tort mais j'avais mal, je me protégeais en niant, je ne voulais pas être celui qui l'avait fait craquer, je jouais le mec qui s'en fichait, qui la considérait comme les autres alors qu'en réalité, je l'avais toujours considéré différemment car entre elle et moi c'était tout simplement magique. Elle se justifiait encore et encore, ouais je savais qu'elle devait s'éloigner mais elle m'a trahit en ne me donnant plus de nouvelle, je croyais qu'elle n'avait qu'une parole, du moins avec moi T'avais pas besoin de me sortir de ta vie aussi. lui rappelais-je avant de retirer sa main de mon avant-bras et de lui dire avant de quitter le hall en chuchotant presque qu'elle m'avait elle aussi manqué. Je venais m'asseoir dans les marches, foutant ma tête dans mes bras croisés sur mes genoux, je soupirais, repensant à tout ce que j'ai vécu avec elle, je sentais des doigts se poser dans le haut de ma nuqe, je frissonnais par ce contact et je savais que c'était Jales, juste par ce contact qui m'émoustillais tant et je l'écoutais me dire qu'elle fera tout pour qu'on retrouve notre relation d'avant, elle ne veux plus me perdre, elle veut me retrouver, elle me demande de ne plus m'enfermer, pas avec elle du moins. Tu m'as fais mal Jales. Putain. je ne chialais pas, je chialais rarement et oui j'avais envie de chialer mais je me sentais déjà assez faible à être dans cette situation face à elle alors intuilte de chialer parce que j'ai mal à cause d'elle, je veux pas. Je ne redressais toujours pas la tête, je la laissais dans mes bras Tu m'avais fais une promesse.. que tu n'a pas tenu.

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Il niait tout, ne voulant pas faire face à la réalité et en me faisant mal. C'était ainsi qu'il voulait se venger ? En me traitant comme toutes ses poufs de luxe ? Je pensais être à un rang plus élevé et surtout différent de toutes ses filles qu'il a pu se taper. Je ne supporte pas qu'il me traite de cette façon et dans le fond je savais que je méritait son sourire arrogant, ses réponses blessantes sachant que je n'ai jamais oublié nos moments partages et dieu seul sait à quel point ils étaient nombreux et comptait pour moi. Je ne disais rien, car dans le fond c'est lui qui avait raison sur toute la ligne. Je n'avais pas besoin de le faire sortir de ma vie comme je l'ai fais, de l'ignorer et de ne plus répondre à ces messages et ces appels qui se faisaient de plus en plus nombreux chaque jour. Je ne disais rien, restant comme une imbécile dans le hall avant de me décider de sortir et de le rejoindre sur les marches de l'entrée. Je m'en veux tellement, j'ai été tellement stupide de me couper de tout le monde sauf de ma sœur et pourtant tu étais le seul présent pour moi et j'ai tout foutu en l'air dis-je en laissant mes doigts se balader sur sa nuque. Un geste anodin et sans pris de tête, quelque chose qui venait naturellement lorsque je me trouvais avec lui et faut croire que je n'ai pas perdu ce côté proche que j'avais par le passé. Une promesse que je n'ai pas tenue... enlevant ma main, je souffrais tellement de le voir s'éloigner de plus en plus de moi par ma faute et le décès de ma mère n'arrange rien du tout a telle point que je suis fatigué de pleurer et de me sentir si faible... Oui je suis faible face à lui. Je suis qu'une idiote, pourquoi tu me pardonnerais après ce que j'ai fais... Pardonne-moi dis-je en me levant avant de prendre mon sac et de descendre le reste des marchés sans me retourner pour me rendre au parc. Faible, c'est ce que je suis depuis une semaine, depuis sa mort et entendre le mal que j'ai pu lui faire ? C'était trop pour moi. A croire que je perds toutes les personnes que j'aime.
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jarad J'étais blessé donc je me protégeais, et je me protégeais en passant pour l'ignorant, celui qui s'en fichait, qui la faisait passer pour une fille comme les autres alors que tout à toujours été différent avec elle, toujours mais là, tellement blessé, je ne fais plus de différence. J'avais accepté qu'elle parte, j'avais rien à lui dire sur ce point même si égoïstement, la voulant toujours prêt de moi je lui avais demander de me promettre de rester en contact, qu'on s'appellent, qu'on s'écrivent et j'en passe, au début j'étais heureux mais plus les jours passaient et plus les appels étaient sans réponse, plus les écrits ne faisaient qu'un aller, le retour s'absentait, j'ai quand même attendu puis j'ai cesser d'attendre, elle m'avait sortis de sa vie, elle n'avait pas tenu sa promesse. Ouais t'as tout foutu en l'air. dis-je avant de m'écarter d'elle et de la planter dans le hall pour le quitter et m'asseoir sur les marches, soupirant ma tête emprisonnée dans mes bras, je pensais à tous ces souvenirs que j'avais de nous, notre rencontre, nos moments, tout avait été si magique, elle avait juste tout gâchée et je sentais des doigts glisser sur le haut de ma nuque, ce contact ne pouvait qu'être le sien, il était unique, elle venait s’asseoir à côté de moi, gardant ce contact avec moi, j'étais blessé, je lui disais à haute voix qu'elle m'avait fait une promesse, et j'étais heureux de l'entendre dire qu'elle ne l'avais pas tenu, au moins elle assumait sa connerie Que t'as pas tenue.. je sentais sa main quitter ma nuque, je la sentais se lever, elle allait dans mon sens, acceptant que je ne puisse pas la pardonner, et n'attendait même pas que je réplique pour descendre les marches, je la regardais partir, se rendre dans le Yard, je soupirais un coup, me levant à mon tour et descendant également ces marches pour la rejoindre et une fois arriver à sa hauteur lui attraper le poignet pour qu'elle se retourne et la serrer contre moi, comme jamais je ne l'avais serrer, la serrer jusqu’à entendre son cœur battre à une vitesse folle contre ma poitrine. J'te pardonne bébé..

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