C'est impossible j'hallucine [ Julia ]

Aujourd'hui j'avais décidé de prendre une pause d'étude je devais sortir de ma chambre et aller prendre l'air. Je savais très qu'à mon retour j'allais retourner dans mes livres. J'avais eu de la chance parce que la grippe courait et pour le moment je ne l'avais pas attrapé. Mon système humanitaire n'était pas très fragile oui sa m'arrivait d'être malade, mais pas au point de rester au lit pendant des jours et des jours. J'avais ami qui était malade et qu'il s'était retrouvé à l'hôpital malheureusement il était en quarantaine je comprenais parce que la grippe était un microbe incroyable tout le monde l'avait. Je sais que ceux qui sont en quarantaine n'ont pas le droit de recevoir de la visite, mais j'en avais rien à cirer si je devais l'attraper et bien je l'attraperai tout simplement. L'hôpital n'était pas trop loin de l'Université, donc je décidais de m'y rendre à pied selon un ami d'un ami mon ami se retrouvait au cinquième étage. Je savais qu'il avait des infirmières un peu partout et elles n'allaient pas me laisser passer, mais je voulais quand même tenter le coup. Une fois arrivée je me dirigeais vers l'ascenseur pour peser sur le bouton 5. Il n'avait pas d'autres personnes dans l'ascenseur, donc l'ascenseur montait au cinquième je regardais autour et les infirmières avaient le dos tourné donc je me dépêchais et je savais le numéro de la chambre de mon ami. Je me dépêchais lorsqu'un nom me laissait sans mot le nom était Julia Delcroix qu'est- ce qu'elle faisait ici je l'a croyais en France. Je ne pouvais pas m'empêcher de rentrer pour voir si c'était bel et bien la femme de ma vie.

J'étais un sensible je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir de l'eau dans mes yeux. Je ne suis pas supposé être triste, mais plutôt heureux de voir que la femme de ma vie était ici dans cette chambre enfermée à cause de la grippe. Je ne voulais qu'une seule chose c'était de la serrer dans mes bras et de sentir mon corps collé au sien. Cette fille me manquait terriblement il n'a pas une seconde où je n'ais pas arrêté d'y penser je ne souhaitais qu'une seule chose la retrouver et c'était ce qui c'était produit. Julia posait ses mains contre la fille et je fis de même elle s'adressait à moi en disant ce que je faisais ici. Qu'elle m'aimait et qu'elle ne voulait pas que je l'abandonne parce qu'elle avait besoin de moi.

Je n'avais pas l'intention de l'abandonner je serais même là pour elle s'il le fallait je resterais ici derrière cette vitrine pour la contempler tous les jours. J'étais heureux parce qu'elle n'était plus en France, mais ici j'avais hâte que cette jolie brune sorte de là et qu'on revivre notre amour comme lorsque nous étions en Irlande ce fût pour moi un moment magique. Je ne l'avais jamais oublié et elle non plus d'ailleurs. Je regardais Julia et je m'adressais à elle

- Je suis venu voir un ami, mais toi je te croyais en France. Tu m'as manqué ma puce ça n'a aucun sens. Je t'aime aussi et je n'ai pas l'intention de t'abandonner tu es tout pour moi.

Je me sentais coupable d'être là alors que l'amour de ma vie se trouvait en face de moi et surtout il se mit à pleurer quand il me vit dans cet état de faiblesse absolue. Pourquoi avais je attrapé cette fichue grippe alors qu'il se trouvait là depuis le temps que j'espérais qu'il me prenne dans ses bras, je ne pouvais pas alors en le voyant pleurer, je me mis à lâcher une larme de tristesse mêlée à une larme de bonheur. J'avais ma main sur la vitre et lui mit la sienne sur la mienne à travers la vitre, je nous revoyais il y a un an en Irlande et je voulais que ce moment ne s'arrête jamais, j'oubliais la douleur de la maladie face à celui que j'aime sincèrement et pour la vie. Puis il me dit qu'il me pensait en France et que je lui avais manquée mais surtout qu'il ne m'abandonnerait plus jamais. Alors je lui répondit.

Oui, je me trouvais en France il y a quelques mois mais je suis ici en 7e année de droit, je veux sortir d'ici, tu penses que je vais m'en sortir mon coeur, je veux pas mourir de cette grippe, je veux vivre avec toi mon amour, je t'aime tellement, je n'ai pas cessé de penser à toi depuis nos adieux en Irlande.

Oui, je pensais à la mort à cet instant car j'étais là dans cette chambre sans savoir combien de temps j'allais y rester et surtout si mon avenir professionnel et désormais avec l'homme de ma vie était compromis, ce dont je ne voulais pas. Alors je lui souria à nouveau tendrement.

Je savais que Julia allait s'en sortir c'était une fille courageuse et forte. Il n'était pas question qu'elle meurt sinon ma vie ne serait rien sans elle. S'il le fallait j'allais m'occuper d'elle et faire tout ce qui en mon possible pour la sauver et la garder en vie. Julia s'adressait à moi en disant oui elle se trouvait en France il y a quelques mois, mais qu'elle était en 7e année de droit et qu'elle voulait sortir d'ici. Elle poursuivait en me demandant si je pensais qu'elle allait s'en sortir et qu'elle ne voulait pas mourir de cette grippe. Qu'elle voulait vivre avec moi et qu'elle m'aimait tellement et qu'elle n'avait jamais cessé de penser à moi depuis nos adieux en Irlande. Je regardais la femme de ma vie et je m'adressais à elle :

-J'ignorais que tu étudiais en droit tu m'en avais parlé, mais je n'étais pas sûre si tu avais réussis. C'est comme moi je suis en 8 e année j'ai presque terminé mon cours je veux devenir professeur d'histoire. Oui bébé tu vas t'en sortir je te connais et tu es forte et très courageuse. Bébé tu ne vas pas mourir ne pense pas comme ça. Aussitôt que tu sors d'ici je t'emmènerai un weekend à l'endroit que tu veux. Moi aussi je t'aime mon cœur et je n'ai pas cessé de penser à toi. Tu sais j'ai eu beaucoup de misère avec ces adieux j'ai vécu l'enfer chaque jour j'espérais te revoir


D'accord j'étais entrain de lui faire une déclaration d'amour, mais je savais que je voulais faire d'elle ma femme d'ici 3 ans après son cours universitaire et fonder une famille avec elle. Nous allions pouvoir vivre notre amour sans que rien nous sépare. Mon cœur est heureux parce qu'il a trouvé sa moitié et il a hâte de sentir sa moitié près de lui.

L'homme de ma vie me dit qu'il savait que j'étudiais en droit mais qu'il ignorait que j'ai continué, il était en 8e année en histoire pour devenir un professeur, ce dont il allait arriver, je n'en doutais pas. Puis il me fit une déclaration d'amour en me disant que j'étais forte et courageuse et que j'allais m'en sortir face à cette vilaine grippe, qu'il m'aimait, qu'il n'a cessé de penser à moi et qu'il avait eu du mal avec nos adieux en Irlande alors je lui répondit, collant toujours ma main contre la sienne derrière la vitre.

Et oui, je suis toujours en droit, je veux devenir avocate et je compte bien le réussir,même si pour l'heure tout me parait abstrait, je ne peux plus étudier, c'est comme si ma vie était entre parenthèse. Oui, je suis forte et courageuse mais cette grippe semble plus forte que moi pour m'affaiblir autant. Oh un weekend en amoureux comme toutes ces journées en Irlande, je dis oui et dès que la maladie prendra le pas sur moi, je penserai à toi et à ce futur weekend que tu me promets en ce moment. Je t'aime mon amour, je veux pouvoir sortir et me blottir dans tes bras. Je ne sais même pas quand je vais sortir, c'est si long d'être ici sans savoir.

Je n'étais pas douée en déclaration d'amour autant que lui mais à travers une vitre, il m'était difficile de lui montrer que mes sentiments pour lui étaient toujours aussi forts et présents à chaque instant. Je continua de lui sourire tendrement avec un énorme envie de l'embrasser surtout avec sa déclaration d'amour et sa promesse de m'emmener en weekend, une fois cette grippe passée.

J'avais déjà hâte à ce weekend en amoureux et surtout de lui faire l'amour tous le weekend, mais surtout passer le plus de temps possible. J'en revenais pas encore de voir que ma future femme était ici à Harvard depuis 7 ans. Julia s'adressait à moi en disant que oui elle était toujours en droit et qu'elle voulait devenir avocate et qu'elle comptait bien le réussir. Que tout était abstrait pour elle je n'aimais pas ça l'a voir comme ça elle était malheureuse et c'était normal la grippe ce n'était jamais géniale. Julia poursuivait en disant qu'elle ne pouvait même plus étudier si jamais elle en avait de besoin elle n'aurait qu'à me le demander. Elle poursuivait en disant qu'elle était courageuse, mais que cette grippe l'affaiblissait ce qui n'était pas du tout génial.

Je connaissais ma Julia elle allait se battre pour guérir et j'allais l'aider puisqu'elle aurait besoin de mon aide. Elle poursuivait en disant qu'un weekend en amoureux comme tous nos journées à Irlande et dès que la maladie prendra le dessus et qu'elle penserait à moi et à ce futur weekend en amoureux que je lui promettais. Elle poursuivait en disant qu'elle m'aimait et qu'elle avait hâte de sortir pour ce blottir dans mes bras. Julia terminait par me dire qu'elle ne savait pas quand elle allait sortir et que c'était long ici. Je regardais Julia et je m'adressais à elle :

- Ma puce tu vas t'en sortir fais moi confiance et oui c'est normal que sa soit long. J'ai aussi hâte de te serrer dans mes bras et de sentir ton corps contre le mien. Lorsque tu sortiras ma puce je vais m'occuper de toi comme jamais. Tu te sentiras à nouveau chez toi et moi aussi je t'aime ma puce

Je m'ennuyais terriblement de Julia et ce que je trouvais plus difficile c'était que je ne pouvais pas la serrer dans mes bras. Tant qu'à moi j'en avais rien à cirer, mais si je venais à la prendre dans mes bras je me ferais avertir et elles m'interdiraient de revenir. Il en était pas question je n'allais pas l'abandonner quand je savais qu'elle avait le plus besoin de moi. À ma prochaine visite je lui apporterais des choses, mais j'allais en parler à l'infirmière puisque je n'avais pas accès à la chambre de Julia tout ce que j'avais droit et bien c'était de me retrouver derrière la vitre de sa chambre.

Julia s'adressait à moi en disant qu'elle me faisait confiance un sourire apparut sur mes lèvres. Elle devait avoir confiance en moi parce que je savais très bien qu'elle allait s'en sortir, mais elle devait laisser le temps faire les choses. Elle enchaînait en disant qu'elle m'aimait aussi et le fait de seulement me voir à travers la vitre lui était insupportable je comprenais tellement je ne voulais pas être à sa place. Julia poursuivait en disant quand elle sortira elle voudrait rester avec moi de se prendre un appartement à sa sortie. Moi j'étais partant depuis le temps que je désirais habiter avec elle.

Que même si cela pouvait paraître rapide elle voudrait se retrouver dans mes bras, mais qu'on devait attendre encore quelques temps. Surtout qu'elle ne voulait plus être séparé de moi et moi non plus d'ailleurs j'ai toujours voulu être avec elle pour le restant de ma vie jusqu'à ma mort même. Je voulais lui faire plaisir et je commencerai à regarder s'il avait des appartements de disponible que si c'était le cas et bien je signerai un bail et je m'en occuperai pour que Julia se sent chez elle à sa sortie. Je la regardais et je m'adressais à elle :

- Ma puce si j'ai le droit je t'emmènerai des bouquins et un peu d'étude pour te changer les idées un peu sa te ferait du bien. Tu sais mon cœur j'ai toujours voulu habiter avec toi même avant de te rencontrer pour moi tu étais la femme de ma vie au premier regard que j'ai posé sur toi. Cette semaine je commencerai à regarder pour un appartement s'il en avait de libre et je m'organiserais à ce que tout soit parfait à ta sortie. Je t'aime aussi ne l'oublie jamais.