Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityC & E - " Tu amor será mi alivio, Y hasta que no seas mío, No viviré en paz" - Page 2
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C & E - " Tu amor será mi alivio, Y hasta que no seas mío, No viviré en paz"

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Charlie & Emrys

C'était le pied : je me sentais si libéré, si délivré. Je lui avais enfin dit, j'avais enfin osé lui dire ce mot, ce je t'aime qui me brulait chaque jour les lèvres, le coeur, le corps. J'étais enflammé par l'amour que je lui portais et de lui dire m'apaiser mais laisser mon désir intact. « Tu n'as rien vue encore, Em. Attends que tu sois sorti de là ! ». On sentait dans mes mains posés sur la vitre et mon regard provocant que je voulait embêter mon Charlie mais si on regardait bien, je dévorais mon homme d'amour et pas seulement d'envie sexuelle. Je lui souriais une fois de plus, montrant mon air béat, montrant mon envie, ma joie de me retrouver avec lui. Pourtant, cette réelle envie de le retrouver me gelé un peu de l'intérieur, je devais l'avouer si bien que quand il changea de sujet, je ne fus pas véxé car ça commençait aussi à me blaser cette vitre entre nous : « Blague à part... Tu te sens comment ? Je m'inquiétais pour toi. » Je souriais, grimçant lègèrement parce que je ne savais pas quoi lui dire de peur que tout l'inquiète. Je passais ma main avec plus de difficulté dans mes cheveux puis je repris timidement : Je me sens pas bien du tout mais je survis et pour l'instant, tu dois pas penser à quoi que ce soit de mal ... hein baby ? Je lui fais un clin d'oeil tentant de le rassurer un maximum puis je reprend, soucieux de lui : Moi, je m'en fou d'etre comme ça mais je te demanderais juste de faire attention à toi de pas trop t'approcher des gens parce que je veux pas que tu l'attrapes, hein ?
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Charlie & Emrys

Cette vitrine entre nous, c'était juste trop effrayant. Ç'a freinait tout élan, toute envie. Ça t'étonnait encore un peu qu'Emrys ait choisi ce moment, ce lieu pour te faire sa dite déclaration. C'était tout le contraire d'un parfait timming, mais d'un sens tu t'en moquais bien. Il l'avait fait. Il l'avait finalement fait. Il voulait enfin aller de l'avant, extérioriser toutes ces émotions qui sont en lui. Alors tout le reste pouvait bien t'être égal, il était enfin honnête envers lui-même et envers toi. C'était le pied. La conversation plutôt provocatrice que vous aviez engagée finit par disparaître. Trop en parler éveillait en toi des désirs inconsommables en ce moment et ce n'était pas agréable d'avoir toutes ces envies qui montent sans pouvoir les exécuter. Tu lui demandas alors, sur une note un peu plus triste, s'il allait bien malgré la maladie. Tu t'étais vraiment inquiété pour lui. Au début, c'était en silence, puis ça s'était transformer en très grande préoccupation : tu ne bossais plus sur ton essai, toutes tes pensées étaient dirigées vers Emrys et ça t'empêchait littéralement de te concentrer. Au moins, le voir en chair et en os te rassurait quelque peu, même si tu voyais bien qu'il était dans un piètre état. « Je me sens pas bien du tout mais je survis et pour l'instant, tu dois pas penser à quoi que ce soit de mal ... hein baby ? » Tu souris discrètement. Il trouvait quand même le moyen de penser à toi, à ton bien. C'était tellement mignon. « Moi, je m'en fou d'etre comme ça mais je te demanderais juste de faire attention à toi de pas trop t'approcher des gens parce que je veux pas que tu l'attrapes, hein ? » Et là, il jouait vraiment les surprotecteurs. C'était juste trop adorable de sa part. Qu'il trouve le moyen de penser à toi d'abord, alors que lui est malade, c'était... une belle preuve d'amour. Tu humectas tes lèvres doucement, tout en raclant ta gorge. « Ne t'inquiète pas pour moi. Prends soin de toi, moi c'est tout ce que je te demande. » dis-tu alors gentiment, avec une voix douce et calme. Toi, tu n'étais pas en quarantaine. Alors le plus important, c'était lui. Lui. Cet Être si aimé derrière cette vitrine immonde.

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Il semblait tout gêner de me voir si protecteur mais à la fois totalement amoureux et ça me rendait fou. Je ne savais pas trop quoi dire de plus. Je voulais juste le regard. Il se mordait les lèvres me disant alors : « Ne t'inquiète pas pour moi. Prends soin de toi, moi c'est tout ce que je te demande. » Il me regardait avec tant d'amour que je sentais mon cœur tambourinait dans ma poitrine. Sensation extrêmement bénéfique pour moi, je me sentais trop bien, trop libéré. Je le regardais, gardant mes mains toujours sur cette vitre, hypnotisé. Je ne disais plus rien et un silence s'installa. L'infirmier repassait ; ce mec qui passait son temps à nous narguer tous le temps et là, il continuait juste dans le dos de Charlie. C'était le seul qui se moquait ? Il y avait donc réellement des internes comme ça. Surprenant Charlie, je frappais la vitre ; Casse toi connard ! Je m'énervais si fort d'un coup que je manquais directement d'oxygène et m'appuyais sur la vitre. Je pense que là tu dois partir Charlie ... Je bégayais à moitié parce que je n'avais plus de respiration. Je me sentais réellement trop mal. Pourquoi avais-je encore tenté de m’énerver alors qu'à chaque fois, ça terminait mal ! Je toussais, tete vers le sol, tete en bas, toussant encore et encore. Je me foutais à genou de peur de tomber devant Charlie ; Je t'aime Charlie mais vas-t-en ... Je veux pas que tu vois ça ...

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« Casse toi connard ! » prononça alors Emrys après avoir frappé contre la vitrine. Surpris, je me retournais alors et aperçu ce mec; un infirmier sans doute. Il avait un sourire moqueur sur les lèvres, le genre de fendant qui pourrait bien se moquer des plus grands malades de l'hôpital. Tu détournas ensuite le regard et dirigea toute ton attention vers une personne qui l'a méritait : ton homme. « Je pense que là tu dois partir Charlie ... » dit-il faiblement, manquant clairement d'air. Tu clignas nerveusement des yeux, inquiet. Tu ne voulais pas partir, mais si c'était mieux pour lui alors tu le ferais. Son bien passerait avant le tien; tu n'as jamais été égoïste et c'est encore moins en ce moment que tu le deviendrais. Il se mit soudainement à tousser; pour ne pas dire s'époumoner. Tu soupiras de tristesse. Tu étais triste de le voir ainsi, si souffrant. Dieu que tu aurais préféré être à sa place pour qu'il l'épargne. « Je t'aime Charlie mais vas-t-en ... Je veux pas que tu vois ça ... » Tu posas une nouvelle fois la paume de ta main contre cette vitrine et sourit légèrement. « Je vais revenir, promis. D'ici là, prends soin de toi. Je t'aime aussi. » dis-tu doucement, berçant ses maux avec tes mots. Tu l'aimais tellement.

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