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Tyler Liam Davis fiche; terminée C'est le 19 décembre à Phoenix (Arizona), que la famille Davis m'a accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Tyler Liam. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en Droit et Economie/Langues, je suis maintenant en cinquième années. Et pour terminer, je fais partie des Winthrop House. |
Études Après quatre années d’étude acharnées, Tyler a décidé de poursuivre ses études en majeur Droit et Economie et mineur Langues, où il suit respectivement les cours d’études internationales et de japonais, et pour lesquelles il a déjà obtenu son diplôme d’undergraduate. Il adore ce qu’il étudie et l’endroit où il étudie, ce qui lui donne bien envie de continuer ses études jusqu’au doctorat, même s’il pourrait parfaitement s’insérer dans la vie professionnelle dès l’obtention de son master. Autrement, il aime beaucoup participer aux nombreuses activités de l’université. C’est également un très bon sportif qui excelle particulièrement dans le basketball. | Caractère Taré. Voilà le mot qui définirait le mieux le comportement de Tyler. Il ne prend jamais rien au sérieux, tournant toujours tout en dérision, ce qui en énerve parfois plus d’un. Il se comporte constamment de manière délirante et peut se montrer très agaçant quelquefois, voire souvent pour ceux qui ont la chance – ou la malchance, tout dépend du point de vue – de le côtoyer tous les jours. Il faut dire qu’il a beaucoup de mal à canaliser ce côté extravaguant de sa personnalité et peut rapidement devenir soulant. Son jeu favori ? Tester les limites de l’hétérosexualité de certains garçons. Rare sont les personnes qui l’ont un jour vu calme et posé, et si par hasard cela arrivait, cela voudrait dire que quelque chose ne va pas. |
Everyone Has Their Own Story
L’enfance. Peut-être la meilleure partie de la vie d’un homme, malgré le fait qu’on en garde très peu de souvenirs une fois arrivé à l’âge adulte. C’est le moment où tout le monde vous trouve adorablement mignon même si vous venez de faire la plus grosse bêtise de votre vie ; où vos parents prennent le temps de s’occuper de vous, de la préparation des repas à la tenue que vous porterez le jour même ; où vous n’avez aucune responsabilité, sauf celle de rapporter des bonnes notes pour éviter de vous faire gronder. En d’autres termes, c’est la belle vie. Mais cette enfance insouciante qui vient d’être décrite ne peut malheureusement pas s’appliquer à tout le monde. Certains enfants doivent affronter des difficultés financières ; d’autres un divorce ; d’autres encore une maladie, que ça les touche directement ou non. Tout un tas de problèmes qu’une personne ne devrait jamais avoir à vivre à cet âge. Heureusement pour Tyler, il fait partie de cette moitié – si l’on ne peut pas dire « majorité » – dont l’enfance fut insouciante. Bien que le niveau social de sa famille n’ait jamais été très élevé (sans pour autant être le plus bas), il n’a jamais manqué de rien et a grandi au côté de ses parents et de sa sœur de trois ans son aîné dans la plus grande ville et capitale de l’état de l’Arizona : Phoenix. Mais si son enfance a été des plus heureuses, il n’a pas eu autant de chance en ce qui concerne la période la plus difficile de la vie d’un homme (et celle de tout parent) : l’adolescence.
La puberté a toujours été une étape importante, mais très difficile dans la vie de chaque individu, car elle correspond à cette période d’entre-deux où l’on ne peut plus profiter des avantages de l’enfance, sans pour autant bénéficier de ceux que possèdent les adultes. On se teste, on se cherche, et parfois, la découverte de soi est plus longue et pénible à accepter que pour d’autres. Tyler n’a jamais vraiment su à partir de quel moment sa sexualité a commencé à changer – d’ailleurs, peut-être avait-ce toujours été comme ça –, mais ce dont il était sûr, c’était qu’il ne s’était jamais senti « normal » par rapport aux autres. Les coups d’œil discrets vers les corps de ses camarades lors des douches communes obligatoires après les cours de sport, ou encore, la jalousie et l’envie d’être à la place de cette pompom girl blonde et sans cervelle qui embrassait de manière langoureuse le garçon le plus beau et le plus populaire du lycée sont tout autant d’évidences qui l’ont peu à peu forcé à admettre sa préférence pour la gente masculine. Tyler se savait donc gay, mais il lui restait maintenant une dernière chose à faire avant de pouvoir pleinement expérimenter son adolescence : l’avouer à ses parents. Un coming-out bien entendu difficile à effectuer puisqu’il n’avait aucune idée de ce qu’allait être la réaction de ses paternels. Et s’il l’avait su avant, il n’aurait très certainement jamais eu le courage de les affronter ce jour-là, car ils ne l’ont pas simplement jeté de la maison comme certains parents osent le faire après l’aveu de l’homosexualité de leur enfant, mais ils ont carrément tenté de changer ce qu’il était. Thérapies, camps spécialisés dans la « guérison » de cette préférence que l’on considère encore bien trop souvent comme une « maladie »… Ses parents croyaient peut-être bien faire, mais ils ont au contraire détruit le cœur et l’âme de leur fils d’à peine 15 ans à cette époque. Tyler s’en est d’ailleurs longtemps voulu d’être ce qu’il était, mais il s’est vite rendu compte qu’il n’y avait aucun mal avec le fait d’être gay et que les seuls à blâmer dans cette histoire étaient ses propres parents. Sa colère, d’abord dirigée contre lui, se tourna alors vers ceux qui l’avaient mis au monde et élevé, et ses 18 ans à peine fêtés, il claqua sans regrets la porte du domicile familial pour ne plus jamais y revenir.
Une toute autre vie s’offrait à présent à lui. Et même si le souvenir de ses trois années passées en enfer restait – et reste toujours – une ombre qui le poursuit, il s’est toujours forcé à oublier son passé pour se concentrer vers l’avenir. Pendant des mois, il s’occupa de toutes les démarches dans le but d’entrer dans l’une des universités les plus prestigieuses du pays : Harvard, et il fit partie des nombreux chanceux à recevoir une lettre d’admission. Le changement fut alors radical. Il déménageait non seulement vers la côte opposée des Etats-Unis, mais il passait aussi d’un état dont la Constitution interdisait le mariage homosexuel, à un état qui l’autorisait. Et c’était peut-être étrange à dire, mais une fois arrivé au Massachussetts, il se sentit enfin accepté. Ce fut donc un garçon discret et renfermé sur lui-même qui commença sa première année d’étude à Harvard. Mais plus la blessure dont ses parents étaient responsable se refermait, plus il devenait ce jeune homme complètement fou qui ne laissait rien ni personne l’atteindre et dont le cœur était à présent aussi froid que de la glace.
La puberté a toujours été une étape importante, mais très difficile dans la vie de chaque individu, car elle correspond à cette période d’entre-deux où l’on ne peut plus profiter des avantages de l’enfance, sans pour autant bénéficier de ceux que possèdent les adultes. On se teste, on se cherche, et parfois, la découverte de soi est plus longue et pénible à accepter que pour d’autres. Tyler n’a jamais vraiment su à partir de quel moment sa sexualité a commencé à changer – d’ailleurs, peut-être avait-ce toujours été comme ça –, mais ce dont il était sûr, c’était qu’il ne s’était jamais senti « normal » par rapport aux autres. Les coups d’œil discrets vers les corps de ses camarades lors des douches communes obligatoires après les cours de sport, ou encore, la jalousie et l’envie d’être à la place de cette pompom girl blonde et sans cervelle qui embrassait de manière langoureuse le garçon le plus beau et le plus populaire du lycée sont tout autant d’évidences qui l’ont peu à peu forcé à admettre sa préférence pour la gente masculine. Tyler se savait donc gay, mais il lui restait maintenant une dernière chose à faire avant de pouvoir pleinement expérimenter son adolescence : l’avouer à ses parents. Un coming-out bien entendu difficile à effectuer puisqu’il n’avait aucune idée de ce qu’allait être la réaction de ses paternels. Et s’il l’avait su avant, il n’aurait très certainement jamais eu le courage de les affronter ce jour-là, car ils ne l’ont pas simplement jeté de la maison comme certains parents osent le faire après l’aveu de l’homosexualité de leur enfant, mais ils ont carrément tenté de changer ce qu’il était. Thérapies, camps spécialisés dans la « guérison » de cette préférence que l’on considère encore bien trop souvent comme une « maladie »… Ses parents croyaient peut-être bien faire, mais ils ont au contraire détruit le cœur et l’âme de leur fils d’à peine 15 ans à cette époque. Tyler s’en est d’ailleurs longtemps voulu d’être ce qu’il était, mais il s’est vite rendu compte qu’il n’y avait aucun mal avec le fait d’être gay et que les seuls à blâmer dans cette histoire étaient ses propres parents. Sa colère, d’abord dirigée contre lui, se tourna alors vers ceux qui l’avaient mis au monde et élevé, et ses 18 ans à peine fêtés, il claqua sans regrets la porte du domicile familial pour ne plus jamais y revenir.
Une toute autre vie s’offrait à présent à lui. Et même si le souvenir de ses trois années passées en enfer restait – et reste toujours – une ombre qui le poursuit, il s’est toujours forcé à oublier son passé pour se concentrer vers l’avenir. Pendant des mois, il s’occupa de toutes les démarches dans le but d’entrer dans l’une des universités les plus prestigieuses du pays : Harvard, et il fit partie des nombreux chanceux à recevoir une lettre d’admission. Le changement fut alors radical. Il déménageait non seulement vers la côte opposée des Etats-Unis, mais il passait aussi d’un état dont la Constitution interdisait le mariage homosexuel, à un état qui l’autorisait. Et c’était peut-être étrange à dire, mais une fois arrivé au Massachussetts, il se sentit enfin accepté. Ce fut donc un garçon discret et renfermé sur lui-même qui commença sa première année d’étude à Harvard. Mais plus la blessure dont ses parents étaient responsable se refermait, plus il devenait ce jeune homme complètement fou qui ne laissait rien ni personne l’atteindre et dont le cœur était à présent aussi froid que de la glace.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Kazuha ↬ ÂGE – 24 ans ↬ PAYS/RÉGIONS – Angleterre/Surrey ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM – top-site obsession ↬ TES IMPRESSIONS – Wow *o* ↬ CRÉDIT(S) – IHeartJake ↬ AVATAR – Jake Gyllenhaal ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI ↬ LE MOT DE LA FIN – Here I Come ! |
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