what the f*ck ? ► kol & wyatt

Kol & Wyatt Հ what the f*ck ?

Depuis le début de l'année j'avais un nouveau coloc, et c'était pas n'importe qui en plus, le président Winthrop, mais c'était aussi un ami, et c'est vrai qu'en ce moment ils se faisaient de plus en plus rare. Mais en ce moment monsieur était à l'hosto ... et c'est vrai que l'état de notre petit appart' craignait un peu. Je crois bien que si je rangeais pas et vite, et que si il revenait, il allait me faire la peau. Mais pour le moment il était pas la, donc j'avais légèrement le droit de faire ce que je veux. Je l'avais pas vu depuis un bon petit moment, tout simplement parce que depuis près d'un mois je n'avais pratiquement pas bougé de ma chambre et que je n'étais donc pas allé à l’hôpital. Et encore si j'avais pas envie d'y remettre les pieds pour le moment, mais j'avais envie de voir mon ami. C'est pour ça que je finis par m'habiller vite fait, d'un jean, et d'un t-shirt marron accompagné d'une veste? Après avoir fini de me préparer pour pas paraître non plus pour un dégueulasse. Après avoir fermé derrière moi, je pris ma voiture, pour aller à l'hosto, en espérant qu'il n'y ai pas trop de monde que je connais. J'avais pas envie de me justifier par rapport à mon absence depuis le début du mois, j'en avais pas vraiment la force pour le moment. « Salut les filles ! » avais-je dis en saluant les filles de l'accueille que je connaissais bien. Je continuais de marcher, j'avais pas envie de me retourner et je me dirigeais en direction de l'étage de la quarantaine, c'est à dire le deux. Wyatt s'y trouverait surement ... c'était même sur. En arrivant prés de la salle, je lui souris. Y'avait tous les autres ... qu'est-ce qu'ils étaient pas doués, bref j'avais pas le droit d'entrer bien sur, j'avais surement pas envie de les rejoindre, les coco. Je les saluais d'un geste de la mains, et je demandais à Wyatt de bouger ses fesses pour me rejoindre, pour qu'il puisse m'expliquer tout ça. « Eh ben t'es pépére ici ! » avais-je dis en rigolant légérement ... non ok, c'était pas drôle. « Qu'est-ce qui t'ai arrivé au juste ? Je suis revenu de France t'étais plus là ... enfin y'avait plus beaucoup de frères dans le bâtiment à vrai dire. On m'a dit que vous étiez tous à l'hosto, bien gentiment. Tu peux m'expliqué ? Vous avez fait des conneries ou quoi ? » J'étais vraiment au courant de rien, franchement j'étais à la masse la.

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Au fur et à mesure des heures, la douleur prenait de l'importance. Cela faisait plusieurs jours que j'étais coincé ici et les médecins n'avaient toujours pas mit la main sur un remède. En plus de la fatigue, une certaine lassitude c'était installé en moi. Je commençais à me dire que j'allais y passer. Je n'avais toujours pas eu des nouvelles de mes parents. Dieu merci, ils n'étaient pas venu me voir. De toute façon, ils n'avaient pas les moyens en ce moment. Désespérant sur mon lit d'hôpital, j'allais sombrer dans le sommeil lorsque je vis un visage familier près de la vitre au loin. C'était Kol, mon colocataire de chambré. Bon dieu, je ne l'avais pas vu depuis au moins un mois. Pris d'une soudaine vitalité, je me relevais et je me traînais jusqu'à la seconde salle. Il était là en chair et en os. « Eh ben t'es pépére ici ! » J'esquissais un sourire tout en me passant une main dans les cheveux. "T'es arrivé pile pour mon testament !" disais-je en plaisantant. Je devais avoir l'air con dans ma chemise de nuit d'hôpital. « Qu'est-ce qui t'ai arrivé au juste ? Je suis revenu de France t'étais plus là ... enfin y'avait plus beaucoup de frères dans le bâtiment à vrai dire. On m'a dit que vous étiez tous à l'hosto, bien gentiment. Tu peux m'expliqué ? Vous avez fait des conneries ou quoi ? » Bien sûr, il n'était au courant de rien. Avec un peu de chance, il échapperait à cette grippe. " Pour une fois, on a rien fait. Non, y a une espèce de grippe virulente qui traine et devine quoi : c'est pour byby ! Et les médecins ne savent pas la soigner." Génial, non ? "ça me fait plaisir de te voir ! Alors, la France ? Les nanas sont bien là-bas, au moins ?"

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J'avais réellement peur, qu'il soit arrivé quelque chose de grave, j'étais au courant de rien, en même, j'avais été éloigné un peu de tout. Après tout cela ne faisait pas très longtemps que j'étais revenu, et la merveilleuse surprise c'était que pratiquement tous mes frères étaient à l’hôpital en quarantaine, avec je ne sais quoi. Parce que réellement il fallait le faire pour être à cet étage. J'étais arrivé, je m'étais installé sur une chaise, faite pour les visites, tranquille. Mais Wyatt de l'autre côté avait moins l'air tranquille. Ce qui m'inquiété un peu quand même. « T'es arrivé pile pour mon testament ! » Je souris, même en quarantaine il changeait pas. Il avait l'air fatigué, ce qui n'était pas vraiment bon signe, je me demandais de plus en plus qu'est-ce qui c'était passé. « Tu me donnes ton fric c'est ça ? » dis-je moi aussi en rigolant. Je le regardais plus attentivement. « Tu sais que tu pourrais lancer une nouvelle mode avec cette chemise d’hôpital ! » Il avait vraiment la classe ... enfin bon je pense que tout le monde était passé au moins une fois dans sa vie avec ce truc sur le dos. « Pour une fois, on a rien fait. Non, y a une espèce de grippe virulente qui traîne et devine quoi : c'est pour byby ! Et les médecins ne savent pas la soigner. Ça me fait plaisir de te voir ! Alors, la France ? Les nanas sont bien là-bas, au moins » QUOI UNE GRIPPE ?! Putain, mais c'était quoi cette merde ? C'était une blague c'est ça ? « Mais t'es allé ou pour attraper ça ? Faut que je regarde ça, t'inquiète pas dans deux jours vous serez remis sur pied t'inquiète pas. On va trouver. » dis-je inquiet. « C'était bien jusqu'à temps que je m'engueule avec Liz' ... Mais bon c'est pas grave. » J'avais pas vraiment envie d'étaler les choses. C'était pas la peine d'en faire tout un plat. « On va dire que c'est pas la même chose là bas. » avais-je rajouté pour changer de sujet.

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« Tu me donnes ton fric c'est ça ? Tu sais que tu pourrais lancer une nouvelle mode avec cette chemise d’hôpital !» Je ricanais avant de répondre. « Tu risques d’être déçut, j’ai pas grand-chose. T’as vu ça un peu, je suis pas sexy ? » C’était honteux de nous vêtir comme ça. Je ne voulais pas crever dans ce machin. « Mais t'es allé ou pour attraper ça ? Faut que je regarde ça, t'inquiète pas dans deux jours vous serez remis sur pied t'inquiète pas. On va trouver. » J’espérais qu’il avait raison. Je ne voulais pas rester ici plusieurs semaines. Franchement, j’avais mieux à faire dehors. « Nulle part. Quoi qu’en y repensant, je suis allée voir une amie durant la première vague. J’espère que ton système immunitaire est puissant, car tu cours un risque en venant me voir. (a) » En y repensant, il n’y avait que cette hypothèse. Quoi que dans ce cas-là, le personnel de l’hôpital aurait été infecté. Je ne comprenais pas quel facteur attirait ce virus. « J’espère que t’as raison. J’en ai marre de m’encrouter ici. » Je ricanais tout en écoutant ce qu’il me disait. Je lui avais demandé comment c’était passé son voyage en France. Ce à quoi il me répondait : « C'était bien jusqu'à temps que je m'engueule avec Liz' ... Mais bon c'est pas grave. On va dire que c'est pas la même chose là bas. » Il m’avait vaguement parlé de cette Liz. D’après ce que j’avais compris, c’était compliqué entre eux. Néanmoins, il ne semblait pas ravi de son séjour. J’étais peut-être malade, cela ne m’empêchait pas de l’écouter et de l’aider à y voir plus clair. « La France, n’a pas l’air de t’avoir plus. Puis, pourquoi tu t’es disputé avec Liz ? » Je repensais à mes problèmes de couple et je me disais qu’on était dans une sacrée merde.

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« Tu risques d’être déçut, j’ai pas grand-chose. T’as vu ça un peu, je suis pas sexy ? » Je me mis à rire, ça détendait un peu l'atmosphére, j'avais réellement l'impression d'étouffer c'était pas vraiment mon étage préféré à vrai dire, et j'arrivais encore à croire que Wyatt soit la derrière cette vitre, derrière ces murs avec tous les autres ... qu'est-ce qu'il passait merde ? Ils allaient pas tous crever quand même ? ... Je voulais absolument que cette idée morbide sorte de ma tête et vite ... CE N'ETAIT PAS POSSIBLE ! « Tu comptais me laisser quoi alors tes chaussettes ? » dis-je en rigolant ... quoi que une collection de chaussette ça serait pas mal non ... la classe quand même ? ... ok j'allais réellement pas bien la. « C'est clair dommage qu'on ai pas le droit aux portables sinon je t'aurais pris en photo mon vieux. » Malheureusement je pense que j'aurais plus jamais cette chance la. Et dans un sens je pense que c'était mieux comme ça, je voulais en aucun cas le retrouver avec cette chose sur le dos et surtout ici en plus. « Nulle part. Quoi qu’en y repensant, je suis allée voir une amie durant la première vague. J’espère que ton système immunitaire est puissant, car tu cours un risque en venant me voir. (a) » C'était clair que c'était pas non plus le meilleur endroit du monde, mais après ils l'avaient tous attrapé au campus alors quitte à choisir je préférais être ici. « T'inquiète pas pour moi, ça va aller ! Et puis ça va vraiment pas je suis au premier loge pour être secouru non ? » C'était réellement flippant de savoir que ce satané virus pouvait se propager n'importe ou. D'on ça pouvait bien venir ? C'était réellement mystérieux. « J’espère que t’as raison. J’en ai marre de m’encrouter ici. » J'avais certainement pas envie de voir tous mes proches crever les uns après les autres. C'était sur qu'ils allaient trouver ! « La France, n’a pas l’air de t’avoir plus. Puis, pourquoi tu t’es disputé avec Liz ? » Oui c'était sur ... ce pays je ne le portais plus vraiment dans mon cœur, mais après c'était mon pays natale, j'avais besoin d'y retourner de temps en temps pour au moins revoir ma famille ... « Je croyais que voir ma mère me ferrais du bien, changer d'air un peu, c'était la meilleure façon pour moi de me changer les idées pour plus penser à Keyla ... mais malheureusement ça pas été le cas ... Liz' ... » Je m'étais mis à ricaner pour ensuite rajouter. « Elle a continué sa vie ... pendant que moi elle était arrêtée. Elle a trouvé un mec ... et sa ma fait chier ! » C'était bête en y repensant bien, mais je l'aimais ... et la voir avec un autre, c'était pas possible à mes yeux ... tout était devenu compliqué s'est temps si.

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« Tu comptais me laisser quoi alors tes chaussettes ? C'est clair dommage qu'on ai pas le droit aux portables sinon je t'aurais pris en photo mon vieux. » Il arrivait à me faire rire, alors que j’avais l’impression d’être à l’article de la mort. « Même mes boxer si tu es sage (a). Tant mieux, laisse ton portable là où il est ! » S’il avait pris une photo, on se serait bien marré à la résidence. Après tout, nous étions tous des frères là-bas. Nos moqueries n’étaient jamais méchantes. Par la suite, je lui disais de se méfier, car je pensais avoir chopé le virus en allant voir Maëlys. « T'inquiète pas pour moi, ça va aller ! Et puis ça va vraiment pas je suis au premier loge pour être secouru non ? » ça c’est sûr, mais ça ne sera pas des infirmières sexy. « Ne pense pas trouver des infirmières sexy à cet étage. On a que des vieux moches ou alors des cons. » De sacré con même. Il y avait bien eu Théo, mais apparemment, il avait été infecté. Chose qui m’avait encore plus inquiété. Je ne voulais pas qu’il subisse ce que je vivais en ce moment. « Je croyais que voir ma mère me ferrais du bien, changer d'air un peu, c'était la meilleure façon pour moi de me changer les idées pour plus penser à Keyla ... mais malheureusement ça pas été le cas ... Liz' ... Elle a continué sa vie ... pendant que moi elle était arrêtée. Elle a trouvé un mec ... et sa ma fait chier ! » Il vivait des histoires assez compliqué. Je comprenais qu’il en veuille à Liz, mais en même temps, je comprenais pourquoi Liz avait agis comme ça. « Mec, tu ne peux pas lui en vouloir. Peut-être qu’elle pensait que tu en avais rien à faire d’elle, non ? Elle t’a donné quoi comme explication ? »

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« Même mes boxer si tu es sage (a). Tant mieux, laisse ton portable là où il est ! » avais-il répondu ironiquement. Une collection de boxer de mieux en mieux mais comme ça au moins j'aurais l'ensemble ... chaussettes et caleçons c'était génial, j'aurais plus qu'à me balader comme ça dans la rue. « Mec franchement, je ferrais tout ce tu veux pour avoir l'intégrale de tes caleçons ! Si je suis sage ... mais tu sais très bien que je le suis toujours ... un vrai petit ange voyons. » Je pense que sa lui faisait du bien de parler un peu et surtout de rire, dans un moment pareil. « Ne pense pas trouver des infirmières sexy à cet étage. On a que des vieux moches ou alors des cons. » Merde ... pas de chance. « Moi qui pensais te rejoindre juste pour admirer les sublimes infirmières du service, c'est loupé ! » avais-je dis en rigolant légèrement encore une fois. Parce que oui j'en connaissais quand même un certain nombre déjà, vu que je passais quand même pas mal de temps ici pendant la semaine. « Mec, tu ne peux pas lui en vouloir. Peut-être qu’elle pensait que tu en avais rien à faire d’elle, non ? Elle t’a donné quoi comme explication ? » Ceci fit disparaître le sourire que j'avais aux lèvres précédemment. « Je lui ai jamais laissé penser ça ... Je sais plus trop ... j'étais tellement énervé que je l'ai pas écouté. Je me suis barré après ! J'arrivais plus à la regarder en face. » En repensant à la scène, ceci me fit mal au cœur, parce que je savais très que j'aurais pas du me comporter comme ça devant elle. J'avais été le dernier des cons.

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« Mec franchement, je ferrais tout ce tu veux pour avoir l'intégrale de tes caleçons ! Si je suis sage ... mais tu sais très bien que je le suis toujours ... un vrai petit ange voyons. » En entendant ses paroles, je ne pus me retenir de rire. Lui, sage ? Ça serait comme voir le papa déguisé en poulet ! « Tu veux qu’on parle de l’état de notre chambre ? » C’était une chambre de mec, mais lorsque nous vivions tous les deux dedans en même temps, la chambre devenait un vrai champ de bataille. « Moi qui pensais te rejoindre juste pour admirer les sublimes infirmières du service, c'est loupé ! » Ah bah tient ! « Je vois que je compte à tes yeux ! » Monsieur était mal servi ici. Sauf, s’il comptait voir Théo déguisé en infirmier. « Je lui ai jamais laissé penser ça ... Je sais plus trop ... j'étais tellement énervé que je l'ai pas écouté. Je me suis barré après ! J'arrivais plus à la regarder en face. » Sans le vouloir, nous avions glissé sur un terrain plus sérieux. Je voyais bien que c’était un sujet sensible. A ses mots, je me rappelais ce que m’avait dit Charlie à Las Vegas. « Ah les femmes et leur logique. Soit elle voulait se consoler, soit elle voulait se venger. A méditer. » disais-je d’un ton songeur. Je ne comprenais pas les femmes et leur façon de penser. Elles compliquaient tout. « C’est qui ce mec d’ailleurs ? Je le connais ? »

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Il se mit à rire, en même temps je pouvais le comprendre vu toutes les conneries que je débitais par minutes. « Tu veux qu’on parle de l’état de notre chambre ? » En repensant à l'état pitoyable ou je l'avais laissée en partant aujourd'hui, c'était vraiment la bazar je crois qu'une vache ne pourrait même pas retrouver son petit. « Notre chambre ... hum ... qu'est-ce qu'elle a notre chambre ? Elle est parfaitement clean. » ouai ok, c'était pas vraiment la stricte vérité ... et puis j'étais pas non plus très doué pour les mensonges donc ouai ... bref, cette phrase ne servait strictement à rien parce que Wyatt savait très bien qu'il n'y avait rien de vrai dans ces mots. « Je vois que je compte à tes yeux ! » Quoi ? C'était des infirmières quoi, le rêve de tous les mecs censés sur cette terre. « T'as pas de seins, n'y des fesses de rêve à ce que je sache, mais c'est pas grave je t'aime comme ça après tout. » Wyatt était mon coloc' on vivait ensemble il me connaissait, et même lui ne connaissait pas tout de ma vie, j'étais loin de parler facilement de ma vie sentimentale, bien sur il savait pour Key' et moi, mais j'étais loin de parler à tout le monde que j'avais trompé ma femme avec mes deux meilleures amies ... c'était tellement compliqué que j'évitais les détails tout simplement. « Ah les femmes et leur logique. Soit elle voulait se consoler, soit elle voulait se venger. A méditer. » Oui peut être, j'avais pas digéré cette affaire pour le moment. « C’est qui ce mec d’ailleurs ? Je le connais ? » C'était tellement partis en vrille que c'était difficile de se souvenir de tous les détails surtout de son nom ... à si à part pour lui casser la gueule ... si un jour il finissait par faire du mal à Liz'. « Laisse moi réfléchir ... je crois que c'est genre Yohan ou un truc comme ça. Tu le connais ? » De toute manière, j'en avais pas grand chose à faire, j'avais aucune envie de le connaitre ce type.

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« Notre chambre ... hum ... qu'est-ce qu'elle a notre chambre ? Elle est parfaitement clean. » Je ricanais légèrement avant de répondre. « Je fais faire comme si je te croyais. » Faut dire ce qui y est : nous étions deux mecs et le rangement, n’était pas notre fort. Nous plaisantions sur le fait qu’il était venu me voir juste pour regarder les jolies infirmières. « T'as pas de seins, n'y des fesses de rêve à ce que je sache, mais c'est pas grave je t'aime comme ça après tout. » J’esquissais un sourire narquois. « Sache que mes petites fesses sont plus belle que celle des infirmières toutes réunis mon cher ! » Je plaisantais bien sûr. Je n’étais pas attiré par les hommes, mais entre mec, ça m’arrivait de plaisanter là-dessus. Kol m’avait appris que Liz était en couple avec un autre mec. Je ne comprenais pas vraiment leur relation, car Kol était censé être avec Keyla, sa femme. Pourtant, j’avais le sentiment, qu’il ressentait quelque chose de vraiment fort pour cette Liz. « Laisse moi réfléchir ... je crois que c'est genre Yohan ou un truc comme ça. Tu le connais ? » Je ne connaissais pas de Yohan, mais si jamais j’entendais parler de lui, je lui ferais signe. Juste pour voir s’il était fiable ce mec. Je savais que Liz comptait beaucoup pour Kol et c’était l’occasion de se rendre service entre mec. On protégeait nos proches. C’était ça la Winthrop House, une maison remplie de frère. « Je le connais pas, mais je garde un œil là-dessus »

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