Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJ’ai aimé un être de tout mon cœur et de toute mon âme et pour moi c’est plus que suffisant ♥ Thélia
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J’ai aimé un être de tout mon cœur et de toute mon âme et pour moi c’est plus que suffisant ♥ Thélia

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Je m’attendais pas du tout à ça quand une infirmière était venue me voir pour m’apporter une lettre. Je m’y attendais pas et je me demandais bien qui pouvait me faire passer une lettre. Sans hésiter je l’avais ouverte pour la lire et y voir le nom de Théo. Mon cœur c’était serré dans la poitrine en un rien de temps, il faisait parti des contaminés, pour moi c’était la seule raison de sa lettre, sinon pourquoi en faire une ? Il pouvait venir me voir pour me parler ? Je commençais à lire les premières ligne et il avait du comprendre que j’allais m’inquiéter en voyant cette lettre de lui, à croire qu’il commençait déjà à me cerner. Je lisais chaque mot lentement pour en savourer chacun et un sourire se dessinait au fur à mesure que j’avançais dans ma lecture. Un rire sortit même par moment. Une fois terminée je demandais à une infirmière des feuilles et un stylo. A mon tour, sans perdre une minute, je lui écrivais une lettre de réponse. Valait mieux s’y mettre maintenant vu combien j’étais devenue un peu plus un zombie au fur des jours, des semaines, car oui ça se comptait en semaine désormais.



Mon Amour,


Sais tu à quel point ta lettre ma surprise ? J’ai même cru un instant que tu étais toi aussi contaminé et rien qu’à l’idée d’y penser j’en deviens plus folle. Je t’interdis clairement de finir comme moi, comme un zombie. Je me demande même si ce n’est pas pour cette bonne raison que tu as préféré m’écrire cette lettre, est ce trop difficile de me regarder blanche, pâle, des cernes à en mourir ? Je dois bien avouer que si oui je peux pas t’en vouloir, tu m’as connu bien plus en forme et tu dois complètement flipper en posant tes yeux sur moi haha. J’ai hâte de sortir d’ici, je me demande pour combien de temps je vais devoir être encore un cobaye, puis tu me manques. Je t’ai pas faite de lettre en première mais tu me manques terriblement. Ici j’ai que ça a faire : penser. & tu peux être certain que tu occupes chacune de mes pensées. Un peu trop même je dirais mais c’est le seul moyen que j’ai pour t’avoir un peu près de moi. Tu sais je blaguais un peu quand j’ai dit que je te kidnapperais quelques jours quand je serais sortie de là, quand tout ça sera fini, mais je crois que je plaisante plus. Je crois, non je suis même certaine que je vais te séquestrer, t’enfermer dans ma tour pour que personne vient nous déranger et profiter de toi pour rattraper les deux dernières semaines que j’ai passé ici. Espérant que ça s’arrête à deux. Quant à la loupe c’est pas nécessaire mais j’aime savoir qu’y aura une prochaine fois. Je dis pas non d’avoir d’autres lettres, de te lire même si c’est pour juste savoir ta journée, comment tu vas. Ca m’occupera et je pourrais les lire à chaque fois que j’en ai envie. Dit moi comment tu te sens, ce que tu fais, comment se passe la vie en dehors à l’air libre ? Puis peux tu essayer d’avoir des nouvelles de mon frère ? J’ai appris qu’il était lui aussi en quarantaine et je m’inquiète. J’aime pas le savoir dans mon état.



Je t’aime.

Elia
.

PS : mon écriture ne doit pas être mieux vu le temps que j'ai mit pour te répondre

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Sortant de la chambre d'un patient, je refermais la porte derrière moi en soupirant. Je me sentais presque crevé et à la fois inutile. Il souffrait et je n'avais pas pu l'aider à le soulager, ni avec les massages ni avec les calmants et je devais reconnaître que sa me faisait de la peine. Je devais aussi reconnaître que j'avais la tête ailleurs. Je mourrais d'envie d'aller retrouver Elia en plus d'être préoccupé fait de savoir un bon nombre de mes amis en quarantaine. Et de plus, je commençais déjà à avoir mal à la tête. Si fort, que je voulais à tout prix mettre ça sur le compte de la fatigue pour ne pas me dire que moi aussi, j'avais été contaminé. Soudain, relevant la tête, une jeune femme m'apporta une lettre avec un petit sourire. Évidemment, je la reconnaissais bien et je compris instantanément de quoi il s'agissait. Je la remerciais avec vivacité et me dépêchais de l'ouvrir. Le regard ancré sur ce papier, je le lisait comme si c'était une ordre de la plus haute importance. Il me fallut donc lui répondre aussi vite que possible.


     
Elia,



Si tu voulais du romantisme à l'état pur pour ajouter un nouveau chapitre à notre relation, te voilà servie avec ce contexte épistolaire. Je t'aime et tu me manques. Et par pitié épargne-moi ces stupidités sur le fait que tu ressemble à ce que tu n'ai pas. Tu es et tu resteras pour moi, toujours aussi magnifique que la première fois que j'ai posé mon regard sur toi dans ce bar et que j'ai  instantanément su que je voulais te connaître. Peu importe ta condition physique, si je pouvais, j'aurais déjà planté une tante devant cette maudite vitre afin de t'observer toute la journée et de te prouver que je suis là. Quoi qu'il arrive. Et si je t'ai écris une première lettre c'est tout simplement parce que je ne peux pas passer tout le temps que je désire avec toi. Wyatt et mes autres meilleurs potes ont été enfermés aussi. Je crois malheureusement que ça ne va pas tarder à être mon tour. Je ne me sens pas vraiment au meilleur de ma forme, je dois te l'avouer...Mais ne t'inquiètes surtout pas. Tout ira bien. Je suis sur que dans ton cas, ils ne vont pas mettre plus de temps à vous retenir prisonnier. Deux semaines que je n'ai pas pu te toucher...Comment dire que j'en deviens fou à vouloir me jeter d'un pont ?

En ce qui concerne ton frère, il est aussi en quarantaine en effet. Malheureusement, je ne peux pas faire tous les étages... J'ai fini par m'inscrire en tant que bénévole afin d'aider un peu plus les médecins et je ne sors pas plus que toi finalement. Je préfère rester ici, essayer d'être utile et ne pas me savoir trop loin de toi. Savais-tu que mon cœur était enfermé exactement avec toi ? Et que ça fait plus de deux semaines que je ne respire plus comme je devrais ? Tu me manques tellement que j'en dors plus et en plus je deviens niais. Ciel, ce que je ne ferais pas pour toi...

Et toi, comment vas-tu ? Comment cela se passe-t-il, tu tiens le coup ? Ne baisse pas encore les bras, hein ? Tu vas continuer à te battre comme tu la fait jusqu'à présent et on fêtera ta sortie comme il se doit.. Je passerais aussi vite que je le pourrais, je te le promet. En attendant je suis content que l'idée de ces lettres te plaise. Parce que sans toi je ne vis plus, je survis.


Je t’aime encore plus.

Théo
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Ma lettre avait été envoyé, enfin je l’avais donné à l’infirmière pour qu’elle la transmet à Théo, mais je pensais pas qu’elle allait revenir aussi vite pour m’apporter une nouvelle lettre. J’en étais toute contente et mon cœur s’enflammait avant même de lire les premiers mots qu’il avait écrit. Je trouvais ça excitant de devoir attendre ses lettres, attendre qu’il lit les miennes pour ensuite répondre aux siennes. & je comptais bien les garder après être sortit, les mettant bien au chaud dans le tiroir de mon bureau, comme on garde un trésor bien au chaud.




Mon Amour,


Ai-je besoin de te dire que je n’aurais rien eu contre le fait que tu plantes une tente devant cette vitre et que je puisse te regarder toute la journée ? Mais tu dois aussi te douter que malgré cette envie je t’en aurais empêché. Ici y a bien trop de malades comme tu peux le voir et si y a bien une chose que je souhaite pas c’est que tu sois aussi derrière une vitre. Je trouve ça bien que tu aides en étant bénévole, je savais que tu avais un grand cœur mais si tu commences à ne pas être au meilleur de ta forme c’est mauvais signe. Les symptômes arrivent comme ça et pour le coup je préfère que tu restes loin d’ici pour pouvoir être dehors, sain et sauf quand j’en sortirais. J’ai aucune envie de devoir t’attendre quand je serais guéris. Je t’attendrais si j’ai pas le choix, si tu es contaminé mais je préfère que tu prennes pas trop de risque. Je t’aime et j’ai pas envie de te voir mal en point, ni te perdre. Deux semaines que je suis séparée de toi, je t’interdis de m’obliger à devoir tenir plus longtemps car on aura échangé nos places.

Moi ? Je dois lutter pour arriver à tenir le stylo pour t’écrire. Plus les jours passent et plus je me sens faible. J’étais dans les premiers contaminés alors forcément ce sont nous qui prenons tout, qui subissons en premier l’évolution du virus et c’est pas agréable. J’ai pas pu danser depuis deux semaines, je sens mes jambes qui on qu’une envie c’est de bouger, se dégourdir mais j’en suis incapable. Je me sens comme un légume et c’est triste mais ça me fait penser que si je dois un jour finir comme ça, je préfère ne plus être ici. Je te vois déjà me disputer mais j’ai du temps à tuer et penser c’est la seule chose que j’ai à faire dans cette pièce. Alors m’en veut pas pour ces mots mais comment peut on accepter de garder quelqu’un dans un tel état ? Je peux bouger de moi-même encore heureux mais si c’était pas le cas, la pire des solutions est parfois la mieux..

Non je baisse pas les bras, j’envisage de t’embrasser, te toucher, te regarder à nouveau avant d’y laisser ma peau. Si tu savais les idées qui peuvent me passer par la tête en t’imaginant ou revivant des souvenirs. Tu me manques atrocement et je te promets qu’une fois guérit je serrais telle une sangsue, tu auras mal aux lèvres tellement les miennes ne lâcheront plus les tiennes. Ton torse tu le sentiras plus à force que je le touche tellement il m’aura manqué. Tout me manque affreusement.




Je t’aime.

Elia
.


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À peine avais-je prit l’initiative d'écrire une lettre à la jeune femme qui hantait mon cœur, que j'avais immédiatement reçu une réponse de sa part. Puis je lui avais à nouveau répondu et c'est avec le cœur battant que j'attendais à tout bout de champs à ce que l'infirmière en question, qui jouait les transporteuse pour nous, ne vienne vers moi afin de m'apporter une nouvelle réponse. Et alors que j'étais plongé sur un chariot de médicaments, ladite infirmière me rapporta une nouvelle réponse. Mon cœur se mit à battre la chamade alors que je mourrais d'envie de me rendre dans l'étage dans lequel était enfermé Elia en quarantaine pour aller à sa rencontre. Et plus je lisais ce qu'elle m'écrivait et plus je voulais la voir et lui répondre.


     
Ma princesse,


Pardonne-moi ce surnom débile. Pourtant c'est tout ce que penser à toi m'inspire. Si tu savais à quel point je t'aime et à quel point tu enflamme mon cœur avec tes phrases et tes mots. J'aurais évidemment adorer passer mon temps à te regarder toute la journée, malgré cette vitre qui nous sépare...Malheureusement, c'est impossible. Ils sont en sous-effectif de personnel. Je me dois de les aider. Mais, saches que si jamais je devais finir derrière une vitre comme toi, et que tu arrives à en sortir avant moi, il est hors de question que tu ne fasses quoique ce soit qui pourrait remettre ta santé en danger, tu comprends ? Je refuse de te savoir encore ici à m'attendre ou quoique ce soit dans le genre. Je te veux chez toi -ou moi- saine et sauve et tranquillement reposée. Deux semaines ici c'est déjà énorme. Ne perds pas plus de temps comme ça enfermée. Ne t'inquiètes donc pas pour moi, tout ira bien. Promets-le moi mon amour, promets-moi que tu t'en ira même si je dois rester là ? Je ne supporterais pas qu'il t'arrive encore quelque chose. Mais genre vraiment pas...

Je t'ai déjà dit que j'aurais donné tout ce que j'ai pour pouvoir être à ta place. Alors tant pis si j'en viens à être enfermé à mon tour. J'aimerais que tu te remettes à danser...Tu le fais si bien. Ne me réponds plus en revanche si tenir un stylo entre tes doigts te demande beaucoup d'effort. Je prendrais sur moi et je viendrais toujours te voir le plus vite possible. Ne penses pas à des choses déprimantes par ailleurs. Penses à moi voilà. Sauf bien sûr si penser à moi te déprimerais encore plus, ce que je peux totalement comprendre... Tu me manques. C'est incroyable comme tu me manques. J'ai l'impression que plus rien ne compte dans ma vie, tellement je tiens à être prêt de toi et arrêtes je t'en prie de dire n'importe quoi. Je voudrais toujours de toi, peu importe ton état. Je crois que tu n'as pas conscience de mes sentiments à ton égard. Ça me désole, je ne sais pas comment te les faire comprendre.

J'aime ce que tu envisage parce que vois-tu c'est drôle, j'envisage la même chose. Transformes-toi en sangsue. Je me transformerais en scotch pour te coller encore et encore. Et c'est moi qui vais te kidnapper. Je vais t'attacher à mon lit et je vais m'occuper de toi, de tout, comme il faut. Je ne sais pas quelles sont les idées qui te passent par la tête mais je meurs d'envie de les connaître. Je meurs d'envie de toi tout court. Et plus les jours passent et plus je deviens fou. J'ai hâte que tu puisse sortir et que puisse retrouver ta vie d'avant.


Je t’aime toujours plus.

Théo
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Assise sur mon lit je vis l’infirmière qui m’avait apporté les deux lettres de Théo, venir vers la vitre. Me levant, je la vis une lettre à la main et je compris aussitôt pourquoi elle s’approchait. Je me demandais si elle allait pas en avoir marre de faire la factrice pour nous mais je m’en moquais, si ça lui gonflait j’étais prête à demander à une autre pour pouvoir transmettre mes lettres et avoir les siennes. M’approchant de la vitre je lui disais merci alors que j’attrapais la feuille sous la porte. Si elle voulait quand je sortirais je lui donnerais des sous pour la remercier de ce qu’elle fait car c’était important tout de même pour moi.




Mon Amour,


Tant que tu m’appelles pas mon bébé je t’en veux pas pour le surnom. Je suis loin d’être une princesse mais je préfère ça que mon bébé, beurk. Puis comment peux tu me demander de te promettre de ne pas rester si jamais à ton tour tu es enfermé et que moi je suis enfin libérée ? Tu sais bien que je peux pas te faire cette promesse. Je peux pas rester chez moi, au chaud, tranquille alors que toi tu serais bloquée ici, puis quoi encore ? Si je sors avant toi c’est qu’ils ont trouvé un antidote, un vaccin ou je ne sais quoi alors je craindrais plus rien. Puis ne parlons pas de malheur, je veux pas que tu sois coincé derrière une vitre et encore moins que tu y sois quand j’en sortirais.

Tu sais que je suis têtue, alors compte pas sur moi aussi pour ne pas te répondre. Même si ça me demande tous les efforts du monde je m’en moque, c’est rien comparé à tes lettres et au bien qu’elles me font. Il fait souffrir pour être belle il parait, là c’est pareil, il faut souffrir pour avoir tes lettres (a) J’espère que tu pourras venir prochainement, te voir n’est pas suffisant mais si on m’en prive alors je vais devenir folle et ils vont devoir me changer d’aile, me foutre en psychiatrie au lieu d’en quarantaine. Puis comment ça tu comprends si penser à toi me déprimerait plus ? Tu plaisantes j’espère. Penser à toi me réchauffe le cœur et m’aide à tenir le coup car t’es le seul que je peux voir encore, qui m’oblige à tenir le coup. Eh bien je crois que si tu veux encore de moi après ça, tu pourrais pas me voir plus pire à mon avis et non je peux pas en avoir totalement conscience, on peut pas peser des sentiments mais je sais que tu m’aimes et je sais que toi non plus tu sais pas exactement combien je t’aime.

Tu sais que ce que tu écris là ça laisse des traces ? Tu sais que je vais les garder et que je peux le ressortir à tout moment ? Parce que je compte pas oublier tes mots, que tu me colles ça me gênera pas le moins du monde. Je demande que ça même surtout après ces deux semaines horribles. Mes idées fait moi confiance que tu les connaitra quand j’aurais retrouver ma forme habituelle (a) C’est pas moi d’être aussi molle et faible, alors quand je serais à nouveau au sommet de ma forme, j’utiliserais ça dignement, au point de me retrouver aussi faible que maintenant mais pas à cause d’un virus, mais grâce à toi, grâce à tout ce que je meurs d’envie de te faire encore. Comme si c’était la dernière fois que je pourrais le faire, je t’assure tu regretteras pas. Je vous aime Théophyl DI Matteo, n’en doutez jamais <3



Je t’aime bien plus.

Elia
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J'avais à peine reçu la lettre d'Elia de la part de toujours et encore la même infirmière, que l'on m'appela pour me rendre au chevet d'un patient afin de l'aider. L'on ne m'avait pas donner l'opportunité de répondre rapidement à la jeune femme. Cependant, la suite des événements resta flou dans mon esprit et lorsque je me rendis compte de la suite des choses, je me retrouvais enfermé en quarantaine, allongé sur un lit, emmargeant d'une chose que l'on appelait, sommeil profond. Un peu dans les vapes, je sus de la bouche d'un médecin que j'avais perdu connaissance et que j'avais accumulé trop de fatigue en plus des symptômes du virus. Je me souvins alors subitement allongé dans ce lit que j'avais toujours la lettre d'Elia près de moi. Demandant du papier et un stylo, j'entrepris de lui répondre.


     
Elia,

Jamais je ne t’appellerais mon bébé. Je trouve ça aussi péjoratif que dénigrant. Je peux néanmoins utiliser des mots tels que mon cœur, mon amour, mon ange ou encore ma vie. Car c'est ce en quoi tu t'es convertis depuis le jour ou tu as déposé tes lèvres sur les miennes, le soir de notre rencontre. Malheureusement, cette lettre t'apporte de mauvaises nouvelles. Pardonnes-moi pour mon temps de réponse, mais, il s'est produit des choses que je n'ai pas pu contrôlé et malgré moi. Tu vas devoir me faire cette promesse de t'en aller, si jamais tu arrives à sortir la première de cet hôpital et de la quarantaine qu'elle afflige. Il le faut à tout prix, car c'est mon tour, mon amour, je viens de me réveiller allongé sur un lit blanc, enfermé derrière une vitre. J'imagine ton visage en lisant cette lettre et je t'en prie, enlève cette expression préoccupée. Je vais bien. J'ai juste perdu connaissance en travaillant, les médecins disent que c'est à cause de la fatigue que j'accumule que j'ai pu attraper plus facilement le virus. Tu n'imagines même pas ma haine. Deux semaines que je viens ici tous les jours, et c'est seulement maintenant que je me retrouve enfermé, encore plus loin de toi que d'habitude.

Que vais-je faire maintenant que l'on m'interdis de voir ton visage ?

Les mauvaises nouvelles ne s'arrêtent pas là, malheureusement, et je me dois de te les annoncer moi-même. Comme tu le sais à la perfection, je ne suis pas seul derrière cette vitre, sinon que parmi les gens qui m'accompagnent, tu en connais pas mal. Je peux te citer Avery ou encore Kenny, il me semble que ce dernier est ton cousin, non ? Cependant ce n'est pas tout, ton meilleur ami Jasper est là. Mais Leyna aussi.... Ne paniques pas, d'accord ? Je ne sais pas comment tu conçois notre relation à l'heure d'aujourd'hui ni si tu me fais un tout petit peu confiance mais je te jure que je ne te donnerais pas une nouvelle raison de me haïr ou de souffrir. Je t'aime et c'est ce qui compte.

Jamais je n'aurais cru que toi et moi nous serions enfermés, séparés l'un de l'autre, s'écrivant uniquement des lettres comme consolation. Ce que je ne donnerais pas pour voir encore ton visage et te prendre dans mes bras, ne serais-ce qu'une simple seconde. Reposes-toi mon amour, rétablis toi au meilleur de ta forme, pour que tu sois celle qui s'en sorte la première et qui se transforme en la rescapé de notre couple. Mais surtout ne t'en fais pas pour moi, je m'en fais suffisamment à propos de toi pour nous deux.

J'aime lorsque tu écris mon prénom complet en l'associant au verbe aimer. Parce que Dieu m'en vienne en témoin, je vous aime aussi Elia Swatt-Kovalevski et je vous aime comme jamais je n'aurais pensé aimer quelqu'un.


Je t’aime toujours et encore plus.

Théo
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J’avais attendu sa lettre avec impatience, depuis des heures. Elle arrivait enfin à moi et je me demandais pourquoi autant de temps, il avait surement eu trop de boulot et il n’avait pas eu une minute à lui pour me répondre. C’est ce que j’essayais de me convaincre mais je sentais cependant que quelque chose ne tournait pas rond. Remerciant une nouvelle fois cette infirmière je me jetais sur la lettre pour savoir la raison de son retard. Mon cœur se noua en lisant les lignes petit à petit.




Mon Amour,


Comment veux tu que je ne m’inquiète pas ? Ce que je craignais le plus était que tu sois aussi derrière une vitre. Tout sauf ça je voulais et désormais je sais que tu vas passer par les mêmes phases que moi, je sais que tu vas souffrir et je peux même pas être là pour toi comme tu l’as été pour moi.. Puis je peux pas te cacher que savoir pour Leyna n’arrange pas la situation. Je te suis reconnaissante de me l’avoir dire mais j’ai vu bien des séries ou des films ou les déclarations d’amours sont faites quand on pense que c’est fatidique, qu’on va y rester ou qu’on a peur d’y rester. T’imaginer là bas et avec elle, je peux pas te cacher que ça me fait peur parce que j’ai peur de te perdre, terriblement peur..

Voyons le positif dans tout ça, ça t’évite de me voir. Les symptômes ont à nouveau évolué et en plus d’être un zombie, je suis entièrement recouverte de plaque rouge. C’est clairement pas glamour et c’est à peine si on arrive à bouger désormais, alors désolée pour mon écriture, désolée pour le temps d’attente aussi mais je fais le maximum pour t’écrire et ne compte même pas me dire d’arrêter. A présent j’ai plus que ces lettres pour me raccrocher à toi et si tu m’écris pas, je serais digne d’un dès plus grand réalisateur de film tellement je vais imaginer des choses. Je t’aime et je te fais confiance mais une part de moi s’inquiète et j’espère que tu pourras le comprendre et me pardonner..

Le pire dans tout ça, c’est qu’on aura jamais pu fêter correctement un de nos moiniversaire. Y a toujours quelque chose qui nous en empêche et c’est pénible. En plus c’est débile, ça signifie quoi des moiniversaires ? C’est pas comme six mois ou un an ou plus, mais ce sont un mois de plus qu’on passe et partage ensemble au final, alors c’est important. J’espère que le quatrième sera le bon, ouais je t’interdis de faire quoique ce soit avant le 16 février. Si tu veux me faire plaisir, attend le 17 février pour envisager quelque chose, juste histoire que ce 16 février on puisse être ensemble pour ce moiniversaire et qu’on puisse fêter ça. Je sais je raconte que des bêtises mais je peux plaider non coupable et mettre ça sur le compte de la fatigue, de la peur, de l’angoisse et du virus.




Je t’aime à la folie de l'univers de la galaxie des étoiles.

Elia
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Depuis que j'avais transmis la lettre à notre infirmière habituelle dans laquelle j'annonçais à Elia que j'avais moi aussi été mis en quarantaine, j'attendais presque avec impatience à ce qu'elle ne revienne m'apporter sa réponse. Je pouvais déjà imaginer la jeune femme dans un drôle d'état, se préoccupant pour moi. Le truc était que ce ne fut pas l'infirmière habituelle qui m’interpella pour m'apporta sa réponse cette fois. Sinon un homme qui appela mon nom sans savoir qui j'étais et lorsque je lui demandais pour ladite infirmière si aimable, il m'expliqua qu'elle ne s'occupait pas de cet étage-là. Bref, du blah blah. Tout ce que je voulais, c'était lire sa réponse.


     
Elia,

Non, je t'en prie, ne t'inquiètes pas. Fais-toi plus du soucis pour toi et ta santé, alors que mon état n'est pas aussi préoccupant que le tiens... Bien que ce soit mon rôle de m'en faire pour toi et maintenant que je ne peux plus te voir à ma guise, je ne te raconte même pas l'état émotionnel dans lequel je me trouve. J'aimerais que Leyna soit le cadet de tes soucis. J'ai déjà répondu très franchement à toutes tes questions et n'hésiterais pas à me répéter ou à répondre à d'autres de tes questions si cela peut un tant soit peu te rassurer. Et je ne vois pas pourquoi tu me parle de films romantiques. Ce n'est pas comme si je comptais l'embrasser croyant que c'est ma dernière heure. Au contraire, je préférerais me tourner vers Avery et gaspiller mes dernières secondes de souffle à lui demander de te dire que je t'aimerais toujours et si jamais il ne pourrait pas me rapporter une PS3 dans ma tombe, histoire que je ne me fasse pas trop chier...

Je regrette d'apprendre que les symptômes ont encore évolués et bon Dieu j'en arrive même à prier pour qu'il ne t'arrive rien du tout de plus et que tu ne souffre pas de trop. Et si, arrêtes de m'écrire si cela te demande trop d'efforts. Je demandais de tes nouvelles à mes collègues et je penserais à toi chaque seconde de chaque minute de chaque heure. Néanmoins, je comprends tes craintes. Je ne peux rien t'écrire sur eux car je sais que peu importe mes dires, tu ne me croiras pas...J'ai perdu ta confiance Elia, j'en suis conscient. Mais je vais me battre pour la récupérer. Et j'aimerais te promettre de vivre un 16 mois année qui fêtera nos neuf mois de relation et plus sans que je n'eus commis d'erreurs préalablement. J'aimerais cesser de faire n'importe quoi. Je ne sais pas pourquoi je fais n'importe quoi d'ailleurs. Pourquoi m'aimes-tu, hein ? Je ne mérite vraiment pas ton amour...

Tu ne racontes pas n'importe quoi et j'espère juste que tu ne me laisseras pas tomber pour un autre infirmier ou docteur ultra sexy qui saura mieux s'occuper de toi que moi je ne suis en état de le faire. Dis-moi, comment peux-tu être à la fois la cause de toutes mes peines et de toutes mes joies ?


Je t'aime moi aussi comme si nous vivions dans l'univers de Star Wars.

Théo
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Une nouvelle lettre, un nouveau mes lèvres. La lisant je savais déjà dans ma tête ce que j'allais y répondre et pour rien oublier et ne pas perdre de temps vu le roman que je m'apprêtais à lui faire, je commençais aussitôt. Mon coeur il le détenait déjà mais désormais, après s'être lettre, il allait lui appartenir plus que tout et lui seul pourriat le réduire en poussière à l'avenir.




Mon Amour,

Tu sais bien que je préfère prendre soin des autres avant moi, alors je peux clairement pas m’inquiéter pour mon état avant de m’inquiéter pour le tien. T’es peut être qu’au début du virus mais te savoir souffrant suffit amplement à me rendre triste. J »ai tellement hâte qu’on sort de tout ça, de te retrouver. Je me répète, je sais je change pas le disque mais j’en ai tellement envie que je sais même plus comment te le dire, te l’écrire. Je crois que je peux que seulement te le montrer combien tu me manques et combien j’ai hâte de te serrer à nouveau contre moi. Tu pourras le remarquer de toi-même bientôt, oui bientôt parce que j’ai trop pas envie d’imaginer plus de jours séparé de toi. J’aime tes lettres, te lire et savourer chacun de tes mots mais ça ne fait pas le poids face à ta présence. C’est limite si je ne perds pas l’odeur que tu as. Puis ne parle pas de tombe stp.. De même je pensais que tu n’étais pas fan des jeux vidéos ?

Tu es têtu aussi, non j’ai pas envie d’arrêter de t'écrire. Je vais mettre plus de temps mais c’est pas grave. Même si tu penses à moi, moi j’ai besoin d’avoir tes lettres, c’est la seule chose positive que j’ai ici, le seul moyen d’avoir un peu de toi alors je t’interdis de m’enlever ça. Je ne le fais pas seulement pour ça aussi, j’aime t’écrire et je trouve cela bien plus simple de te dire ce que je ressens à travers ces lettres. Me demande pas pourquoi mais je ne suis pas directement face à toi, je ne vois pas ta réaction et alors c’est comme si je pouvais plus m’ouvrir. Je te le dis pas souvent je sais mais je t’aime et que ce soit sur du papier ou à voix haute, cela change rien. Je t’aime et ça reste pas plus vrai dans un cas ou dans l’autre.

Dit pas que tu mérite pas mon amour, c’est comme si tu allais me laisser car toi seul a jugé que je mérite mieux, que tu me fais trop souffrir et j’en passe. Alors dit pas ça, on est deux et cette décision me revient bien plus qu’elle ne te revient. Si je devais te citer toutes les raisons pour lesquelles je t’aime, je crains que tu ne verse quelques larmes en lisant ceci et tu es quand même avec une vingtaine de personnes. Alors si tu veux vraiment savoir pourquoi, je te conseille de t’enfermer dans une des salles de bains pour lire la suite tranquillement. Je t’aime parce que dès que j’ai posé mes yeux sur toi à la fin de l’été, j’ai craqué. Je te connaissais pas mais tu m’avais déjà attiré dans tes filets en étant simplement venu m’aborder. Puis nos discussions durant cette soirée. Je sais pas pourquoi mais je me suis ouverte facilement à toi alors que je te connaissais à peine et je t’ai parlé de chose dont je parle pas forcément, dont je garde pour moi. Pas besoin de dire combien tu m’as faite rire aussi et je crois qu’une phrase dit « Femme qui rit à moitié dans ton lit » et c’est ce qui s’est passé. Au fil des rendez vous tu ‘mas rendu accro à toi, au point que je pensais à toi, que j’attendais la prochaine fois où j’allais te revoir, que j’attendais un sms et quand ton nom s’affichait sur mon téléphone, je sentais mon cœur se serrer dans ma poitrine. Il m’a fallu un rien de temps pour que tu me charme et que je tombe amoureuse. Ce fameux jour où on l’a fiat pour la première fois, je n’avais jamais ressenti autant l’envie de faire qu’un avec quelqu’un. Je t’ai peut être fait faire des choses folles, dans des lieux fous mais toi c’est moi que tu as rendu folle de toi. Je pourrais te décrire chaque minute de nos rendez vous, chaque baiser que tu m’as donné. Ca fait que trois mois mais tellement je ressens de trucs pour toi, j’ai l’impression que ça fait bien plus. & je te cache pas que ça me fait peur parce qu’on a connu bien plus de bas que de haut je crois mais je sens que ça peut que nous rendre plus fort. Si on y a survécu on peut que tout affronter par la suite non ? Je sais pas ce que tu en penses mais si je pense ça alors j’espère que tu comprends mieux pourquoi je t’aime et combien je suis pas prête à abandonner, à te laisser. Oublie jamais ces mots quand ça ira mal entre nous car quoiqu’il arrive je crois que je t’aimerais toujours. Tu as marqué ma vie sans même que je le décide. T’es arrivée telle une étoile dans la nuit. Bon ok faut j’arrête d’être niaise mais je pense chaque mot, chacun d’eux.





Je t’aime à la folie de l'univers de la galaxie des étoiles.

Elia
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Lorsque j'avais une nouvelle fois reçu une réponse à la lettre que je lui avais envoyé préalablement, je la serrais un peu dans mes bras, savourant ce sentiment d'excitation à une nouvelle lecture de son écriture. Puis, lire sa lettre n'avait fait qu'empirer les battements effrénés de mon cœur qui s'accéléraient déjà à cause de la maladie. Elle avait sut me toucher à un point inimaginable.


     
Elia,

Je me dois de commencer cette lettre en te disant que tu sais bien que je préfère amplement à ce que tu ne prenne soin de toi que tu ne t'occupes des autres. Surtout de mon cas, qui si je crois ce que tu m'écris, est beaucoup moins grave que le tiens. Et te savoir dans un état dramatique me fend le cour à un stade inimaginable, ne pouvant ni voir ton visage, devant simplement me raccrocher à son souvenir. Ce qui n'est absolument pas suffisant. Et non, tu commences à bien me connaître, je n'aime pas les jeux vidéos. Mais lorsqu'on est dans un cercueil et seul, la console me semble être l'ustensile le plus apte à briser l’ennuie et la solitude..À moins, bien sûr, d'être enterré avec toi, ce qui n'arrivera pas, ni jamais, ni maintenant.

Bref, saches que je regrette quelque chose par rapport à ta dernière lettre: de ne pas avoir prit au pied de la lettre tes avant-gardes. J'ai versé ma larme et je ne te raconte même pas les regards que je me suis ramassé. J'aime savoir que tu aimes m'écrire. J'aime savoir que mes lettres te font plaisir. J'aime comprendre que tu comptes les garder avec toi peu importe ce qu'il se passe ensuite. J'aime savoir que tu penses à moi, que tu m'oublies pas et que tu comptes passer du temps avec moi à notre sortie de cet endroit infernal. Je t'aime tout simplement. Néanmoins, je ne comprends pas pourquoi il t'es plus facile de te confier sur papier que face à moi. Je ne savais pas que je t'effrayais autant...Mais tant que tu me dis, m'écris tout ce que tu ressens, à moi tout me vas. Et putain ce que tu me manques....

Lire ce que tu as pensé de nous, de moi dès notre première rencontre me donne du baume au cœur. Veux-tu savoir quelque chose ? C'est à mon tour. Dans ce bar, j'ai vu une superbe jeune femme qui semblait seule et lorsque je me suis adressé à elle pour la première fois, mon cœur battait déjà la chamade. Je sus instantanément qu'elle avait déjà quelque chose que je recherchais, que j'attendais. Cette soirée -si on élimine la partie Théolalapine- avait tout simplement été magique. Du début jusqu'à la fin. Et lorsque nous étions dans ce parc, je n'avais pu m'empêcher de déjà te prendre dans mes bras tellement mon corps, mon cœur, ma vue était attiré par toi. Et lorsque tu as finalement déposé tes lèvres sur les miennes, je suis resté ébahit. Tu venais déjà de demander implicitement à mon cœur qu'il ne t'ouvre ses portes pour mieux t’accueillir. Je te jure sur tout ce que j'ai de plus cher que suite à cette soirée, tu n'as pas un seul instant quitté mes pensées. Je ne pensais qu'à te revoir. Et lorsque tu m'as apporté cette carte, j'ai du dormir avec la nuit ou je l'ai lu. Non, je ne plaisante pas. Et oh, dans ce train fantôme ? Je me retenais de ne pas te toucher tellement mon cœur s’emballait chaque fois que j'avais le bonheur de t'effleurer. Que tu ne décides de m'embrasser sans que je m'y attende, me fit comprendre que j'étais déjà fichu. La suite tu la connais, et moi aussi et même si nous avons connu plus de mauvais moments par ma faute et ma fâcheuse tendance à ne pas savoir me comporter comme le petit-ami modèle que tu mérite, je suis tombé amoureux de toi plus vite qu'il ne me fallait de temps pour prononcer ton prénom. Oh crois-moi, tu nous as bien vite eut entre tes mains, mon cœur et moi.

Finalement, pour tout t'avouer, lorsque je t'ai proposé de venir avec moi en Italie, j'ai crains durant de longues secondes à ce que tu ne refuse, car tout était encore trop récent entre nous et je n'ai pas pu contenir ma joie ce soir d'Halloween, lorsque tu m'as dit que tu serais là pour moi. Je m'étais alors demandé ce que j'avais fait pour mérité qu'une femme comme toi ne s'intéresse un tant soit peu à un homme comme moi. Lors de notre séjour en Italie, lorsque nous avons dansé sur cette piste de danse, t'en souviens-tu ? J'ai su lorsque tu as posé ta tête sur ma poitrine qu'il fallait que je te le dise, qu'il fallait que je t'avoue mon amour, tant pis d'avance si ce n'était pas réciproque. Tu ne le sais peut-être pas mais ce jour ou nous nous sommes quittés à l'aéroport et après t'avoir dit pour la première fois que je t'aimais, je me suis enfuie, en pleurant moi aussi. Tu m'as ému Elia, comme jamais personne auparavant n'avait su me toucher. Que ce soit par tes confidences, par ta façon d'être, de penser, ta philosophie, ta manière de voir les choses et de te comporter. Je suis tout bonnement fou et éperdument amoureux de toi.

Et ce n'est généralement pas dans les règles qu'un homme déclare autant sa flamme à une femme dans des lettres mais si jamais tu n'aurais véritablement plus voulu de moi lors de ce 24 décembre, je serais parti loin. Parce que je ne conçois pas une vie dans laquelle tu n'existe pas. Parce que tu m'as sauvé, de toutes les façons qu'une homme peut être sauvé. Parce que sans toi et sans ton amour, je ne suis plus rien et parce que je t'aime aussi profondément que l'on peut aimer le sexe opposé.

Si on y a survécu on peut que tout affronter par la suite. Ce n'est plus une question pour moi sinon une affirmation.



Je t'aime.

Théo
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