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no, it's not over! ► koleyla

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Kol & Key' Հ no, it's not over !
Je jouais au parfait connard, tout simplement parce qu'en réalité je l'avais toujours été, c'était ce qui me définissait. Keyla avait toujours eu le dons de faire ressortir en moi tout ce qu'il y avait de bien même si aujourd'hui j'avais l'impression qu'il n'y avait plus rien de bon en moi, j'avais l'impression d'être devenu un monstre. J'essayais de me sauver, j'essayais de remonter à la surface en renvoyant la faute sur Key' tout simplement, j'étais un lâche, un lâche qui avait à présent tout perdu, même son propre honneur. Impensable il y a de cela quelques mois alors que nous étions encore éperdument amoureux, et heureux d'être ensemble, d'avoir surmonté tous ses obstacles qui se dressaient fièrement devant et que nous finissions par renverser tout simplement grâce à la force de notre amour ... mais aujourd'hui tout semblait être différent. J'avais fait une connerie de trop, et Keyla n'avait pas pu l'encaisser. Je n'étais plus moi même sans elle, et je ne le saurais plus jamais, j'en avais la certitude. « Mais pourquoi tu me fais ça ? Pourquoi tu t'évertues à me tuer de l'intérieur. Si tu m'aimais réellement tu me laisserais partir pour enfin connaître le bonheur. Laisses moi vivre ma vie. » Je n'y arrivais pas, je ne pouvais pas la laisser définitivement s'éloigner de moi ... je ne pouvais pas. « C'est bien parce que je t'aime tellement que je n'arrive pas à te laisser partir ! C'est oas possible que ça soit la fin entre nous Key' ?! Je veux pas ... » Toujours des je et encore des je, je ne pensais définitivement qu'à moi.

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Kol & Key' Հ no, it's not over !
Mon corps tremblait de toute part. J'avais du mal à gérer mes émotions, comme toujours, que ce soir la colère, la tristesse, la rancune, la haine et l'amour surtout... Un cocktail explosif qui me faisait tourner la tête et encore plus lorsque je devais lui faire face comme aujourd'hui. Je devais en plus affronter son visage, son regard, lui que je pouvais aimer autant que je pouvais le détester. C'était dangereux pour moi de me trouver ici, je suis fragile, influençable et Kol a toujours eu ce pouvoir sur moi. J'essayais donc par tous les moyens de ne pas le regarder dans les yeux au péril de craquer, de lâcher prise, et de faire une grosse connerie à nouveau. Il ne devait absolument pas se dire qu'il pourrait peut être me récupérer un jour. Il n'a plus le droit d'être celui qui régit ma vie alors qu'il a écrasé mon coeur en le piétinant lentement et douloureusement. Une mort lente que personne ne devrait avoir à vivre. Je ne le souhaitais à personne de traverser cela même à mon pire ennemi et pourtant Dieu sait qu'elle mériterait cela mais comme elle est morte, alors elle n'aura pas le droit à cette torture. Pour le coup j'aurais préféré être à sa place, cela m'aurait grandement arrangé et je pourrais enfin être en paix mais comme visiblement même la mort ne voulait pas de moi, je suis condamner à errer sur la Terre avec ma maudite vie. Je suppliais Kol de me libérer de son emprise, de me débarrasser de lui une bonne fois pour toute mais il refusait catégoriquement d'obtempérer. J'avalais ma salive pour éviter que les larmes ne coulent sur mes joues rouges de colère." C'est bien parce que je t'aime tellement que je n'arrive pas à te laisser partir ! C'est pas possible que ça soit la fin entre nous Key' ?! Je veux pas ..." Je fermai les poings pour garder la colère en moi et ne pas l'extérioriser mais l'exercice était difficile." Arrêtes de croire qu'on a encore un avenir à construire. Que tu le veuilles ou non, c'est comme ça et puis il n'y a pas que toi dans l'histoire, il y a moi aussi mais de toute manière tu n'as jamais compris qu'un couple se vivait à deux et ce même dans les pires moments. Alors va retrouver ta Liz ou je ne sais pas qui. Vis ta vie et moi je vais vivre la mienne comme je l'entends. " La discussion était close pour moi." Et puis même si tu ne signes pas ces papiers pour valider le divorce, je ferais comme si celui-ci avait eu lieu. "

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Kol & Key' Հ no, it's not over !
C'était pas la peine de continuer, c'était perdu d'avance de toute manière, je le savais bien, mais j'espérais, encore de l’espoir.  C'était comme si j'essayé de détruire à main nue un mur de béton armé, autant dire que ce n'était même pas la peine, ceci était une cause perdue. Je l'avais complètement perdu, c'était sur, elle ne ressentais plus rien. Tout ça c'était enfouie derrière cette colère qui ne semblait ne pas pouvoir s’apaiser, car elle était bien trop en rage contre moi, voila tout. Et petit à petit je baissais les bras, car ça ne servait à rien, ce n'était plus la peine de retenter la chose. Je l'avais perdu de toute manière. « J'ai toujours pensé à toi Key', j'ai jamais joué l’égoïste, on été deux, et je t'ai toujours tout donné, je t'ai même donné ma vie entre tes mains. J'ai toujours fait ce que j'ai pu pour te rendre heureuse. J'ai dérapé plusieurs fois, mais à qui ça n'arrive pas, je suis loin d'être parfait ! Si tu veux un mec parfait alors oui, la je ne suis pas pour toi, mais bonne chance, car ce mec n'existe pas. J'ai essayé, tu m'as rendu meilleur ... tu m'as sauvé plusieurs fois et c'est vrai que je me suis battue seul à bien des reprises, parce que j'ai jamais baissé les bras moi ! Ça à pas été facile, mais c'est comme ça. Et aujourd'hui je me bas pour toi, pour nous, même si c'est pas la peine, que je sais que j'y arriverais pas, ben je le fais quand même parce que c'est pour nous, et nous deux à mes yeux c'est pour la vie ... je le sais, je le ressens. Je suis pas con à ce point, pour ne pas voir qu'on s'est aimé comme des dingues, qu'on s'aime encore et que l'on s'aimera. Parce que c'est une évidence nous deux ! Mais je veux pas que tu crois que je suis un égoïste fini ... parce que c'est pas vrai, je me bas c'est tout, même si je suis fatigué moi aussi. J'en ai marre, mais c'est pour toi ! Et même aujourd'hui je ferrais tout pour toi ... tout, même l'impossible, t'as compris ?! T'es la femme de ma vie, t'es la femme que j'aurais jamais plus. T'es celle qui me rend heureux comme jamais ... c'est ton sourire, qui fait apparaître le mien. Et je suis tellement dépend de toi, que ben oui, je veux pas que tu partes. » J'arrivais pas à parler, y'avait pas de sens à tout ça, mais au moins je pouvais expulser tout ce que j'avais sur le coeur ... je rajoutais. « ET MERDE ! Crois ce que tu veux après tout, traite moi de con, d’égoïste, de salaud ... mais s'il te plait reviens ... reviens avec moi ! » avais-je dis désespéré. Je savais que même ces mots qui venaient du fond du cœur ne serviraient à rien, mais j'avais envie qu'elle comprenne que si elle voulait revenir un jour je serais la, car je l'attendrais quoi qu'il arrive. Parce que je ne pouvais vivre complètement heureux qu'avec une seule femme et c'était elle. « T'es obligée de mentionner Liz' à tout bout de champs ?! » La dernière phrase qu'elle avait dit m'avait choqué ... elle était véritablement ignoble par moment. « Je vais rien rajouté parce que je risque de m'énerver de toute manière ! » C'était toujours la même histoire ... la fin.

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HJ ; que d'émotions :TT:
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Je l'aimais oui comme jamais je n'avais aimé. Je lui avais donné mon coeur au risque d'être blessée et c'est exactement ce qui s'est produit. Alors non je ne peux pas dire que je ne ressens plus rien pour lui au contraire les sentiments sont toujours bel et bien présent et c'est exactement pour ça que je n'arrive pas à l'oublier malgré tout le mal qu'il m'a fait subir. Cela dit j'avais beaucoup trop de rancœur en moi pour le pardonner. Je m'etais forgé une armure que j'espérais indestructible pour me préserver de lui. Je devais maintenant penser à moi au lieu de penser au nous qui était beaucoup trop douloureux. J'en avais marre de vivre une relation si destructrice. J'etais à bout et je ne pourrais supporter de vivre encore dans la souffrance. Cet amour me consumait, c'est ce qui me faisait sentir vivante mais j'avais trop donné et trop perdu qu'il était plus sage d'arrêter de me faire du mal alors que je ne récolterai jamais rien au bout si ce n'est de nouveaux problèmes. Il se lançait dans un énième discours pour me voir revenir vers lui. A mon avis il ne se rendait pas compte de ce qu'il disait. Alors oui je lui faisais déjà mal en m'éloignant mais n'est ce pas ce qu'il méritait après m'avoir fait subit cela lui aussi. Je serai mon bras gauche de ma main droite, enfonçant mes ongles dans ma peau, me concentrant sur cette douleur pour ne pas craquer, ne pas céder à ses supplications."Oui je le dis haut et fort, tu es un idiot, un raté qui ne réussit qu'à détruire les quelques bonnes choses qui t'arrivent dans ta vie. C'est à cause de toi que j'ai plongé dans cette spirale de dépression dont je n'arrive pas à sortir. Arrêtes de me dire de revenir vers toi, tu me pousses à la mort en disant cela. Et Liz c'est aussi une des raisons pour laquelle je ne pourrais jamais vivre avec toi car il m'est impossible de vivre avec un homme qui pense constamment à une autre mais ça tu as toujours refusé de l'admettre. Peut être que tu m'aimes mais tu l'aimes aussi, je ne suis pas idiote, je connais ce regard amoureux que tu as en la regardant. Alors non j'ai beau t'aimer de tout mon être mais je vais suivre ma raison qui me dit de m'éloigner de toi si je veux sauver le peu qu'il me reste."

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Je pouvais pas le cacher c'était évident que j'étais anéantis par cette situation merdique qui s'était installée entre moi et Keyla. J'arrivais pas à le croire, ça avait autant dégénéré être nous deux ? C'était vraiment quelque chose de dingue. J'avais envie d'hurler de toute mes forces, j'avais envie que ce cauchemar sordide prenne fin, et que je me réveille dans ses bras. C'était complètement dingue tout sa, ça pouvait être la réalité, c'était pas possible. « Je t'ai toujours aimé plus que quiconque au monde, tu es la femme de ma vie, mon âme sœur, et je peux pas resté comme ça sans agir, j'ai fait trop de conneries, je l'admet vouloir coucher avec Candice, c'était une terrible erreur, c'était ma meilleure amie, j'avais pas de sentiments amoureux pour elle. J'en ai pour Elizabeth, tu le sais, je le sais moi aussi. Mais si tu me demandes de choisi la maintenant, ce sera toujours toi, parce que c'est toi que j'aime le plus au monde, je sais que tu as prit ta décision, mais je veux juste clarifier les choses. C'est toi que j'aime depuis le début, et ça ne changera pas, jamais. Même si tu me tuerais je t'aimerais quand même, parce que c'est écrit en moi, c'est marqué à jamais. Je t'ai jamais assez montré à quel point je tenais à toi. Mais c'est avec toi que j'ai passé les plus beaux jours de ma vie, d'abord cette première nuit avec toi dans cette piscine. Tu te souviens ? » Je savais très bien qu'au fond elle allait se rappeler de ses moments, de ses merveilleux moments passé ensemble, tous les deux. Comment oublier tout ça ? J'avais continué. « On avait peur que quelqu'un nous voit. C'est après cette nuit la qu'on a commencé à sortir ensemble tous les deux. Tu me connaissais bien, t'étais l'une de mes meilleures amies à l'époque, je t'ai dit des secrets que personnes ne savait avant toi. Y'a eu pleins de moments comme ça inoubliables et d'autres un peu plus déchirant mais dans un couple ça marche comme ça non ? Je sais que c'est pas trop mon truc mais t'as été la seule avec qui je me sentais aussi bien et aussi heureux. » C'était vrai tout ce que je pouvais lui dire. A quoi bon mentir de toute manière, elle le savait tout ça, je ne faisait que lui rappeler. « Puis on s'est marié, c'était magnifique, même si je suis sur tu rêvais d'un peu mieux. Je sais que t'aurais voulu que ton père t'accompagne devant le prêtre. Mais a pas eu ça, on était que tous les deux. Mais personnellement je regrette rien de ce qu'on a pu construire tous les deux, ensemble. Après ça j'arrêté pas de t’appeler Madame Parker, parce que je croyais réellement que c'était qu'un rêve. Mais non ce l'était pas, et j'étais le plus heureux des hommes à tes côtés. Tu m'as rendu meilleur Key', et je te dirais jamais assez merci pour tout ce que t'as pu faire pour moi. Et quoi que tu dises, quoi que tu fasses, je te dirais toujours je t'aime, et je t'aimerais toujours, même après ma mort. Nous sommes liés tous les deux et ça pour l'éternité ! Et tu réussiras jamais à me l'ôter de la bouche. C'est toi la femme de ma vie et pas Liz' ! » Je pense que dans le genre mélodramatique on pouvait pas faire mieux que ça.

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C'en était trop pour mou de devoir affronter son regard, je me sentais mal et mon coeur craquelait de toute part. Rester ici était une épreuve insoutenable, et j'aurais du m'en douter que je n'en sortirai pas vivante. Je ne connaissais que trop bien Kol qu'il fait toujours tout pour avoir ce qu'il veut, en l’occurrence moi. N'est ce pas ironique quand on y pense, quand il m'avait il allait voir ailleurs mais quand il ne m'a pas, je deviens tout de suite un objet de désir. Il veut me faire perdre la tête en fait. Auparavant j'étais prête à tout lui offrir mais je n'en avais plus envie, je ne lui devais rien depuis qu'il avait osé me tromper une nouvelle fois. Aujourd'hui, je lui demandais de faire un choix entre Elizabeth et moi, mon coeur rata un battement lorsqu'il m'avouait que j'étais l'élue de son coeur. Bien évidemment que j'attendais cette réponse, depuis longtemps même mais elle venait beaucoup trop tardivement et il aurait du y penser avant. Évoquant nos souvenir passés, je me retournais, croisant les bras sur ma poitrine, l'entendre énoncé les quelques moments qui me ferait toujours croire qu'il est le seul homme de ma vie, me torturait. Écorchée à vif, les larmes coulèrent sur mon visage, sans que je ne puisse rien faire, je ne pouvais que subir. J'étais sadique avec moi même de le laisser continuer dire ce qu'il avait sur le coeur alors que ma réponse était toute prête d'avance. Ce n'est pas sa déclaration d'amour qui allait faire en sorte que j'allais tirer un trait sur toutes les plaies encore bien ouvertes. Mon corps tremblait à chacun de ses mots, au son de sa voix. Toute femme sensée se serait retourner pour tomber dans les bras de l'homme qui lui dirait chose pareille mais je n'étais pas quelqu'un de normal non j'étais une femme brisée et ça personne ni même Kol pouvait réparer cela. Un silence de plusieurs minutes s'installa entre nous avant que je ne me retourne, passant ma main dans mes cheveux, je finis par prendre la direction de la porte. La main sur la poignée, je lui adressais une dernière phrase " C'est trop tard Kol. Je ne peux plus te laisser entrer dans ma vie, c'est un trop grand risque. Tu m'as déjà réduit à l'état d'une moins que rien, qu'est ce que ce sera après ? " Je sortais claquant la porte derrière moi. Quittant le bâtiment des winthrops, je fouillais ma poche pour en sortir mon paquet de clope de ma main encore tremblante. Allumant une cigarette, j'essayais de ne pas défaillir alors que mes jambes lourdes me menaient je ne sais où.

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HJ: no, it's not over! ► koleyla - Page 2 2442039969
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Kol & Key' Հ no, it's not over !
En mentionnant tous ces moments passés avec elle, tout ces moments de bonheur ensemble, inscrit à tout jamais en nous, Keyla fut prit par ses émotions encore une fois à cause de moi, elle s'était retournée ne me faisant plus face, elle fuyait comme pour ne pas m'affronter, qu'elle n'en pouvait plus. C'était surement trop dur pour elle, trop dur de ce rendre compte qu'elle m'aimait encore et que nous deux ce n'était pas encore fini, il fallait qu'elle l'admette qu'elle le dise, mais pas maintenant en tout cas, je le savais très bien c'était encore trop tôt pour elle certainement. J'en était persuader à présent, il fallait que je garde espoir car notre amour l'un pour l'autre ne pouvait pas s'éteindre aussi facilement et notre couple non plus c'était impossible à croire. Elle me dit alors après mes aveux, que c'était elle que j'avais choisi depuis le début et personne d'autre pas même Liz' même sa me déchirer tout entier à l'intérieur, il fallait que je fasse un choix et il était fait à présent, et aujourd'hui je ne pouvais plus reculer il fallait que j'avance, mais que malheureusement tout cela arrivait trop tard. Elle ne m'avait laissé le temps de répondre à cette dernière phrase, elle s'était dirigée vers la porte et elle l'avait franchi, comme ça sans ajouter un mot de plus. Je n'avais plus à rien faire, je ne pouvais rien dire, elle était partie. Ça ne servait à rien de la poursuivre à quoi bon ? Pour repartir sur les mêmes basses encore et encore ... non, je préférais la laisser partir pour l'instant.

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