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DUNRA ❥ Dans la maladie comme... ou pas.

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Dans ce cas, pourquoi ne me regardait-il pas dans les yeux pour me répondre ?. Tout simplement parce qu'il n'en pensait pas un mot de ce qu'il disait et c'est ce qui me fit sourire bêtement d'ailleurs. « Dans ce cas laisse-moi te dire que tu t'y prends mal, ce n'est pas en faisant ça que tu me feras fuir, au contraire, plus tu le feras, mieux tu m'auras sur ton chemin. » Moi je suivais mes propres conseils, mes propres règles, alors si j'avais envie d'en savoir plus sur lui, ce n'est ni lui, ni quelqu'un d'autre qui pourra m'en empêcher. Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme. « Même pas peur, vas-y fait tout ce que tu désires, je serais encore là et puis, c'est peut-être toi qui t'en mordras les doigts de me supporter, je suis peut-être un ange, mais pas le plus vivable. » Mieux vaut en rire, nous étions partis dans un délire sans fin, il avait beau dire, ses rires me prouvaient que ma compagnie ne lui était pas si défavorable. « Les mecs ne comprennent jamais rien, c'est bien connu non ? Et non, je ne te ferais pas ce cadeau ou seulement si tu restes en vie pour le voir de tes propres yeux. » Ma première phrase laissait en suspend, mais oui j'étais sérieuse, s'il décidait de combattre cette merde alors oui je lui ferais un déhanché rien que pour ses beaux yeux et ouverts de préférence. « Tu veux vraiment finir par m'énerver ? Cette fois ce n'est pas tes lèvres que je boufferais, mais un de tes oreilles !. Avec qui je me disputerais jusqu'à en rire ? Qui viendra me faire chier comme tu sais si bien le faire ? Non je refuse, tu vas sortir d'ici et c'est tout !. » Je n'étais pas encore prête à lui dire pourquoi je m'inquiétais autant pour lui, comment lui dirais-je ? Si dans ma tête tout se bousculait. « Pour une fois t'as raison, ce n'est pas facile de me supporter, je leur tire mon chapeau. » Un petit rire s'évapora dans la pièce, mieux vaut entendre ce rire, que les cris de douleurs des patients, ça au moins ça pouvait remonter le moral, en tout cas moi lorsque je passais mon temps ici, c'était de ces rires dont j'avais besoin. Vient le moment où il répondit à ma question. « Quoi tu te piques ?... T'as pas besoin de ça arrête... Si jamais tu le refais encore, je te ferais détester la piqûre pour le restant de tes jours... Je suis sérieuse !... » Et mon regard le prouvait. Pourquoi avoir besoin de se piquer quand on peut parler, certes ça ne résoudra rien, pareil que ces substances illicites qui ne feront que dégrader la santé, mais parler au moins ne nuira pas. « M'en fou, je ne suis pas de celles qui craignent se casser un ongle, car d'une manière ou d'une autre ils repousseront alors... et même si je voulais m'en prendre à cette vitre, ce n'est pas avec un si fragile corps que je pourrais... » Gosh je n'aurais pas dû me réjouir aussi rapidement, il me bombarda sur la deuxième question et voilà que mon visage se crispa, j'aurais voulu pouvoir y répondre, mais aucun son n'en sorti. Comment allais-je esquiver cette question ?, Je lui avais dit que je n'avais rien à cacher et pourtant avec un visage aussi démonstrative, il verra... il verra que cette question me déstabilisait et comme si cela ne suffisait pas, il avait l'air vraiment sérieux et déterminer à entendre la vraie raison. IDEA ! « Alors écoute !. Si je suis encore là, c'est parce que... tu me plaîs... Je ne s'aurais te l'expliquer, mais t'as complètement volé mes nuits depuis ce fameux soir et je n'arrête plus de penser à toi... et là j'ai qu'une seule envie, c'est franchir ces vitres et t'embrasser... Ça te va comme réponse là ?. » À voir son visage, j'éclatais immédiatement de rire pour sauver ma peau, même si au fond, je n'avais pas envie de rire après une telle déclaration, de plus, j'avais le cœur qui se débattait complètement furax pour sortir de sa cage thoracique, tellement je ne me croyais pas capable de faire sortir ça. Je voulais faire passer ça sur la plaisanterie pour qu'il oublie cette possibilité que je puisse être encore là parce qu'il m'attirait. « Sérieusement, sois sans crainte Duncan, je ne tomberais jamais amoureuse de toi, si je suis là, c'est simplement parce que je commence à t'apprécier, c'est peut-être ça un début d'amitié non ? Au moins, tu ne pourras plus dire qu'il n'y aura personne à ton enterrement, parce que j'y serais si jamais UN JOUR tu te retrouvais sous terre... mais compte pas sur moi pour me déhancher par contre !. » J'avalais difficilement ma salive, je venais de crier haut et fort que je ne tomberais jamais amoureuse de lui, chose que je n'en n'étais même pas certaine. Quoi qu'il en soit, j'avais insisté sur le mot "un jour" pour lui montrer que ce jour-là n'était pas encore arrivé et qu'il devait se battre en attendant. « Je veux que tu me fasses un parcours détaillé de ta vie, depuis ton enfance jusqu'à aujourd'hui et soit honnête, car il ne faut pas être dieu pour voir que tu as beaucoup souffert... » Je ne savais pas si c'était un don ou mon intuition féminine ou pire, mon sixième sens, mais j'étais douée pour lire entre les traits de visages.

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Les mecs ne comprennent jamais rien ? Wooh je suis pas n'importe quel mec je te signale ! Ah ouais tu serais capable de danser uniquement pour moi ?! Je retiens, tu n'as pas dit cela dans l'oreille d'un sourd très chère. Disais-je en hochant bêtement les sourcils. Bon je ne sais pas si je lui demanderais une danse privée, j'en connais une qui ne sera pas du même avis. Je souriais doucement l'entendant me faire une remontrance vis-à-vis de ce que je pouvais dire par rapport à ma probable mort. Bah écoute si tu veux me bouffer les oreilles ne te gêne pas, mais après je pourrais plus t'entendre me gueuler dessus, c'est peut-être un mal pour un bien tu me diras .. Lui disais-je en souriant, faisant une petite pause à cause d'un mal de crâne refaisant son apparition. Et t'inquiète pas, quand je serais mort je viendrais te hanter ! Tu ne vas pas te débarrasser si facilement de moi. T'imagine si après la mort on devient ce genre d'esprit invisible ? Je pourrais te voir partout .. A chaque fois que tu prendras une douche tu seras là, en train de te demander si je suis pas en train de me foutre de toi. Non bon là je commence vraiment à dire n'importe quoi, mais au final ça me fait du bien de déconner un peu, ça me change les idées. Puis elle fut surprise et à la fois choqué d'apprendre que je me piquais. J'hochais les épaules avant de lui répondre. Tu crois quoi sérieusement Tam ? Que je suis un enfant de chœur ? Non je suis loin de l'être. Mais si ça peut te rassurer j'arrête de me piquer depuis quelques mois, comme je te l'ai dit je suis un connard, mais un connard qui n'a qu'une parole. Mais je suis content de voir que mon état te touche autant que ça. Disais-je en souriant d'un air taquin avant qu'elle ne répond à ma question, je restais sur le cul et je ne savais plus quoi dire. Elle ..Tombe sous mon charme ? Je ne savais pas quoi dire jusqu'à ce qu'elle explose de rire. Putain t'es folle.. J'ai failli y croire. Crois-moi c'est mieux comme ça, ne tombe jamais amoureuse de moi, tu risques de le regretter après. Non pas que je me préoccupe de toi, mais je finirais par te blesser un jour ou l'autre. Parce que même si elle est loin d'être repoussante et que je l'aime bien.. Mon cœur de pierre appartient à une autre. Puis elle me posa une question étrange, elle voulait que je lui parle de ma vie. Mon regard se perdait sur le sol. Un parcours détaillé de ma vie et ben tu as du temps à perdre toi pour t’intéresser à quelque chose d'aussi inintéressant. Alors je suis né à Glasgow en Écosse, oui oui c'est pour ça que mon accent est super sexy. J'ai vécu les premières années de ma vie avec ma mère dans un taudis, mon père venait nous voir seulement de temps en temps, quelques heures ou une soirée tout au plus. Enfaîte ma mère c'était sa maîtresse et quand sa première femme est décédée on est parti vivre chez lui, ils se sont mariés, j'ai fait la connaissance de ma sœur et mon compte en banque a explosé d'un seul coup et on est parti vivre à Londres. Ça a toujours été difficile avec ma sœur, elle a toujours reproché à ma mère d'avoir volé la place de la sienne .. Enfin bref. Puis elle s'est tiré avec un connard en Afrique pendant un an .. Je suis tombé dans la drogue à 14 ans et j'ai commencé les conneries. Finalement j'ai rejoint Harvard à 18 ans et depuis ce jour je suis le connard qui couche à droite à gauche, qui se drogue et qui emmerde tout le monde. Ma mère est décédée il y a un mois et demi et .. Et j'ai essayé de me suicider. Disais-je en arrêtant d'un seul coup de parler. Car ouais le décès de ma mère n'est pas un événement facile. Évidemment j'évitais de parler au maximum de ma relation avec Lily, même si elle fait clairement partie intégrante de ma vie. Je soufflais un bon coup avant de lever mon regard vers Tamara, ne sachant pas ce qu'elle pensera de moi après ça. Tu connais toute ma vie à présent, pas très intéressant. Soufflais-je avant de reprendre.Et toi qu'est-ce que tu peux me dire sur toi ? Demandais-je calmement, toujours perdu dans ma précédente réponse. Ouais j'aimerais aussi en savoir plus sur elle, mise à part sa maladie .. Qu'elle en profite je ne m’intéresse pas comme ça avec grand monde.

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« Ah oui ? Vraiment ? Qu'est ce qui te différencie des autres alors ?. Uniquement pour toi, retiens-le bien, car je n'ai encore jamais proposé cela à un garçon, so, voit à quel point je désire que tu restes en vie. » J'allais finir par me trahir si je continuais à laisser mon cœur parler, alors que j'avais ma raison qui m'interdisait d'être aussi proche de lui, aussi bien par les mots que dans les gestes. « En effet, ce serait du gâchis et bien écoute, je trouverais quelque chose d'autres à bouffer anyway et maintenant chut ! tess !. » La suite de ses paroles fut intéressantes à imaginer, moi sous la douche, mes cheveux mouillés et plaqués contre mon dos, l'eau qui glissait lentement dessinant chaque courbes de mon corps sur ma peau lisse, frileuse et gouteuse des îles portugaise et pendant ce temps, le fantôme de Duncan qui riait, non plutôt qui bavait sous ce beau spectacle, mouais, vraiment intéressant, mais je chassais immédiatement cette idée de mon esprit. « Quelle malchanceuse je suis, mais je réussirais à me débarrasser de toi j'en suis certaine ! Et je serais plutôt là, à me demander si tu n'es pas en train de baver à la vue de ce sublime spectacle de mon corps tout nu, car je suis certaine que ce sera le cas avec le regret de n'avoir jamais pu parcourir mes délicieuses courbes de tes doigts et puis d'ailleurs pourquoi tes pensées sont allées immédiatement à la douche ? Pervers va !. » Je lui tirais la langue, bien-sûre que je plaisantais. Mon visage c'était un petit peu crispé lorsqu'il m'avoua être un connard qui n'avait qu'une parole. « Je te voyais juste au-dessus de tout ça, que tu ne te rabaisserais pas à ce genre de choses... mais je ne vais pas dire que je te comprends, juste que tu vaux mieux que ça c'est tout... et puisque t'es un connard qui tient parole, j'ai envie de faire confiance à ce connard... » Je ne disais pas connard parce qu'il l'était, enfin il l'avait été, mais un vrai connard ne se rebaissera jamais à s'excuser auprès d'une nana et à chercher une seconde chance, chose qu'il avait fait avec moi, alors je crois qu'il méritait un peu plus qu'on apprenne à vraiment le connaitre. « Et si cela avait été le cas, si j'étais vraiment tombée amoureuse de toi alors que je n'avais rien demandé ?... Tu crois que je t'aurais demandé quelque chose en retour ?. On ne choisit pas qui l'on aime, ça nous tombe dessus alors qu'on s'y attend le moins, c'est comme ça, mais rassure toi, ce n'est pas le cas je suis complètement immunisée contre ton charme. » Menteuse va, mais c'était ce qu'il fallait faire, il avait bien précisé qu'il me blesserait et je n'avais pas besoin de ça et d'ailleurs je ne voulais pas me lancer dans une histoire d'amour, j'avais beaucoup trop peur pour l'instant, peut-être qu'un jour si je guérissais, enfin s'il n'est pas trop tard. Sa vie n'avait rien d'inintéressant, goshh je savais bien qu'il avait souffert et en plus de se piquer, il avait failli se suicider. « Je savais bien que tu avais souffert et ta vie est tout sauf inintéressante, franchement c'est sombre, comme certains traits de ton visage que tu tentes de dissimuler par de faux sourires et en plus de te piquer, tu as failli te suicider ?, nah mais je me demande si tu ne ferais pas mieux d'habiter dans cet hôpital, tu seras moins un danger pour toi-même ! Ou peut-être dans un asile de fou. Enfin, si tu es encore là aujourd'hui, c'est que t'as reçu une lumière divine, j'espère que tu ne referas plus cette STUPIDE erreur ! Et je suis vraiment désolé pour ta mère... » Voilà qui était dit haut et fort, penser que je ne l'aurais probablement jamais revu me nouait la gorge, mais il était là et c'était le principal. « Moi, oh rien d'intéressant, en fait je m'en souviens plus depuis ma dernière crise d'amnésie et je vis avec des gens qui se disent mes parents, mais je n'arrive toujours pas à me souvenir de leurs visages, même si je les apprécie vraiment et qu'au fond j'ai ce sentiment qu'ils sont vraiment mes parents. Mais d'après ce qu'ils m'ont raconté sur mon enfance, j'ai toujours vécu à part, j'étais toujours montrée du doigt comme la petite fille pauvre, ou si tu veux la petite fille de la maison près de la prairie et puis quand nous avons quitté le Portugal pour nous installer ici, j'avais quoi six ans et un an après j'ai eu cet accident de bus qui avait provoqué mon amnésie. Je ne suis jamais allée à l'école, je n'ai jamais eu cette chance, ma mère est aveugle depuis sa naissance, elle ne m'a jamais vu et tous les jours j'ai cette envie qu'un jour, elle puisse voir ce que je suis devenue et si elle me trouvait belle. J'ai donc passé quatorze ans à faire des allers-retours dans cet hôpital et tu vois, tout le monde me connait ici. Ah oui, je suis vendeuse de fleurs depuis mes sept ans d'après eux, mais ce que j'aime le plus c'est l'art plastique, le dessin, j'en voue une véritable passion et c'est pourquoi je passais souvent devant Harvard, en espérant un jour avoir la chance d'y entrer et de pouvoir poursuivre mon rêve de devenir une artiste à part entière, mais ce n'est qu'un rêve. Et la suite tu la connais un peu, après l'attentat de la bombe, j'ai eu de nouveau une crise d'amnésie, mais grâce à mon journal intime dont je marque absolument tout, je peux reprendre le cours de ma vie, même si j'ai toujours au début du mal à m'habituer et c'est donc comme cela que tu as été démasqué petit prétentieux !. » J'affichais un ultra large sourire, oui oui, il avait cru y échapper. « Tu es vraiment très pâle Duncan, tu m'inquiètes, t'es sûre que tu ne veux pas que j'appelle une infirmière ?. » Franchement je préférais le voir en bonne santé que dans ce piteux état. J'espérais vraiment qu'ils se grouillent à trouver le remède là. « Je sais maintenant l'essentiel sur toi, ce que je veux savoir maintenant, c'est pourquoi tu as autant peur de t'attacher à une personne ? Pourquoi les repousses-tu toujours ?. » Oui, il avait peut-être été déçu de quelqu'un ? Je n'en savais rien, mais pourquoi jouait-il toujours les connards avec tout le monde, alors qu'il pouvait être tellement mieux.

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Excuse-moi mais je préfère quand même me foutre de toi sous la douche, plutôt que de te voir chier ! Je serais déjà mort une fois, j'ai pas non plus envie de mourir une deuxième fois à cause de l'odeur. Donc range ta libido, je ne fantasme pas sur toi. C'est plutôt toi qui aimerais hein ? Je suis sûr que ça te ferait un petit quelque chose que je te matte .. Non t'inquiète pas ça n'arrivera pas. Disais-je en souriant, bien que je me sentais mal pour le coup .. J'aurais dû réfléchir avant de dire cette connerie. Puis elle me demanda ce que ça m'aurait fait si jamais elle serait réellement tombée sous mon charme .. Je me grattais la tête avant de lui répondre. Si tu m'aurais demandé quelque chose en retour .. Je sais pas, mais crois-moi tomber amoureuse de moi, c'est vraiment la dernière des choses que je te souhaite. Disons que tu attendras quelqu'un pour rien .. Je suis pas le mec qu'il te faut. Et franchement je ferais comment moi après pour foutre tous tes plans dragues en l'air ? J'ai adoré ça dégager le mec qui dansait avec toi. Je préfère être le mec qui t'emmerde, plutôt que celui que t'aimes. Mais si tu es immunisée contre mon charme .. Je suis content pour toi, je sais que je suis irrésistible en plus, alors je te tire mon chapeau. Enfaîte ça m'aurait surtout fait mal pour elle, je m'attache vraiment et je ne voulais pas la rejeter .. Car j'aime Lily et ça ne changera pas. Enfin .. Je m'attachais vraiment à Tamara, c'est vraiment étrange. Elle était choquée que j'ai tenté de me suicider ? Elle en serait d'autant plus en apprenant que c'est ma sœur qui m'a fait changer d'avis en m'embrassant. Mon cœur se serra, ma voix était faible .. Tu aurais fait quoi toi ? J'avais qu'elle .. Que ma mère. Elle ne m'a jamais rien reproché, elle m'a toujours soutenu alors que j'étais le sale gosse qui passait son temps à se défoncer dans sa chambre. L'espèce de merde qui s'est tiré à Harvard pour suivre sa soeur, pour l'emmerder et finalement pour suivre une filière qui sert à rien. Elle m'a jamais rien reproché, c'est la seule qui m'a jamais aimé .. Alors qu'elle n'avait franchement pas de quoi. J'ai pété un plomb j'avoue, mais je voyais pas ce qui pouvait me faire rester sur cette terre de merde .. J'avais personne .. Enfin c'est ce que je pensais .. Enfin bref non t'inquiète pas, je vais rester juste pour te faire chier. Et c'était à son tour de me parler de sa vie et bizarrement je m'intéressais à ce qu'elle disait. Généralement j'en aurais eu rien à faire, je m'en moquerais complètement, mais non je l'écoutais me parler et mine de rien j'étais mal pour elle, sa vie n'était pas vraiment facile. Surtout lorsqu'elle me parla de sa mère .. Mon regard se perdait dans le sien. Je suis sûr que ta mère serait fière de voir sa fille .. Bon profites-en c'est sûrement la maladie qui me fera dire ça, mais elle a de quoi être fière de sa progéniture, que ce soit physiquement mais aussi la personne que tu es. Je suis sûr qu'un jour tu finiras par avoir ce que tu veux, qu'un jour tu deviendras l'artiste que tu souhaites devenir. D'ailleurs si je sors d'ici vivant, t'as intérêt à me montrer ce que tu fais ! Moi un prétentieux ? Absolument pas, je suis juste un mec qui sait qu'il est parfait en tout point .. Je penchais doucement ma tête vers la petite blonde en souriant légèrement. Bon j'espère que tu as profité de mes belles paroles, c'est la première et dernière fois que tu entendras ça de ma bouche. À partir de notre prochaine rencontre, je vais te mener la vie dure gamine ! J'étais pale, vraiment mal en point et Tam' s'en rendait compte, d'ailleurs ça n'aurait échappé à personne, même pas à un aveugle. Non ça ne changera rien, elle va encore me donner des cachets et au final ça ne changera rien d'autre. Je préfère que tu rest.. Non je rêve ou j'étais en train de lui dire que je voulais qu'elle reste ? Bon c'est complètement ça, je veux pas qu'elle parte, mais j'ai pas envie de passer pour le mec qui s'attache vraiment à elle .. Bonjour l'orgueil en mousse. Elle termina alors par me poser une question qui me laissa sur le cul. Avec les quelques forces qui me restaient je passais ma main dans les cheveux pour lui répondre. J'ai pas peur .. J'ai juste pas envie. Pourquoi m'attacher aux gens si c'est pour se faire envoyer sur les roses par la suite ? Au moins seul je suis tranquille, j'emmerde mon monde et c'est mieux comme ça. J'ai jamais eu besoin de personne et c'est pas aujourd'hui que ça changera. Disais-je sans rien ajouter, fermant les yeux à cause de mes maux de tête qui s'intensifient. La vérité est bien autre, je m'interdis surtout le droit d'aimer depuis que je suis totalement tombé amoureux de ma sœur dès mon plus jeune age. Je me suis toujours considéré comme un monstre, alors je me suis créé une carapace .. Cette carapace qui est toujours présente même si ça change entre Lily et moi. C'était à mon tour de poser ma question mais .. Et toi tu .. Enfin .. Je .. Je voyais comme des points noirs devant mes yeux, c'était vraiment étrange et avant même que je puisse terminer ma phrase, j'ai eu comme un vertige et je suis littéralement tombé de ma chaise, me retrouvant au sol, mon corps complètement à terre, les bras le long du corps. Je reprenais doucement mes esprits, mais je n'avais pas encore la force de me relever moi-même sur ma chaise.

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Non je ne me mettrais pas en colère pour si peu, même si c'était blessant, je m'habituais à ces clashs maintenant. « Oui, mais c'est quand même à moi de choisir au final, me dire que tu ne seras pas un mec pour moi ne changera rien, c'est encore à moi de décider et c'est ni à toi, ni à quelqu'un d'autre de le faire et je ne t'aurais rien demandé en retour. Aimer ce n'est pas seulement recevoir quelque chose en retour, il ne se résume pas à des je t'aime, c'est plus que ça Duncan, aimer c'est donner sans rien attendre en retour, c'est souhaiter l'épanouissement et le bonheur de l'autre quitte à sacrifier son propre bonheur et beaucoup de gens ne le comprend pas, mais c'est ça le véritable amour qu'il soit partagé ou non. Tu rêves si tu crois que je vais te laisser gâcher tous mes plans dragues, c'est mal connaitre la fille de Zahira Maybelin. » Je préférais couper tout court là, car plus j'en parlais et plus mon cœur se serrait atrocement, je ne savais pas pourquoi d'ailleurs. Il me demanda ce que j'aurais fait à sa place et à vrai dire je n'en savais rien strictement rien. « Je ne sais pas ce que j'aurais fait sincèrement, j'aurais peut-être pleuré toutes les larmes de mon corps jusqu'à la dernière goutte, j'en aurais peut-être voulu à la terre entière, j'aurais peut-être passé des nuits blanches, mais je n'aurais jamais choisi la facilité, celle de m'ôter la vie que ce soit à petit feu grâce à la drogue, ou un suicide. Tu crois qu'elle serait fière de toi ta mère de là où elle te regarde ? Tu crois qu'elle ne serait pas en train de pleurer à chaudes larmes en voyant son fils se faire autant de mal ? Tu crois qu'elle a passé sa vie à t'élever de la meilleure manière qu'il soit pour qu'au final tu balances tous ses efforts par la fenêtre ?. Non je suis sûre que non et pitié madame O'Callaghan, si vous nous entendez, donnez lui un coup de massue sur la tête pour qu'il comprenne qu'il vaut mieux que tout ça !. » Disais-je en croisant mes doigts tout en regardant vers le plafond. Mais bon, même si c'était impossible à réaliser, j'espérais tout de même qu'il puisse se réveiller pour de bon. « J'apprécie tout ce que tu me dis, t'as dû mettre ton égo de côté ça demande beaucoup d'effort ça ! et promis, si tu sors vivant d'ici, je te les montrerais tous !. Par contre, je sais que tu me trouves belle, il ne sert à rien de rejeter la faute sur cette maladie !. » Je passais une mèche de cheveux derrière mon oreille avec un fin sourire tout en baissant la tête pour éviter son regard si ténébreux. Heureuse qu'il puisse penser à une prochaine rencontre. Je rêve ou il était prêt à l'instant même de me demander de rester avec lui plutôt que d'appeler une infirmière ?. Mon regard de braise se posa immédiatement dans ses deux billes océanique, certes il n'avait pas terminé sa phrase, surement son égo, mais je n'étais pas idiote à ce point. « Et tu me compterais parmi ces personnes ?. » Je ne savais même pas pourquoi je lui avais demandé ça vu que je connaissais déjà ses réponses, je ne vois pas pourquoi je serais différente à ses yeux après tout. Alors qu'il était en train de placer difficilement des mots, ses yeux se fermèrent d'un seul coup et il tomba de sa chaise complètement allongé au sol dans un sale état. Mon cœur manqua de sortir de ma poitrine vue le bond qu'il venait de faire, mes mains se posèrent de nouveau sur la vitre tapotant rapidement afin d'atteindre le jeune homme avec ses bruits. D'une seconde à peine, mon visage avait blanchit de peur. « Duncan qu'est-ce que t'as ! Je t'en prie réponds-moi ! Dun !. » Il reprenait petit à petit ses esprits, mais pour moi s'en était trop, je criais à l'aide, lorsque deux infirmiers munit de protection contre ce virus répondirent immédiatement à mon appel. Ils ouvrirent la petite porte fermée à clé et refermèrent aussitôt derrière eux. L'un deux donna une piqure à Duncan et moi sans que je m'en rende compte, des gouttes s'échappèrent de mes yeux, ils firent rassoir Duncan sur sa chaise et ressortirent tandis que l'un deux se dirigea vers moi. « C'est votre petit ami ?. Ne vous inquiétez pas, nous lui avons fait une piqure il aura moins mal dans cinq minutes, malheureusement c'est tout ce que nous pouvons faire pour l'instant !. » Je regardais Duncan, surprise par cette question, mais surtout inquiète. « Non en fait ce n'est... » Je n'eusse le temps de terminer ma phrase qu'ils s'en allèrent précipitamment à d'autres urgences. « qu'un ami... » Murmurais-je à moi-même, en me rendant compte des larmes qui coulaient sur ma joue, je me retournais immédiatement restant dos collé à la vitre essuyant rapidement ces larmes, il m'avait fait tellement peur que j'avais cru que mon cœur allait exploser. « Tu m'as fait peur espèce d'idiot ! Si je reste ici, tu ne vas pas aller mieux, tu as besoin de te reposer sur un lit !. » Disais-je toujours de dos. Sans remarquer qu'ils avaient laissé la clé dans la serrure.

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Oh si je compte bien mettre tous tes plans dragues en l'air, compte sur moi ! Certes mais l'amour non partagé peut faire vraiment mal et te détruire à petit feu. Ça en vaut pas la peine. Disais-je en baissant mon regard vers le sol, car mine de rien je parlais en connaissance de cause. J'ai sacrifié tant de choses par amour pour Lily, j'ai fait tant de conneries pour être le seul à souffrir des deux .. J'ai souffert durant de longues années, je voulais pas que cela arrive aussi à Tam, que ce soit à cause de moi mais surtout à cause d'un autre mec. Je suis un lâche que veux tu .. Je voyais pas pourquoi je devais rester ici alors que la seule personne pour qui je comptais venait de s'envoler .. Enfin je pensais être seul à ce moment-là. Mais je me suis gouré j'avoue. Je rêve ou tu te la joues moralisatrice avec moi ? T'as intérêt à faire un sans faute dans ta vie, sinon crois-moi je ne vais pas m'en priver pour en faire autant et te faire une remontrance à l'écossaise ! Disais-je en souriant légèrement. Puis je la regardais parler à ma mère, ou du moins à essayer de le faire .. J'hochais la tête de droite à gauche en affichant un fin sourire sur mes lèvres. Elle me fit rire en m'avouant que je n'avais pas besoin du prétexte de la maladie pour la trouver belle, elle remit ensuite sa mèche correctement derrière son oreille en souriant, je m'étais avachi sur ma chaise avant de lui répondre, voyant son regard se détourner du mien. Je n'ai jamais dit que tu étais moche, j'ai seulement dit que jamais, ô grand jamais je ne serais aussi sympa dans mes propos en temps normal. évidemment qu'elle était belle, j'ai beau être amoureux de Lily, c'est pas pour autant que je dois trouver les autres filles repoussantes et Tamara est loin de l'être. Elle m'a ensuite demandé pourquoi je refusais autant que ça m'attacher aux autres et sa réponse ou plutôt sa question me laissait perplexe. Tu es parties une première fois comme une voleuse, certes tu es revenues, mais qui dit que la prochaine fois tu reviendras ? Un jour ou l'autre tu finiras par couper les ponts, d'une manière ou d'une autre, que ce soit à cause de moi ou non .. Avec ça sert à rien de s'attacher .. Bien qu'en réalité je suis clairement dans la merde à cause d'elle, car en effet je suis déjà bien attaché à elle. Et si jamais elle prend de nouveau la fuite, si jamais elle refuse de me revoir dans un futur proche ou lointain, ça me fera mal sans l'ombre d'un doute. Je voulais rajouter quelque chose, bien que je n'ai aucun souvenir des mots que je voulais prononcer tellement mon cerveau s'était déconné de mon corps.. Tombant comme une masse, j'entendais tout de même les cris de Tam qui s'inquiétait réellement pour moi, ça me faisait étrange. Puis après une piqûre des médecins, ces derniers sont partis précipitamment s'occuper de quelqu'un d'autre, entendant Tamara utiliser le terme 'qu'un ami', comment ça ? Sur le coup je ne captais pas grand-chose à cause de mon état réellement faible. Merci .. Disais-je en lançant un furtif regard vers elle, voyant quelques larmes couler le long de ses joues. Ça me faisait mal de la voir comme ça et surtout à cause de moi, je la laissais se retourner, ne disant sur cela pour ne pas la vexer d'une quelconque manière que ce soit. Je me recroquevillais sur ma chaise en toussant vraiment fort, m'arrachant presque la gorge en l'écoutant m'expliquer que je serais mieux sur mon lit plutôt qu'avec elle. Et tu veux que je fasse quoi ? Que je reste allongé sur mon lit de mort en attendant qu'on trouve un soi-disant remède pour un virus qu'ils ne connaissent pas ? Non je préfère rester là. Disais-je avant de me remettre correctement sur ma chaise avant de prendre appui au sol avec mes jambes afin de me lever, m'avançant doucement avec le peu de forces qu'il me restait jusqu'à cette vitre contre laquelle elle était de dos. Mon front pris place contre la vitre froide, ma voix cassée suite à ma toux et mon regard de plus en plus faible et fatigué. Mais je ne t'oblige pas à rester, je peux comprendre si tu veux partir, que ce soit d'ici ou pour voir quelqu'un d'autre. Je le prendrais pas mal .. Puis d'une voix plus calme et plus posée, je repris la parole en fixant mon regard sur sa chevelure juste devant mes mains. Je ne t'oblige pas non plus à te retourner, mais sèche moi ces larmes qui n'ont rien à faire ici. Je suis pas mort, t'as aucune raison de pleurer .. D'ailleurs je t'interdis de pleurer pour moi. Donc sèche tes larmes et continue à me casser les pieds, je préfère largement ça et ta présence à la sorcière qui squatte le lit à côté du mien. Disais-je en affichant un sourire, bien que mes muscles faciaux commençaient eux aussi à faiblir, j'étais faible tout simplement. Je restais donc collé à la vitre, tenant debout avec l'aide de mes dernières ressources, sans même voir la clé toujours présente sur la serrure du côté opposé.

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« Et moi je compte t'en empêcher !. Oui l'amour non partagé peut faire mal, tout comme l'amour partagé, rien n'est éternel dans cette vie, mais le temps guérit tout, tant qu'il y a de la vie, il y a toujours de l'espoir. » Je m'étonnais moi-même, on aurait dit ma mère, je commençais vraiment à ne plus avoir de doute sur mes vrais parents. « Tu vois, tu t'aurais ôté la vie pour rien, sans avoir vu qu'il y avait des gens prêtes à t'épauler !. Pardon... Je ne voulais pas te faire la morale, mais je n'avais pas pu empêcher tout ça de sortir... » Disais-je en grimaçant légèrement d'un air désolé. Loin de moi l'envie de vouloir lui faire la morale, c'était juste que je tenais vraiment à lui pour avoir eu peur de le perdre, le cœur a ses raisons que la raison elle-même ignore. Je souriais à la suite de ses propos, il avait vraiment un égo démesuré, mais j'étais mal placé pour lui faire la remarque, car j'étais pareil. Donc lui ne trouvait pas nécessaire ce besoin de s'attacher à quelqu'un ? Et pourtant il avait beau dire le contraire, il aura toujours besoin de quelqu'un, c'est le cycle de la vie. « Je ne peux pas te dire ce que le futur nous réserve, je ne peux vraiment pas te certifier que je serais toujours là, car si ça se trouve demain je ne me réveillerais probablement plus jamais, mais Duncan, l'instant présent est tout ce qui compte et de toute façon, même si je le voulais, je ne pourrais plus m'éloigner de toi, je finirais toujours par revenir, car mine de rien, je t'ai dans la peau. » Après qu'il soit passé à la piqure, je m'étais collé dos contre la vitre pour essuyer mes larmes, j'avais beau me dire que cette maladie ne pouvait pas devenir plus dangereuse, mais j'avais peur, car elle pourrait au contraire être mortel en vue de l'état de Duncan et celle des autres et son frère. Sa voix était beaucoup plus proche que tout à l'heure, mais je l'écoutais parler sans broncher un mot, lorsque mon regard croisa les clés, j'écarquillais les yeux, quoi ? C'était quoi ce signe-là ? Dieu qui me donnait une chance, ou bien Madame O'Callaghan qui m'avait entendue ?. Je me retournais soudainement, oubliant même de sécher à nouveau mes larmes, là j'avais plutôt un large sourire qui pouvait dépasser mes oreilles, un sourire colgate. « Je vais faire une bêtise ! Enfreindre les règles... » Lui disais-je en soutenant son regard quelques instants et là il devait se demander ce que je pouvais bien raconter. Je reculais regardant autour, surveillant chaque pas et dieu merci il n'y avait plus de mouvement par ici. Soudainement je me dirigeais vers la porte, l'ouvra puisqu'elle n'était pas refermée à clé fort heureusement et la refermait derrière moi. D'un pas pressé, je me dirigeais vers Duncan posant un doigt sur ses lèvres. « Chuuuut ! Tais-toi et écoute !. » Je gardais mon doigt sur ses lèvres avant de reprendre. « J'ai menti ! Je suis bonne comédienne pas vrai ! Je ne sais plus ce que je dis tu vois, je tremble là... » Yeux dans yeux, doigt contre lèvre, j'avais le cœur qui battait à mille à l'heure, BOUM BOUM BOUM. « J'ai l'impression que si je ne le fais pas maintenant je risquerais de le regretter si jamais nous n'avions plus la chance de nous revoir... » Mon doigt glissa vers sa joue et mon autre main rejoignit l'autre joue, tandis que je m'étirais prenant appui sur la pointe de mes orteils pour atteindre ses lèvres. Je pressais tendrement mes lèvres contre les siennes, tout en y mettant un peu de fougue, je savourais chaque micro secondes de cet instant l'attirant tout contre moi, alors que l'une de mes mains intensifia le tout en pressant sa nuque, je rassemblais un énorme souffle pendant ce baiser qui ne dura malheureusement que quelque seconde, car je sentis quelqu'un me tirer brutalement le bras, rompant le contacte alors qu'un soupire s'échappa du seuil de mes lèvres. « Vous n'avez rien à faire ici mademoiselle !. » Cria-t-il en m'entraînant avec lui, je me foutais de la pression qu'il pouvait mettre sur mon bras, du mal que cela pouvait me faire, ma main glissa dans celle de Duncan un dernier instant et je n'avais pas remarqué que le bracelet porte bonheur de ma mère que je portais venais de glisser par la même occasion dans la main du mather. « C'est bon ! Lâchez-moi... vous n'avez pas besoin de me serrer autant le bras !. » Et voilà comment je me retrouvais de nouveau devant cette maudite vitre à la con et cette fois-ci je ne pouvais plus espérer revoir une clé dans la serrure. Je me replaçais de nouveau devant la vitre. « Ne dis rien concernant ce baiser, tu n'as pas besoin de dire quoi ce que soit, on a même pas besoin d'en parler, j'avais juste besoin de le faire pour ne pas avoir de regret, j'avais juste besoin de ça pour passer à autre chose, je sais que ce ne sera jamais réciproque et je ne te demande rien, je me soignerais Duncan, je ferais en sorte d'oublier chaque battement de cœur qui se déclenche à ta vue, je me soignerais de ce sentiment étrange... » Disais-je avec un petit sourire, même si je n'étais certain de rien. Baissant la tête, je ne remarquais que maintenant l'absence de mon bracelet à mon bras, je relevais aussitôt la tête, lorsque mon regard tomba sur sa main tenant mon bijou. « Garde-le, il te portera peut-être bonheur et comme ça, tu auras une bonne raison de combattre ce virus pour venir me le rendre. » Je me pinçais la lèvre inférieure habitée encore pas le délicieux goût de ses lèvres. Lorsque soudainement quelqu'un me cacha la vue. Hein quoi ? C'est quoi ce bordel !. Cette personne que je ne reconnu pas toute suite était mon cousin, il passa sa main dans la mienne m'attirant un peu plus loin de Duncan. « Juste une minute !. » Balançais-je au mather avant de suivre mon cousin. « T'étais où ? J'ai demandé à Joan et elle m'a dit que tu serais là, qu'est-ce que tu fous ici ? Tes parents sont inquiets, ils essaient de t'appeler, mais t'es injoignable et qui c'est ce mec !? T'as pleuré ?... » Dit-il en posant ses mains sur mon visage essuyant de ses pouces, les quelques larmes qui avaient séché. Ça c'était typiquement Keenan, trop de questions à la fois. « Non ce n'est rien Kee, j'avais juste une poussière dans l’œil... Je suis désolé, tu peux prévenir mes parents que je suis à l'hôpital et que mon tel est déchargé ? Je vous rejoins t'alheure et lui c'est un ami que je suis venu voir, t'sais à cause de ce maudit virus qui se propage partout !. » Disais-je avec un sourire « Okey, mais ne tarde pas trop ici, tu pourrais en être exposée aussi... Moi j'ai quelque chose à faire là, je dois y aller, mais je préviens tes parents sans soucis. » Il quitta l'hôpital après m'avoir déposé un baiser sur le front, tandis que je retournais vers Duncan. « Mon cousin...désolé il a tendance à beaucoup trop s'inquiéter... » Et je savais qu'il avait inventé toute cette histoire avec mes parents juste pour ne pas avouer que c'était lui qui s'inquiétait, car j'avais déjà prévenu ma mère de ma venue ici. « La piqure a fait son effet ?. »

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Les cinq derniers mots de sa phrase me semblaient étranges, je ne savais pas comment prendre cela. Elle m'a dans la peau ? Je fronçais les sourcils sans trop comprendre le sens de cette phrase. Puis une fois la piqûre et les médecins évaporés dans les méandres de cet hôpital immense, ça me faisait mal de la voir pleurer à cause de moi. Au final c'est peut-être aussi pour ça que je ne veux pas que les gens s'attachent à moi, parce que je ne veux pas qu'ils souffrent à cause de moi d'une d'une façon ou d'une autre. Puis d'un seul coup je la voyais se retourner, toujours avec les larmes aux yeux mais affichant son plus beau sourire sur son visage. Elle m'avoua qu'elle allait enfreindre les règles et c'est à ce moment-là que je la vis ouvrir la porte que les infirmiers avaient oubliés de fermer à clés. Non arrête tes conneri.. Mais avant même que je puisse terminer ma phrase elle venait mettre son doigt sur mes lèvres, me demandant de me taire et de l'écouter. J'ouvrais grands les yeux, ne comprenant pas où elle voulait en venir quand elle m'expliqua qu'elle était bonne comédienne. Puis je sentis son doigt glisser sur ma joue, suivi de son autre main attrapant chacune de mes joues. Je ne savais que dire ou quoi faire, qu'est-ce qu'elle fait sérieusement ? Mais qu'est-ce que tu racon.. Mais avant que je puisse terminer ma phrase, ses lèvres venaient se coller d'un seul coup sur les miennes, sentant sa main derrière ma nuque. J'ouvrais grand les yeux, ne sachant réellement pas quoi faire. Elle m'embrassait avec fougue, un baiser que je ne pouvais pas lui rendre, mais je ne pouvais pas non plus la rejeter. Je ne faisais rien, sentant ses lèvres chaudes s'extirper des miennes. Je pouvais pas lui rendre son baiser, je ne pouvais pas faire ça à Lily. Les médecins arrivaient finalement pour lui attraper le bras, sentant une dernière fois son souffle parcourant mon visage. Je la regardais partir de l'autre côté de la vitre, tirée de force par les employés de l'hôpital. Mais lorsque le contact s'est rompu, j'attrapais son bracelet, n'ayant pas le temps de lui rendre. Le temps qu'elle arrive de l'autre côté de la vitre, je collais ma tête contre celui-ci, la cognant doucement en me demandant que faire. Je suis dans la merde jusqu'au cou, d'un côté je suis amoureux de Lily et ça ne changera pas, de l'autre côté je m'attache vraiment à Tamara mais visiblement d'une manière différente qu'elle .. Et si je lui dis la vérité entre Lily et moi, je ne sais pas comment elle va réagir. Je cherchais quoi dire, jusqu'à ce qu'elle revienne face à moi, derrière la vitre en question. Elle me fit savoir que je n'avais pas besoin de parler de cela avec elle, qu'elle ferait ce qu'il faut pour m'enlever de sa tête et de son cœur. Mon regard se dirigeait vers le sol, ne sachant toujours pas quoi lui dire jusqu'à ce qu'elle me parle de son bracelet. J'allais lui répondre, mais un homme arriva derrière elle, je n'arrivais même pas à écouter ce qu'ils disaient tellement j'étais perdu dans mes pensées. Je parvenais simplement à l'entendre lui demander qui j'étais .. Le flou total dans ma tête, c'est horrible. Il terminait par partir, elle m'avoua alors qu'il s'agissait de son cousin, j'hochais la tête en souriant légèrement, bien qu'en réalité j'étais carrément paumé. Elle me demandait si la piqûre avait fait effet, mais à vrai dire je restais debout contre la vitre sans rien dire, ne sachant quoi répondre. Je dois lui dire pour Lily .. Je suis obligé. Je devenais encore plus pale qu'en temps normal, sachant que cette vérité finira par lui faire mal, mais malgré ce qu'elle m'avait dit, je ne voulais pas lui donner de faux espoir. Je dois te dire quelque chose Tam .. J'ai ..[/b] Mais non, je suis incapable de lui dire que j'étais en quelque sorte en couple avec celle qui fut pendant de longues années ma sœur, je finissais par lever mon regard vers elle, déviant totalement mes paroles. J'ai un gros coup de fatigue, je crois que je vais m'allonger .. Disais-je avant de baisser mon regard vers le sol. Je me sens vraiment mal à cause de ce baiser, ok si je meurs à cause de cette épidémie il n'y aura rien, ce serait comme une bouteille à la mer. Mais si je m'en sors, je fais quoi moi ? Je brise le cœur de Tam et je me mets Lily à dos à cause d'un baiser volé ? Je veux pas de ça. Je soufflais un bon coup en montrant son bracelet. Je te le rendrais quand je sortirais sinon .. Sinon je le donnerais à une infirmière si je vois que c'est la fin. Lui lançais-je toujours en évitant son regard. Je suis carrément perdu, je ne sais réellement pas quoi faire et ça m'énerve très clairement. Cependant je ne partais pas maintenant, je voulais pas partir comme un voleur, si elle me pose une question j'y répondrais ou si elle me parle je resterais, mais je me sens pas capable de lui parler comme si de rien n'était, pas après ça.

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De par le silence de Duncan, je regrettais d'un coup lui avoir donné ce baiser, moi qui l'avais fait justement pour ne pas le regretter plutard, mais là je sentais que je venais vraiment de tout gâcher. Je restais devant la vitre aussi silencieuse que lui, lorsqu'il rompit ce silence en essayant de m'avouer quelque chose, mais il bloqua immédiatement en déviant ses propos. Je sentais qu'il avait quelque chose d'important à me dire, pourquoi ce baiser le touchait autant, après tout, ce n'était pas lui qui se trouvait tellement irrésistible que ça ne l'étonnerait pas qu'une fille puisse se languir de ses lèvres ? Alors pourquoi évitait-il mon regard de cette manière, pourquoi ne lançait-il pas une autre vanne prétentieux ?. J'avais peur, peur vraiment d'avoir tout gâché et je sentais que ce qu'il avait à me dire allait me toucher au plus haut point. « Soit honnête avec moi...qu'est-ce que t'avais à me dire ? Je t'écoute Duncan, je ne suis pas aussi... » Et c'est là qu'une pensée plus glacée que la neige me traversa l'esprit, je serrais ma poitrine rien qu'en y pensant et penser tout haut et tout fort était ma spécialité. « Tu en aimes une autre c'est ça ?... » Avais-je pensée beaucoup trop fort, si bien que mes mots dépassèrent ma pensée et au fond j'espérais de tout mon cœur qu'il me contredise. Son regard se posa sur moi, un regard perdu, un silence qui le trahissait, mais parle bon sang !. Duncan ne disait rien... « Mon dieu t'es amoureux d'une autre... ça se lit dans ton regard, dans ce silence assourdissant... » Et voilà ma première claque. Il était difficile de croire ce que mes lèvres en déduisaient, lui qui n'avait cessé de répéter qu'il n'était pas fait pour l'amour. Pourquoi m'a-t-il fait sortir toutes ces salades, alors qu'il pouvait tomber amoureux, rien n'est plus facile à manipuler qu'un être amoureux, surtout quand c'est pour vous que son cœur bat.. Je reculais, m'éloignant de la vitre. « Wow ! Quelle idiote je suis...de quoi j'ai l'air maintenant... mon dieu j'y crois pas... » Tellement que j'avais fini par en rire bêtement alors que le cœur n'y était pas, je riais sur mon propre et pitoyable sort. Le mure derrière moi me stoppa tendis que je stoppais mes lèvres dans un dernier soupir. « Tu comptais me regarder me ridiculiser encore et encore ?... » L'incompréhension se faisait sentir dans ma voix, pourquoi ne m'avait-il pas informé plus tôt ? J'aurais pu éviter que mon cœur ne s'imprègne de son odeur, de son sourire, de ses lèvres...de son regard si déstabilisant, j'aurais pu écouter ma raison et non choisir d'écouter mon cœur. « C'est... ce n'est pas juste... » Murmurais-je d'une si petite et difficile voix alors que ma gorge était complètement nouée et sur le point de fondre en larme, pourquoi fallait-il que le premier garçon qui me fasse découvrir ce merveilleux sentiment en aime une autre ?. Je me retenais de craquer, il n'était pas question que je pleure, il n'avait surtout pas besoin de ça en ce moment, j'avalais toutes mes larmes et je décidais par la même occasion d'avaler ma blessure, ma peine et tout le reste. Je relevais la tête avec un sourire et me rapprochais de nouveau de lui. « Je vous souhaite tout le bonheur, vraiment, tu le mérites, elle est vraiment chanceuse, t'es peut-être un petit conard comme tu le dis, mais t'as un cœur et je viens d'en avoir le cœur net. » Je baissais la tête, ça faisait vraiment mal, mais je n'avais pas le droit de craquer, pas ici. « Je ne veux pas entendre que t'es désolé ou quelque chose dans le genre, c'est de ma faute, j'aurais dû choisir de ne pas écouter mon cœur, je ne me serais pas autant ridiculisé. Dorénavant, je tacherais vraiment de me faire petite et de ne te causer aucune embrouille. » Plus facile à dire qu'à faire, même si ce n'était pas mes intentions, mais lorsque j'étais près de lui, c'était comme un aimant. Mais vraiment j'essaierais d'oublier ce que je ressens pour lui, je finirais bien par guérir non ? Mon sort appartenait au temps maintenant. « Je ne veux plus t'entendre dire "la fin", parce que maintenant tu dois te battre pour elle... » Disais-je derrière un faux sourire. Je ne cache pas avoir envie d'être à la place de cette petite chanceuse, mais c'était comme cela et je ne pouvais rien changer et en plus j'étais certaine de ne pas faire le poids, pour avoir fait succomber Duncan, elle devait être parfaite sur tous les points et franchement, il aurait quoi à foutre avec une nana de mon espèce. « Maintenant, tu devrais sérieusement aller te reposer, pense un peu à ton état... J'irais voir quelques personnes avant de m'en aller... » Faire comme-ci rien ne c'était passé, comme si ce baiser n'avait jamais existé, comme si ces sentiments n'étaient jamais apparus, faire comme si le mather n'était pas plus important que les autres à mes yeux, était la meilleure solution de me soigner.

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Mon visage me trahissait, mon expression voulait tout dire. Son baiser je ne pouvais lui rendre et ses sentiments, je ne pouvais pas les partager. Je ne m'attendais vraiment pas à cela, je me doutais bien qu'elle commençait à m'apprécier, mais pas à ce point-là. Faut dire que nous les mecs, on n'est pas souvent doué pour se rendre compte de ce genre de choses. Je n'aurais peut-être pas dû plaisanter sur certains sujets avec elle, lui faisant peut-être croire que j'étais plus ou moins libre, mais ce n'a jamais été le cas. Et elle terminait par s'en rendre compte, je ne disais rien, baissant simplement les yeux complètement désolé pour elle. Mais ce qui m'a fait mal, c'est lorsqu'elle m'a demandé combien de temps j'allais encore la regarder se tourner en ridicule. Je pouvais pas savoir, je ne me doutais pas que tu puisses ressentir quelque chose pour moi .. Disais-je presque en murmurant et en évitant toujours son regard. Comment tomber amoureuse d'un mec comme moi d'ailleurs ? Je ne suis qu'un drogué après tout, j'arrive toujours pas à comprendre comment Lily pouvait ressentir les mêmes sentiments que j'éprouve pour elle, mais aujourd'hui j'ai encore plus de mal à comprendre comment Tamara pouvait être amoureuse du connard qui s'est moqué d'elle. Je la voyais reculer, ne comprenant visiblement pas pourquoi je ne lui avais rien dit. Mais qu'est-ce que j'aurais pu faire ? Lui dire que j'étais fou amoureux de mon ancienne demi-sœur et qu'elle hante mes pensées et a kidnappé mon cœur il y a bien des années ? Elle m'aurait pris pour un fou, un malade qui éprouve un amour sans faille pour sa propre sœur, même si au jour d'aujourd'hui nous n'avons plus une goutte de sang en commun. Je fermais les yeux en levant mon visage au ciel, soupirant à cause de cette situation qui me mettait vraiment mal à l'aise, mais qui me faisait aussi mal pour elle. Si les choses auraient été moins compliquées je t'aurais parlé d'elle, mais c'est bien plus bordélique que ce que tu peux penser. Je n'ai jamais voulu te cacher ça .. Mais je pouvais pas faire autrement. Disais-je avant d'ouvrir de nouveau les yeux, voyant qu'elle était mal, qu'elle se sentait ridicule et j'avais cette fâcheuse idée de penser que j'en étais la source, ce qui est clairement le cas. Je reculais légèrement de la vitre, n'arrivant toujours pas à comprendre comme cela a t-il pu se passer. Et je t'ai jamais menti, je t'ai toujours dit que j'étais pas le mec qu'il te fallait, je t'ai mis en garde en te disant de ne pas tomber amoureuse de moi .. Même si lorsque je lui ai dit cela pour la première fois, je pensais sincèrement qu'elle ne tomberait jamais sous le charme d'un type comme moi. .. Parce que je termine toujours par blesser les personnes qui m'entourent .. Lui disais-je dans un murmure mélangé à un soupire, car mine de rien je l'aimais bien Tamara, je m'attachais vraiment à elle et j'avais peur que ses sentiments à mon égard gâche tout et une fois de plus je me sentais coupable. Coupable d'avoir pu lui laisser croire des choses que je ne pensais pas, coupable de lui avoir fait croire que je pouvais tomber amoureux d'elle alors que mon cœur appartient bel et bien à une autre. Cependant j'appréciais vraiment Tam comme rarement je m'attachais aux gens, je dirais même qu'à part Maëlys ma meilleure amie, je ne me suis jamais aussi vite attaché à quelqu'un et aujourd'hui après cela, je me doutais bien que plus rien ne sera jamais pareil. Je l'écoutais me parler, me dire que je méritais d'être heureux avec Lily, oui peut-être, mais Tam ne méritait pas d'être si triste, surtout à cause de moi. Et pour la première fois de ma vie j'allais m'excuser, j'ouvris alors la bouche pour le faire, mais elle me coupa avant même que je puisse dire quoi que ce soit, ne voulant pas entendre mes excuses et surtout se sentant coupable elle-même de ce geste. Mon regard fixa de nouveau le sol, laissant planer un silence pesant avant de lui répondre. C'est surtout passer cette porte que tu n'aurais pas dû faire. Cette merde est contagieuse, si ça se trouve tu vas attraper la même chose que nous maintenant .. Tu devrais rentrer chez toi et rester loin de cet hôpital au risque de choper ce foutu virus. Disais-je en soupirant, car en plus de briser son cœur, elle allait certainement tomber malade à cause de moi. Elle se forçait par la suite à sourire, me faisant savoir que je ferais mieux d'aller me reposer. Ouais c'est ce que je vais faire, j'ai besoin de dormir là .. Disais-je doucement, bien qu'en réalité je n'avais aucune envie de dormir, je voulais juste partir d'ici, ne pas la faire souffrir davantage. Je tenais son bracelet dans les mains, avant de la regarder de nouveau. Je trouverais un moyen de te le rendre, quitte à le donner au mec à qui t'as demandé d'aller me chercher.. Enfin tu vas le récupérer t'inquiète pas. Je ne savais pas si on allait se revoir, si j'allais sortir d'ici vivant mais surtout si après cela elle allait accepter de me revoir de nouveau .. Je me tournais doucement, dos à elle .. Prends soin de toi Tam'. Disais-je avant de m'avancer vers l'espèce de dortoir, la tête remplie de questions et surtout complètement perdu à cause de cette histoire.

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